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USAP


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1061 réponses à ce sujet

#901 rugbyasm77

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Posté 09 juillet 2022 - 16:20

Dorian Laborde s'engage avec l'USAP pour deux saisons . Le recrutement de Perpignan pour la saison pro est vraiment pas mal
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#902 el landeno

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Posté 19 juillet 2022 - 20:00

Patrick Arlettaz prend de la hauteur, David Marty promu entraîneur en chef de l'USAP Maintenu en Top 14, Perpignan a étoffé son staff avec notamment la promotion interne de l'ancien deuxième-ligne Guillaume Vilaceca, qui sera en charge des avants, tandis que Patrick Arlettaz passe manager et David Marty entraîneur en chef.

Quelques jours après la reprise de l'entraînement, Patrick Arlettaz et David Marty se sont posés en conférence de presse lundi midi, taquins et tout sourire, dans une salle climatisée à quelques mètres du terrain d'entraînement de Perpignan, exposé au cagnard. Les deux complices se connaissent par coeur. Le sang USAP coule dans leurs veines et leur profonde amitié semble booster leur relation professionnelle. « C'est un avantage de bien se connaître mais ça pourrait être un inconvénient si on n'osait pas se dire les choses, glisse Arlettaz avant de sourire. Mais quand on est amis et catalans, on ne passe pas deux jours sans s'engueuler donc ça limite sacrément ce risque. »

 
 

Les rôles respectifs des deux hommes vont évoluer cette année. Patrick Arlettaz (50 ans) passe « manager » au sens large du terme tandis que David Marty (39 ans) devient entraîneur en chef. Le staff compte toujours dans ses rangs Perry Freshwater (mêlée et mauls) et Gérald Bastide (défense) et est renforcé par un autre illustre ancien, Guillaume Vilaceca (touche et jeu d'avants), qui a passé dix saisons sous le maillot sang et or (2007-2017) et a entraîné les équipes de jeunes (Crabos puis Espoirs) depuis la fin de sa carrière. La fibre catalane s'épaissit dans une sorte de plan de succession logique suivi par Marty et Vilaceca depuis la fin de leur carrière de joueur.

« On avait pris beaucoup de retard là-dessus et on le rattrape avec, en plus, des mecs du coin et qui sont compétents. »

Patrick Arlettaz, nouveau manager de Perpignan.

 
 
 

« Cela fait six ans que je suis dans un rôle d'entraîneur, reprend Patrick Arlettaz. Les vidéos, les entraînements, les compositions d'équipe... C'était le moment pour moi d'évoluer là-dedans, à condition qu'on trouve les bonnes personnes dans le staff. J'ai donc fait cette proposition au président (François Rivière) à l'intersaison pour faire évoluer les choses dans l'encadrement. » Il s'agit autant de combler un poste de manager-directeur sportif laissé vacant depuis le départ de Christian Lanta en 2019 que de renforcer un staff bien maigrelet pour une équipe de Top 14.

« Le président est mon patron, je suis le patron de ''Zaza'' (Marty) et il est le patron des joueurs », schématise ensuite Arlettaz en se tournant vers son voisin. « Moi, je m'occupe du terrain et rien que du terrain », ajoute Marty. À 39 ans, l'ancien trois-quarts centre (37 sélections et toute une carrière de joueur à Perpignan, arrêtée en 2016), avait rejoint le staff de l'équipe première il y a un an après plusieurs saisons auprès des Crabos puis des Espoirs - où il a déjà travaillé avec Vilaceca - et un passage dans le staff de l'équipe de France U20 développement en 2020-2021.

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Perry Freshwater, entraîneur des avants. (R. Perrocheau/L'Équipe)

David Marty prend donc du galon avec ce rôle d'entraîneur en chef et de « décideur », dixit Arlettaz, qui ne va pas non plus quitter les terrains d'entraînement ni le box du staff en tribune les jours de match mais va se tourner vers un rôle plus large sur la politique sportive du club, ce qui inclut le recrutement, l'administratif, le management du staff, la communication et une plus grande proximité avec la direction du club. « Tu vas garder les crampons et enfiler le costume », image un confrère. « C'est exactement ça », se marre Arlettaz qui tient un pari dans la foulée : après la première victoire en Top 14, ce sera un lundi au club en costard-crampons.

