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Debaty Vincent


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690 réponses à ce sujet

#676 George Abitbol

George Abitbol

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Posté 16 décembre 2018 - 21:58

Belle blessure de guerre : DujI-hYWoAIo-Vp.jpg


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#677 Gourine63

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Posté 16 décembre 2018 - 22:18

Commotion arcado-sourcillère ?
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#678 JB 03

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Posté 17 décembre 2018 - 06:24

On se fend bien la gueule, à Oyo.... :chris:



#679 wallis

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Posté 17 décembre 2018 - 06:59

la vache ! il est parti à la guerre.  :huh:  :blink:



#680 Boulard

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Posté 17 décembre 2018 - 07:06

Un ver de terre à incrusté son crâne... impressionnant.

#681 George Abitbol

George Abitbol

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Posté 22 juillet 2019 - 20:37

À 37 ans, Vincent Debaty a officialisé la fin de sa riche carrière pour en débuter une nouvelle, celle d’entraineur. Actuellement en formation, l’ancien pilier entame cette transition du côté d’Oyonnax. Celui qui est surnommé "Le Belge" se confie.
 

 

 

Vous avez mis un terme à votre carrière il y a quelques semaines, vous y étiez préparé ?
Vincent Debaty : Oui, ça faisait un petit moment que c’était de plus en plus dur. J’étais souvent blessé. À un moment donné, il faut savoir s’arrêter. Le plaisir était toujours là mais le corps fatigue et récupère moins. J’ai eu des problèmes musculaires donc il faut être réaliste. Il faut arrêter et laisser la place aux jeunes (sourire). J’avais signé deux ans à Oyonnax et je savais qu’il y avait très peu de chances que j’en fasse plus. J’en ai bien profité.

 

 

Après 18 années chez les professionnels, n’est-ce tout de même pas difficile de réaliser ?
V.D. : On réalise parce que l’on n’a pas le choix. Franchement, quand je vois les mecs qui s’y filent, je me dis que je n’aurais pas pu reprendre. On en demande de plus en plus au rugby et là je n’ai plus la condition, ni l’énergie, pour m’accrocher sur du travail physique aussi intense. Mais après quand je les vois jouer, le plaisir reste. Si je pouvais avoir 20 ans…

 

 

Votre carrière a été riche, c’était celle dont vous rêviez ?
V.D. : Quand je regarde en arrière, je me rends compte que mon chemin a été un peu atypique. Je viens d’un endroit où il n’y a pas de rugby. Ma famille ne vient pas du rugby non plus. J’ai commencé très tard et j’ai eu la chance de réaliser des rêves que je ne pensais pas réalisables. Il y a eu l’équipe de France, des titres de champion de France, jouer dans un club comme Clermont, etc. Ce sont des moments de ma vie où j’ai pu profiter. Quand on est rentré à Clermont avec le bouclier, ce n’était pas normal de vivre des choses comme ça !
 

 

 

C’est fort de le dire ainsi ! D’autant que vous resterez à jamais comme l’un des membres de l’équipe de l’ASM qui a soulevé son premier Bouclier de Brennus.
V.D. : Ce n’était pas normal d’avoir 120 000 personnes sur la place de Jaude et pour qui tu es une idole. Donner du bonheur à des gens… C’était incroyable d’avoir autant de personnes autour de l’équipe. C’est noté dans un coin. Mais je ne suis pas le seul. J’ai eu la chance de jouer avec de très grands joueurs. J’ai juste amené une petite part de moi dans tout ça. C’est un de mes plus beaux moments. C’était le but ultime du club. On avait beaucoup de pression parce qu’on avait eu beaucoup d’échecs avant. À un moment donné, tu commençais par croire à la malédiction. Y arriver, tu ne réalises pas tellement c’est incroyable.

 

 

Il y a aussi eu l’équipe de France, avec 38 sélections et une phase finale de Coupe du Monde en 2015. Là encore, c’est un autre moment fort de la carrière ?
V.D. : Oui, surtout pour moi en étant d’origine Belge. Je les regardais à la télé. Dans mon canapé, je rêvais de ça. C’est la récompense du travail accompli. Faire partie de cette équipe, tout est plus grand, plus beau, tout va plus vite, tout est différent à partir de ce moment-là. Le moment protocolaire de La Marseillaise ou quand tu vois le Haka en face, c’était spécial.

