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voila pour moi LE gros défaut


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2 réponses à ce sujet

#1 brayaud's

brayaud's

    Super Con-batif du Tour

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Posté 21 septembre 2007 - 17:47

voici ce qu'il manque à l'EDF pour que tous se passionne pour elle !
voici ce qui manque à cette CDM (pas seulement me direz vous)

http://sports.linter...et-_149025.html

et en plus, ça doit etre une des rares fois où je suis d'accord avec Lapasset !

#2 cuisto63

cuisto63

    Champion d'Europe

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Posté 21 septembre 2007 - 19:00

tout a fait d'accord! :flowers:

#3 luern

luern

    Champion d'Europe

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Posté 21 septembre 2007 - 19:22

oui et ça aussi

erdre contre l'Irlande ? Les joueurs du XV de France l'assurent : ils ne l'imaginent "même pas". Une deuxième défaite, vendredi 21 septembre au Stade de France, deux semaines après celle face à l'Argentine (12-17), entraînerait l'élimination des Bleus de "leur" Coupe du monde, "l'événement le plus important de (leur) carrière".


Alors ils n'y pensent pas, les joueurs de Bernard Laporte. Et ils se concentrent, disent-ils, sur ce qu'ils ont à faire : vaincre le XV du Trèfle, qui ne les a pas battus depuis 2001. Et sur ce qu'ils savent faire de mieux : défendre.

Défendre, défendre, défendre, c'est la marotte de Bernard Laporte. En deux matches, son équipe a toutefois encaissé deux essais, deux fois sur interception : une passe de Rémy Martin face à l'Argentine, une passe de Yannick Jauzion face à la Namibie. Or, depuis la passe interceptée de Jean Gachassin au Pays de Galles, avec l'aide du vent de Cardiff, en 1966, le rugby français ne supporte pas l'idée de l'interception. Pour affronter l'Irlande, les deux joueurs coupables paient donc leur faute : Rémy Martin sera dans les tribunes, Yannick Jauzion sur le banc des remplaçants.

David Ellis, l'entraîneur chargé de perfectionner la défense du XV de France, ne se sent pas responsable de ces deux erreurs : "Ce n'est pas une faute de défense." Mais cet Anglais qui a fait toute sa carrière de joueur dans le rugby à XIII ne le cache pas, il "n'aime pas ça". Après l'essai de l'Argentin Ignacio Corleto lors du match d'ouverture, il s'est senti "obligé de réfléchir beaucoup" à la question : "Que peut-on faire quand on perd le ballon comme ça, sur une interception ?"

Il n'a pas précisé s'il avait trouvé la réponse. Il ne s'est pas davantage étendu sur le plan défensif mis au point pour contrer l'Irlande. "Nous allons beaucoup nous concentrer sur Brian O'Driscoll et Ronan O'Gara", indique-t-il simplement. Pas si simple, en effet, de préparer une défense efficace face à un centre du talent de Brian O'Driscoll. Pas si facile, non plus, de s'organiser face à un ouvreur, Ronan O'Gara, aussi imprévisible qu'un rugbyman français, capable du meilleur comme du pire et, surtout, capable d'alterner jeu au pied et jeu à la main avec bonheur. "Nous sommes capables de nous adapter à ce que propose l'adversaire", assure David Ellis.

Un homme, côté français, sera plus particulièrement chargé de s'occuper du cas O'Gara : Serge Betsen. Il y a quelques années, après une performance d'anthologie face à l'ouvreur prodige du XV de la Rose, Jonny Wilkinson, la presse anglaise avait surnommé le troisième-ligne français "le Faucheur". Cette gloire, une forme de reconnaissance à son travail de l'ombre, ne lui avait pas déplu. Comme il déteste décevoir, il soigne ses statistiques : rares sont les occasions où Serge Betsen ne figure pas en tête de la rubrique "meilleur plaqueur du match".

Aussi, c'est inévitablement à lui que pense David Ellis quand il évoque la nécessité de "couper la transmission entre les avants et les trois-quarts". La mission a apparemment été bien entendue. Contre l'Irlande, dit Serge Betsen, "c'est à nous de tout faire pour enrayer toutes leurs options de jeu". Pour les mal-comprenants, il n'hésite pas à se faire plus précis : "Il faudra savoir mettre la connerie et l'agressivité nécessaires. Sans cette dose de appelez-ça-comme-vous-voulez, on ne peut pas faire un bon match de rugby. C'est ce qui nous a manqué lors du premier match." Compris, monsieur O'Gara ?