« On était l'un des seuls clubs du Top 14 à n'avoir qu'un entraîneur des avants (Freshwater), enchaîne Marty, donc il était nécessaire dans l'évolution du club de nous renforcer. »« On avait pris beaucoup de retard là-dessus et on le rattrape avec, en plus, des mecs du coin et qui sont compétents », acquiesce le néo-manager.

« Oui, je prends plus de responsabilités mais je ne fais qu'augmenter finalement le curseur de la pression du résultat et l'envie de la gagne que j'ai envie de me mettre. »

David Marty, nouvel entraîneur en chef de l'USAP.

 
 
 

On comprend entre les mots que la transition vers un poste à plus haute responsabilité s'est faite aussi en cours de saison dernière, entre un David Marty se peaufinant dans le rôle d'entraîneur et un Patrick Arlettaz désireux de prendre (un peu) de recul. « On a bien bossé ensemble la saison dernière, mon rôle va évoluer mais ce n'est pas une révolution non plus, assure Marty. Si je suis prêt ? On verra dans trois mois (sourire) mais je fais tout pour l'être. C'est mon club. Bien sûr que je sens le poids sur mes épaules mais je l'ai bien connu en tant que joueur et l'an dernier aussi dans le staff. Oui, je prends plus de responsabilités mais je ne fais qu'augmenter finalement le curseur de la pression du résultat et l'envie de la gagne que j'ai envie de me mettre. C'est mon boulot après tout. Et je n'ai aucun problème à dire que si on est difficulté, Patrick pourra aussi intervenir, pas de soucis. »

« Il n'est pas lancé comme seul responsable de ce qui va se passer, tempère Arlettaz dans la foulée. Il a la pression comme il l'avait l'année dernière, plus de responsabilités. Mais le vrai responsable, c'est moi car c'est moi qui ai proposé cette évolution. Donc s'il faut taper sur quelqu'un, tapez sur la bonne personne, moi en l'occurrence. » Nouveau sourire des deux hommes et dernière vanne du patron du sportif quand on évoque les jours de match : « Je resterai en haut mais comme il est possible que ''Zaza'' se fasse expulser... Il a du boulot pour me rattraper, j'ai placé la barre très haut mais comme pour les sélections en équipe de France (Arlettaz en a une, en 1995), il pourrait bien me dépasser allègrement. »

Le maintien comme objectif
Treizième du Top 14 la saison dernière, Perpignan s'est sauvé en remportant le match de barrage à Mont-de-Marsan, finaliste de Pro D2 (16-41). Cette saison, « l'objectif reste le maintien, c'est clair et évident, assure David Marty. Et si on a le maintien en évitant ce match qu'on a tous mal vécu avec cette peur de tout perdre, c'est bien. » La lutte s'annonce farouche avec le promu bayonnais et Brive, « deux adversaires qu'on a ciblés », dixit l'entraîneur catalan. Brive est d'ailleurs attendu à Aimé-Giral dès la deuxième journée, le 10 septembre. « Ce sera un match très important, on ne va pas le cacher, poursuit Marty. On sait que plus on prend de points au début, mieux c'est. Maintenant, on n'est plus un promu, on sait où on met les pieds mais le danger serait de se dire qu'on a moins peur. J'espère qu'on ne va pas tomber dans ce panneau-là. » R. Be.
 

