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Montpellier Hérault Rugby


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5454 réponses à ce sujet

#4936 Oscar

Oscar

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Posté 27 novembre 2021 - 12:51

Je pense que Vincent aurait raison de prolonger.
Il résiste à la tentation toulousaine (il y a un peu trop de concurrence, à mon sens) et montre une fois de plus qu'il a la tête sur les épaules. Ambitieux et modeste !
La décision de Jaminet de quitter Perpi est plus compréhensible.

#4937 el landeno

el landeno

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Posté 08 décembre 2021 - 20:48

« Je me sens plus libéré » : Philippe Saint-André raconte son rôle d'entraîneur manager Voilà presque un an que l'ex-sélectionneur a repris les commandes de Montpellier, aujourd'hui 3e du Top 14 et vainqueur du Challenge en mai dernier. L'ancien ailier, arrivé dans l'Hérault comme directeur du rugby, a replongé avec succès dans ce quotidien d'entraîneur-manager.

Ce mardi 30 novembre est chargé pour Philippe Saint-André : arrivée au club aux aurores, première réunion avec le staff « à 6h30-7h », entraînement matinal avec le groupe, musculation en début d'après-midi, « trois-quatre entretiens individuels avec des joueurs » puis encore des réunions et notamment la signature de la prolongation de contrat d'Arthur Vincent. Au milieu de tout ça, ''PSA'' nous a accordés près de trente minutes pour revenir sur ce quotidien et ce rôle d'entraîneur-manager dans lequel il s'est replongé en début d'année avec Montpellier, plus de cinq ans après la fin de son mandat de sélectionneur de l'équipe de France. On est loin de l'homme tendu, fatigué, presque accablé qui avait quitté les Bleus un soir de déroute face à la Nouvelle-Zélande en quarts de la Coupe du monde 2015 (62-13).

 
 

« Vous semblez avoir replongé la tête la première dans le rugby à Montpellier, comme emporté par votre passion ?
La passion, je l'ai toujours eue, gamin, joueur, entraîneur, manager. J'étais venu à Montpellier pour un autre poste (il avait été nommé directeur du rugby en mars 2020) mais quand il y a eu des difficultés, Mohed Altrad a décidé de me rapprocher du terrain en se séparant de Xavier (il a remplacé Garbajosa comme entraîneur principal en janvier 2021). Quand il y a le feu à la maison, avant de s'occuper du projet club, il faut d'abord sauver la maison. J'ai pris ce rôle à ma façon.

C'est-à-dire ?
Quand vous êtes manager, il faut s'adapter au contexte, à l'histoire du club, à l'effectif que vous avez, à l'évolution de ce sport, le seul au monde où les règles évoluent en permanence avec l'évolution technique et physique des joueurs. Il faut se réinventer en permanence. L'expérience de sélectionneur m'a servi dans ce domaine. Il y a eu des moments exceptionnels, d'autres beaucoup plus difficiles. Quand je repars comme entraîneur (à Montpellier), ce n'est pas pour faire les choses à moitié.

« Vu qu'on n'avait pas trouvé la personne idoine, je suis resté tout en disant à Mohed qu'il fallait qu'on soit plus nombreux sur le terrain »

 

 
 
 

Mais vous disiez à l'époque que vous partiez pour six mois, pas plus, dans ce rôle d'entraîneur-manager...
En début d'année, on a discuté avec Pierre Mignoni (manager de Lyon) que j'avais entraîné puis qui avait commencé sa carrière d'entraîneur avec moi à Toulon. Ça n'a pas pu se faire. Avec Mohed (Altrad), on a contacté Franck Azéma (qui avait annoncé son départ de Clermont), ça n'a pas pu se faire. Vu l'investissement de tout mon staff sur ces six mois et vu qu'on n'avait pas trouvé la personne idoine, je suis resté tout en disant à Mohed qu'il fallait qu'on soit plus nombreux sur le terrain, d'où les arrivées de Bruce Reihana pour la technique individuelle et le jeu au pied et Alexandre Ruiz (ancien arbitre international) pour les attitudes au contact, zones de ruck et la discipline.

Vous aviez en vous cette flamme pour vous rapprocher du terrain si besoin ?
Quand vous jouez le maintien, il ne faut pas paniquer. Avoir de l'expérience m'a aidé dans ce registre. On a essayé de reconcentrer toutes les générations et toutes les nationalités. Pour s'en sortir, il fallait l'adhésion totale des joueurs. Le contexte était difficile, on perdait, des joueurs savaient qu'ils allaient partir. Et on enchaîne dix victoires d'affilée, on remporte la Challenge Cup, on finit dixièmes. Bref, on s'en sort par nous-mêmes.

