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Commotion cérébrale


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#1831 George Abitbol

George Abitbol

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Posté 14 décembre 2018 - 19:22

George, tu la vois C2 ( la deuxième, en partant du haut) ?

Ok je viens de comprendre avec ton commentaire. :) (comme Silhouette visiblement).


Il faut juste savoir où regarder. :P
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#1832 RCV06

RCV06

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Posté 14 décembre 2018 - 20:06

Juste un truc Bru, la lésion du bulbe est fatale, et instantanément.

George, tu la vois C2 ( la deuxième, en partant du haut) ?

Formation en radiologie a distance, ce Forum est magique !!


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#1833 boniblondin

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Posté 15 décembre 2018 - 11:19

Exacte je pensais plutôt a ça ne fait :bush:


Qui ? quand ?

 

difficile de ressortir ce genre de souvenir... hélico du samu sur le stade...

je dirais milieu des années 80, cétait un jeune pilier d un club des Alpes

ce me semble, Rumilly peut-être..



#1834 RCV06

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Posté 15 décembre 2018 - 16:33

 

difficile de ressortir ce genre de souvenir... hélico du samu sur le stade...

je dirais milieu des années 80, cétait un jeune pilier d un club des Alpes

ce me semble, Rumilly peut-être..

C'était a Vichy mais pas un joueur de Vichy.

Par contre au RCV on a un grand joueur Alain Dusang promis a être international qui a eu sa carrière arrêtée par une sale blessure aux cervicales, par contre il a conservé son intégrité physique ce qui est déjà pas si mal.



#1835 Gai Novice

Gai Novice

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Posté 15 décembre 2018 - 16:34

C'était a Vichy mais pas un joueur de Vichy.
Par contre au RCV on a un grand joueur Alain Dusang promis a être international qui a eu sa carrière arrêtée par une sale blessure aux cervicales, par contre il a conservé son intégrité physique ce qui est déjà pas si mal.

Dusang c'est pas quand il s'était fait démolir par un agenais (Nieucel)?

#1836 RCV06

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Posté 15 décembre 2018 - 16:37

Dusang c'est pas quand il s'était fait démolir par un agenais (Nieucel)?

Ça par contre je sais pas, quand c'est arrivé je n'étais pas encore au club.



#1837 ghilou

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Posté 15 décembre 2018 - 20:07

Apparement ce bon Lafond dit un truc, et je me suis fait la même reflexion pendant le match de cet aprèm : pourquoi ne pas definir le plaquage haut comme au dessus de la ligne du bassin? Moins de chocs sur le haut du corp et en plus ça fera plus de spectacle avec plus de passes après contacts.

 

Après ça règle pas tout les problèmes, le geste pouvant devenir d'autant plus dangeureux pour le plaqueur (ex: Ezeala)



#1838 cetotomatos

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Posté 15 décembre 2018 - 21:11

Cet aprèm on a vu 2 ou 3 manchettes galloise pleine tête qui sont passées crème.
Le chemin sera long.

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#1839 Arverne03

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Posté 16 décembre 2018 - 10:10

Cet aprèm on a vu 2 ou 3 manchettes galloise pleine tête qui sont passées crème.

 

Ils sont en train de repasser la série "KUNG FU" à la télé Galloise. Forcément, cela "imprègne" les cerveaux !  ^_^



#1840 Bru

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Posté 16 décembre 2018 - 10:58

Je ne vois pas très bien en quoi la tutelle ministérielle sur la FFR consiste ?

Dans ce qui est appelé "l'affaire Laporte", ça roupille sévère et vu que les ministres se rencontrent au moins le jour du Conseil, celle des Sports pourrait voir avec elle de la justice.

On en est à 3 morts en 7 mois après incident grave sur un terrain, je ne sais pas si le ministère a communiqué là-dessus. Il me semble que le problème est suffisamment grave pour être abordé à ce niveau.

Ou alors ces ministres sont bloquées à un rond-point ????? (bien qu'on en trouve rarement au bout d'une impasse).


