oui mais ça c'était avant quand tu jouais pour le smic et le plaisir.
on est dans l'air du sport spectacle, et désolé mais a part les puristes passionnés y avait deux pelé et un tondu au stade à l'époque, et si tu dis au joueur que l'on revient à cette époque question rémunération, ils vont te pendre haut et court.
il faut bien te dire que a part quelque ancien en voie de disparition, le public dans les stade préfère voire des coachings et un jeu a 100 a l'heure de maintenant , a avant où ça jouait a 2 a l'heure et finissait a 3 partout...
et comme de toutes façons l'argent prime tout dans le rugby comme ailleurs, un retour en arrière est impossible, donc faut trouver d'autre solution.
et, zebdomes, même si tu es ultra sévère, tant qu'il sera avantageux pour l'équipe de rentrer dans la tronche du gars d'en face plutôt que de l'éviter, tu réglera rien a la violence dans le rugby, tu aura simplement éviter les actes volontaires, mais qui ne représentent pas la majorité des blessures, loin de la...
et oui, l'époque ou le rugby était réservé aux passionnés (joueurs et spectateurs) était certainement plus saine que maintenant, quand à revenir en arrière, il ne faut pas croire les choses immuables tant il semble évident que les sponsors vont se barrer de ce sport qui n'apporte plus rien en terme d'émotion et d'esprit différent du football.
Et quand il n'y a plus de pognon et bien les joueurs ils ne pendent personne haut et court, ils font comme toi quand tu travailles dans une entreprise qui dépose le bilan.
Tu sais pour ne prendre que l'exemple du Michelin, dans les années 1970 (par exemple) il n'y avait pas 20 000 spectateurs tous les dimanches, mais seulement quelques milliers de passionnés, pas de télé non plus, pas de joueurs payés comme des stars de ciné mais une ambiance qui n'avait rien à envier à celle d'aujourd'hui bien au contraire et des joueurs qui mouillaient le maillot sans état d'âme et j'ai jamais vu personne se faire chier.
oui, putain, vivement que tous ces sponsors se barrent du rugby et que tous les suce boule des médias s'intéressent à autre chose et qu'ils ne nous les brisent plus.