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Stade Rochelais


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2322 réponses à ce sujet

#1141 Bart Simpson

Bart Simpson

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Posté 16 octobre 2018 - 17:32

Fin de saison pour Timani (ligaments croisés)

 

Salle année pour lui



#1142 Yosky

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Posté 16 octobre 2018 - 18:27

Ouep .
Bon rétablissement.

#1143 Lourugby

Lourugby

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Posté 16 octobre 2018 - 19:22

C'est vrai qu'il n'a pas été épargné cette saison. Qu'il s'en serve comme tremplin pour rebondir sportivement et progresser mentalement en allant plus loin dans l'exigence. Pour l'ASR, l'effectif reste de qualité en deuxième ligne mais manquera peut-être de profondeur de banc. Demotte a une belle opportunité de montrer qu'il est capable d'évoluer à nouveau à son meilleur niveau. 



#1144 Bart Simpson

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Posté 16 octobre 2018 - 20:32

C'est vrai qu'il n'a pas été épargné cette saison. Qu'il s'en serve comme tremplin pour rebondir sportivement et progresser mentalement en allant plus loin dans l'exigence. Pour l'ASR, l'effectif reste de qualité en deuxième ligne mais manquera peut-être de profondeur de banc. Demotte a une belle opportunité de montrer qu'il est capable d'évoluer à nouveau à son meilleur niveau. 

Je sens plus Thomas Lavault (champion du monde -20) que Demotte ;)



#1145 xdderf63

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Posté 16 octobre 2018 - 21:51

Ca vous fait beaucoup de blessures quand même depuis que vous avez votre complexe entrainement en synthétique... 



#1146 Bart Simpson

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Posté 17 octobre 2018 - 06:47

Ca vous fait beaucoup de blessures quand même depuis que vous avez votre complexe entrainement en synthétique... 

C'est vrai, je suis d'accord ;)

Là il s'est blessé en Sibérie en fin de match :(



#1147 el landeno

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Posté 23 octobre 2018 - 21:29

Les coulisses du divorce entre Patrice Collazo et La Rochelle
Publié le mardi 23 octobre 2018 à 20:29 | Mis à jour le 23/10/2018 à 21:25 par Richard Escot dans l'Equipe
Le manager toulonnais, qui jouera contre son ancien club dimanche à Mayol, a quitté brusquement La Rochelle en mai dernier. Retour sur une séparation aussi douloureuse qu'inévitable.

D'ordinaire, en Top 14, les présidents virent les entraîneurs. Pas à La Rochelle. Après le départ inattendu de Serge Milhas annonçant brusquement - déjà -, avant la première journée de la saison 2010-2011, qu'il partirait, suite à un profond désaccord avec la direction du club, Patrice Collazo, hissé au rang d'homme providentiel, a quitté tout aussi brutalement, le 10 mai dernier, la caravelle rochelaise alors même qu'il avait signé un contrat le laissant à la barre jusqu'en 2022. Ce renouvellement, paraphé en octobre 2017, faisait du manager rochelais l'officieux numéro 2 du club derrière le président Vincent Merling. Ancien pilier international (une sélection, contre la Roumanie, en 2000), joueur voyageur (Toulon, Bordeaux, Paris, Gloucester, Toulouse et le Racing de 1996 et 2009) puis entraîneur des Espoirs du Racing-Métro, Patrice Collazo était entré au Stade Rochelais après le départ fracassant de Serge Milhas, six ans plus tôt.