 

 

Avec quatre finales de Coupe d’Europe disputées (3 avec Clermont, 1 avec Perpignan) mais aucun trophée soulevé, c’est peut-être là qu’il y a une déception ?
V.D. : Quand tu fais des finales, ou encore cette demi-finale à Saint-Etienne avec un peuple Jaune et Bleu tout le temps derrière toi (en 2015 face aux Saracens, ndlr)… C’est sûr que le résultat final est dur. Mais Clermont a toujours été régulier et j’ai eu la chance d’avoir pu jouer dans une équipe comme ça et de vivre des moments comme ça. Oui, je n’ai pas été champion d’Europe mais j’ai pu jouer au plus haut niveau contre les plus belles équipes. Des fois, on n’est pas passé loin et il nous a manqué quelques petits trucs à ce moment-là.

 

 

Juste avant de faire vos débuts avec le Stade rochelais, quelle était votre ambition ?
V.D. : Au tout départ, c’était de jouer en Reichels. C’était un grand pas de gagné. Quand je suis arrivé, j’avais un potentiel physique mais j’étais vraiment à la rue sur beaucoup de choses, comme l’endurance. L’appétit est venu en mangeant avec les Espoirs puis j’ai joué en première. Tout est venu petit à petit et naturellement. Je ne me suis jamais mis d’objectif plus grand. Chaque fois qu’une marche s’est présentée, j’ai eu la chance de pouvoir la gravir.

 

 

Vous aspirez maintenant à un nouveau rôle dans ce monde du rugby, celui d’entraineur ?
V.D. : Oui, j’avais déjà un peu commencé avec Clermont en entrainant les Cadets. J’aime bien ce rôle de formation, transmission et partage avec un public plus jeune. Ça fait trois ans que je suis là-dedans. J’ai passé le DEJEPS (Diplôme d’État Jeunesse, Éducation Populaire et Sport, ndlr) avec Oyonnax et je vais suivre la formation du DEF (Diplôme Entraineur Fédéral, ndlr) en février pour continuer le cursus.
Entrainer et transmettre me plait beaucoup. J’aimerais rendre au monde du rugby tout ce qu’il m’a apporté. Pour l’instant je suis en formation, en apprentissage, pour partir sur de bonnes bases. Je n’ai pas envie de griller les étapes car j’ai vu trop d’anciens joueurs vouloir aller trop vite et se casser les dents. Je préfère prendre plus de temps et être vraiment confortable dans ce que je dois faire.

 

 

On peut vous imaginer dans un rôle d’entraineur des avants ou plus large encore ?
V.D. : On verra. Je ne me suis jamais vraiment projeté très loin. J’ai toujours profité et essayé de passer les étapes les unes après les autres. La prochaine c’est le DEF, après on verra. Je me suis rapproché aussi de l’équipe belge pour voir si je peux continuer à m’épanouir dans tout ça. C’est là où j’ai commencé et ce serait une manière de boucler la boucle. Je suis né en Belgique, j’y ai commencé mais aujourd’hui je suis plus Français car j’ai passé plus de temps en France, ma femme est Française et j’y ai connu tellement de choses. Mais j’ai cette envie de me rappeler d’où je viens, d’essayer de faire avances les choses. J’ai un petit rôle à jouer.


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#682 DOUDOU63

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Posté 22 juillet 2019 - 21:17

Merci pour l'article !!! Garçon très attachant, toujours très abordable.....Un bon gars le Belge !!!!..


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#683 JB 03

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Posté 22 juillet 2019 - 22:13

Un attachement très fort à l'ASM dans sa globalité. Super mec.



#684 Gai Novice

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Posté 22 juillet 2019 - 22:37

120000 personnes à Jaude: le Belge est marseillais (et vice versa sûrement d'ailleurs)
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#685 Le Marseillais

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Posté 23 juillet 2019 - 09:31

Pourtant, j'en avais compté 120000 moi aussi.

Mais c'est vrai, un bon mec le Belge.


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#686 julien

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Posté 23 juillet 2019 - 09:37


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#687 cetotomatos

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Posté 23 juillet 2019 - 19:06

On ne s'en lasse pas.

