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Union Bordeaux-Bègles


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#976 inASMweTrust

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Posté 18 février 2020 - 18:02

c’est quand même pas le profil d’un Radradra. 
de toute façon, les dés sont jetés, on verra bien.

on a déjà eu pas mal de déceptions avec les stars du sud,  Ashley Cooper, Nabuli..

Pour suivre le SuperRugby, c'est un mec hyper régulier, gros finisseur. Je le vois comme un "2e choix" (au sens où c'est pas un mec qui a pu avoir une carrière internationale), mais avec tout l'attirail du NZ. Un peu à la Moala, quoi et je vous souhaite la même réussite ! Gros physique en tout cas, ce qui est une garantie supplémentaire d'adaptation au rugby européen. 


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#977 le radis

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Posté 25 février 2020 - 19:35

Selon le MIDOL de lundi dernier, N Hulleu, 20 ans, ailier de Grenoble, se serait engagé pour 3 saisons.



#978 le radis

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Posté 11 mars 2020 - 20:01

On va être champion ! :w00t:


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#979 jm12

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Posté 13 mars 2020 - 07:44

On va être champion ! :w00t:

On vous le souhaite mais faîtes gaffe la phase  éliminatoire , c'est un autre championnat qui débute  très différent...et à  mon sens vous manquez d'expérience...déjà que même avec...on se plante aussi... :D

 

Le seul paramètre d'importance qui peut vous aider c 'est maître Urios et  pas un des moindres.



#980 George Abitbol

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Posté 13 mars 2020 - 10:11

Bon année annulée, on garde les mêmes en top 14 et en coupes d'Europe.

 

C'est con pour l'UBB. :P



#981 jm12

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Posté 13 mars 2020 - 10:27

Bon année annulée, on garde les mêmes en top 14 et en coupes d'Europe.

 

C'est con pour l'UBB. :P

C 'est con pour tout le monde à commencer pour ceux qui sont contaminés !

 

Après l 'épiphénomène sportif,  gardons le à sa vraie place !

 

Par contre en second lieu les conséquences économiques, là ça va pas être la même limonade non plus et pour ce qui concerne les clubs de rugby , ça risque de faire mal….4 matchs dont 3 à domicile pour l 'ASM c 'est selon De Cro 3.5 millions de pertes en recettes...ouaff, ça flingue là ! et là , on parle de 4 matchs.à huis clos...fin de saison sans recettes, ça sent pas bon !  Gageons que le diffuseur Canal+ ne l 'entendra pas de cette oreille et va peser de tout son poids sur la LNR, sauf si la mesure est gouvernementale.

 

On verra ce que décide la LNR puisqu'une réunion extraordinaire est prévue à 14 h...à voir !



#982 le radis

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Posté 13 mars 2020 - 21:46

On est les champions, on est les champions, on est les champions, on est les champions ! :crying: :crying: 

:w00t: :w00t:


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#983 RCV06

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Posté 13 mars 2020 - 22:08

On est les champions, on est les champions, on est les champions, on est les champions ! :crying: :crying:

:w00t: :w00t:

Ou pas B)


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#984 Bart Simpson

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Posté 05 avril 2020 - 22:19

Je savais pas où placer ça mais ceux qui ont instagram

Les conneries du Ducuing qui a pris le compte de l'UBB tout le we sont vraiment énormes.
Avec son pote Dubié c'est du high level dans le connerie.

#985 el landeno

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Posté 06 avril 2020 - 21:16

La saga des « Béglais », de Musard à Marcoussis (1/3) : 1987-1991, la naissance d'un lien entre Bernard Laporte et Serge Simon La folle aventure du CABBG, couronnée du titre de champion de France, en 1991, a réuni les trajectoires de Bernard Laporte et de Serge Simon.

Quand, le samedi 1er juin 1991, Serge Simon, Vincent Moscato et Philippe Gimbert, agrippés par le maillot, pénètrent groupés sur la pelouse du Parc des Princes, ils ne savent pas encore qu'une première boucle, ouverte quatre ans plus tôt, se referme. Commencée sur le terrain annexe du stade de Musard, quartier ouvrier de la banlieue bordelaise. Serge Simon n'a pas oublié : « Au tout début de juillet 1987, en provenance directe de Nice, j'arrive à Bègles pour le premier entraînement et là, stupeur, je découvre un centre aéré... »

Une flopée d'étudiants dispute un match à toucher sur le terrain annexe. « Je demande où s'entraîne l'équipe première et on me répond : c'est là ! Je voyais bien qu'il était impossible que certains de ces types jouent en Première Division. » Il n'est pas au bout de ses surprises. « On nous explique que les vrais entraînements commencent après les fêtes de la Madeleine (à Mont-de-Marsan), de Bayonne, de Dax... » Simon et ses deux copains venus de Nice, décontenancés, s'en retournent vers le parking pour rebrousser chemin. « On a quand même été retenus par la chemise », sourit Simon.

