La défaite sera amère pour l'un de ces deux présidents !
Oui. Moi je voudraye qu'elle soye amère pour Lorenzetti, passque j'l'aime pôh ! Lorenzetti enculé !
Posté 07 avril 2016 - 07:07
La défaite sera amère pour l'un de ces deux présidents !
Oui. Moi je voudraye qu'elle soye amère pour Lorenzetti, passque j'l'aime pôh ! Lorenzetti enculé !
Posté 07 avril 2016 - 10:05
Posté 07 avril 2016 - 12:36
Giteau a l'air pret pour son retour, sur twitter :
Matt Giteau @giteau_rugby
Enjoying being back with the brothers.. Looking forward to a huge challenge this wkend.. #ParceQueToulon
Posté 07 avril 2016 - 16:31
Les supporters toulonnais interdits de grands drapeaux...
Posté 07 avril 2016 - 17:12
Les supporters toulonnais interdits de grands drapeaux...
Ben oui, Jacky il aime poo les drapeaux, grands et rouges et noirs.
Le claquement du tissus dans le vent froid de la banlieue couvre le murmure des spectateurs.
Posté 07 avril 2016 - 17:26
Ben oui, Jacky il aime poo les drapeaux, grands et rouges et noirs.
Le claquement du tissus dans le vent froid de la banlieue couvre le murmure
desdu spectateur.
Corrigé.
Posté 07 avril 2016 - 19:10
Tu n'oserais pas nous...Je serai content quelque soit le perdant du match racing contre les autres.
quant au stade français.......
Posté 07 avril 2016 - 20:49
Ben oui, Jacky il aime poo les drapeaux, grands et rouges et noirs.
Le claquement du tissus dans le vent froid de la banlieue couvre le murmure des spectateurs.
Posté 07 avril 2016 - 20:51
Posté 07 avril 2016 - 21:21
Article interessant de Pierre Ammiche sur Rugbyrama : http://www.rugbyrama...link01&ns_fee=0
Champions Cup - Racing 92-Toulon, analyse technique: Ces jumeaux obsédés par la puissance
CHAMPIONS CUP - Face à face pour la troisième fois de la saison, le Racing et Toulon sont deux clubs coulés dans un même moule. Deux formations qui se ressemblent, d'un recrutement XXL assumé à un style physique affirmé. Un duel européen fratricide, d’accord. Mais entre deux jumeaux, ou presque.
Si Toulon et le Racing ont un passé qui se ressemble, ils ont surtout un présent qui les oppose. Le cadre du duel, magnifique écrin continental, laisse rêver à un match de niveau mondial. La réalité, c'est l’assurance d'un énorme combat. Dans le coin gauche, le challenger qui fait trembler l’Europe, le Racing. A droite, celui qui a écrasé le rugby européen, Toulon. Deux clubs qui, au fond, se ressemblent terriblement. Même budget, même politique de recrutement, même impression de domination cette saison.
Seulement, à l’instar d’une célèbre publicité de confiseur, le RC Toulonnais et le Racing 92 ne partagent plus rien sauf un emballage et une volonté. Celle de conquérir des titres à la faveur d'une arme commune: la puissance physique.
Il faudrait être simpliste pour résumer deux formations à une caractéristique partagée par des dizaines d'autres. La puissance n’est pas que l’apanage de ce quart de finale. Seulement, elle fait figure chez les protagonistes de constante. Elle est même, pour tout dire, à la base du système mis en place par les deux staffs. Le schéma des deux formations reposent sur quelques notions incontournables et intimement liées à cette idée de domination physique.
En défense d’abord, l’objectif principal est de remporter les duels au ras et gagner le milieu de terrain le plus vite possible afin de provoquer des pertes de balle, soit en dans les rucks (contest), soit en imposant des sorties lentes à l’adversaire (et qui pousse au jeu au pied d’occupation ou de pression). Une stratégie possible... uniquement si le premier duel est remporté!