« Je demande à mes joueurs, mon staff, d'arriver le matin avec la banane, de prendre du plaisir et de donner du sens à ce qu'ils font »

 

 
 
 

En janvier, vous disiez : ''parfois on tombe dans une routine, on se plaint, moi le premier, alors que l'on fait l'un des meilleurs métiers au monde.'' Ça résume votre pensée vis-à-vis de ce quotidien d'entraîneur ?
C'est ce que je répète souvent aux joueurs en tout cas. Combien de personnes payent pour faire du sport alors qu'eux sont payés pour être des beaux athlètes, costauds ? Pareil pour les entraîneurs, on a la chance de vivre de notre passion. Bien sûr qu'il y a de la pression, que c'est du haut niveau, que les semaines sont plus simples quand vous gagnez mais on est des énormes privilégiés. Je demande à mes joueurs, mon staff, d'arriver le matin avec la banane, de prendre du plaisir et de donner du sens à ce qu'ils font.

Est-ce qu'il y a un côté maso dans ce métier d'entraîneur-manager ?
C'est vrai qu'on s'inflige du stress, de la pression... Mais les staffs sont de plus en plus denses, avec des spécialistes sur des secteurs précis, qui vous apportent une plus-value dans un domaine que vous maîtrisez moins. Aujourd'hui, vous avez face à vous une génération de joueurs qui veulent progresser sur l'aspect technique, stratégique, préparation physique... Il faut les nourrir sinon ils vous prennent pour des nazes. L'Anglo-Saxon, vous pouvez faire du répétitif, ça ne le dérange pas. Le Français, il s'emmerde rapidement, donc il faut sans arrêt amener des choses. C'est la beauté de notre métier.

Le pari de reprendre Montpellier en cours de saison pour sauver le club, vous viviez ça aussi comme un défi personnel ?
Sincèrement non... On est avant-dernier quand je remplace Xavier (Garbajosa), donc ma priorité c'est que tout le monde se remette au boulot. Je ne me voyais pas arriver dans ce club et le faire descendre en Deuxième Division.

Vous avez pensé au pire et aux conséquences pour vous, à titre personnel ?
Non, non. J'étais au jour le jour, à 100 %.

« On prend une branlée contre les Blacks mais j'avais pris ma décision en amont, je faisais un break de deux ans... J'avais besoin de faire autre chose, de réfléchir à mon métier »

 

 
 
 

Après l'équipe de France, est-ce vous imaginiez que c'était la fin de votre carrière d'entraîneur ? Comme sélectionneur oui. Je ne m'interdisais pas de repartir mais il me fallait d'abord un break de deux ans. Il a duré quatre ans, quatre ans et demi (sourire). Au bout de trois, j'ai commencé à avoir envie de nouveau de repartir sur un challenge. Les planètes se sont alignées pour Montpellier.

L'envie est revenue malgré la fin amère avec l'équipe de France...
Ah oui, mais j'avais besoin de couper. Fin de carrière de joueur à Gloucester (en 2000), joueur-entraîneur, directeur de rugby là-bas, Bourgoin, Sale, Toulon, l'équipe de France... Je n'avais jamais coupé et... J'ai senti que... (il ne termine pas ses phrases) On prend une branlée contre les Blacks mais j'avais pris ma décision en amont, je faisais un break de deux ans... J'avais besoin de faire autre chose, de réfléchir à mon métier.

Durant ce break après la Coupe du monde 2015, le rugby est quand même resté bien présent...
Ah oui !. Je travaillais avec SFR, je commentais le Championnat anglais et les matches de l'Angleterre, je bossais sur le Top 14 et l'équipe de France avec la radio (RMC). Je suivais le rugby, je regardais 10-12 matches par semaine. J'ai créé aussi une académie pour la formation des jeunes donc j'allais sur le terrain l'été travailler avec des gamins de 7 à 17 ans, sans l'objectif du résultat. Je suis aussi allé bosser quinze jours en pige avec le Canada.

« Sur la vision du recrutement, de la formation, là, oui, je vois le club sur trois-quatre ans, mais sur ce rôle d'entraîneur, je n'ai pas d'agenda »

 

 
 
 

Ces activités suffisaient-elles à alimenter votre passion pour le rugby ?
Pendant deux-trois ans oui, puis je me suis dit ''tiens, j'ai bien envie de partir sur un dernier challenge'' mais plus dans ce rôle du directeur du rugby, en appoint de l'entraîneur, pour m'occuper du recrutement, de la politique sportive, du centre de formation, des partenariats. Les aléas ont fait que je suis revenu à ce que je faisais au début de ma carrière d'entraîneur (rires).

