3591 réponses à ce sujet

[xdderf63]

Ça s'appelle du priapisme.....

 

Dès le matin, tu m'obliges à aller sur wikipedia...

[Gourine63]

 
Dès le matin, tu m'obliges à aller sur wikipedia...

Sérieux ? V'là t'y pas que le bohémien va apprendre des mots aux sédentaires maintenant

[RCV06]

 

Dès le matin, tu m'obliges à aller sur wikipedia...

 

 

Sérieux ? V'là t'y pas que le bohémien va apprendre des mots aux sédentaires maintenant

Pourtant un spécialiste de la pelouse comme lui .....

[bazooka]

     

[Jesus Hans Hubert Vorme]

Ça s'appelle du priapisme.....

Pas le pape...

[Eria]

Le dieu Priape  il fait parti du passé...

 

 

Pas le pape... 

 

et d'en parler cela fait papoter...

[Gourine63]

Pas le pape...

Tine...

[xdderf63]

Pourtant un spécialiste de la pelouse comme lui .....

J'ai l'impression que pour connaitre la signification du mot, il faut avoir le probleme, non ?...
Ou alors c'est le medecin qui vous a expliqué lors de la remise de l'ordonance pour la pilule bleue...

[RCV06]

J'ai l'impression que pour connaitre la signification du mot, il faut avoir le probleme, non ?...
Ou alors c'est le medecin qui vous a expliqué lors de la remise de l'ordonance pour la pilule bleue...

Pas de pilule bleue et heureusement car je n aurais pas le droit d'en prendre

[bazooka]

Encore un cardiaque ! 

[jm12]

J'ai l'impression que pour connaitre la signification du mot, il faut avoir le probleme, non ?...
Ou alors c'est le medecin qui vous a expliqué lors de la remise de l'ordonance pour la pilule bleue...B

Ben là, surtout ^pas.....sinon la durite éclate...

[el landeno]

Arthur Iturria (Clermont) : «Je repars tout neuf des yeux»

Publié le jeudi 2 août 2018 à 18:28 | Mis à jour le 02/08/2018 à 18:37

Pour soigner les effets de ses commotions, le deuxième-ligne international de Clermont a suivi une rééducation basée sur la neurostimulation. Il en est ressorti rafraîchi après une saison difficile.

«Vous avez terminé la saison dernière sur une commotion. Comment avez-vous récupéré près de trois mois après ?
J'ai ressenti des douleurs encore, des maux de tête qui persistaient, comme j'en avais déjà eu (il avait subi trois commotions lors de la saison 2016-2017). À l'époque, j'avais voulu continuer à jouer, alors que je n'aurais pas dû. Là, j'ai dit stop. Ça m'a fait du bien, le repos. Je suis aussi parti à Genève pour travailler avec un centre neuro-tracker, qui s'appelle Neurovision Consulting. C'était très intéressant. C'est un cabinet ophtalmologique où on travaille sur tout ce qui est perception des espaces. J'en avais entendu parler quand j'avais fait des commotions. Avec le doc, on en a rediscuté juste à la fin de saison et on était d'accord que ça serait bien d'y aller. Ce n'est pas que ça coûte rien, puisque c'est le club qui m'a permis de le faire, mais ça ne pouvait que m'aider !Qu'est-ce qu'il pouvait vous apporter, ce centre ?
La meilleure façon d'agir sur le cerveau, c'est soit opérer, soit de travailler à travers les yeux... La vision est atteinte quand on a eu des coups sur la tête, sans qu'on s'en aperçoive, parce que j'avais l'impression que je voyais bien.Qu'y avez-vous fait ?
En plus de deux ou trois trucs à régler parce que je porte des lentilles, j'avais une vision qui s'était un peu rétrécie et maintenant, j'arrive à mieux voir sur les côtés, ça m'aide ! J'y ai passé quatre jours, avec d'abord des tests, puis des exercices quotidiens et des tests à nouveau à la fin pour voir l'évolution. Et il y en avait une belle ! Comme exercice, par exemple, je portais des lunettes 3D, il y avait dix balles, je devais en mémoriser quatre, puis elles bougeaient, sur les côtés, en profondeur et en hauteur, elles se croisaient, se tapaient. Ça me paraissait hyper rapide au début ! Après, j'ai travaillé sur des BOSU (des sortes de demi-ballons instables) pour être un peu en déséquilibre. Et il y avait d'autres exercices de rapidité d'exécution, avec des lumières à taper, des trucs comme ça. C'était chouette ! Et je repars tout neuf des yeux pour la saison !Vous sortez d'une saison particulière, entre les difficultés de Clermont et votre blessure rocambolesque en équipe de France après une sortie nocturne à Édimbourg... Du rêve de 2016-2017 où tout vous réussissait, vous passiez à une sorte de catastrophe, même si le mot paraît fort...
Oh, c'en était pas loin ! L'année d'avant, c'était énorme, parce que j'avais fait une saison pleine et il y avait eu le titre de champion de France au bout et une finale de Coupe d'Europe... On ne s'était pas trop rendu compte, nous les jeunes, le titre, c'était arrivé comme ça, on était insouciants, même si on avait travaillé pour y arriver, hein. Et là avec le recul, on se rend compte qu'on a fait un truc de fous et c'est pour ça que moi, j'ai envie de retoucher ce bout de bois. Il n'aura pas la même saveur parce que, maintenant, je sais que c'est dur de l'avoir et par où il faut passer...

