Champion du Monde
Posté 10 mai 2020 - 11:57
Hélas non, au-dessus de 1500 calories par jour sans activité physique, je commence à grossir. J'ai un métabolisme de merde.
J'ai le meme inversé, c'est pas drole non plus. Si je fais pas du sport tous les jours et me forcent à manger à chaque repas, je maigris....
Fin bref, les 2 extremes doivent etre chiant mais je suis pas sur qu'on ai beaucoup plus de chance que toi 
Joueur de TOP 14
Posté 10 mai 2020 - 12:19
"J’ai perdu du poids durant le confinement, je me prépare donc à souffrir pour le reprendre durant la préparation. C’est comme ça, je n’ai pas une morphologie à faire 120 kg, le naturel revient vite et pour reprendre les kilos perdus cela demandera de gros efforts."
Quand on voit ses qualites rugbystiques, on se prend a rever du retour a un rugby ou un joueur si doue n'aurait pas a prendre du poids juste pour resister aux mastodontes... mais pourrait pleinement s'exprimer meme a "seulement" 100kg...
bonne recette du sud-ouest pour reprendre du poids
Posté 10 mai 2020 - 13:04
bonne recette du sud-ouest pour reprendre du poids
Päs sûr qu'il y ait 1200 calories.
Champion du Monde
Posté 10 mai 2020 - 13:23
J'ai le meme inversé, c'est pas drole non plus. Si je fais pas du sport tous les jours et me forcent à manger à chaque repas, je maigris....
Fin bref, les 2 extremes doivent etre chiant mais je suis pas sur qu'on ai beaucoup plus de chance que toi
Salut Fred
Posté 10 mai 2020 - 13:24
Idéal pour bosser l'après-midi.Päs sûr qu'il y ait 1200 calories.
Equipe de France
Posté 24 octobre 2020 - 19:25
Expérience du capitanat à renouveler !
Avec Lapandry ils forment un bon binôme et c'est important d'avoir de bons échanges avec l'arbitre (malheureusement ce n'est pas trop le cas avec Fritz Lee).
Champion du Monde
Posté 25 octobre 2020 - 21:37
Champion du Monde
Posté 25 octobre 2020 - 21:57
Par contre il t' a fait un super vol plané sur la première action 
Joueur du Grand Chelem
Posté 25 octobre 2020 - 23:38
J'ai beaucoup aimé son attitude sur le coup de pute de Boughanmi lors de la blessure de Béhé en mêlée.
Boughanmi est vraiment un fouille merde dangereux à chaque match, je ne comprends pas qu'il ne soit que rarement sanctionné.
Champion du Monde
Posté 26 octobre 2020 - 00:43
Par contre il t' a fait un super vol plané sur la première action
Oui, j'ai hésité à la mettre pour rigoler. Mais je m'efforce de ne plutôt poster que les actions positives. 
J'ai beaucoup aimé son attitude sur le coup de pute de Boughanmi lors de la blessure de Béhé en mêlée.
Et encore Iturria est gentil là. Il tente de l'arrêter pendant l'action une fois que ça s'arrête, Il met une petite poussette.
Et le mec arrive quand même à se chauffer après ça alors qu'il est 100% en tort.
Champion du Monde
Posté 26 octobre 2020 - 00:59
Oui, j'ai hésité à la mettre pour rigoler. Mais je m'efforce de ne plutôt poster que les actions positives.
Et encore Iturria est gentil là. Il tente de l'arrêter pendant l'action une fois que ça s'arrête, Il met une petite poussette.
Et le mec arrive quand même à se chauffer après ça alors qu'il est 100% en tort.
Champion du Monde
Posté 26 octobre 2020 - 07:00
J'ai beaucoup aimé son attitude sur le coup de pute de Boughanmi lors de la blessure de Béhé en mêlée.
Boughanmi est vraiment un fouille merde dangereux à chaque match, je ne comprends pas qu'il ne soit que rarement sanctionné.
Là , l 'arbitre n 'a pas été à la hauteur....tout pratiquant sait très bien pourquoi la mêlée Paloise et en particulier le 3 et le talon font ce coup de vice ou pute comme vous voulez ! L 'arbitre aurait du sanctionner immédiatement !
Champion du Monde
Posté 26 octobre 2020 - 07:28
Là , l 'arbitre n 'a pas été à la hauteur....tout pratiquant sait très bien pourquoi la mêlée Paloise et en particulier le 3 et le talon font ce coup de vice ou pute comme vous voulez ! L 'arbitre aurait du sanctionner immédiatement !
il doit être bien placé pour connaitre le danger de ce genre de poussée sur une mélée écroulée.
Joueur de TOP 14
Posté 05 novembre 2020 - 16:18
Pour une prise de fonction, il ne pouvait pas rêver beaucoup mieux. Un brassard, deux victoires, sur Pau (6e journée, 50-29) et Brive (7e journée, 21-43), chaque fois avec un bonus offensif arraché au mental dans les dernières secondes, dont le deuxième pour un derby, une place en tête d'un classement du Top 14 certes bancal, le bilan d'Arthur Iturria comme nouveau capitaine de Clermont est flatteur. Le troisième-ligne de l'ASM en a bien souri, mais sans s'en gargariser.