Qu'est-ce qui vous a le plus manqué dans ces années sans entraîner ?
Je dirais cette euphorie de la victoire, cette osmose dans le vestiaire avec des mecs heureux d'avoir mouillé le maillot ensemble.

Et ce qui vous a le moins manqué ?
La demi-heure avant le match... Je ne suis pas sur le terrain, je ne fais pas l'échauffement, et pendant ces 30 minutes, je me fais chier, je réfléchis à 200 trucs ''est-ce que t'as pensé à ça'', ''est-ce que t'as pas oublié ça'', ''comment on fait s'il y a un blessé ?'', ''comment on va coacher''... C'est une demi-heure de stress horrible. C'est le pire moment de ma semaine.

Combien de temps vous voyez-vous tenir dans ce rôle ?
Honnêtement, je ne sais pas... Il y a eu ces six mois pour sauver le club la saison dernière. Maintenant, je vois les choses sur des blocs. Je me concentre sur ces périodes, sans plus. Sur la vision du recrutement, de la formation, là, oui, je vois le club sur trois-quatre ans mais sur ce rôle d'entraîneur, et c'est peut-être ce qui fait la beauté du truc ce coup-ci, je n'ai pas d'agenda... Je me sens plus libéré. Là, on repart dans un bloc de onze matches et je me plonge dedans. Dans onze semaines, on refera le point (rires). »

 
 

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#4938 Ptolémée

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Posté 02 janvier 2022 - 15:50

signé Altrad .. clip à l'appui 

Rugby : les All Blacks célèbrent l'arrivée de Altrad comme sponsor



#4939 Alex chocolatines

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Posté 02 janvier 2022 - 15:58

Laporte touche une com dans l'affaire ? 



#4940 cocotte 63

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Posté 03 janvier 2022 - 14:03

Lapandry dans le clip! c'est assez émouvant  :rolleyes:  :crying:


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#4941 sud

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Posté 05 janvier 2022 - 16:32

Le MHR est évidement en lice pour recruter le N°9 Coly, ce dernier pourrait signer un contrat avec le MHR et être prêté à M D M jusqu'en 2023 pour continuer son apprentissage.



#4942 TH69

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Posté 27 janvier 2022 - 21:42

Prolongation au MHR

https://www.lequipe....en-2024/1313502

#4943 jm12

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Posté 28 janvier 2022 - 08:19

On peut dire ce que l 'on veut , mais l 'arrivée de Saint -André au MHR a remis semble t-il ce Club sur les rails du bon sens  !

 

La prolongation de Fichten en est l 'illustration dans le genre : "on sait ce que l 'on a ...." un parfum de stabilité , semble enfin apparaître à Montpellier !


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#4944 Ptolémée

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Posté 28 janvier 2022 - 10:55

               NZL Altrad s'affiche sur le nouveau maillot des All Blacks                    



#4945 Lourugby

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Posté 01 février 2022 - 11:13

Léo Coly vient officiellement de s'engager : https://www.rugbyram...693/story.shtml



#4946 kennaugh

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Posté 01 février 2022 - 13:59

Bien curieux de voir ce que ça va donner quand même !



#4947 jm12

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Posté 01 février 2022 - 14:09

Bien curieux de voir ce que ça va donner quand même !

T'inquiètes pas ...le jeune a de sacrés qualités  , même si je suis d'accord que sportivement parlant  il n 'a sans doute pas fait le meilleur choix au de là de celui du "pèse " 

 

Je l aurais plutôt bien vu à La Rochelle Léo Coly !



#4948 Lourugby

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Posté 01 février 2022 - 14:57

A noter que le recrutement de Coly devrait provoquer le départ de Benoit Paillaugue puisqu'il est en fin de contrat contrairement à Aprasidze et Reinach. S'il est actuellement blessé, il faudra suivre ses performances à son retour car le garçon est talentueux, expérimenté et joueur. Ainsi, son profil pourrait intéresser quelques clubs, dont l'ASM, en cas de retour réussi.


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#4949 el landeno

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Posté 04 février 2022 - 07:10

Mohamed Haouas bientôt fixé sur son sort Le procès du pilier droit, suspecté de cinq cambriolages dans des bureaux de tabac entre février et avril 2014, se tient ce vendredi matin au tribunal correctionnel de Montpellier.

Quand la date de son procès, aujourd'hui, a été confirmée, on s'est dit que Mohamed Haouas (27 ans) aurait une bonne excuse pour ne pas se présenter devant le tribunal correctionnel de Montpellier. Le pilier droit serait sans doute avec l'équipe de France en pleine préparation du match des Six Nations face à l'Italie (dimanche, 16 heures).