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Bernard Laporte avec Vincent Moscato (à gauche), Laurent Vergé (au centre) et Serge Simon (à droite). (De Martignac/L'Équipe)

Cet effectif, pour moitié issu de l'école béglaise et pour moitié composé de recrues - au moins vingt-cinq dont Bernard Laporte, vaste renouvellement voulu par le président André Moga, ancien grand ponte de la FFR - n'a rien d'une équipe. « Je n'imaginais pas rejouer, avoue Bernard Laporte, victime d'un grave accident de la circulation en revenant de la base militaire d'Hourtin. Deux ans après, André Moga est revenu me chercher. Sa confiance m'a touché, j'étais flatté, mais je ne pensais pas m'épanouir sportivement : je pensais plutôt à ma situation sociale et à sa promesse, tenue, de me trouver un boulot à l'EDF. »

Si Christophe Reigt, enfant du CABBG et actuel manager de l'équipe de France à 7 masculine, s'émancipe alors à Marmande, Sébastien Conchy, directeur général de la FFR depuis l'élection de Laporte, évolue à l'époque en Nationale B. « Je regardais la Première de loin, sauf pendant les séances d'opposition en semaine. J'avais 20 ans et j'ai intégré le groupe, lâche ce dernier. Troisième-ligne besogneux, je courais comme un chien fou et je plaquais à tire-larigot. »

Ce sacre à venir n'aurait pas été possible non plus sans Yves Appriou - « prof de gym mais ancien seconde-ligne rugueux, mélange riche qui couvre la pédagogie et l'amour du combat », assure Serge Simon. Breton de Brest, spécialiste du lancer de poids, Yves Appriou termine son professorat de sports à Bordeaux et découvre le rugby au moment d'évoluer comme deuxième-ligne au CA Bègles en 1968.

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Serge Simon (ci-dessus, à gauche) au côté de son entraîneur Yves Appriou, le soir de la victoire béglaise contre Toulouse au Parc des Princes. (Legros/L'Équipe)

Cinq ans plus tard, il rejoint Salles, en Gironde, pendant seize saisons. Entraîneur-joueur, il ajoute à ses références théoriques une connaissance approfondie de la préparation physique et mentale. « Bègles était au plus mal. En janvier 1987, André Moga m'a sollicité pour entraîner », raconte Appriou, qui participe alors au recrutement.

Troisième-ligne aile sans avenir, Serge Simon monte pilier gauche tandis que Bernard Laporte, sans concurrence réelle à la mêlée, prend match après match l'ascendant sur les avants. « Nous avions tous le même âge et les mêmes centres d'intérêt. Mais sur le plan du jeu, nous étions une équipe très moyenne, avoue Sébastien Conchy. En 1989, lors du huitième de finale aller, nous avons encaissé quarante points (3-47) à la maison contre Toulouse. » Un électrochoc. « On s'est dit qu'il n'était pas possible d'être aussi catastrophiques... »

« Quand Bernard Laporte nous dit après une lourde défaite :
"On sera champions de France !", tu peux prendre ça pour de la folie. Mais il a deux qualités fondamentales. La première, c'est qu'il n'a peur de rien, ce qui peut être un défaut parfois. Et la deuxième, c'est qu'il te convainc que ce que tu pensais impossible est possible. »

Serge Simon

 
 
 


Le Tarnais Vincent Moscato - recommandé par Bernard Laporte - et Philippe Gimbert - qui sort de six mois de suspension avec Biarritz - sont associés en première ligne avec Serge Simon. « À l'issue de la première saison, Yves a choisi l'axe du combat. C'est pour ça aussi qu'il m'avait fait monter en première ligne, sourit Simon. L'objectif, c'était de ne pas se faire marcher sur les pieds. C'était restrictif mais on avait une équipe structurée autour d'une idée à laquelle tout le monde adhérait. » Le vendredi soir, les joueurs se retrouvent au club-house de Musard, un rituel « qui finissait dans le rire généralisé, se souvient Conchy. Nos liens sont vite devenus forts ».