«C'est un chef de meute, précise un journaliste local en évoquant le Varois. Soit tu marches dans ses pas, soit tu te fais déchiqueter. Il demande un serment d'allégeance.» Au club puis aux Vieux Crampons, le bar de Jean-Pierre Elissalde (ancien demi de mêlée international et entraîneur du Stade Rochelais), dès 7h15 chaque matin après avoir traversé le pont de l'île de Ré où il réside, Collazo passe en revue dans la presse et sur les réseaux sociaux tout ce qui est écrit sur lui, son équipe et son club. Une obsession qui lui permet d'effectuer un tri sélectif parmi les journalistes. Côté vestiaire, outre ses coups de gueule, il fait régner une discipline de fer. Côté staff, ses adjoints restent dans l'ombre : lui seul s'exprime. Validée par la direction du club, le «Collazo show» permet au Stade Rochelais, club de milieu de tableau en Pro D2 à son arrivée, de disputer six ans plus tard une demi-finale de Top 14. Là se situe la source au-dessus de laquelle il faut creuser pour comprendre les raisons d'un divorce aussi brutal qu'inattendu.

SOMMET

La demi-finale du Top 14, la prolongation de contrat

Ce vendredi 26 mai 2017 à Marseille, pensant déstabiliser les Toulonnais, Collazo, coutumier des coups de bluff, change trois fois de composition d'équipe à quelques heures d'intervalle. Certains de ses joueurs sont désarçonnés. Cela fera dire en off à Mourad Boudjellal : «C'est digne d'un entraîneur de Fédérale 11 ou 12...» Lequel président varois engagera Collazo un an plus tard, presque jour pour jour ! En attendant, le Stade Rochelais, réduit à quatorze après un carton rouge récolté par Pierre Aguillon, pousse néanmoins le RCT dans ses derniers retranchements (défaite 18-15 sur un drop de Belleau à la fin). Ce qui pouvait être la consécration de Collazo devient son plafond de verre.

Un mois après cette déception, le vendredi 30 juin 2017, pour le lancement de la nouvelle saison, la grande salle située dans l'espace administratif du stade Marcel-Deflandre bruisse : Xavier Garbajosa s'installe devant les micros. Recruté en 2014 à la demande de Collazo pour s'occuper des exercices techniques, l'ailier international toulousain (32 sélections) est devenu au fil des saisons à la fois stratège et confident des joueurs. Collazo ironise. «Certains se plaignent de ne pas assez l'entendre, alors le voici !», lâche-t-il en se tournant vers son adjoint. En début de saison dernière, les résultats du Stade Rochelais vont crescendo et le club est de nouveau leader du Top 14. Au mois d'octobre 2017, encouragé par un «lien devenu quasi filial» - dixit un membre du club - le président Vincent Merling prolonge Collazo jusqu'en 2022.

25bf5.jpg Patrice Collazo entre ses adjoints, Akvsenti Giorgadze et Xavier Garbajosa, en octobre 2016, au stade Jean-Bouin à Paris. (P. Lahalle/L'Equipe)

PRÉMICES

Mise sur la touche et silence avec la presse

Mais personne, au sein des instances dirigeantes, ne prête attention à deux micro-événements qui annoncent la dégradation à venir. Le 10 décembre, après la victoire face aux Wasps (49-29) à Marcel- Deflandre, Akvsenti Giorgadze, entraîneur adjoint chargé de la touche, jette de dépit son sac dans le vestiaire, désavoué par Collazo qui n'a pas suivi comme prévu ses préconisations (faire entrer le remplaçant Maurouard à la place de Bourgarit). Puis fin décembre, Tawera Kerr-Barlow, arrivé depuis seulement deux semaines à La Rochelle, arrive à l'entraînement avec six minutes de retard. Devant le reste de l'effectif mi-choqué mi-pétrifié, Collazo renvoie sur le champ le demi de mêlée des All Blacks chez lui. Stupeur...

Après la défaite à Bordeaux face à l'UBB, le 23 décembre (29-19), le coach rochelais - qui vit déjà dans un monde clos - décide de ne plus se présenter devant les médias. «Il se dit un paquet de conneries, explique-t-il à Sud-Ouest, listant lui-même quelques vérités. On a tout entendu : l'équipe de France (Garbajosa et Collazo faisaient partie d'une courte liste pour intégrer le staff de Jacques Brunel auprès du quinze de France), la crise, un problème entre les joueurs et le staff, mon management, des remises en cause de certaines compositions, des choix qu'on fait. Il n'y a pas de dictature, mais un cadre.»