Ces deux équipes vont aussi avoir tendance à jouer le duel au maximum en attaque. La stratégie est légèrement différente: d’un côté, une équipe toulonnaise à l’approche assez frontale (proche du système Gatland), où le RCT va jouer dans le sens, s’appuyer sur ses leaders (J. Smith, Nonu, Bastareaud, Vermeulen) et tenter de casser la ligne de manière directe. De l’autre, un collectif francilien qui va essayer de mettre plus de rythme mais qui va parfois insister au près sur de longues séquences. Un schéma peut-être plus complet, proche de ce que certaines franchises irlandaises produisaient (le Leinster notamment).
Comment faire pour animer ce projet? Tout d’abord avec la volonté de mettre en place une équipe résolument massive. Occultons les premières lignes, rarement fluettes. Du côté francilien, une deuxième ligne Van der Merwe (125 kilos) - Charteris (127 kilos), une troisième ligne où Le Roux (113 kilos) semble incontournable et où Masoe (108 kilos) fait figure de patron auxquels viennent s’ajouter des joueurs au profil "mangeur d’espaces": Imhoff, Laulala ou encore Dulin. Idem du côté toulonnais où Gorgodze, Taofifenua, J.Smith ou encore Vermeulen atteignent tous les 115 kilos ou plus. Deux packs de mastodontes orientés sur le combat plus que sur le déplacement.
Mais attention! Résumer la puissance au poids serait une erreur. Il s’agit là d’un simple indice. Le jeu au sol prime sur le jeu aérien et le profil d’avant "coureur-sauteur" se fait rare chez les deux équipes. Soit. Une quête de solidité que Toulon mène depuis des années, y compris derrière. Avec une paire de centre Nonu-Bastrareaud, une traction arrière Tuisova, Habana, Armitage… Inutile de vous convaincre.
En revanche, côté Racing, le retour en grace de Laulala depuis l’arrivée de Dan Carter et le repositionnement du double champion du monde au poste de centre pour certain gros matches témoigne d’une volonté. D’abord, celle de proposer du jeu en associant deux joueurs plutôt tournés vers l'attaque. Ensuite, celle de titulariser un joueur injustement décrié: Remi Talès. L’ancien ouvreur castrais est un défenseur solide - très solide même - bon gestionnaire et est régulièrement déchargé du jeu au pied par Carter ou Machenaud, autre joueur puissant de ce collectif. Une organisation viable mais qui souffre malgré tout de l’absence d’Henry Chavancy.
Car face à Mathieu Bastareaud, la défense du centre francilien pourrait faire défaut. Un milieu de terrain capital, comme toujours. Quart de finale ou pas, les clefs d'un match sont les mêmes au haut niveau: discipline, réalisme, défense. Seulement cette fois, un autre aspect apparait comme capital: le jeu au sol. Les deux équipes ayant fait de ce secteur leur priorité, un double duel s’annonce déterminant.
Wenceslas Lauret, le plaqueur gratteur à la française aura un défi énorme: faire jeu égal avec le meilleur joueur du monde dans ce registre, un certain Steffon Armitage. L’Anglais bénéficie largement de l’abattage monstrueux de ses avants pour se focaliser sur le ballon. Un registre que Lauret devra imiter.
L’autre affrontement? Un duel de poids lourd entre Duane Vermeulen, l’un des numéros huit les plus puissants du monde et Chris Masoe, le troisième ligne centre le plus efficace en Europe. Là encore, deux joueurs déterminants dans le système de leurs équipes respectives. Souvent utilisés comme premiers attaquants, pour remettre l’équipe dans l’avancée. Si l’un des deux rate son match, c’est tout le collectif qui peut vaciller.
Alors si le spectacle ne sera pas forcément au rendez-vous, le combat, lui, sera de la partie. Et l’équipe qui l’emportera sera, à défaut d’être la meilleure, au moins la plus puissante. Une qualité qui aujourd’hui semble anachronique au niveau mondiale mais largement suffisante à l’échelon continental.