L'emprise de Bernard Laporte est désormais marquée sur ce « groupe d'hommes de caractère, ambitieux, passionnés de rugby. Le demi de mêlée resserre tout le monde, il doit fédérer. Je donnais aux avants toute ma passion, toute mon envie, des contenus de jeu, et eux ils me protégeaient », souligne l'actuel président de la FFR.

« Bernard était le centre de tout, ajoute Serge Simon, son factotum. Nous avions les gros bras mais c'est lui qui nous a validés. Et non l'inverse. Quand il nous dit après une lourde défaite : "On sera champions de France !", tu peux prendre ça pour de la folie. Mais il a deux qualités fondamentales qui ont présidé à cette aventure. La première, c'est qu'il n'a peur de rien, ce qui peut être un défaut parfois. Et la deuxième qualité, encore plus importante, c'est qu'il te convainc que ce que tu pensais impossible est possible. »

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Serge Simon en compagnie de Vincent Moscato et de son futur patron à la Fédération, Bernard Laporte. (L'Équipe)

Sur le terrain, Bernard Laporte tente l'amalgame de ses deux modèles « diamétralement opposés : Jacques Fouroux et Richard Astre ». « Jacques, que je connaissais, avait un côté patron, mais quand j'étais gamin, après les matches du Tournoi, j'allais dans le champ en face de chez moi taper des drops et je me prenais pour Richard Astre. »

À l'issue de la saison 1989-1990, Bègles s'incline de quatre points devant Montferrand en huitièmes de finale aller et retour. « On était passés de rien à un peu de considération, assure Simon. Notre mêlée était rugueuse, nous ne reculions pas, les adversaires commençaient à parler de nous. »

Pour autant, cette phalange n'est pas encore mûre. Alors elle redouble de travail. « Nous étions pour la plupart étudiants et donc sans contraintes horaires, avec la possibilité de s'entraîner davantage. On a mis en place des séances par petits groupes entre midi et 14 heures », raconte Christophe Reigt, revenu au club en septembre 1989. Le Dacquois Marc Sallefranque débarque à Musard un an plus tard. « L'équipe était déjà en marche, constate l'arrière international. J'ai trouvé qu'ils étaient très pro. Ils s'entraînaient tous les jours, comme des bêtes. Et ceux qui étaient un peu branleurs, comme moi, ils ne leur faisaient pas de cadeaux. Ils m'ont mis quatre mois au placard. »

« Il y a eu rupture entre Bernard, Serge, Vincent et les autres. Ils avaient une emprise terrible sur tout le monde. Ils voulaient tout changer au sein du club : diriger, entraîner, jouer
et même recruter »

Marc Sallefranque

 
 
 

Soudés autour de leur « tortue », ballon porté qui avance systématiquement de vingt mètres, les Béglais explosent Toulon en huitièmes de finale aller et retour, surclassent Tarbes en quarts, battent Béziers (13-12) en demies et affrontent Toulouse au Parc des Princes. Ils dominent cette finale sans partage (19-10), tout un symbole, et soulèvent le bouclier de Brennus. Un sacre aussi implacable qu'inattendu. « Nous sommes devenus champions de France en pratiquant un jeu de minimes, tempère Yves Appriou. À l'exception de la finale. » Plusieurs actions d'envergure illustrent son propos. « Ce qui montre bien qu'on avait le potentiel pour aller plus loin dans le jeu », lâche le coach.

« Villepreux et Skrela, les entraîneurs de Toulouse, étaient désespérés par ce qu'on faisait du rugby, ajoute Simon. Pour nous, les joueurs étaient plus importants que le système. Eux disaient que non. Nous, c'est la force des hommes et du lien qui a tout emporté. » Sans pour autant laisser un héritage. « Dans cet instant béglais, il n'y a pas de message, répond Simon. Seulement une aventure humaine égoïste, autocentrée, insolente. Avec des côtés positifs très intéressants. Mais à partir du moment où tu étais à l'extérieur, c'était désagréable. Il n'y avait pas de message. En tout cas, il n'y avait pas de volonté d'en transmettre un. »

Ce qui faisait la force des Béglais causera leur perte. « Tout s'est arrêté alors que nous pouvions envisager quatre saisons de domination », regrette aujourd'hui Yves Appriou. Après la tournée de juillet du quinze de France aux États-Unis, à laquelle sont convoqués les Rapetous et qui se termine en bataille rangée, Serge Simon et Vincent Moscato refuseront de participer fin août, à Font-Romeu, au stage de préparation à la Coupe du monde 1991. Ironie que viendra souligner a posteriori l'étonnant parcours des Béglais de Musard à Marcoussis quand, seize ans plus tard Simon, élu fédéral, deviendra manager des équipes de France...

