2639 réponses à ce sujet

[Eria]

Notre futur 10, ça commence par Mich

Pire la lenteur Plisson ou TD le pincon ,on va droit dans le mur avec Doussain en 9 .

[PPR]

Je serais curieux de voir sanconnie aussi en 8. Des matchs que j'ai vu de brive il m'a fait une grosse impression

[FANTOMAS 63]

Est ce que quelqu'un peut m'expliquer pourquoi Lapandry , avec les stats qu'il à depuis le début de saison, n'est cité nulle part et n'existe sur aucune liste de l' EDF ????

[Vince']

Comme Rémy63 qui beugle régulièrement à ce sujet sur le forum, je ne comprends pas la non sélection de Bernard.

 

Bordel de couille, depuis le temps que l'on veut un bon 10 en EDF, Bernard serait parfait, en plus maintenant que l'UBB joue la coupe européenne, il a pu touché au haut niveau.

[PPR]

Comme Rémy63 qui beugle régulièrement à ce sujet sur le forum, je ne comprends pas la non sélection de Bernard.
 
Bordel de couille, depuis le temps que l'on veut un bon 10 en EDF, Bernard serait parfait, en plus maintenant que l'UBB joue la coupe européenne, il a pu touché au haut niveau.

d'accord avec ça, le premier 10 que j'aurais coché sur ma liste

[F@b]

Doussaint et Burban, ça me calme direct

[JohnDoe]

Ça je suis d'accord. Rien qu'à l'ASM j'attendais plus de Fofana, Chouly ou Lopez au niveau au dessus.

 

 

Fofana, c'est le symbole de l'échec. Si on avait eu un vrai plan de jeu des lignes arrières, on ne se poserait même pas la question à son propos. Mais, je pense qu'on a aussi notre part de responsabilité en parlant tout le temps du french flair et de la valeur de l'exploit individuel.

[RCV06]

 

 

Fofana, c'est le symbole de l'échec. Si on avait eu un vrai plan de jeu des lignes arrières, on ne se poserait même pas la question à son propos. Mais, je pense qu'on a aussi notre part de responsabilité en parlant tout le temps du french flair et de la valeur de l'exploit individuel.

Comprends pas

[Arverne03]

NOVES va peut être faire de SPEDDING un autre joueur !

[miro padre]

L'équipe du jour :

RUGBY
NOVÈS EN SOUS-TITRÉ
Le sélectionneur tricolore a divulgué sa liste pour le premier stage préparatoire au Tournoi. Puis il a longuement expliqué ses choix et sa démarche, passant quelques messages.

ALEX BARDOT ET RENAUD BOUREL

La prochaine fois que Guy Novès sera sur le pupitre face aux caméras, on sera à deux jours de France -Italie et il annoncera sa première composition d'équipe. Hier, avant d'entrer dans une abstinence médiatique de deux semaines, le sélectionneur a donné de quoi réfléchir à ses Bleus et de quoi moudre aux suiveurs. Durant une heure, il n'a pas fait que commenter tous ses choix dans la liste de 31 joueurs pour le stage de la semaine prochaine, il a aussi longuement expliqué ses attentes, sa politique de sélection, sa vision du jeu et de la communication. Nous avons retenu quatre phrases qui valent décryptage.

« Qu'ils me craignent, j'en suis désolé »

La question a été amenée avec tact : la crainte qu'inspire Guy Novès à ses joueurs serait-elle l'arme secrète de son management ? Des deux premiers rassemblements, pourtant très courts, ressort une sensation de reprise en main autoritaire de la résidence du quinze de France, à Marcoussis. La réponse du suprême leader des Bleus, elle, n'a pas manqué de finesse, même s'il faut essayer de traverser l'écran de fumée. « Qu'ils me craignent, j'en suis désolé, parce que je ne fais rien pour.
J'essaye de respecter les joueurs, d'être honnête avec eux et d'avoir un comportement irréprochable parce que c'est dans ma nature. On ne peut pas demander beaucoup aux autres sans avoir une énorme exigence envers soimême. Devant mon attitude, les joueurs se disent qu'il faut avoir la même pour correspondre et rentrer dans ce projet. Après, je crois qu'une complicité s'instaure avec les joueurs et même si le respect reste, la crainte, elle, disparaît. Parce qu'il faut justement transmettre beaucoup de confiance pour qu'ils puissent exprimer tout leur potentiel. »
Le Toulousain ne laissera pas s'instaurer une quelconque république des joueurs au cours de son mandat. Sa force réside dans une autorité naturelle et un tempérament qui font que l'homme se fout d'avoir des ennemis. Son intransigeance laisse néanmoins le droit à l'erreur, tant que celle-ci n'est pas le résultat d'un comportement qu'il juge contraire à sa propre éthique et à celle qu'il a choisie pour régir la vie de l'équipe. « Il faut avoir une attitude digne de ce nom quand on porte ce maillot. »