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#903 jp66

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Posté 20 juillet 2022 - 12:30

La saison de l’USAP sera difficile, c’est évident … on verra avec Marty … c’est un gagneur, pour le reste, Dieu seul le sait !  B)
Bon, j’ai toujours dit à la fin un seul champion … ça rend philosophe !  :rolleyes: 
Mais j’ai été plus sensible au parcours du capitaine de l’USAP espoirs, Guillem Montagne, qui a fait le choix de rester dans les P.O, plus précisément dans la jolie ville de Céret en fédérale 1 … un joli petit club bien ancré dans son terroir du beau Vallespir, et géré par Sylvain Deroeux … un choix de bon sens alors qu’il était sollicité par nombre d’autres clubs …

Un garçon qui a les pieds sur terre …  ^_^


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#904 el landeno

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Posté 20 juillet 2022 - 21:33

ah qu'est ce qu'on est Ceret ... B)


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#905 63manu

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Posté 21 juillet 2022 - 07:34

Marty ? C est bien lui ?


#906 el landeno

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Posté 26 juillet 2022 - 19:56

David Marty, nouvel entraîneur en chef de l'USAP : « La pression, oui, je l'ai » À 39 ans, l'ancien trois-quarts centre est désormais l'entraîneur en chef de Perpignan, où il a fait toute sa carrière de joueur. Un nouveau rôle qu'il attaque avec des convictions, mais aussi quelques incertitudes.

« Que "Zaza" devienne entraîneur en chef, ça ne surprend personne. » En début de semaine dernière, en conférence de presse, Patrick Arlettaz, désormais manager de l'USAP, a évoqué la nouvelle organisation du staff catalan - Guillaume Vilaceca est arrivé pour travailler avec les avants - où David Marty est désormais l'entraîneur en chef, le « décideur », dixit Arlettaz.

 
 

Présent dans le staff de l'équipe première depuis un an, après plusieurs années à travailler avec les équipes de jeunes de Perpignan, l'ancien trois-quarts centre (39 ans, 37 sélections) continue de prendre du galon dans « son » club, où il a effectué toute sa carrière de joueur, arrêtée en 2016. Marty évoque l'entraîneur qu'il est devenu avec cette voix qui porte et cette franchise, qui n'ont pas évolué avec les années.

« Comment s'est faite la transition vers ce rôle d'entraîneur à la fin de votre carrière de joueur en 2016 ?
Ça me trottait dans la tête sur mes dernières années de joueur. Ça me plaisait d'échanger avec les jeunes, de leur donner des conseils. Peut-être que j'ai commencé à y penser aussi parce que la fin se rapprochait (rires). J'avais envie de partager des choses et la suite s'est faite naturellement. J'ai eu une fin de carrière de joueur un peu compliquée...

C'est-à-dire ?
Cela s'est mal passé, mais je n'ai pas envie d'en parler (il souhaitait prolonger, mais n'avait pas senti de réciprocité de sa direction, arrêtant donc sa carrière à 33 ans). C'est un peu égoïste, mais plonger dans ce rôle d'entraîneur m'a permis de mieux digérer cette fin de carrière. Ça m'a évité d'en faire le deuil car j'étais encore dans le rugby, sur le terrain, au contact des joueurs dans un vestiaire.

Entraîner les jeunes (d'abord les Crabos ensuite les Espoirs), c'était voulu ?
C'était plutôt une façon classique de me lancer dans le métier. Mais franchement sans l'idée de me dire que j'irais entraîner les pros un jour. Avec les jeunes, je me suis régalé (les Espoirs de l'USAP ont été champions en 2017 et finalistes en 2021). J'ai vécu la beauté de ce rôle d'entraîneur sans pression. L'an dernier, en Top 14, j'ai vu que ce n'était pas pareil. Je connaissais cette pression lorsque j'étais joueur, je trouve que c'est la même finalement. Avec les jeunes, j'étais plus tranquille (rires).

« J'aime me pencher sur l'aspect stratégique et plus généralement sur l'évolution du rugby pour tenter de nouveaux trucs »

 

 
 
 

Il s'agissait pour vous de ne pas brûler les étapes ?
Je n'avais ni l'envie ni la prétention de me lancer d'entrée au plus haut niveau. Encore aujourd'hui, je ne sais pas si ça va le faire ou pas... Je me lance avec des idées, de la conviction et des envies, mais il y a forcément des incertitudes liées au manque d'expérience. Au moins, j'en suis conscient. Et je pars du principe que quand tu es conscient de tes limites, c'est un bon début, surtout dans ce métier.