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#688 Gai Novice

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Posté 23 juillet 2019 - 19:09

On ne s'en lasse pas.
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Garcès aurait sifflé 12 en avants
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#689 el landeno

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Posté 11 mars 2023 - 07:49

Les souvenirs de Vincent Debaty face à l'Angleterre : « J'ai surtout cherché de l'oxygène » Titulaire face à l'Angleterre lors du Tournoi 2015, Vincent Debaty inscrivit son seul essai en bleu lors d'une rencontre débridée qui en compta douze (55-35). Retour sur cette action du pilier digne d'un trois-quarts.

Entre deux séances d'entraînement concoctées pour l'US Oyonnax, Vincent Debaty est revenu vers nous pour évoquer son essai, le seul qu'il ait jamais inscrit durant sa carrière internationale. La conversation prend des tours amusants, le ton est enjoué, les rires fusent. L'ancien pilier gauche, que ses partenaires surnommaient « le Colosse », est une bonne nature, franc, direct, sans arrière-pensée. On sent bien au fil de l'échange à quel point cet essai - qui lui permet de laisser une trace de son passage en équipe de France - compte dans sa vie de rugbyman. Lui, le remplaçant attitré, s'illustra dans un registre spectaculaire la rare fois où il fut titulaire. À Twickenham qui plus est, le temple du rugby, le 21 mars 2015.

 
 

« Est-ce que depuis 2015, vous regardez les matches du quinze de France
à Twickenham avec une émotion particulière ?
Non, non, pas plus que ça... Il y a juste les images de mon essai qui reviennent en boucle sur les réseaux sociaux (sourire).

Un exploit élu plus bel essai du Tournoi 2015...
Disons que le match en lui-même était particulier, avec beaucoup d'espaces des deux côtés. Offensivement, les deux équipes se sont régalées, c'était plaisant, on s'est tous bien envoyés mais, même si je ne m'en souviens pas avec précision, il y a dû y avoir des petits soucis en défense (sourire)... En regardant le score (55-35), on pourrait croire que c'était un match de basket !

Vincent Debaty En bref
Ancien pilier des Bleus et actuel entraîneur des avants d'Oyonnax en charge de la mêlée.
41 ans.
37 sélections.
Clubs : La Rochelle (2001-2002), Perpignan (2002-2007), Agen (2007-2008), Clermont (2008-2017), Oyonnax (2017-2019).
17 juin 2006 : première sélection avec les Bleus face à la Roumanie (14-62).
2017 : il remporte son deuxième titre de champion de France avec Clermont, après 2010.

Avec le recul, qu'est-ce qui est le plus important : les points marqués
ou les points encaissés ?
Ce qu'on a retenu, c'est qu'en défense, nous n'étions pas assez bons. Quand tu en prends 55 à quelques mois d'une Coupe du monde, c'est compliqué... Tout le monde autour de nous, nos proches, nos amis, étaient positifs parce qu'il y avait eu du spectacle, mais je ne pouvais pas être content après une défaite... Même si les cinq essais marqués prouvaient qu'au moins dans ce domaine, nous étions parvenus à mettre notre jeu en place et trouver des solutions. On parle aujourd'hui de "finisseurs", mais nous avions nous aussi des impact players, dont je faisais régulièrement partie (il a été trente-deux fois remplaçant en trente-sept sélections). Philippe (Saint-André, sélectionneur de la France entre fin 2011 et 2015) avait déjà mis en place une stratégie à vingt-trois joueurs.

 
 

À l'heure de jeu, vous inscrivez cet essai de longue haleine à la conclusion d'une attaque depuis vos propres vingt-deux mètres...
Je crois que tout part d'un renvoi aux vingt-deux mètres. On récupère la balle et je suis placé en profondeur, au soutien, derrière les centres. On ne va pas se mentir, ça faisait un petit moment que j'étais dans le rouge (rires). En équipe de France, j'étais plutôt celui qui entrait à une demi-heure de la fin pour essayer d'amener un peu de puissance. Mais là, je tirais la langue. Quand j'ai vu que Noa (Nakaitaci) allait percer, je me suis dit : "S'il y en a un qui peut faire une passe inattendue, voire impossible, en situation de un-contre-deux pour faire marquer un partenaire, c'est bien lui !" Alors, hop, je m'y suis filé... Et j'ai eu raison. Il a fait une passe après contact et j'étais à côté de lui. Je n'avais plus qu'à finir l'action à la course...

