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Aviron Bayonnais


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456 réponses à ce sujet

#271 ZACH

ZACH

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Posté 07 juin 2022 - 22:48

Bayonne a gardé un effectif de qualité malgré la descente

 

Que ces chants sont beaux...  (Elsazoam...  :cartonrouge: )

 

 

Magnifique avec la culture de leur territoire.

Dans cette effervescence, les mecs jouent pas à 15 mais probablement à 16 ou 17 

En revanche pour les suivre aux fêtes de Bayonne, il faut une grosse caisse….très grosse caisse :)


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#272 SEB ASM

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Posté 08 juin 2022 - 11:55

Content de revoir Bayonne en top 14

#273 el landeno

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Posté 14 juillet 2022 - 18:15

L'appel du large pour Yannick Bru, qui va rejoindre la province des Sharks en Afrique du Sud Après quinze années à entraîner dans le giron français (Toulouse, quinze de France et Bayonne), Yannick Bru a décidé de rejoindre le staff des Sharks, franchise sud-africaine notamment intégrée à la Coupe d'Europe la saison prochaine. Pour changer d'air mais pas que...

Il décolle demain vers Durban et une nouvelle aventure dans le staff des Sharks, dont la reprise a été fixée lundi. Yannick Bru (49 ans) va y rester une dizaine de jours avant de rentrer en France. Il retournera en Afrique du Sud à la mi-août. Ainsi se profile son nouveau planning avec des périodes de cinq à huit semaines au bord de l'Océan indien et d'autres en Europe où les Sharks vont passer quasiment deux mois en cumulé pour participer à l'URC (United Rugby Championship, ex-Ligue Celte) et à la Coupe d'Europe, que le pays des Springboks intègre cette année.

 
 

L'ancien talonneur a signé un contrat d'un an, comme « entraîneur du jeu au sol pour les compétitions européennes » selon le communiqué officiel. Sa mission sera dans les faits bien plus large et devrait aller au-delà d'une saison.

« Il va évidemment travailler sur le jeu d'avants, les rucks, la conquête, précise Eduard Coetzee, le président des Sharks qui a noué une profonde amitié avec Bru après s'y être frotté, numéro 1 dans le dos, sous le maillot de Bayonne puis de Biarritz sur la fin de carrière du talonneur toulousain. Mais on compte aussi sur lui pour amener son expérience du rugby européen, pour appréhender les nouvelles échéances qui nous attendent. Il sera aussi un précieux soutien pour notre nouveau directeur du rugby Neil Powell, qui a piloté pendant huit ans le programme du 7 en Afrique du Sud et découvre ce rôle à 15. Ils peuvent travailler ensemble, ça fera un joli mix je pense. »

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Eduard Coetzee a porté les couleurs de Bayonne de 2005 à 2007 et de Biarritz entre 2007 et 2011. (M. Francotte/L'Équipe)

« Je m'en suis toujours voulu, après ma carrière de joueur, de ne pas m'être mis en danger en partant à l'étranger. J'ai 49 ans donc si je ne le fais pas maintenant, je ne le ferai jamais. »

Yannick Bru

 
 
 

Yannick Bru va travailler dans un staff sous l'égide du Sud-Africain Sean Everitt, avec Warren Whiteley (touche et défense), Phiwe Nomlomo (skills), l'Irlandais Noel McNamara (attaque) et le Géorgien Akvsenti Girogadze (mêlée). Le nom de ce dernier, qui travaille aux Sharks depuis un an, avait d'ailleurs été glissé à Eduard Coetzee par Bru après avoir travaillé avec le Géorgien dans le staff de l'équipe de France.

« Un joli coup », sourit dans un Français impeccable le président des Sharks, qui utilise d'ailleurs les mêmes termes quand on lui évoque l'arrivée de Bru. Il développe : « Ça faisait plusieurs années que je lui parlais de ce projet et le timing a fini par être bon pour lui et pour nous qui allons découvrir la Coupe d'Europe. Après ses quatre années à Bayonne, il avait besoin de couper un peu de cette pression d'entraîneur en chef et de changer d'environnement. »

Le principal intéressé confirme, lui qui a entraîné dès la fin de sa carrière de joueur, comme adjoint à Toulouse (2007-2012), en équipe de France (2012-2017) puis manager à Bayonne (2018-2022) : « Je m'en suis toujours voulu après ma carrière de joueur de ne pas m'être mis en danger en partant à l'étranger. J'ai 49 ans donc si je ne le fais pas maintenant, je ne le ferai jamais. Après avoir travaillé quatorze ans en France dans des projets différents, il fallait un peu changer le décor. »

Il quitte Bayonne apaisé

La remontée de Bayonne en Top 14 assurée, il dit quitter l'Aviron « apaisé », un an après « le désastre de la fin de saison dernière » et cette relégation actée à l'issue d'un barrage à la limite de la fiction à Biarritz (6-6, 6-5 aux tirs au but). Des divergences de vue avec la direction sur le projet structurel de Bayonne et une forme de lassitude ont acté cette nouvelle tournure dans sa carrière d'entraîneur.