Un peu comme quand il a découvert, il y a près de deux semaines, que son entraîneur avait pensé à lui pour cette nouvelle fonction. « Quand Franck (Azéma) m'a demandé de venir dans son bureau dans le début de la semaine du match contre Pau, je pensais que c'était juste pour discuter, comme on fait souvent. C'était pour autre chose, en fait... Il m'a expliqué qu'avec la blessure d'Alexandre (Lapandry) et Morgan (Parra) qui était atteint du Covid, on manquait de capitaines. Il m'a demandé si ça me dérangeait d'essayer de représenter l'équipe au mieux. Plein de joueurs pourraient être capitaine chez nous, Étienne(Falgoux), Paul (Jedrasiak), Fritz (Lee), Camille (Lopez)... C'était quand même une fierté qu'il me le demande. »
Malgré l'absence de plusieurs leaders, les candidats à ce qui s'apparentait à un intérim ne manquaient pas, en effet. Mais si Azéma s'est orienté vers son flanker de l'équipe de France (15 sél.) c'est d'abord parce qu'il a « la légitimité de jouer régulièrement, avec un niveau proche des exigences de la scène internationale. Depuis le retour de la Coupe du monde, il a basculé, il a pris conscience de l'importance de tout ce qui gravite autour du match. Et il a gardé le même tempérament sur le terrain ! ».
Ces dernières semaines, Iturria pétille à nouveau sur les terrains, c'est vrai. Il retrouve les sensations qui l'avaient propulsé en Bleu il y a trois ans, et qu'il avait égarées pendant un Mondial japonais traversé comme un fantôme, un ischio-jambier blessé juste avant la finale du Top 14 contre Toulouse encore douloureux.
« Je vis mes matches ou mes entraînements différemment. Quand tu commences, tu es un peu foufou sur le terrain, tu te jettes partout, et je me suis pas mal esquinté en jouant comme ça. »
Arthur Iturria
Depuis, Iturria a vu ce train-là s'éloigner, « mais je reste à 26 ans un joueur qui peut postuler », assure-t-il. Parce que son approche en a été changée. « Je vis mes matches ou mes entraînements différemment, décrypte-t-il. Quand tu commences, tu es un peu foufou sur le terrain, tu te jettes partout, et je me suis pas mal esquinté en jouant comme ça. Ça m'a pris du temps, mais je sors moins esquinté des matches et c'est important, parce que sinon, je ne pourrai pas jouer longtemps ! Déjà que je ne pense pas avoir une très longue carrière... »
Sans concession sur lui-même, Iturria s'autorise souvent ces éclairs de lucidité et c'est ce qui rend le personnage attachant. Une authenticité qui a aussi pesé dans le choix d'Azéma pour lui confier plus de responsabilités encore. Et qu'il a fait transpirer dans sa manière de les exercer cette dernière quinzaine. Au stade Amédée-Domenech, samedi dernier, on l'a vu courir le premier sur la pelouse, puis accueillir chacun de ses coéquipiers par une tape sur les fesses, un check, un mot.
« Il est resté lui-même, vrai, il ne fallait pas qu'il commence à broder ! », observe Azéma. Iturria lui-même se décrit comme « pas du genre bavard ». « J'ai toujours préféré ces moments dans les vestiaires, rebondit-il, où tu ne te dis pas forcément grand-chose, mais tu fais plutôt un clin d'oeil, tu captes l'attention du mec autour de toi d'un regard. C'est plus comme ça que je ressens les mecs. C'est aussi ça le rugby, pas seulement les matches gagnés ou perdus. On se regarde et on véhicule quelque chose. »
Une attitude qu'Azéma veut voir ruisseler sur son groupe, surtout en cette période de pandémie, remarque-t-il, où chaque match joué est un petit miracle en soi. « Vu les circonstances, approfondit le pilier Étienne Falgoux, on est content de continuer à faire ce qu'on aime, conscients qu'on peut encore vivre notre passion. »
« Si on commence à s'aimer entre nous, on fera la différence dans les gros matches. »
Arthur Iturria
Azéma sait aussi l'effectif auvergnat en mutation ces dernières années, où, depuis le titre de 2017, chaque saison a vu un leader historique s'en aller, les Aurélien Rougerie, Damien Chouly, Benjamin Kayser ou Dato Zirakachvili. Depuis, l'entraîneur cherche à en faire émerger. Un processus qui prend du temps et connaît parfois des cahots. Lors de la première journée, quand Toulouse avait opéré une remontée fantastique au Michelin pour presque l'emporter à 13 contre 15 (victoire de Clermont 33-30), un Rouge et Noir avait noté que le Stade avait d'autant plus cru en ses chances qu'il ne voyait aucun Clermontois rameuter les troupes pour stopper l'hémorragie.
Voilà ce que ne veut plus revivre ce Clermont en phase de régénération. Et Iturria peut l'aider à aller piocher plus loin. « Ce qui m'a plu dans nos deux derniers matches, a-t-il ainsi insisté, c'est l'état d'esprit. C'est à ça que j'ai envie qu'on s'attache : être une équipe soudée. Si on commence à s'aimer, entre guillemets, entre nous, on fera la différence dans les gros matches. »
Joueur de promotion
Posté 06 novembre 2020 - 11:45
Intéressant cet article. J'en profite pour te remercier el landeno pour celui-là et pour tous ceux que tu retranscris sur le forum !
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