Considérant qu'il incarne désormais le Stade Rochelais, Collazo, intransigeant et colérique, décide de tout. Mais pour cela, il faut être présent 7 jours sur 7, 24 heures sur 24. Ce n'est plus le cas. Les hommes ne se gouvernent pas toujours par la raison. Le cadre qu'il a mis en place, Collazo ne le respecte plus lui-même, laissant de grands silences au lieu d'échanger avec ses joueurs, des vides que remplissent Garbajosa et Giorgadze.

SYMBOLES

La fin de l'invincibilité à domicile, la perte du vestiaire

Fin janvier 2018, il a perdu un tiers du vestiaire, principalement Brock James, Tawera Kerr-Barlow, Jean-Charles Orioli, Jérémie Maurouard, Rene Ranger, Vincent Pelo, William Demotte, qui ne jouent pas ou très peu... La décomposition est progressive. Le 25 février, Toulon met fin à une série d'invincibilité de vingt et un matches des Rochelais à domicile (27-20). Une claque qui fait tomber les Maritimes de la troisième à la sixième place. Puis, le 30 mars, La Rochelle se déplace à Llanelli, au pays de Galles, pour disputer le premier quart de finale de Coupe d'Europe de son histoire, une compétition dans laquelle il a étincelé en phase de poule. Mais les Rochelais s'inclinent (29-17).

Ce jour-là, Victor Vito en tête, les Néo-Zélandais qui ont fait le déplacement demandent à Collazo de pouvoir rester à Cardiff pour assister, le lendemain au Millennium, au combat de boxe de leur compatriote Joseph Parker face au Britannique Anthony Joshua. Ils ont leurs billets pour cet événement. Collazo refuse fermement - «On part ensemble, on rentre ensemble». Et perd à cet instant le deuxième tiers de son vestiaire, constitué autour des Néo-Zélandais.

76210.jpg Le 30 mars 2018 au pays de Galles, les Rochelais s'inclinent contre Llanelli en quarts de finale de la Coupe d'Europe. Patrice Collazo et ses joueurs semblent ne plus regarder dans la même direction. (F. Mons/L'Equipe)

CRISE

Les règlements de compte, l'accrochage de trop

Un proche du club remarque que «les coups de pied dans la glacière ou dans la porte, ça impressionne la première fois mais pas la deuxième fois. Surtout les Anglo-Saxons : ils n'ont pas l'habitude d'être managés comme ça. Et puis, Collazo est parfois ailleurs, mais continue de n'écouter personne, ce qui dégrade son discours.» Illusionné, le président Merling découvre alors ce qu'il ne voulait pas voir : une cassure entre Collazo et une partie de ses joueurs, lesquels vont finir par le lâcher...

Le 15 avril, dans un match capital pour se qualifier pour les play-offs, La Rochelle s'incline à domicile face à Castres (26-18). Un désastre. Alors qu'il refuse tout contact avec les médias depuis quatre mois, le coach fait irruption en salle de presse. Il y restera vingt-cinq minutes, soit double ration. «Cela fait des semaines, voire des mois qu'on ne s'entraîne pas bien. Il y a un état d'esprit disparate dans l'équipe. [...] On m'a expliqué beaucoup de choses. Je veux bien qu'on m'explique. Mais quand on le fait, il faut qu'on me montre?!» dit-il, critique envers ses joueurs. Quelques minutes plus tard, il lâche en forme d'épitaphe : «C'est peut-être moi qui ne suis pas assez bon...»