Prendre la tête de l'équipe cette saison, qu'est-ce que ça change pour vous ?
Prendre la tête... Je n'aime pas trop dire ça. Je n'ai aucun problème à dire que si on est en difficulté, Patrick (Arlettaz) pourra intervenir. Oui, j'ai des responsabilités et si vous voulez me faire dire que j'ai la pression, oui, je l'ai (sourire). Après, tu te mets la pression du résultat et l'envie de la gagne que tu as envie de te mettre. Là, j'augmente les curseurs, mais c'est mon boulot.

David Marty en bref
Entraîneur en chef de Perpignan.
39 ans.
Ancien trois-quart centre.
Club : Perpignan (2002-2016).
37 sélections avec les Bleus.

Palmarès : vainqueur du Championnat de France 2009 avec l'USAP ; vainqueur du Tournoi des Six Nations 2006, 2007 et 2010 (Grand Chelem) avec les Bleus.

La pression est-elle aussi liée à votre histoire fusionnelle avec ce club ?
Oui, parce que je suis d'ici et que c'est mon club. C'est tellement important pour moi de laisser ce club en Top 14. Dans la rue, on me parle du match qui est passé ou de celui qui arrive. Là, après quelques jours de préparation, les gens sont là et m'interpellent. Même vous (les journalistes), vous venez me voir, donc c'est que la pression n'est pas la même (sourire).

À l'USAP, vous avez connu le titre en 2009 et la relégation en 2014. Est-ce que vous avez aussi ce rôle d'ancien qui partage son expérience ?
Oui, je sais la valeur d'une place en Top 14 pour ce club. Et on va tout faire pour que ça continue dans un an. C'est le but.

Qu'est-ce qui vous plaît dans ce rôle d'entraîneur ?
La réflexion sur le jeu, j'aime me pencher sur l'aspect stratégique et plus généralement sur l'évolution du rugby pour tenter de nouveaux trucs.

« Je prends souvent les joueurs en aparté. Comme on est dans une équipe à taille humaine, on a besoin de cette franchise, que ce soit pour booster un mec ou le remettre en place »

 

 
 
 

C'est possible quand vous jouez le maintien en Top 14 ? (la saison dernière, Perpignan s'est maintenu en battant Mont-de-Marsan, 41-16, lors du barrage d'accession)
C'est plus compliqué que chez les jeunes, où il y a moins la pression du résultat. C'est pour ça aussi que c'est bien d'être passé dans cette catégorie car ça m'a permis d'y confronter des idées que j'avais sur le jeu.

Est-ce que jouer le maintien signifie un jeu restrictif ?
On a vu de bonnes évolutions dans notre jeu la saison dernière, mais c'est vrai qu'on ne va pas réinventer des choses pour notre deuxième saison de Top 14. Mais j'espère voir l'équipe se lâcher un peu plus. Quand tu joues le maintien, il y a des matches sous pression à domicile et d'autres où tu n'as pas grand-chose à perdre. Il faut se lâcher, mais avec de la maîtrise et de la cohérence tactique.

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David Marty, en janvier. (Franck Seguin /L'Équipe)

Vous appréciez aussi l'aspect management des hommes dans ce rôle d'entraîneur ?
J'ai toujours aimé cette vie de groupe, gérer les joies et les déceptions personnelles, essayer de tirer un groupe vers le haut. Je prends souvent les joueurs en aparté. Comme on est dans une équipe à taille humaine, on a besoin de cette franchise, que ce soit pour booster un mec ou le remettre en place.

Comment ça se passe quand vous vous exprimez devant votre groupe ?
En général, je ne parle pas beaucoup, je ne suis pas un homme de grands mots. Rien n'est préparé ou calculé en tout cas, tout se fait au feeling.