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Yannick Bru. (N. Luttiau/L'Équipe)

« Changer de rôle, c'était aussi un souhait pour retrouver de la fraîcheur et de l'énergie, poursuit Bru. Quatre ans dans un club en plein développement qui joue le maintien ou la montée, c'est une machine à laver ! Je n'avais plus l'énergie à court terme de réécrire une histoire. » En France, les approches de Montpellier et Clermont n'ont pas été poussées bien loin alors que l'énième relance d'Eduard Coetzee a fait tilt.

Également proche de Daan Human, ancien coéquipier et « entraîné » à Toulouse qui travaille aujourd'hui dans le staff des Springoks, Yannick Bru poursuit là une histoire avec l'Afrique du Sud et des Sharks qu'il a déjà fréquentée sur quelques piges, notamment avec l'académie en 2018. Des échanges de joueurs entre Bayonne et la franchise de Durban étaient également fréquents ces dernières années.

« Yannick va nous apporter son regard sur un rugby où le jeu d'avants et la conquête prennent plus de place qu'en Super Rugby

Eduard Coetzee, le président des Sharks

 
 
 

« J'aime bien la culture, le pays et il y avait une vraie attraction pour un projet professionnel là-bas » en parallèle de recherches poussées que Bru mène sur la réalité virtuelle et la gestion des datas dans le rugby : « Je vais aussi découvrir un nouveau système avec l'URC qu'il faut débuter sans des internationaux qui ne reviennent qu'en décembre, justement pour les deux premiers matches de Coupe d'Europe (contre l'UBB et les Harlequins). Ce sont des problématiques qu'il m'intéresse de découvrir ainsi que la façon d'appréhender les matches avec l'état d'esprit sud-africain. »

En retour, Eduard Coetzee attend beaucoup de l'expérience de Yannick Bru qui en connaît un rayon sur l'épineuse gestion des doublons et, en bon toulousain, a une sacrée histoire personnelle avec la Coupe d'Europe, remportée comme joueur (2003, 2005) puis comme entraîneur en 2010 après une finale gagnée contre le Biarritz Olympique d'Eduard Coetzee (21-19).

« Yannick va nous apporter son regard sur un rugby où le jeu d'avants et la conquête prennent plus de place qu'en Super Rugby, explique Coetzee. On a beaucoup progressé l'an dernier en URC dans ces secteurs mais on continue de mettre l'accent dessus car c'est devant que ça commence. » Avec les Bongi Mbonambi, Ox Nche, Eben Etzebeth et autres Siya Kolisi sous la main une fois la saison internationale des Springboks terminée, Yannick Bru sera sacrément outillé pour mener cette nouvelle mission.

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Les Sud-Africains Siya Kolisi (premier en partant de la gauche) ou Eben Etzebeth (cinquième en partant de la gauche) retrouveront Yannick Bru dans leur encadrement. (P. Lahalle/L'Équipe)

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#274 Buckaroo

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Posté 14 juillet 2022 - 19:10

De mon point de vue, c'est une excellente décision que prend Bru. Content pour lui. C'est, je pense, un très bon entraîneur.


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#275 xdderf63

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Posté 14 juillet 2022 - 19:30

De mon point de vue, c'est une excellente décision que prend Bru. Content pour lui. C'est, je pense, un très bon entraîneur.


Ce sera une bonne formation avant de prendre en main Clermont...
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#276 casquette

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Posté 16 juillet 2022 - 13:04

Ce sera une bonne formation avant de prendre en main Clermont...

je me suis dit la même chose

#277 el landeno

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Posté 27 juillet 2022 - 20:54

De nouveau en Top 14, l'Aviron Bayonnais change de moteur Vainqueur de la finale de Pro D2 début juin et donc promu en Top 14, l'Aviron Bayonnais inaugurera cette saison l'intégralité de ses nouvelles infrastructures. Un projet qui doit lui permettre de générer de nouveaux revenus et de le pérenniser au plus haut niveau.

Le guide de survie à destination du rugby professionnel décrit autant de stratégies qu'il réside de pensionnaires en première et deuxième divisions : tondre un mécène, ratisser le tissu économique local, aspirer les droits audiovisuels en serrant la ceinture du salary cap, absorber un maximum de recettes les jours de match. Et, idéalement, tout à la fois.