Avant de recevoir le Stade Français lors de la 26e et dernière journée, le Stade Rochelais, tombé de la première à la septième place, cumule sept défaites lors de la phase retour, dont deux à domicile. Collazo l'avouera un peu plus tard devant plusieurs membres de la communauté d'agglomération rochelaise : «J'ai senti que j'avais perdu le vestiaire.» En attendant, la veille du match (vendredi 4 mai), éclate une dispute entre Collazo et Giorgadze au sujet de l'organisation de la touche. Prisonnier de son image, Collazo veut avoir le dernier mot et claque la porte de l'hôtel La Grande Terrasse à Châtelaillon, où réside l'équipe lors de cette mise au vert. Avant cela, il a intimé l'ordre à «Globus» de ne plus se rendre au stade. Puisque Garbajosa est solidaire de son alter ego, Collazo y voit «une alliance», voire une intrigue. Tout se cristallise alors : frustration d'un côté, paranoïa de l'autre. Pour celui qui a observé la scène, «c'est un prétexte pour tout faire péter et se repositionner comme le patron».

a4566.jpg Patrice Collazo en compagnie du président du Stade Rochelais, Vincent Merling, en juillet 2017, à Marcel-Deflandre. (R. Perrocheau/L'Equipe)

FIN

L'impossible cohabitation, l'inéluctable départ

Giorgadze, 64 sélections avec l'équipe nationale de Géorgie, un temps consultant du quinze de France et en charge de la touche rochelaise depuis 2015, est mis à pied par ses dirigeants alors qu'il a prolongé jusqu'en 2021. La direction du club choisit son camp, celui de Collazo. Le lendemain, Midi-Olympique fait état d'un probable départ de Xavier Garbajosa, lui aussi sous contrat jusqu'en 2021. Branle-bas : lundi 7 mai, une réunion de conciliation est organisée dans l'urgence par le président Merling, en présence du directeur général Pierre Venayre et du staff technique. «Cette situation est arrivée brutalement. Nous n'avons pas du tout senti venir le blocage entre nos entraîneurs. Cela nous a surpris», avouera Merling à Sud-Ouest. Comment se fait-il que le président ne sache rien du malaise qui couve depuis au moins six mois ? Jusqu'à quel point a-t-il manqué de lucidité ? «Merling a donné à Collazo les clés du camion jaune et noir les yeux fermés. Quand il les a ouverts et s'est réveillé, il est tombé du lit», explique un journaliste local. À l'issue de cette réunion, la communication du club - via les réseaux sociaux - sonne comme un rappel à l'ordre : «Soutien au staff, qui doit continuer à oeuvrer ensemble.»

Mais s'estimant trahi, «victime de ses humeurs et aussi usé», dira un international rochelais, Collazo ne veut plus de ses adjoints. Le 10 mai, alors que le président Merling tente une nouvelle fois de recoller les morceaux, Collazo lui lance : «Ce sont eux ou moi !» Le président ne peut accéder à cet ultimatum sans perdre la face et son pouvoir au sein du club. Le départ de Collazo est acté, ses adjoints resteront. «J'ai été personnellement très affecté», reconnaîtra Merling, ce jour-là au bord des larmes. Collazo l'est aussi... Trois phrases dans un communiqué froid et laconique mettent fin, ce 10 mai, à sept ans d'une intense collaboration. Une semaine après ce déchirement, Mourad Boudjellal est déjà sur les rangs pour faire signer le Varois au RCT.

Patrice Collazo en bref 44 ans.
Club : RC Toulon.
Joueur (pilier) : Bègles-Bordeaux (1996-2000), Stade Français (2000-2001), Gloucester (2001-2002), Stade Toulousain (2002-2005), Gloucester (2005-2008), Racing Metro (2008-2009).
Vainqueur de la Coupe d'Europe en 2003 et 2005.
1 sélection en équipe de France.
Entraîneur : Racing-Métro (2010-2011, entraîneur des espoirs), La Rochelle (2011-2018), Toulon (depuis 2018).

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#1148 RCV06

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Posté 23 octobre 2018 - 21:50

Ouais, je sais pas si ça marche bien mieux au RCT, il a 25 ans de retard le Collazo


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#1149 George Abitbol

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Posté 23 octobre 2018 - 22:32

Cela fera dire en off à Mourad Boudjellal : «C'est digne d'un entraîneur de Fédérale 11 ou 12...» Lequel président varois engagera Collazo un an plus tard, presque jour pour jour !

