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La mode aux séjour 'sabbatique' sans privation Equipe Nat. pou


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#1 ASASHORYU

ASASHORYU

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Posté 30 avril 2008 - 13:17

Voici un article parmis les très nombeux où l'on évoque de plus en plus coté pacifique la possibilités de séjours à durée déterminée sans privation d'équipe nationales....

ainsi on apprend que Elsom, Evans ou encore pour Rodney Blake celà ouvre des porte de sortie en Ang et ou France


http://www.foxsports...from=public_rss


Super 14
Agent calls for player sabbaticals
By Wayne Smith
April 29, 2008
LEADING player agent Anthony Piccone has called on the Australian Rugby Union to consider copying a reported New Zealand initiative to grant All Black five-eighth Dan Carter a year's sabbatical to play overseas.
If Carter, who has been offered more than $1 million a season to play with French clubs Toulouse or Toulon, accepts the NZRU's offer, he will be the first All Black allowed to take on an offshore contract without losing his eligibility to be selected for Test matches.
Right from the start of the professional era in 1995, Australia has had a policy of not selecting overseas-based players, but such is the disparity between what players are able to earn in France, Britain and Japan from what is available to them in Australia, that pressure is building to find a compromise solution.
Reportedly, Carter will be permitted to play overseas for a year and return for the All Blacks' domestic Tests next June, without needing to fill the selection criteria of having played in the preceding domestic competition.
While the NZ and Australian policies differ in the detail, the common intent has always been to make it clear-cut that players heading offshore do so in the knowledge that they have just called an end to their Test careers. It's a black and white situation, but Piccone's argument is that there needs to be some shades of grey.
"Australia should look at this (Carter) situation and at other solutions," Piccone said.
"Obviously allowing players to take a sabbatical for a designated period allows them to go overseas for lifestyle reasons yet still not be lost long-term to Australian rugby."
That is precisely the situation that New South Wales flanker Rocky Elsom wants for himself, but the ARU appears to have dug in on the issue of early release and contract negotiations between the two parties have dragged on to the point where any overseas clubs chasing Elsom are starting to think they should look elsewhere.
"The hardline approach from the ARU could have the opposite effect to what's intended and actually push players offshore," Piccone warned.
"Players aren't going to want to come back and resume their Test careers in Australia after a sabbatical in Europe or Japan if the ARU plays hardball with them."
The Carter compromise might just be the circuit-breaker that is needed in the week when Rugby Union Players Association boss Tony Dempsey will be talking to the ARU in a bid to resolve the impasse that has developed over the early-release policy.
The long-standing convention has been that any professional player of five years' standing in the game, who has notched 30 Tests or 60 Super rugby matches, will automatically be granted an early release in the final year of his contract if he wishes to explore overseas offers.
"We'd love to see all players stay in Australia and play here because it's good for the game in this country," Dempsey said. "But there has got to be a sense of fair play and freedom to choose your career path."
The tricky issue for the ARU and the country's four professional teams is what to do with players who do not meet the "30 Tests or 60 Super rugby matches" criteria who are only on the fringe of being required for Super 14 squads.
Forcing them to remain in Australia until their contracts expire on December 31 means they will have little chance of securing a professional contract in Europe.
Reds prop Rodney Blake is one player who desperately needs some clarity on the situation.
While Queensland has made it apparent they consider him primarily a bench player, the way is open for him to play in France, where he is certain to improve his scrummaging by virtue of the fact that he will play at least twice as many matches per season.
Having then rectified the one glaring deficiency in his game, he could then return to Australia a better player and then challenge again for a place in the Wallabies

#2 JB 03

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Posté 30 avril 2008 - 14:38

Désol pour les allergiques à l'anglais, mais la traduction des autres articles de ASASHORYU me prendraient trop de temps..

L’agent de joueur Anthony Piccone a demandé à la Fédération de Rugby Australienne de s’inspirer de l’initiative NZ qui accorderait une année sabbatique à Dan Carter l’ouvreur des All Blacks pour jouer une année dans l’hémisphère Nord.