 
 

Depuis plusieurs années, encore plus après la crise Covid-19, des clubs de Top 14 et de Pro D2 tentent de développer des sources de revenus moins aléatoires que la seule exploitation relative aux performances de l'équipe de première.

Après une saison passée à l'étage inférieur, l'Aviron Bayonnais va étoffer son PEL entre l'effort supplémentaire des partenaires et les rentrées liées à la seule montée en Top 14. Son président, Philippe Tayeb, estime pourtant que son enveloppe annuelle devra encore grossir afin que les Basques prennent enfin racine dans l'élite : « Aujourd'hui, notre budget prévisionnel est de 21,5 M€ (il était à 14,9 M€ la saison dernière en Pro D2). Il faut que l'on vise les 25 à 26 M€ dans trois ou quatre ans pour se rapprocher le plus possible du salary cap. Castres a terminé premier de la phase régulière et finaliste du Top 14 en n'étant pas au plafond de la masse salariale. Pierre-Yves Revol a trente ans de présidence. Les clubs qui pointent le bout du nez ont une gouvernance stable et de l'expérience. »

Deux montées et une descente en trois saisons

Le dirigeant évoque aussi le Stade Rochelais, ou le Racing 92, des modèles de vertu économique, dit-on dans le milieu : « L'économie que nous sommes en train de construire, je l'espère, nous permettra de franchir cette première marche du maintien en Top 14. Puis, nous évoluerons tous les jours. Nous avons pour objectif de garder nos meilleurs jeunes, et pour cela il faut être en Top 14. Nous voulons aussi faire revenir nos Bayonnais d'expérience », espère encore celui qui a déjà connu deux montées (2019, 2022) et une descente (2021) et une 9e place en 2020 lors de la saison tronquée à cause du Covid-19.

« Je cite aussi très souvent La Rochelle en référence. Déjà parce que j'aime beaucoup Vincent (Merling, le président). Je ne resterai pas trente ans président comme lui (rires) mais c'est un modèle à suivre. J'ai connu son club en tant que joueur en 1992-1993. Tous les ans, ils ont bâti. Bien sûr, Bayonne est sulfureux et nous devons toujours rester prudents. Mais avec tout ce que l'on a fait depuis quatre ans, il faut aussi laisser grandir cette équipe. Cela nous permettra de construire cette économie à côté du sportif. »

« L'idée était de faire de Jean-Dauger un lieu de vie à Bayonne, un épicentre de la communauté au sens large

Alexandre Aubert, directeur général de Bayonne

 
 
 


Conscient de ses faiblesses, l'état-major basque a profité que le sport se mette entre parenthèses de mars à septembre 2020 pour potasser son modèle d'autosuffisance financière. Un projet impliquant un gros lifting du plateau de Jean-Dauger à coups de bétonnières, grues et bataillons d'ouvriers. La grande plaine accidentée et ouverte aux vents atlantiques s'est meublée en dur. Les impérissables préfabriqués qui abritaient notamment les bureaux des entraîneurs prendront la direction des recycleries en septembre.

Le chantier est copieux à l'échelle de la ville, symbolisé par une capacité du stade portée à 14 000 places assises et couvertes et étrennées lors de la 2e journée de Top 14, face au Racing 92, le 10 septembre. La moelle épinière d'un projet plus vaste qui doit encore accoucher d'un centre d'entraînement de pointe, un parking visant à desservir notamment l'hôpital voisin et une passerelle reliant en trois minutes à pied le coeur de la ville, pour un complexe dont la vocation ne sera plus exclusivement sportive.

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Les travaux du centre d'entraînement de l'Aviron Bayonnais durent depuis de longues semaines. Il sera livré lors de la deuxième partie du mois d'août et sera fonctionnel en novembre. (R. Perrocheau/L'Équipe)

« Nous sommes heureux parce que c'est un projet que nous nourrissons depuis quatre ans, notamment via des actionnaires locaux, des familles qui ont travaillé dur et permis de le concrétiser, décrit le président Tayeb. Nous sommes une entreprise de spectacle et j'ai impulsé le fait entrepreneurial parce que les clubs doivent grandir dans ce sens. Nous avons une économie réelle à Bayonne. Nous n'avons pas de gros sponsors à 4 M€. Nous sommes un club populaire donc tout le monde participe au projet : abonnés, spectateurs, partenaires, actionnaires... c'est notre force. »

Au jour 1 du premier confinement, il n'y avait rien, ou pas grand-chose, sinon l'un des stades les mieux situés du rugby français, en plein coeur de la ville. « Tout est parti d'une feuille blanche », se souvient Alexandre Aubert, directeur général du club. Les financiers à leur calculette, les architectes à leur planche à dessin et cette vision de construire un club dont l'objet et l'existence ne seraient plus suspendus aux résultats sportifs.