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#1841 Baba Yaga

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Posté 16 décembre 2018 - 22:00

http://www.blog-rct....jeunes-joueurs/

 

A l’issue de la victoire bonifiée de ses joueurs contre le Rugby Club Toulonnais, le manager de Montpellier, Vern Cotter s’est confié au sujet du décès du jeune rugbyman du Stade-Français Paris, Nicolas Chauvin.

Le coach du MHR précise que ce sont souvent les jeunes qui sont concernés par ces accidents. Il se demande si ces jeunes joueurs sont bien préparés pour la pratique du rugby. Extrait:

« Les blessés sont souvent les jeunes joueurs. Est-ce qu’ils sont assez bien préparés ? C’est un accident de jeu et malheureusement il y a des accidents dans tous les sports. Ça fait vraiment mal quand ça touche notre sport. La base de notre sport est le combat et le respect. Le respect de ce que l’on fait. Si on garde le respect, si on est bien préparé et si on fait ce qu’il faut pour bien préparer les jeunes, j’espère que l’on va réduire ce genre de choses. »

 

Bon, d'accord...


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#1842 reo63

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Posté 16 décembre 2018 - 22:25

Une mort en direct d'un top joueur sera maintenant la seule chose qui sera considérée comme inquiétante, les jeunes c'est pas assez représentatifs de la violence sur un terrain car on les prépare mal en France, voilà ce que je lis dans cette interview, vern me déçois sur ce coup !

#1843 Toorop

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Posté 16 décembre 2018 - 22:35

Cela me semble une base intéressante de discussion. Léo Faure dans le Midol demain.

 

Jeudi soir, Brett Gosper était de sortie, sur le plateau du Late rugby club de Canal +. Le P.-D.G. de World Rugby en personne, en mission de communication, pour tenter d’éteindre l’incendie français né d’un troisième décès en sept mois, les trois directement imputables à la pratique du rugby. Gosper s’est livré à un exercice délicat, sur un fil, où il convenait de ne pas minimiser les faits dramatiques, d’un côté. « C’est un moment très dur pour le rugby en France et pour le rugby mondial. Nous sommes sous le choc car ce ne sont pas des événements qui arrivent souvent dans notre sport. Il y en a peu. Mais je ne veux pas trop relativiser les choses car c’est un événement très triste. » Dans l’autre sens, Gosper a tant bien que mal assuré le service après-vente du travail mené par l’institution suprême. « L’intégrité des joueurs, c’est la priorité numéro un pour World Rugby. […] Je pense qu’on fait beaucoup de choses pour rendre notre sport plus sûr : autour des commotions cérébrales avec le protocole mis en place, qui a eu beaucoup de retours positifs. On fait beaucoup d’études, on passe en revue 6 000 plaquages, on fait de l’analyse vidéo… » Des études, donc, pour l’essentiel. Qui ne débouchent pas encore sur des mesures.

En voici pourtant certaines, urgentes, qui permettraient de protéger les plus jeunes mais, surtout, de changer leurs habitudes de jeu. C’est bien l’enjeu majeur qui lutte, en toile de fond : faire évoluer en profondeur les mœurs des plus jeunes, leur approche d’un rugby devenu trop physique, jusqu’à les mettre en danger. Ce retour philosophique à un rugby d’évitement prendra du temps pour devenir évident à tous. Autant commencer tout de suite.

1. Abaisser la ligne réglementaire de plaquage

C’est le point le plus avancé : depuis un an, World Rugby expérimente l’abaissement réglementaire des plaquages pour aboutir à « ajuster la hauteur d’un plaquage dangereux de la ligne des épaules à la hauteur de la poitrine, dite « la ligne des tétons » ». En abaissant la zone d’impact, on en diminue la puissance puisque le défenseur se retrouve, alors, moins ancré sur ses appuis. La réglementation permettrait également de protéger les points vitaux des joueurs impactés, à commencer par le cœur, les cervicales et la tête. Adrien Descrulhes, Louis Fajfrowski et Nicolas Chauvin ont tous succombé à des impacts au niveau du thorax ou, pire, de la tête. Supprimer ces impacts serait un gain sécuritaire immense. C’est une urgence.