« Ça serait réducteur de dire qu'on a essayé de fixer une limite d'âge... »

Damien Chouly (30 ans) est le doyen du groupe dévoilé hier. Étant donné la cure de rajeunissement opérée, il est tentant de voir l'âge du Clermontois comme la barrière entre sélectionnables et non-sélectionnables. La vérité, tout en nuances, est que la limite n'est pas fixée.
Mais quand même un peu réelle. Et que l'âge a été un critère de sélection majeur. En gros, mieux vaut être minot comme Camille Chat (20 ans) qu'expérimenté comme Benjamin Kayser (31 ans), recalé hier. « Mettre des joueurs qui ne seront pas là dans deux-trois ans, ça nous paraissait perdre un peu de temps », a lâché Novès.
À ce risque de ne pas lancer assez tôt le chantier de la Coupe du monde 2019, il a préféré celui d'« avancer un petit peu moins vite au début » avec des jeunes. Et donc d'éventuellement perdre quelques matches. Quand il a été demandé si les jeunes n'allaient pas être surpris par le niveau international, Novès s'est appuyé sur la parole de Yannick Bru, rescapé du dernier staff : « Surpris, ils vont l'être. N'attendez pas trop des performances des très jeunes joueurs. Ma récente expérience me fait penser que la marche est quand même très, très haute. Sans être pessimiste, je pense que tous ne seront pas préparés de la meilleure des manières. » Novès a cependant assuré que les membres de la nouvelle vague ne débouleraient pas tous ensemble sur le terrain.

« Les joueurs ne doivent plus être des représentants commerciaux »

Le patron des Bleus a planté le décor des relations joueurs-médias et par ricochet avec les supporters, d'ici aux premiers résultats conséquents de son équipe. « Leur rendre service, c'est leur permettre d'évoluer dans les meilleures conditions. Certains disent que les Anglo-Saxons rentrent sur le terrain en souriant ou se concentrent au dernier moment. Mais les Néo-Zélandais jouent au rugby depuis l'âge de huit ans, possèdent tous les paramètres. Alors peut-être que cette maîtrise leur permet ce recul et du coup d'être plus disponibles, d'autant qu'ils gagnent. Je pense, et je l'assume, que les joueurs ne doivent plus être des représentants commerciaux du rugby, mais des joueurs de rugby. Quand ils nous représenteront bien, alors il y aura des affinités qui pourront se créer avec les médias. » Un discours habile à destination du public et des joueurs, chez qui il a décelé des comportements inadéquats. Mais Novès cherche aussi à asseoir son autorité. Il entend maîtriser la communication les conférences de presse seront limitées à deux durant les semaines de match ­, et limiter les contacts avec les interlocuteurs extérieurs.
Exemple parlant de cette volonté de contrôle : seuls ses adjoints sont admis quand il s'adresse aux joueurs. Reste à savoir si raréfier les liens avec l'extérieur n'est pas également un danger.