:grins:
 

Un proche du club remarque que «les coups de pied dans la glacière ou dans la porte, ça impressionne la première fois mais pas la deuxième fois.

:grins:


Illusionné, le président Merling découvre alors ce qu'il ne voulait pas voir : une cassure entre Collazo et une partie de ses joueurs

:grins:
 

Une semaine après ce déchirement, Mourad Boudjellal est déjà sur les rangs pour faire signer le Varois au RCT.

:grins:

#1150 Bart Simpson

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Posté 24 octobre 2018 - 06:38

Merci ;)

 

Ca à l'air d'aller beaucoup mieux dans le vestiaire en octobre.

Le club vient de réaliser un reportage vidéo de plus de 15 mns sur le déplacement en russie, ça n'a rien à voir et Gibbes arrive bientôt



#1151 bazooka

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Posté 24 octobre 2018 - 06:55

Éclairant ce complément d'enquête.



#1152 steph

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Posté 24 octobre 2018 - 08:36

Ça confirme ce que disaient les supporters Rochelais... et Chabal.

#1153 Rémy63

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Posté 24 octobre 2018 - 09:04

Ça confirme ce que disaient les supporters Rochelais... et Chabal.


Mouais. Il y a un an, pour ce même média, Collazo était une référence et un candidat crédible pour l'équipe de France.

Maintenant c'est un dictateur incapable ?

Qu'il ait eu du mal à adapter son management entre une équipe forgée en prod2 et une équipe jouant le haut du tableau européen je veux bien y croire.

J'ai jamais été un grand fan du bonhomme mais les médias sont champions pour brûler ce qu'ils ont adoré la veille. Dans les deux cas pour vendre du papier.

Bref je m'en tiendrai pas qu'à ça. Je pense qu'il avait besoin de changer d'air pour apprendre de ses erreurs et avancer avec un nouveau groupe. Il s'est mis en danger à aller dans le marasme toulonnais qui couvait depuis quelques années. A voir si Boudjellal donne enfin le temps à quelqu'un de construire un club sain. Mais vu son tweet, j'en doute. On a souvent dit que ce mec était plus intelligent qu'il en a l'air. Moi je pense qu'il est bien plus con qu'il en a l'air.


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#1154 RCV06

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Posté 24 octobre 2018 - 11:01

Mouais. Il y a un an, pour ce même média, Collazo était une référence et un candidat crédible pour l'équipe de France.

Maintenant c'est un dictateur incapable ?

Qu'il ait eu du mal à adapter son management entre une équipe forgée en prod2 et une équipe jouant le haut du tableau européen je veux bien y croire.

J'ai jamais été un grand fan du bonhomme mais les médias sont champions pour brûler ce qu'ils ont adoré la veille. Dans les deux cas pour vendre du papier.

Bref je m'en tiendrai pas qu'à ça. Je pense qu'il avait besoin de changer d'air pour apprendre de ses erreurs et avancer avec un nouveau groupe. Il s'est mis en danger à aller dans le marasme toulonnais qui couvait depuis quelques années. A voir si Boudjellal donne enfin le temps à quelqu'un de construire un club sain. Mais vu son tweet, j'en doute. On a souvent dit que ce mec était plus intelligent qu'il en a l'air. Moi je pense qu'il est bien plus con qu'il en a l'air.

Je suis pas persuadé qu il ait beaucoup appris jusque la, vu de l extérieur il ne semble pas avoir changé de logiciel.

Pour ce qui est des médias, de l équipe et d'Escot en particulier on est bien d'accord.



#1155 Bart Simpson

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Posté 25 octobre 2018 - 17:48

Uini devrait prolonger un long contrat pour terminer sa carrière à La rochelle

 

Je trouve ça beau, une carrière à la Rougerie :)






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