« Avec la surmédiatisation de notre titre autour de trois personnalités hors du commun - Bernard, Vincent et Serge -, c'était obligé que ça explose »

Sébastien Conchy

 
 
 

Avec le recul, les raisons de la rupture sautent aux yeux. « Avec la surmédiatisation de notre titre autour de trois personnalités hors du commun - Bernard, Vincent et Serge -, c'était obligé que ça explose », assure Sébastien Conchy. « Il y a eu rupture entre Bernard, Serge, Vincent et les autres. Ils avaient une emprise terrible sur tout le monde. Ils voulaient tout changer au sein du club : diriger, entraîner, jouer et même recruter », décrypte Marc Sallefranque.

« Une fois le titre remporté, l'objectif atteint, s'inscrire dans la continuité n'entrait pas dans le cadre », ajoute Christophe Reigt, qui filera vers Lourdes. Le décès du Commandeur, André Moga, en décembre 1992, accélérera ce basculement. « Il y avait une volonté d'émancipation de la part de Bernard et d'autres. Ils avaient plein d'idées pour un club qui n'était pas structuré, mais ils étaient ingérables. Il a fallu trancher dans le vif », précise Alban Moga, revenu aux commandes du club avec ses frères Michel et Alain.

« Il y avait une fracture au sein de l'équipe : soit on perdait Bernard, Vincent et Serge, soit on perdait une quinzaine d'autres joueurs... Avec le recul, conclut Moga, désormais membre du comité directeur de la Fédération, ça a été un mal pour un bien parce qu'ainsi ils ont pu voler de leurs propres ailes, rencontrer d'autres personnes, se façonner. » Un rebond qui commence au SBUC, chez le voisin. Mais ceci est une autre histoire.

Le secret de la tortue
Entre 1990 et 1992, le pack girondin a littéralement pulvérisé ses adversaires en abusant de ballons portés, action de jeu collective entre avants que les Béglais avaient baptisée « la tortue », allusion aux légions romaines.
« Les théories de René Deleplace sur le jeu de mouvement et le jeu complet, c'est superbe, assure l'entraîneur béglais Yves Appriou, élevé à cette mamelle, mais il faut parfois être terre à terre et utiliser ses propres forces. Et surtout contrecarrer les forces de l'adversaire. À l'époque, nos adversaires, Agen, Toulouse et aussi Clermont, utilisaient beaucoup le modèle deleplacien. Jeune entraîneur, j'avais été aussi profondément marqué par la période biterroise (dix titres entre 1971 et 1984). Alors, dans nos préparations physiques et mentales en période de récupération, j'avais imaginé des exercices où les avants se liaient les uns aux autres dans ce qui s'apparentait à un ballon porté. Parce que ces gros individualistes, il fallait d'une manière ou d'une autre les associer », sourit Appriou. Ainsi prit naissance dans l'anonymat d'un gymnase chaque lundi soir d'hiver la fameuse tortue qui construira, de Musard à la Porte de Saint-Cloud en passant par Mayol, la légende des Béglais cuvée 1991. R. E.

 



#986 Gourine63

Gourine63

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Posté 07 avril 2020 - 00:40

Je préfère manger un pangolin cru au sirop d'érable plutôt que lire un article sur la binocle et le docteur (parce qu'il est docteur figurez-vous).

Sans vouloir t'offenser bien sûr El Landeno. :D
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#987 jm12

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Posté 07 avril 2020 - 06:49

Je préfère manger un pangolin cru au sirop d'érable plutôt que lire un article sur la binocle et le docteur (parce qu'il est docteur figurez-vous).

Sans vouloir t'offenser bien sûr El Landeno. :D

D'ailleurs je confirme que le hérisson est bien meilleur  mais cuit quand même ... ;)


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#988 tix

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Posté 19 avril 2020 - 17:54

Big ben a Bordeaux la saison pro selon le midol

#989 Murena

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Posté 08 mai 2020 - 09:35

Tameifuna ?



#990 frednirom

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Posté 08 mai 2020 - 19:33

Est ce que je vous ai déjà dit que pour moi le beau champion de France 2020 c’est Bordeaux ?




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