« Arrête-toi, arrête-toi... Le jeu à la toulousaine, on va arrêter sur ce sujet. »

Et soudain, à l'évocation d'un « jeu à la toulousaine » pour l'équipe de France, Guy Novès a coupé la parole à un journaliste de ses connaissances. La manière était affectueuse, mais le ton ferme et le message à peine voilé : n'attendez pas que les Bleus se mettent d'un coup à pratiquer le « jeu à la toulousaine » tel qu'il s'est inscrit dans la mémoire collective, à la fois riche, spectaculaire, osé, basé sur les passes au contact... « Chaque fois que le Stade Toulousain a gagné des titres, ce sont les avants qui ont fait des grosses performances », a rappelé l'ancien manager du club haut-garonnais. Novès aurait voulu ainsi doucher les plus fous des espoirs nés de sa nomination qu'il ne s'y serait pas pris autrement. « On a l'espoir, surtout, de se positionner dans la dimension actuelle du rugby international, a-t-il ensuite précisé. C'est-àdire d'un rugby qui permet aux gens de prendre du plaisir, de ne pas se dire : "On a perdu l'aprèsmidi, on n'aurait pas dû venir au stade." Ensuite, est-ce qu'on donne du plaisir en gagnant ? En jouant ? Qu'est-ce que ça veut dire jouer ? Si on doit taper dix fois le ballon au pied parce que les situations le demandent, alors il faut taper dix fois. Et s'il faut jouer dix fois à la main, pareil. En fait, le jeu à la toulousaine, c'est ça. » Comprendre : pas la chimère d'un rugby sans limite, mais un jeu qui mise sur l'adaptation, le mouvement et l'efficacité. Vaste programme, quand même.
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Nouvelles têtes de liste

ARNAUD REQUENNA

JEAN-MARC DOUSSAIN ET ANTOINE BURBAN, QUI N'AVAIENT PAS ÉTÉ CONVOQUÉS POUR LES JOURNÉES DE PRÉSENTATION, VIENNENT GROSSIR LES PREMIÈRES TROUPES DE GUY NOVÈS.

« Si on ouvre à un trop grand nombre de joueurs, on perd un temps qu'on n'a pas », confiait Guy Novès dans ces colonnes le 5 janvier. On ne s'attendait donc pas à un chamboulement hier, dans cette troisième liste depuis le 29 décembre. Antoine Burban ­ qui revient de blessure ­ et Jean-Marc Doussain sont les 35e et 36e joueurs appelés par le nouveau sélectionneur. Burban ­ « On lui fait un signe fort », indique Novès ­ sera-t-il dans les 23 pour France-Italie le 6 février ? « Je n'en sais rien », glisse prudemment le sélectionneur. Quant à Doussain, disparu depuis le Tournoi 2014, il revient comme ouvreur ­ exclusivement ­ mais pourrait être doublé par François TrinhDuc. Novès ne cache pas que le Montpelliérain lui plaît beaucoup. La preuve, il l'a pris dans ses deux premières listes, alors que Trinh-Duc est convalescent. De lundi à mercredi, les Bleus seront sur le terrain à Marcoussis pour travailler sur le projet de jeu. Doussain en sera. Mais le staff suivra attentivement la rentrée annoncée de Trinh-Duc ­ blessé au tibia droit depuis deux mois ­ vendredi face aux Harlequins. Ce qui lui laisserait une chance d'être retenu pour l'ouverture du Tournoi ? « On en discutera ensemble, et avec François », confie Jeff Dubois, en charge des trois-quarts bleus.

"Fofana peut nous rendre service à l'aile" GUY NOVÈS

La liste livrée hier présente une vraie nouveauté : Virimi Vakatawa, qui avait participé aux deux lundis (les 4 et 11 janvier) à Marcoussis en loucedé, voit son nom prononcé officiellement. Il est le 31e homme, par ordre alphabétique, mais il pourrait bien figurer dans les 23. Guy Novès explique en substance que si on s'arrête au placement défensif suspect du Fidjien, vedette du 7 français, il ne sera jamais essayé. Dans une liste où il y a beaucoup d'arrièresailiers (Médard, Bonneval, Fall), Vakatawa aura trois jours pour se faufiler sur une aile. Comme Fofana ? « Il excelle au centre, mais peut nous rendre service à l'aile. Il est au courant », explique Novès. Les recalés des premières listes sont Loann Goujon, Vincent Pelo, Benjamin Kayser mais aussi Bernard Le Roux dont L'Équipe annonçait hier le mariage le week-end de France-Italie (6 février). Le Racingman avait averti le staff dès le premier rassemblement. Guy Novès est très clair à son sujet : « On va se passer momentanément de lui. » Ce « momentanément » coupe court à toute polémique : Le Roux reviendra. Maxime Mermoz ? « Il ne joue pas beaucoup à l'heure actuelle », précise le patron des Bleus. À Toulon, Bernard Laporte lui préfère Nonu et Bastareaud. À propos de ce dernier, Novès précise une nouvelle fois : « On ne l'a pas retenu parce qu'il n'a pas de talent ? Non. Mais est-ce qu'il correspond au projet de jeu ? C'est la question. » Chez les jeunes avants, on croit piger que Camille Chat (20ans) sera lancé au plus vite comme doublure du capitaine Guirado. Novès : « Si on attend trop tard, il sera peutêtre trop tard. »
Le 28 janvier sera communiquée une nouvelle liste de 30 joueurs qui participeront à la préparation des deux premiers matches du Tournoi des 6 Nations (contre l'Italie, le 6 février et l'Irlande, le 13février).