Si Carter, qui s’est vu offrir plus d’un million de $ pour la saison pour évoluer avec les clubs de Toulouse ou Toulon, accepte l’offre de la Fédération NZ, il sera le premier All Black autorisé à souscrire un contrat à l’étranger tout en restant sélectionnable pour les test matchs.

Depuis le tout début de l’ère professionnelle en 1995, l’Australie a une politique de non sélection pour les joueurs jouant à l’étranger, mais la disparité est telle avec ce que peuvent toucher les joueurs en France, en Grande-Bretagne ou au Japon par rapport à ce qu’on leur propose en Australie, qu’on se dirige vers un compromis.

Il semblerait que Carter soit autorisé à jouer à l’étranger une année, pour revenir en juin disputer les tests matchs sans devoir remplir les critères de sélection d’avoir disputé dans le championnat national avant.

Alors que les politiques NZ et Australienne différent sur des détails, le but commun a toujours été qu’il devait être parfaitement clair pour les joueurs qui s’exilaient qu’ils mettaient un terme à leur carrière internationale. Cette situation est sans ambiguïté, mais l’argument de Piccone est de dire qu’elle doit être modulée.

« L’Australie devrait se pencher sur cette situation (celle de Carter) et étudier d’autres solutions » dit Piccone.

« Manifestement, permettre aux joueurs se mettre en disponibilité pour une période déterminée leur permet d’aller à l’étranger pour des questions de mode de vie sans pour autant être perdus pour le rugby australien ».

C’est précisément la situation qu’espère le flanker de Nouvelle-Galles du Sud Rocky Elsom, mais la Fédération Australienne semble avoir enterré l’idée d’une libération aussi facile et les négociations entre les deux parties s’éternisent à un point tel que les clubs étrangers cherchant à recruter Elsom commencent à penser qu’ils feraient mieux de se diriger vers d’autres pistes.

« L’attitude intransigeante de la Fédération Australienne pourrait bien avoir des effets opposés à ceux recherchés en poussant les joueurs à s’exiler au bout du compte » prévient Piccone.

« es joueurs ne vont pas vouloir revenir pour reprendre leur carrière internationale après une année en Europe ou au Japon si la fédération continue à leur mettre des bâtons dans les roues ».

Le compromis Carter pourrait bien être le disjoncteur recherché auy cours de la semaine quand le président du syndicat des joueurs Tony Dempsey tentera de sortir de l’impasse à laquelle on est arrivé sur la question des libérations avec la Fédération Australienne.

La formule ancienne est que tout joueur professionnel après 5 ans de contrat qui a au compteur 30 tests ou 60 matchs de Super 14, se verra automatiquement accordée une année de libération pour sa dernière année de contrat s’il souhaite profiter des offres venant de l’étranger.

« Nous serion ravis que tous les joueurs restent en Australie parce que c’est une bonne chose pour le rugby autralien » dit Dempsey. « Mais il faut qu’on puisse choisir librement et équitablement son parcours professionnel ».

La question piège pour la fédération et les clubs est de savoir quoi faire avezc les joueurs qui n’ont pas totalisé « 30 tests ou 60 matchs de Super 14 » ui sont susceptibles d’être retenus dans les équipes du Super 14. Les contraindre à rester en Australie jusqu’à ce que leurs contrats expirent le 31 décembre induirait qu’ils aient peu de chances de signer un contrat en Europe.

Le piler des Reds du Queensland fait partie des joueurs qui ont absolument besoin que la situation soit clarifiée.

Tandis que son équipe en a visilement fait un joueur remplaçant, il a la possibilité d’aller jouer en France où il est assuré d’améliorer sa tenue en mêlée puisqu’il est acquis qu’il jouera au moins le double de matchs par saison.

An ayant remédié à son plus gros point faible, il pourrait revenir en Australie en étant meilleur pour postuler à un poste chez les Wallabies.






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