Une course de près de cent mètres. Vous accélérez à hauteur de la ligne médiane
avant de recevoir le ballon à dix mètres de l'en-but...
Ah oui, peut-être. Je ne m'en souviens pas. Je pensais que l'en-but était plus loin que ça !

« En match, quand on est pilier,c'est rare d'avoir des courses le long de la ligne de touche, balle en main, pour aller marquer »

 

 
 
 

Avez-vous le souvenir d'avoir couru aussi vite ?
Oui, parfois en défense. À Clermont, on travaillait beaucoup à l'entraînement ce genre d'action. J'ai donc été régulièrement confronté à des courses longues et à ce type d'effort. Mais en match, quand on est pilier, c'est rare d'avoir des courses le long de la ligne de touche, balle en main, pour aller marquer... Surtout à Twickenham. Je me souviens avoir entendu le public m'encourager. Les spectateurs avaient l'air content.

À quel moment avez-vous compris que vous alliez marquer ?
Au moment d'aplatir, pas avant. Parce que dans le Tournoi 2012, contre l'Écosse, alors que je me voyais inscrire un essai, je m'étais emplâtré sur l'arrière et m'étais écroulé tout seul. Ce jour-là, j'avais appris qu'il ne fallait jamais cesser de se battre... Alors quand j'ai aplati le ballon, à Twickenham, j'ai ressenti une grande émotion. J'étais heureux. C'était une satisfaction toute personnelle. Mais j'ai surtout cherché de l'oxygène (rires).

Ça vous a donné envie d'en inscrire d'autres, des essais ?
Non. Je n'ai jamais couru après ça (il n'en a inscrit qu'un seul en équipe de France entre 2006 et 2015). Mon objectif, c'était de donner le maximum pour faire avancer l'équipe. En tant que pilier, je m'appliquais à assurer des sorties de balle rapides dans les phases de conquête afin que les autres marquent des essais.

Cette défaite à Twickenham était-elle prémonitoire du lourd revers contre les All Blacks (62-13)
en quarts de finale de Coupe du monde ?
Franchement, je n'ai pas la réponse. Les stages de préparation étaient au top, on avait créé un groupe, et on se sentait bien pour partir en Coupe du monde. Nous avions même davantage d'affinités que durant le Tournoi. Il nous a peut-être manqué la petite étincelle, une plus grande cohésion dans le jeu, de meilleurs repères...

Quel regard portez-vous sur l'équipe d'Angleterre qui accueille le quinze de France à Twickenham ?
Il faut toujours faire attention à la bête blessée. Les Anglais n'ont plus rien à perdre. Ils sont dans le dur. Alors, forcément, ils vont se resserrer sur les fondamentaux, à commencer par la défense. Visiblement, leur nouveau coach, Steve Borthwick, insiste sur les sorties de camp et la discipline tactique. Mais quand je vois le niveau de jeu de l'équipe de France, la qualité des joueurs qui composent ce groupe élargi, l'humilité de chacun, je suis favorablement impressionné. Au début, ce sera un match fermé. Mais ensuite, j'espère que les attaquants français, comme Damian Penaud, auront des espaces pour faire la différence. »

Le sport, c'est loin
Passé par La Rochelle, Perpignan, Agen, Clermont et Oyonnax, champion de France avec l'ASM en 2010 et 2017, le Franco-Belge de 41 ans, marié, père de trois filles, a choisi la carrière d'entraîneur durant sa dernière saison à l'ASM, s'occupant des cadets. Lorsqu'il signa à Oyonnax en 2017, il passa ses deux diplômes d'entraîneur. Après avoir coaché les Espoirs, il a maintenant en charge les avants de l'équipe première de l'USO (Pro D2) dans le secteur de la mêlée. Lui a laissé tomber toute pratique sportive. « Mon gros problème, c'est que je ne m'entretiens pas beaucoup, physiquement, sourit-il. Je me suis un peu relâché. Alors, j'ai arrêté de me peser. »R. E.

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#690 Barnabe03

Barnabe03

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Posté 11 mars 2023 - 07:57

"Alors j'ai arrêté de me peser..."

Voilà un gars proche des supporters... :D


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