Du jazz scandinave avec le très coltranien Tony Malaby. Du travail d'orfèvre avec un crescendo final extraordinaire.
Posté 17 août 2017 - 08:32
Du jazz scandinave avec le très coltranien Tony Malaby. Du travail d'orfèvre avec un crescendo final extraordinaire.
Posté 18 août 2017 - 21:02
Posté 18 août 2017 - 22:44
Posté 19 août 2017 - 07:45
Posté 20 août 2017 - 09:50
culte
brillant
plus de mots !!
Posté 20 août 2017 - 09:54
Posté 20 août 2017 - 10:37
À propos de vaillants écossais, je réécoutais justement un de ces groupes "underrated" qui auraient mérité meilleur sort. "When the world knows your name" titrait leur deuxième album, collection invraisemblable de tubes cuivrés et taillés effectivement pour conquérir les USA. Celui-ci faisait suite à "Raintown" dans lequel on trouvait l'implacable "Dignity".
Mais les Deacon Blue devront se contenter de rester prophètes en leur pays, s'attirant une foule de fans chauds bouillants au diapason de ce collectif de potes dans la vie et musiciens valeureux. Mention à Lorraine McIntosh, choriste déjantée et aux yeux gris-bleus comme le ciel de Glasgow...
Posté 20 août 2017 - 14:48
culte
brillant
plus de mots !!
J'aime aussi le brillantissime "Sunday Morning Coming Down" de Kris Kristofferson chanté par le même Johnny Cash.
Posté 20 août 2017 - 19:20
kdo pour parigot
pour rester dans le thème voili des écossais chauds bouillants , les Haggis Horns !!!
Posté 21 août 2017 - 13:35
Posté 21 août 2017 - 13:48
Posté 21 août 2017 - 14:28
entendu aux Francos cet été...et pendant les pubs à la télé...
vraiment bien
Posté 21 août 2017 - 16:40
Posté 21 août 2017 - 17:37
BFM TV. On y apprend des tas de choses intéressantes.
Par exemple que les voitures ont une conscience, puisqu'elle deviennent folles des fois, à proximité de piétons. Elles peuvent être "déséquilibrées" alors même que leur 4 pneus sont parfaitement équilibrés, eux. Des voisins nous informent aimablement que la voiture avait un comportement tout à fait normal, et rentrait sagement au garage, vraiment c'est choquant et rien ne permettait de supposer qu'elle pouvait s'en prendre un jour à un abribus.
Heureusement pour remonter le moral j'écoute Jim Morrison et son sublime "The End"...
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