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TOP 14 2018/2019


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221 réponses à ce sujet

#151 Gourine63

Gourine63

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Posté 09 juillet 2018 - 08:05

 
Par contre évite Kenjy pas sur que les petite mamie ne resiste à son charme et que les Papy supporte sa musique.


Gourine63 > Kendjy

En plus Kendjy c'est quand même un bon gros prénom de merde :fume:

#152 ELSAZOAM

ELSAZOAM

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Posté 09 juillet 2018 - 08:10

 

Par contre évite Kenjy pas sur que les petite mamie ne resiste à son charme et que les Papy supporte sa musique.

Dommage que Manitas ne soit plus de ce monde...   :bush:

 

Je veux dire Manitas de plata, pas l'autre : 



#153 diomedea

diomedea

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Posté 09 juillet 2018 - 10:19

 

Ben moi cette année je n'ai jamais était à la plage si tard et en mai il a plue...

 

Enfin la j'en reviens ca fait du bien eau à 24° presque trop chaude....

 

Sinon pour répondre à Lavande voici la plage de Toulon que j'adore (a 15 minute à pied du centre ville et en pleine ville)

plage_de_la_mitre_1.jpg

 

 

Tiens Parigot est passé par là. Après le dessin il s'est mis à la sculpture de bites géantes ?



#154 Parigot_Paris

Parigot_Paris

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Posté 09 juillet 2018 - 10:54

 
 
Tiens Parigot est passé par là. Après le dessin il s'est mis à la sculpture de bites géantes ?

Ah non, ça doit être un cousin. La saison est morne sans rugby ! Heureusement qu'on a de vrais débats d'idées ! :w00t:

#155 ELSAZOAM

ELSAZOAM

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Posté 09 juillet 2018 - 14:57

Ah non, ça doit être un cousin. La saison est morne sans rugby ! Heureusement qu'on a de vrais débats d'idées ! :w00t:

Avec débits dadais...  :D  :P  



#156 bazooka

bazooka

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Posté 09 juillet 2018 - 16:35

Gourine63 > Kendjy

En plus Kendjy c'est quand même un bon gros prénom de merde :fume:

 

Un prénom de merde chez les gitans, c'est aussi rare qu'une caravane  :whistling:  :whistling:  :whistling:  :P



#157 Gourine63

Gourine63

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Posté 09 juillet 2018 - 20:25

 
Un prénom de merde chez les gitans, c'est aussi rare qu'une caravane  :whistling:  :whistling:  :whistling:  :P


Certains ont des noms plus que normaux, ne mettons pas tout le monde dans le même panier voulez-vous.

Bon c'est vrai qu'il y'a quand même une majorité de Dayton, Kayton, Brandon etc...
Manque plus qu'un p'tit Légendoton pour boucler la boucle :bush:

#158 RCV06

RCV06

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Posté 09 juillet 2018 - 21:29

Certains ont des noms plus que normaux, ne mettons pas tout le monde dans le même panier voulez-vous.

Bon c'est vrai qu'il y'a quand même une majorité de Dayton, Kayton, Brandon etc...
Manque plus qu'un p'tit Légendoton pour boucler la boucle :bush:

Alors là, c'est Ashton, lui c'est Rutz, lui c'est Pierce, l'autre derrière c'est Pierce aussi, j'ai jamais compris pourquoi, et lui euh, j'crois qu'il a pas d'prénom, tout le monde l'appelle Connard...



#159 bazooka

bazooka

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Posté 10 juillet 2018 - 08:04

Les meufs aussi c'est pas mal... assez branché série Américaine on dirait. 



#160 RCV06

RCV06

    Champion du Monde

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Posté 25 juillet 2018 - 14:34

Premiership - Le rugby anglais expérimente un abaissement de la hauteur légale des plaquages
Par AFP

il y a 57 minutes

  •  
  • 10
La hauteur légale des plaquages sera abaissée pour la saison prochaine lors d'une expérimentation visant à réduire le nombre de commotions et autres blessures, ont annoncé mercredi les dirigeants de la Fédération anglaise de rugby.