Votre caractère a-t-il évolué avec le temps ?
Tu t'assagis avec l'âge, tu deviens plus posé. En tout cas, j'essaye parce que parfois, ça ressort ! Mais franchement, au bord du terrain, je me trouve plutôt calme. À partir du jeudi, l'histoire appartient aux joueurs. Tu fais des discours, des mises en place... mais ce sont eux qui prennent les choses en main. Donc je vis le match plutôt tranquillement en me disant que j'ai fait le maximum pour que les joueurs aient les bonnes clés. À eux après de tout donner ! »

 

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#907 l'exil

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Posté 29 octobre 2022 - 09:33

Brad Shields des Wasps en renfort. Grosse pioche !!
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#908 JIHEM

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Posté 09 novembre 2022 - 19:21

François Rivière émet des réserves concernant le fair-play financier du Stade Toulousain (msn.com)

 

C'est sûr, pour crime de lèse-majesté, l'USAP va descendre !


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#909 RCV06

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Posté 10 novembre 2022 - 10:21

Top 14. François Rivière (Perpignan) : "Est-ce normal que Toulouse les pains au chocolat aient 3 équipes premières ?"



#910 jm12

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Posté 10 novembre 2022 - 10:50

En attendant les Jackie Boys sont en train de piquer C Tedder à l 'U S A P ....ils sont quand même eux aussi  très attractifs ......



#911 Silhouette

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Posté 10 novembre 2022 - 16:04

Top 14. François Rivière (Perpignan) : "Est-ce normal que Toulouse les pains au chocolat aient 3 équipes premières ?"

Cela dit, comme argument, c'est pas hyper convainquant, si ? En gros il reclame un changement de regles pour reequilibrer les "gros" et les "petits" clubs, mais je vois pas trop de propositions concretes. Globalement on est a ce stade:

 

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#912 George Abitbol

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Posté 16 novembre 2022 - 03:53

Top 14. François Rivière (Perpignan) : "Est-ce normal que Toulouse les pains au chocolat aient 3 équipes premières ?"

Alors que l'USAP en a 0.



#913 Eria

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Posté 16 novembre 2022 - 11:12

François Rivière émet des réserves concernant le fair-play financier du Stade Toulousain (msn.com)

 

C'est sûr, pour crime de lèse-majesté, l'USAP va descendre !

sont mal placés pour faire la leçon de moralité les catalans a l'époque Goze ils on vécus au-dessus de leurs moyens et laissés le club avec une dette abyssale...

Ce dernièr c'est précipité a la direction de la LNR pour éviter les dégâts collatéraux...

Petit rappel ,le contrat Dan Carter...



#914 el landeno

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Posté 11 janvier 2023 - 21:00

François Rivière (Perpignan) : « La confiance entre staff et joueurs est renforcée » Conforté par des discussions avec l'encadrement et les joueurs, le président de l'USAP François Rivière n'a pas remis en cause le staff du manager Patrick Arlettaz et de l'entraîneur David Marty. Le club catalan est lanterne rouge du Top 14, à sept points du 13e.

L'USAP est en grand danger. Les trois victoires consécutives de Brive, aujourd'hui 13e, ont plongé le club catalan, qui n'a plus gagné depuis la réception de Bordeaux-Bègles le 26 novembre (23-20), au fin fond du classement. Après avoir arraché son maintien en barrage la saison dernière, Perpignan est dans l'urgence.

 
 
 

Après la défaite à Clermont samedi (31-20), le président François Rivière s'est longuement entretenu avec le manager Patrick Arlettaz, l'entraîneur David Marty et les joueurs. Il se dit aujourd'hui convaincu que c'est avec ce fonctionnement que le club va s'en sortir. Après l'intermède Challenge européen (l'USAP va recevoir Glasgow et ira à Bristol), la réception du Stade Français le 28 janvier s'annonce brûlante.

« A-t-il été question d'une remise en cause du staff après la défaite à Clermont ?
Les joueurs ont montré à Clermont une détermination sans faille. Mais la pièce n'est pas tombée du bon côté. Ça fait au moins trois fois que ça nous arrive cette saison, après les matches à Pau (défaite 16-14) et à Bayonne (défaite 24-20). Des matches où on menait à dix minutes de la fin et qu'on a fini par perdre, avec ou sans bonus défensif. Après le match à Clermont, j'ai voulu prendre le temps d'en parler avec Patrick Arlettaz, David Marty est les joueurs pour savoir dans quel état d'esprit nous étions pour aborder ces 11 matches qu'il nous reste pour sauver le club. Sur les six prochains matches, on a quatre réceptions et deux matches à l'extérieur dont un à Brive (le 4 février). La saison va se jouer là...