Posté 07 avril 2016 - 21:41
Racing 92 @racing92
@MayolFelix Les drapeaux de Toulon sont autorisés sauf celui de 6m en raison des consignes de sécu en IDF à cause de la taille de la hampe
Voilà voilà .........
J'ai toujours rêvé d'être psy. Ca me permettrait d'analyser ma manie de dessiner des bites... et mes obsessions sado-anales concernant Jacky ! et dans le 78 ça doit rapporter ! Enfin plutôt à Louveciennes ou Versailles qu'à Mantes, mais bon, faut ce qu'il faut.
Posté 07 avril 2016 - 23:09
En parlant de Labit(e) lui et son equipe ont l'air d'avoir les crocs avant dimanche:
« Notre élimination lors du quart dans ces conditions nous avaient traumatisés pour le reste de la saison. A présent, on a rendez-vous avec notre histoire. On va voir dimanche si on a compris ce qui nous était arrivé ou voir si on est toujours aussi con. Ce quart est bien sûr très important pour nous. Ce rendez-vous, on se l’est fixé avec les joueurs. Après notre loupé de l’an dernier, il nous appartient cette fois de le réussir. Que ce soit pour les joueurs de la saison dernière et pour tous ceux qu’on a rentrés c’est un match à ne pas rater. On va voir si on a franchi un palier ou pas. Cette année, notre équipe a davantage de possibilités. Les joueurs ont pris de la maturité, à l’image notamment de Machenaud. »
La défaite du Racing 92 contre le RCT, à domicile, lors de la 19ème journée du Top 14. Extrait:
« Cette rencontre mal appréhendée était importante avant ce rendez-vous Européen. On n’a pas pris ce match par le bon bout. A cause de cela, on a été contraint de se lancer dans une course poursuite. Face à une formation Toulonnaise qui avait largement tourné, on a été malmené. Les jeunes Toulonnais, j’en prendrais bien quelques-uns dans mon effectif, n’ont rien lâché. Il n’a jamais été question de dévoilé ou pas notre jeu en vue du quart. Après cette défaite, on a eu mal à la tête. On était dans de très mauvaises dispositions. Heureusement qu’on est allé faire un résultat à Bordeaux en restant sur ce que nous avions initialement prévu. »
La défaite du RCT contre Clermont, au Vélodrome. Extrait:
« La défaite du RCT au Vélodrome contre Clermont ne nous arrange pas. Toulon va venir encore plus remonté et revanchard. Connaissant Bernard Laporte, j’imagine que ça a dû souffler dans les bronches, en début de semaine. Mais l’Europe c’est une tout autre compétition. Les Toulonnais feront tout pour conserver leur couronne. A nous de voir si nous avons bien grandi. »
L’importance de Matt Giteau à Toulon comme celle de Dan Carter au Racing 92. Extrait:
« Comme Matt Giteau pour vous, Dan n’évolue pas sur la même planète. Il a une influence sur ses partenaires, le jeu, les adversaires, l’arbitre. »
L’intensité des entraînements, cette semaine. Extrait:
« Habituellement, on gueule à l’entraînement pour que les joueurs en fassent plus. Cette semaine, on hurle pour qu’ils baissent en intensité. Certains d’entre nous attendent ce rendez-vous depuis un an »
Posté 08 avril 2016 - 07:09
Peu importe qui va gagner, cette année je ne vois pas un club Français gagner la coupe d'Europe !
Posté 08 avril 2016 - 07:16
Je passais juste pour dire que je m'en tape complétement des ces 1/4 de CE, voila c'est tout, avec plaisir
Posté 08 avril 2016 - 08:06
Je passais juste pour dire que je m'en tape complétement des ces 1/4 de CE, voila c'est tout, avec plaisir
et voilà
l'ASM n'est plus en course et le vioque supporter tape en touche
honteux
fanboy
sportif