QUEL BOSS POUR LA TOUCHE ?

Alexandre Flanquart sera capitaine de la touche française (le joueur qui annonce les combinaisons et organise le contre).Mais à condition qu'il soit opérationnel le 6 février. Le deuxième-ligne parisien, retenu parmi les 31, relève de blessure (entorse de la cheville). Lors de la dernière Coupe du monde, ce rôle essentiel de chef de touche était tenu par Damien Chouly, également présent dans le groupe. Lauret et Camara ont été cités comme des bons spécialistes du secteur mais Yannick Bru, responsable des avants bleus, a précisé qu'il n'envisageait pas de jouer aux « apprentis sorciers ». Autrement dit, on n'improvisera pas juste avant d'attaquer un cycle de quatre ans. Si Flanquart est absent, ce rôle de capitaine de touche incombera à Chouly et entraînera, de fait, sa titularisation. A. R.

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Doussain, le dix de der

LAURENT CAMPISTRON (AVEC A.BA.)

LE TOULOUSAIN EST L'INVITÉ SURPRISE DE LA LISTE DES 30, DIVULGUÉE HIER PAR LE SÉLECTIONNEUR GUY NOVÈS. IL RETROUVE LES BLEUS DEUX ANS APRÈS SA DERNIÈRE SÉLECTION. AU POSTE D'OUVREUR, CELUI DE SES DÉBUTS.

TOULOUSE - Il ne s'y attendait pas du tout. Lundi, veille de l'annonce, Jean-Marc Doussain avait même dégagé en touche : « Je ne sais pas d'où vous tenez ça. Vous en savez plus que moi. »
Parue dans Midi olympique, l'info était pourtant bonne. Absent des deux premières listes des 30 de l'ère Novès, le Toulousain fait bien partie de la troisième, convoqué pour un stage de trois jours à Marcoussis, en début de semaine prochaine (du 25 au 27 janvier). « Je ne pensais pas être appelé aussi rapidement, même si on espère toujours revenir en équipe de France. »
Ce choix prête forcément à discussion. Car si Doussain a participé à seize des dix-sept matches du Stade Toulousain cette saison, toutes compétitions confondues, il n'en a démarré que sept. Sauf que les trois derniers ont changé la donne et, sans doute, son destin.
Aligné d'entrée comme ouvreur face à l'Ulster (23-25), Toulon (31-8) et au Stade Français (17-18), et associé à chaque fois au demi de mêlée Sébastien Bézy, « JMD » a sorti trois prestations très remarquées. « Il a gagné une place presque sans s'en rendre compte, confie le sélectionneur Novès. Nous devions intégrer un troisième demi d'ouverture. Nous partons du projet de jeu, nous regardons la complémentarité des joueurs et nous essayons de faire le choix le plus cohérent possible. JeanMarc est un garçon différent de Plisson ou Trinh-Duc. Il nous donne une corde de plus à notre arc. » Sa différence ? Un profil plus dur sur l'homme. « Il sait aussi respecter le jeu, complète Ugo Mola, son entraîneur à Toulouse.
Et quand un garçon qui touche entre 35 et 40 ballons par match respecte le jeu, c'est plutôt bon pour ton équipe. Il fait aussi très bien jouer les autres et il a cette faculté d'adaptation qui est un peu la marque de fabrique de Toulouse, mais qu'il personnifie pas mal. »