« Les joueurs ont les clés du camion pour ces 11 matches qui sont essentiels pour l'avenir du club »

 

 
 
 
 
 

Que s'est-il dit dans les réunions avec votre staff et vos joueurs ?
J'ai vu longuement Patrick Arlettaz dimanche avec Bruno Rolland, mon directeur général, et j'ai voulu qu'il prenne le temps de parler à ses joueurs et qu'on prenne le temps de parler à nos joueurs ensemble. Lundi, on s'est vu avec les leaders de l'équipe et je sors d'une réunion avec tout le groupe, staff et joueurs confondus (mardi après-midi). J'ai pu voir dans quel état d'esprit ils étaient et si la confiance était totale entre les joueurs et le staff.

Les joueurs m'ont assuré, certains m'ont même écrit, qu'ils étaient prêts à attaquer ensemble ces 11 matches et qu'ils allaient se battre. Dont acte. Les joueurs ont les clés du camion pour ces 11 matches qui sont essentiels pour l'avenir du club. Car on doit rester en Top 14. J'ai besoin d'avoir un groupe solidaire, uni. Les joueurs me disent que c'est le cas, donc je leur demande de relever le gant.

Avec une confiance totale pour le staff ?
Je pense même que la confiance entre le staff et les joueurs est renforcée après tous ces échanges. Il est bien de temps en temps de secouer un peu les choses pour que chacun prenne ses responsabilités. Si tout le monde le fait, staff et joueurs, ça me va très très bien. Quand on est en difficulté, ce n'est pas le moment de déstabiliser tout le monde car en général, c'est encore pire après... Il faut montrer qu'on se fait confiance, et je devais être certain que tout le monde était aligné sur cet objectif de donner tout notre possible pour que sur les 11 prochains matches, on en gagne cinq ou six et qu'on se maintienne en Top 14. Maintenant on arrête de discuter, on s'entraîne et on se concentre sur l'objectif.

« Tous les matches qui nous attendent seront un tournant »

 

 
 
 

À quel point la situation sportive vous inquiète ?
Je vous rassure, je suis toujours inquiet, un angoissé permanent. Je ne le suis pas plus aujourd'hui que la saison dernière au même moment. On savait que la saison allait être difficile, elle l'est. Il faut l'accepter sinon il faut faire un autre métier.

Réception du Stade Français, déplacement à Brive, réception de Pau... Est-ce que tout se joue sur les trois prochains matches ?
Tous les matches qui nous attendent seront un tournant. Mais oui, au-delà de ces trois matches, il faudrait faire un quatre sur quatre sur les quatre prochaines rencontres à la maison. Regardez ce qui s'est passé pour Brive, que tout le monde envoyait en Pro D2. Ils ont gagné trois matches consécutifs, ils sont très bien revenus. En trois matches, tout a changé pour eux.

Un retour en Pro D2, ce serait un échec ? Une catastrophe ?
Ni un échec ni une catastrophe. On l'a déjà vécu deux fois et les deux fois on est revenus en Top 14. Mais ce serait indubitablement un frein, un ralentissement. On a un programme de mise aux normes d'Aimé-Giral, un projet de nouveau centre d'entraînement, de formation. Si le sportif ne suit pas, ça ne fait que retarder l'ensemble. Mais cela ne ferait que le retarder, pas le remettre en cause. Cela nous freinerait alors que j'ai besoin au contraire d'un accélérateur de puissance. »

 
 


#915 Alex chocolatines

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Posté 11 janvier 2023 - 23:33

L'accélérateur de puissance ? Faudra déjà remercier le capitaine fracassé qui va mettre son équipe un peu plus dans la mouise  :ermm:






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