La hauteur règlementaire, actuellement fixée au niveau de la ligne des épaules, sera abaissée au niveau des aisselles. Cette expérimentation sera menée lors des matches d'une compétition de deuxième niveau professionnel. "Cette expérimentation a pour but de mesurer l'influence d'un abaissement de la hauteur des plaquages dans le rugby professionnel sur le nombre de commotions et d'autres blessures, sur le comportement des joueurs lors des plaquages et sur la nature des plaquages", a indiqué la Fédération anglaise de Rugby (RFU).

Cette décision intervient après qu'un rapport a montré que 47% des blessures survenues lors des matches étaient associées à un plaquage. Les commotions représentent 43% des blessures dont sont victimes les joueurs à l'initiative d'un plaquage, et 19% des blessures des porteurs du ballon. "Tous les résultats seront partagés avec la Fédération internationale World Rugby et seront ajoutés aux données collectées lors d'une expérimentation similaire menée lors de la Coupe du monde des moins de 20 ans", a ajouté la RFU. "Nous pensons qu'abaisser la hauteur des plaquages sera bénéfique autant pour les porteurs du ballon que pour les plaqueurs", a déclaré Nigel Melville, responsable du rugby professionnel au sein de la RFU

 

Ça me parait assez léger comme changement, la vraie révolution serait de baisser jusqu au hanche, l effet serait double, sur la santé des joueurs et sur le déroulement du jeu, libérer les bras permettrait une continuité du jeu bien plus grande.

C'est frileux comme mesure mais c'est déjà mieux que chez nous ou on ne teste jamais rien.



#161 Parigot_Paris

Parigot_Paris

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Posté 26 juillet 2018 - 07:13

Oh, pour ce que j'en disais... je pars en Bretagne aujourd'hui tas de nouilles alors vous aurez la paix ! :w00t:

#162 Arverne03

Arverne03

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Posté 26 juillet 2018 - 10:39

Oh, pour ce que j'en disais... je pars en Bretagne aujourd'hui tas de nouilles alors vous aurez la paix ! :w00t:

 

Non, reste ! Il fait beau ici !  :P



#163 Parigot_Paris

Parigot_Paris

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Posté 26 juillet 2018 - 13:05

 

Non, reste ! Il fait beau ici !  :P

Il fait un temps IN-CROY-YABLE-EUH : les Bretons se cachent dans le lit des rivières à sec, des gnous ont été aperçus à Ploudalmezeau, on manquera bientôt d'eau pétillante ! :crying: En attendant j'ai du ouiffie, je vais pouvoir continuer à troller sévère ! :narquois:



#164 Yellow

Yellow

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Posté 18 août 2018 - 11:28

Petite question (j'ai pas tout lu !).

 

Il y a 3 doublons cette année (24/11, 23/02, 16/03) mais il y a aussi 4 journées de rassemblement qui font doublons.

 

Quelqu'un a les dates de ces journées ?

 

Merci

 

 

PS...je bosse mes pronos  :innocent:  :innocent:  :innocent:



#165 el landeno

el landeno

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Posté 23 août 2018 - 07:29

Le LOU, comme une évidence
Publié le mercredi 22 août 2018 à 12:05 | Mis à jour le 22/08/2018 à 14:22
Après s'être hissé in extremis sixième et dernier qualifié, le CO a décroché le titre de champion de France en juin dernier. Alors que le Top 14 recommence samedi (14h45), quel club peut réaliser cette saison un exploit «à la Castraise» ? Cinq experts - Olivier Magne, Guy Accoceberry, Jean Guibert, Jacques Delmas et Philippe Benetton - répondent à cette question.