"Il y a eu débat par rapport à Lopez" JEFF DUBOIS

Bien sûr, Doussain n'aurait probablement pas été inclus à cette liste si François Trinh-Duc, encore en phase de reprise, avait été apte. À ce titre, il semble bien difficile de savoir si cette convocation sonne davantage comme un message d'espoir envoyé au Toulousain que comme un sacré désaveu adressé à quelques autres candidats crédibles, tel le Clermontois Camille Lopez. « C'est vrai qu'il y a eu débat par rapport à Camille Lopez, reconnaît Jeff Dubois, l'entraîneur des trois-quarts tricolores. JeanMarc a un registre différent. C'est un gros défenseur, il a peut-être plus de qualités que les autres dans ce registre. Ça peut être utile dans certaines situations de match. »
À vingt-quatre ans, et avec 10 capes au compteur, il n'est plus apparu en équipe de France depuis le 15 mars 2014 et une défaite dans le Tournoi face à l'Irlande (20-22). Un mauvais souvenir : le Toulousain avait remplacé Machenaud et loupé la pénalité de la gagne dans les derniers instants.
Cette fois-ci, c'est en qualité d'ouvreur, au poste où il a été formé, qu'il retrouvera les Bleus. L'occasion de se fixer définitivement en 10, lui qui devrait prochainement prolonger son contrat avec Toulouse ? « Ça fait effectivement quelques matches que je joue en 10 et ça ne se passe pas trop mal, dit-il. Aujourd'hui, je suis clairement sélectionné à ce poste et je vais donc travailler ma technique à l'ouverture. Une spécialisation, ça change forcément beaucoup de choses dans ta façon de t'entraîner... »

19:Le nombre de titularisations de Jean-Marc Douzain à l'ouverture avec Toulouse (sur 83 matches débutés) lorsque Guy Novès était entraineur su Stade Toulousain

[HugoltBolt]

QUEL BOSS POUR LA TOUCHE ?

Alexandre Flanquart sera capitaine de la touche française (le joueur qui annonce les combinaisons et organise le contre).Mais à condition qu'il soit opérationnel le 6 février. Le deuxième-ligne parisien, retenu parmi les 31, relève de blessure (entorse de la cheville). Lors de la dernière Coupe du monde, ce rôle essentiel de chef de touche était tenu par Damien Chouly, également présent dans le groupe. Lauret et Camara ont été cités comme des bons spécialistes du secteur mais Yannick Bru, responsable des avants bleus, a précisé qu'il n'envisageait pas de jouer aux « apprentis sorciers ». Autrement dit, on n'improvisera pas juste avant d'attaquer un cycle de quatre ans. Si Flanquart est absent, ce rôle de capitaine de touche incombera à Chouly et entraînera, de fait, sa titularisation. A. R.

 

 

On part donc avec Flanquart titulaire indiscutable. J'ose espérer que c'est une blague.

En même temps en reconduisant Bru pour 4 ans on s'attendait à quoi...

[Rémy63]

Flanquart devant Vahaa

 

Bon, et ben je sens qu'on va se marrer pendant 4 ans.

[RCV06]

 

On part donc avec Flanquart titulaire indiscutable. J'ose espérer que c'est une blague.

En même temps en reconduisant Bru pour 4 ans on s'attendait à quoi...

Du coup ça fait Maestri Flanquart et Vaha sur le banc, logique avec Bru !

[LE CIEL ET BLANC]

 

Ça veut dire qu'on part sur une paire Fickou - Fofana ? Parce que dans le genre pas complémentaire ça se pose là.

Le staff de l'EDF serait tenté par tester une paire Danty-Fritz !

[HugoltBolt]

Flanquart devant Vahaa

 

Bon, et ben je sens qu'on va se marrer pendant 4 ans.

 

Je sens qu'on va bien entendre la phrase : "Flanquart est un joueur de l'ombre qui se concentre sur les tâches obscures."

 

Ou autrement dit :"On le voit jamais sur un terrain car il n'est ni puissant ni habile techniquement donc dans le jeu courant il ne sert strictement à rien mais bon il lui arrive quelque fois de venir mettre la tête dans un ruck donc c'est déja pas mal." (Ce qui est le strict minimum pour un 2e ligne bien évidemment)

 

Notez que cette phrase peut aussi marcher avec Maestri (à un degré moindre tout de même).