2. Instaurer des catégories de poids chez les jeunes

Déjà en place dans certaines compétitions de jeunes en Nouvelle-Zélande, la pratique présente deux intérêts majeurs : chez les sujets les plus jeunes, rendus vulnérables par la période de croissance ostéo-ligamentaire, elle nivelle les écarts physiques que créent les différents stades de la puberté. Pour faire clair : chez les jeunes, on aligne aujourd’hui, en France, des joueurs en avance sur leur puberté face à des joueurs en retard. Avec des écarts physiques parfois immenses et, sur le même terrain, des enfants opposés à des hommes. En catégorisant par poids (comme le font tous les sports de combat) plutôt que par âge, cet écart et les risques engendrés disparaissent. Deuxième intérêt, qui touche à la formation : gommer les écarts physiques, c’est forcer les jeunes joueurs à trouver et développer d’autres armes pour prendre le dessus sur leur adversaire. La quête de la bonne passe, au bon endroit et au bon moment, le sens des intervalles, la culture tactique s’en trouvent renforcés. Ce qui rejaillira chez les adultes, avec des joueurs beaucoup plus aboutis techniquement et programmés pour un rugby de mouvement. Enfin.

3. Accepter Un arbitrage plus sévère

Derrière les discours, il y a les comportements. Quand la question de la sécurité des joueurs est posée, tout le monde s’accorde sur l’urgence, la nécessité de réformer et de protéger les hommes. Quand on en vient aux actes, les discours sont souvent plus discordants. Faire évoluer les mentalités, c’est accepter qu’un joueur soit sanctionné d’un carton rouge pour un plaquage à la tête ou une intervention aérienne mal maîtrisée, même involontaire. Même lorsqu’il s’agit de son propre joueur.

4. réformer la Formation en faveur du jeu de passes

Sur ce point, la FFR a déjà avancé. Dans son programme #bienjoué lancé mi-septembre à destination des écoles de rugby, les deux premières mesures ont été les plus novatrices et, logiquement, les plus commentées : « Lancement du grand test de la règle du passage en force sur les moins de 14 ans au niveau national et sur les moins de 8, 10 et 12 ans dans les ligues Occitanie et Pays de la Loire » ; « Extension de la règle du toucher 2 secondes mise en expérimentation la saison dernière et qui viendra en complément d’autres formes de pratiques (jeu en contacts aménagés, rugby éducatif avec plaquage et rugby à 5, à X et à XV) pour un rugby éducatif évolutif. » Objectif : remettre la passe au centre des pratiques chez les plus jeunes.

5. Catégoriser les postes par poids

Dans ces colonnes, le professeur Chazal proposait ceci, en août dernier : « Pourquoi ne pas réglementer les postes selon les physiques ? Pourquoi Nemani Nadolo ne pourrait-il pas être contraint de joueur troisième ligne ? C’est une piste de réflexion. » Sans nul doute, ce serait la réforme de fond la plus révolutionnaire. Et après tout, pourquoi pas ? Pourquoi ne pas imposer des plafonds de poids pour chaque poste, pour équilibrer les confrontations directes et protéger les joueurs les moins lourds ? Et si, demain, un trois-quarts ne pouvait plus dépasser 100 kg, un demi 90 kg, un troisième ligne 120 kg, etc. ? Tous les sports de combat y passent. En boxe, on tiendrait pour fou celui qui alignerait sur un ring un poids lourd face à un poids léger. « C’est pourtant ce que fait le rugby », concluait Chazal. Jusqu’à quand ?



#1844 RCV06

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Posté 16 décembre 2018 - 22:40



C'est pas mal, mais un trois quarts de 100kg c'est déjà ^beaucoup, moi j en enlèverais au moins 10

Modifié par JB 03, 17 décembre 2018 - 06:20 .
Suppression de la citation


#1845 Boulard

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Posté 16 décembre 2018 - 23:06

C'est pas mal, mais un trois quarts de 100kg c'est déjà ^beaucoup, moi j en enlèverais au moins 10


Ça créerait un sacré embouteillage pour les postes du 8 de devant.




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