Arthur Iturria : «J'ai fait une erreur»

«L'épisode en Écosse m'a appris que j'étais arrivé à un niveau, en équipe de France, où je représentais quelque chose. Il fallait que je me tienne»

Qu'avez-vous appris de cette année étrange ?
À mieux gérer ma carrière au niveau du rugby et de ma vie en général puisque j'ai eu des problèmes avec ça. C'était une remise en question. Sur le terrain, je n'ai jamais été en forme, j'ai joué, j'ai fait des matches corrects mais sans me sentir à l'aise. Et en dehors, j'ai appris ce que c'était qu'être un joueur professionnel de rugby. L'épisode en Écosse m'a appris que j'étais arrivé à un niveau, en équipe de France, où je représentais quelque chose. Il fallait que je me tienne. Je pense que d'autres avant moi ont fait la fête après des défaites... Maintenant, on n'est plus à la même époque, donc il faut que j'apprenne à juger le bon moment. C'est une discussion que j'ai eue avec Franck (Azéma, l'entraîneur de l'ASM), qui m'avait dit : ''Maintenant, t'es un grand garçon, tu n'es plus l'Arthur de vingt et un ans qui vient de commencer le rugby pro et à qui tout sourit, il faut rester sérieux, faire attention, se protéger.'' Je n'ai pas arrêté de sortir avec mes copains pour autant, mais je pense m'être calmé, canalisé. C'est sûr qu'il y a quelque temps, tu m'aurais laissé sept semaines de vacances comme cet été, je ne serais peut-être pas revenu dans la forme où je suis maintenant. Je suis passé à autre chose, j'arrive à m'amuser mais plus modérément !

«J'ai un jeu différent de Vahaamahina, Van der Merwe, ou Timani, je ne mise pas sur la puissance. Je joue déjà plutôt comme un troisième-ligne. Donc si on m'y met, le seul vrai changement pour moi, ça serait la mêlée»

Vous vous êtes beaucoup entretenu physiquement cet été ?
Je suis resté sérieux, sur la côte, tranquillement, avec ma copine. J'aime beaucoup faire du sport en tout genre, j'ai fait du surf, du squash, du paddle, ça m'a changé du rugby et ce n'est pas plus mal... J'ai même refait de la pelote... (il lève les yeux au ciel) et j'ai perdu contre mon oncle... S'il lit ça dans les journaux, il va être fier (rires).C'est un bon point pour redémarrer la nouvelle saison. Mais à quel poste ? Votre président a répété il y a quelques mois qu'il vous voyait bien évoluer en troisième ligne...
C'est le mot du président, pas le mot du coach (rires). J'en avais déjà parlé l'année dernière avant la reprise. C'est l'éternelle question, avec moi ! En Espoirs, une année, j'ai joué numéro 6 toute la saison, quand Alexandre Audebert m'entraînait. À Bayonne, j'y ai souvent joué aussi. C'était un autre niveau mais j'adorais ce poste, j'étais dans un rôle où je plaquais comme un deuxième-ligne mais où j'avais un peu plus de ballons, j'étais un peu moins fatigué à l'arrivée et je m'amusais ! J'ai un jeu différent de Vahaamahina, Van der Merwe, ou Timani, je ne mise pas sur la puissance. Je joue déjà plutôt comme un troisième-ligne. Donc si on m'y met, le seul vrai changement pour moi, ça serait la mêlée. Dans le jeu, je ne suis pas persuadé que ça changerait grand-chose. Alors ça ne me dérangerait pas de jouer troisième-ligne.Concrètement, c'est une possibilité, alors ?
J'ai eu une petite discussion avec Franck et, de temps en temps, je joue troisième-ligne à l'entraînement, pour essayer d'avoir des automatismes à ce poste. C'est bien que je fasse les deux, ça m'ouvre à autre chose et c'est bon pour l'équipe parce que ça donne une autre option !»

[Milian]

Ca fait peur encore ces histoires de commotion... Va pas falloir qu'ils s'en reprennent d'autre...

Sinon, pour l'histoire de 3eme ligne, on dirait qu'il a vraiment envie d'y jouer. On l'a surement mis 2eme ligne car il était grand mais on dirait qu'il a tjrs eu envie de jouer 3eme ligne et je pense aussi que ses qualités seraient mieux mis en évidence à ce poste.

[Gai Novice]

Mouais. Il aime le surf. Mefia te

[Silhouette]

Ca fait peur encore ces histoires de commotion... Va pas falloir qu'ils s'en reprennent d'autre...

Sinon, pour l'histoire de 3eme ligne, on dirait qu'il a vraiment envie d'y jouer. On l'a surement mis 2eme ligne car il était grand mais on dirait qu'il a tjrs eu envie de jouer 3eme ligne et je pense aussi que ses qualités seraient mieux mis en évidence à ce poste.

Et parce qu'il est exceptionellement doue pour jouer 2eme ligne aussi ! Malgre son gabarit il se baisse tres tres bien, il rechigne jamais a mettre le nez pour gratter, et en plus il pousse bien en melee. 

 

Maintenant compte tenu de l'effectif, et si Paulo par exemple retrouve un gros niveau, alors clairement Iturria en 6 pourrait se poser, en remplacement de Chouly en gros. Ca pourrait faire Iturria - Lee - Yato, ou si on decide d'aller uniquement chez les jeunes et qu'on se projete a 3-4 ans, peut-etre quelque chose comme Iturria - Yato - Ruaud ?!