« L'idée était de faire de Jean-Dauger un lieu de vie à Bayonne, un épicentre de la communauté au sens large pour des gens qui ne sont pas forcément assidus. Et puis, de par la centralité du lieu, avoir un espace où venir la semaine autant pour se divertir que faire du sport, se restaurer, trouver des loisirs pour les enfants et, je l'espère rapidement, se soigner, assister à des spectacles. » Offrir des services divers, inattendus dans une enceinte sportive, les jours de rencontre bien sûr, mais qui s'animent surtout hors des week-ends de Championnat.

L'AB Campus, livraison prévue dans le courant du mois d'août

« Il faut essayer de se rendre incontournable tous les jours », explique Aubert, sans pour autant rompre avec une partie de la population viscéralement attachée à son Aviron : « Nous restons un club populaire. Il faut en parallèle entretenir sa manière de vivre tout en s'intégrant dans un paysage global. »

À tous les niveaux de l'institution, les méninges ont fumé, certains sont allés jusqu'à fouiller dans des boîtes à idées voisines, comme celle du club de basket espagnol Baskonia Vitoria (Liga et Euroligue). Contraint par des résultats en berne, proche du dépôt de bilan, celui-ci a chamboulé son modèle et repensé l'utilité de son arena : « Ils ont concentré les choses pour s'appuyer sur leur identité mais en proposant une multitude d'activités diverses : du sport, du loisir, de la restauration. Qu'il y en ait pour tous les usages de la communauté », détaille le DG.

La diversification d'activités se fait tous azimuts. L'AB Campus, l'outil des professionnels avec self, salle de musculation et de cours plus une cellule de reconversion, situé derrière la tribune d'honneur, sera livré dans la deuxième quinzaine du mois d'août. Il sera fonctionnel en novembre avec d'autres espaces dédiés aux féminines et au secteur associatif. La restauration marche déjà, le pôle médical, qui sera piloté par le médecin du club, ressemblera à un genre de CERS miniature ouvert au public et aux sportifs d'autres disciplines.

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Les Bayonnais de Jean Monribot et Denis Marchois ont été promus en Top 14 après être devenus champions de France de Pro D2, en battant Mont-de-Marsan à Montpellier. (E. Garnier/L'Équipe)

Un premier festival de musique, d'une durée de trois jours, est déjà annoncé pour la deuxième moitié de juin 2023. « On espère créer d'ici trois ou quatre ans une trentaine d'emplois supplémentaires, soit 130 à 135 », conclut Tayeb. Un autre moyen de s'ancrer dans la cité pour un patron déjà comblé par le renouvellement à 90 % de ses abonnements (4 200). Il vise même les 6 000 pour le retour en Top 14 dans cet écrin tout neuf. L'autre pan de l'histoire, lui, appartient au terrain.



#278 Binche63

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Posté 24 août 2022 - 11:30

https://www.lefigaro...irmier-20220824

Allez Allez les Bleu et Blanc.

#279 Good Shvili

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Posté 24 août 2022 - 11:32

https://www.lefigaro...irmier-20220824

Allez Allez les Bleu et Blanc.

 

il l’a pas raté, il l’a pas raté, il l’a il l’a il l’a pas raté



#280 Alex chocolatines

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Posté 24 août 2022 - 12:19

Ce sera une bonne formation avant de prendre en main Clermont...

ça va pas recommencer ?   :D



#281 modeste

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Posté 25 août 2022 - 07:23

J'espère que Lopez n'était pas de la fête 



#282 twiX

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Posté 25 août 2022 - 07:28

J'espère que Lopez n'était pas de la fête 

D'après l'article tous les abrutis on été identifiés



#283 63manu

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Posté 25 août 2022 - 07:51

Et tu chantes, chantes, chantes ce refrain qui te plaît
Et tu tapes, tapes, tapes, c'est ta façon d'aimer
Ce rythme qui t'entraîne jusqu'au bout de la nuit
Réveille en toi le tourbillon d'un vent de folie

#284 Guest_Laduree_*

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Posté 25 août 2022 - 09:51

D'après l'article tous les abrutis on été identifiés

 

Il s'agit d'Antoine Battut.



#285 Gourine63

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Posté 25 août 2022 - 09:56

D'après l'article tous les abrutis on été identifiés


Je pensais pas RCV capable d'une telle chose...
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