Pour comprendre les enjeux de cette nouvelle saison de Top 14, samedi, il fallait revenir sur cet exploit inattendu : classé in extremis sixième et dernier qualifié à la force du poignet, Castres est devenu champion de France le 2 juin dernier. Quand on sait que les places de premier et de deuxième donnent directement accès aux demi-finales et permettent aux joueurs ainsi qualifiés de se régénérer pendant une semaine avant d'entrer en lice, on peut se poser légitimement la question de savoir s'il est si important, désormais, de viser le haut du tableau. «L'exemple de Castres va décrisper tout le monde, c'est certain, assure l'ancien flanker international Philippe Benetton. Il suffira d'assurer sa place dans les six premiers car visiblement en phase finale, plus tu joues mieux tu te portes... Tu gagnes peut-être en fraîcheur à être dans les deux premiers mais tu perds en rythme, comme si tu avais les jambes coupées.» Impression confirmée par l'ancien coach de Brive et des moins de vingt ans, Olivier Magne : «Se qualifier sixième n'est pas un handicap. Ça va donner des idées à certains en cours de saison. En cas de bon parcours, les coaches auront peut-être la tentation de faire tourner leur effectif pour permettre à leurs joueurs de garder de la fraîcheur. Viser les deux premières places ne sera sans doute plus un objectif à tout prix.»

«Mais quand je vois les équipes qui ont recruté fort, comme le Racing 92, Montpellier, Clermont et Toulon, je me dis que ce sera difficile pour un autre club de reproduire cette saison ce que Castres a réalisé la saison passée, modère Jean Guibert, ancien coach de Tyrosse et de Dax. Décomplexer et ouvrir des perspectives, oui, mais on ne peut pas imaginer une semblable histoire deux saisons de suite.» Avis partagé par Jacques Delmas, trois fois champion de France aux commandes de Biarritz et de Toulon : «Déjà, Clermont va reprendre sa place dans le Top 6, ce qui va limiter les opportunités. On se dit que les matches éliminatoires, type barrage, favorisent la montée en puissance d'une équipe. Mais concernant Castres, c'est un concours de circonstances. Les Castrais sont allés se chercher la qualification au dernier moment, ils ont battu Toulouse chez lui et ont éliminé le Racing 92 qui avait la tête à l'envers en sortant d'une finale de Coupe d'Europe perdue. Puis ils tombent sur une équipe de Montpellier qui se croyait déjà championne de France. Toutes les planètes étaient alignées...» Effectivement, pas sûr qu'elles le soient de nouveau cette saison.

42b74.jpg Les avants castrais en pleine action de déblayage au sol dans le sillage de leur flanker international Yannick Caballero, lors d'un match de préparation face au Canada. (Photo F. Lancelot/L'Equipe) Un Top 14 homogène avec dix clubs en quête de titre

«En préambule, lance le consultant France Inter Guy Accoceberry, je voudrais dire que Castres n'était pas l'outsider type, la saison passée. Sa place en top 6 était pour moi une demi-surprise car le C.O. est régulier au plus haut niveau depuis longtemps. Ce n'est donc pas un hasard si ce club a été champion.» Après cette mise au point, se pose la question de savoir s'il est souhaitable de prolonger cette particularité du rugby d'élite français qui veut que le champion à la fin de la saison soit celui qui a terminé dans les six premiers et remporte ensuite une sorte de mini-Coupe de France sur deux matches couperet et une finale. «Sportivement, le débat est ouvert, reconnaît Olivier Magne, consultant pour L'Equipe et Eurosport. Etre champion en finissant sixième, ce n'est pas équitable. Le premier à l'issue de la phase régulière devait, dans la logique sportive, être sacré.»

Sauf qu'il y a «dix clubs qui peuvent postuler à une place dans le top 6, cette saison, note Jacques Delmas, et ça va être terrible !» Olivier Magne prolonge ce constat : «Le Top 14 devient de plus en plus homogène. Toutes les équipes sont armées pour rivaliser, hormis les promus, qui ont un potentiel moindre.» Une concurrence à deux vitesses, néanmoins, avance Guy Accoceberry, ancien demi de mêlée du XV de France : «Je ne vois pas comment le titre pourrait échapper cette saison à un des quatre gros, à savoir le Racing 92, Toulon, Clermont et Montpellier... Ces quatre clubs vont revenir fort et tout faire pour s'éviter une nouvelle désillusion. La surprise deux années de suite, je n'y crois pas...»

d6c54.jpg Le nouveau capitaine du Stade Rochelais, Victor Vito, à l'assaut d'Agen durant l'intersaison, à Marcel-Deflandre. (Photo R. Perrocheau/L'Equipe) La Rochelle, davantage que Pau et l'UBB, pour une place qualificative