 
 

Ce ne sera pas le cas. Si le Montpelliérain a bien été convoqué la semaine passée pour le stage des Bleus à Carpiagne (Bouches-du-Rhône), il a été laissé à la disposition de son club et donc de la justice après s'être blessé à une cheville avec le quinze de France. Cette blessure ne l'a pourtant pas empêché de jouer le week-end dernier avec le MHR (victoire à La Rochelle 29-23). Mohamed Haouas sera donc présent à son procès, accompagné de son avocat Marc Gallix.

Avant son ascension fulgurante, de ses débuts professionnels à 23 ans à sa première sélection en équipe de France deux ans plus tard (2020), Mohamed Haouas, qui a commencé le rugby à 15 ans, a fait un passage par la case prison. Quatre jours en juin 2014. Haouas, 19 ans à l'époque des faits, originaire du quartier du Petit-Bard à Montpellier, est soupçonné d'avoir participé à cinq cambriolages entre février et avril 2014 avec deux complices.

Tout a débuté dans la nuit du 14 février 2014 avec une tentative de cambriolage du tabac Les Tilleuls, à Montpellier. Puis, trois jours plus tard, une autre au tabac Pinard Olivier. Rebelote dans la nuit du 19 février au tabac L'Instant Café, à Saint-Gély-du-Fesc, à une vingtaine de minutes au nord de Montpellier. Ce jour-là, une lampe frontale est retrouvée sur les lieux du cambriolage. L'ADN prélevé est identifié comme celui de Mohamed Haouas.

« Le rugby l'a sauvé. Aujourd'hui, il s'est assagi »

Maître Gallix, avocat de Mohamed Haouas

 
 
 

Nouveau cambriolage dans la nuit du 2 mars au tabac La Martelle de Montpellier. Une patrouille anti-criminalité intervient. Un des policiers précise qu'il a été bousculé par « un individu de grande taille, de forte corpulence, qui l'a percuté comme un rugbyman », le faisant chuter à terre, avant de prendre la fuite. Un véhicule est retrouvé sur les lieux de l'infraction. Il est faussement immatriculé et a été dérobé le 6 janvier 2014. Il a servi aux autres cambriolages.

Enfin, le 27 avril, au tabac Les Tonnelles de Montpellier, un cambriolage est constaté à 2 h 20. Vingt-cinq minutes plus tard, un véhicule circulant à grande vitesse tente d'échapper à un contrôle de police. Les occupants prennent la fuite en abandonnant le véhicule. Des traces papillaires (type empreintes digitales ou palmaires) de Mohamed Haouas sont retrouvées.

De plus, à 3 h 40, des images enregistrées par le centre de surveillance urbaine de la ville de Montpellier laissent apparaître quatre individus, enjambant des clôtures. Haouas est identifié. Il est finalement interpellé et placé en garde à vue le 10 juin 2014. Il est mis en examen pour cinq vols aggravés, recel de véhicule et violences volontaires sur personnes dépositaires de l'autorité publique (ITT inférieure à 8 jours).

Le joueur de Montpellier va-t-il repasser par la case prison ? En théorie non. Mais il ne devrait pas échapper à une sanction. La mission de son avocat, maître Gallix, est d'obtenir une peine avec sursis et il souhaite pour cela axer sa défense sur la personnalité de son client. « Les faits sont très anciens, pose-t-il. Malheureusement, "Momo" a grandi dans un quartier difficile, sans père. Finalement, il s'en est sorti, notamment grâce au sport. Il a du mérite. Il a bossé comme un dingue pour arriver jusqu'en équipe de France (13 sélections). Le rugby l'a sauvé. Aujourd'hui, il s'est assagi. Il a même fondé une famille et vient d'avoir un second enfant. C'est un message d'espoir pour les enfants des quartiers sensibles. »

De son côté, le pilier droit appréhende le procès, même s'il s'est entraîné normalement cette semaine. Il sera d'ailleurs titulaire pour la réception de Pau demain (17 heures). « Ça lui pèse, glisse un coéquipier au MHR. Ça commence à être long car le procès a été plusieurs fois repoussé. Il a envie de savoir pour passer à autre chose et avancer. » L'audience débute à 9 heures. Haouas sera fixé d'ici à la fin de matinée.

 


#4950 cocotte 63

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Posté 04 février 2022 - 08:49

8 ans après les faits...

 

On parle (à raison) de la Santé en permanence, mais c'est pas mieux du côté de la Justice !

 

C'est sûr qu'on peut continuer à faire les beaux... par ailleurs !






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