Alors que la Section Paloise semblait s'être donné il y a trois ans les moyens - soutenu par son principal sponsor, Total - de viser une sixième place, son bilan n'est pas à la hauteur des investissements financiers et sportifs consentis. Onzième, neuvième puis huitième : une progression, certes, mais pas exponentielle comme attendue. «Pau va toucher de près la sixième place qualificative mais sans franchir ce cap, anticipe Philippe Benetton, ancien coach du Racing Métro 92, de Béziers et de Perpignan. Il manque aux Palois quelques joueurs de grand niveau. Ils auront l'effectif en 2020 dans la mesure où ils ont prévu de recruter quelques grands noms après le Mondial au Japon. Mais d'ici là...»

Olivier Magne est encore plus catégorique : «Là, je dis clairement non. Pau ne sera pas en phase finale. Pas cette saison !» Et pour les mêmes raisons : la retraite de leur maître à jouer, le centre All Black Conrad Smith et l'absence de joueurs capables de faire la différence à tout moment dans les matches serrés. Visiblement, ce n'est pas Bordeaux-Bègles qui trouve grâce aux yeux de nos experts : «Le club bordelais a perdu une grande partie de son identité en pratiquant un jeu à l'anglaise. Est-ce que cela correspond à son ADN ? A la volonté des joueurs ?» s'interroge Philippe Benetton. «Est-ce que le projet de jeu de Teague va prendre ?», questionne lui aussi Olivier Magne. «Concernant l'UBB, j'ai des doutes...»

Qui va jouer les trouble-fêtes ? «La Rochelle peut être un outsider parfait. Comme Castres l'a été la saison dernière. Même s'il risque d'y avoir des changements en cours de saison, côté rochelais, quand Jono Gibbes va débarquer...» glisse Olivier Magne. «Effectivement, il y a l'après-Collazo à gérer et l'arrivée tardive de Jono Gibbes en novembre qui va petit à petit apporter sa patte, ajoute Philippe Benetton. Mais je vois un changement dans la continuité. C'est-à-dire une progression. D'ailleurs, l'effectif reste assez stable.» Assez pour que les Maritimes, leaders en 2017 mais septièmes en 2018, puissent une nouvelle fois se retrouver dans le haut du tableau.

b638c.jpg Le pack lyonnais offre toute les garanties de solidité pour bien figurer dans ce Top 14 et mettre son demi de mêlée international Baptiste Couilloud dans de bonnes conditions. (Photo F. Porcu/L'Equipe) Révélation de la saison passée, Lyon récolte tous les suffrages

Guy Accoceberry est catégorique : «Oui, Lyon, demi-finaliste la saison passée, a le profil d'un champion «à la Castraise» ! Il a les deux ingrédients clés pour cela : la continuité et la solidarité.» Presque des vertus dans un monde professionnel mouvant. «Le LOU est passé en trois ans de promu à champion de France potentiel, s'enflamme Philippe Benetton. Le maintien n'est plus l'objectif du club : c'est désormais le titre. Demi-finaliste la saison passée, il peut franchir un cap.» Avant de tempérer son propos : «Lyon aura aussi la Coupe d'Europe à gérer : a-t-il l'effectif pour ça ? N'y a-t-il pas risque d'exploser en plein vol ?»

Pour Jean Guibert, observateur attentif du rugby d'élite, «Lyon monte en gamme, que ce soit au niveau du budget ou du recrutement. Et ça depuis un certain temps. Est-ce une surprise de retrouver le LOU à ce niveau ? Non. La surprise, ce sera que Castres soit de nouveau champion...»  Argumentant dans ce sens, Olivier Magne, qui mise lui aussi sur le LOU pour brouiller les cartes en phase finale, conclut en assurant que «l'année de la confirmation est toujours la plus difficile...» Toute proportions gardées, le Stade Français, champion en 2015 puis englouti, le Racing 92 victorieux en 2016 puis à la peine, et le Stade Rochelais, premier de la saison régulière en 2017 mais incapable de confirmer cette soudaine et inattendue mise sur orbite, peuvent facilement le confirmer.