93 réponses à ce sujet

[Le Marseillais]

Les vieux réflexes qui reviennent.

 

Le fils de Jean (du célèbre bataillon LEOPARD) si je ne m'abuse

Ça je ne sais pas.

La seule chose dont je me souviens, c'est que Schramm père était un chirurgien réputé à Nice.

[La goutte]

C'est pas lui alors. 

 

Celui dont je parle est un ancien collègue (avec qui j'ai bossé au Katanga) et dont le fils joua un temps au rugby à Nice. 

[steph]

C'est moi le rigolo ?
A C Ehrmann,on s'entrainait seulement, juste à coté des pelouses de l'OGCN d'ailleurs.
Je jouais avec ce bon docteur Serge Simon, et Julien Schramm, si tu connais.

Ex journaliste à L'équipe aussi non ?

[La goutte]

Ex journaliste à L'équipe aussi non ?

 

Et grand pote de Didier Roustan

[Le Marseillais]

Ex journaliste à L'équipe aussi non ?

Absolument, c'est bien lui.

Revenu à Nice depuis quelques années.

[Arverne03]

Peut être pas mieux avant...............mais surtout différent ! 

[La goutte]

Oui et l'edf remplissait les stades.

 

Souvenons nous des matchs au Stadium, à la Beaujoire ... Quelle tristesse de voir que nous ne sommes plus capables de Remplir les stades

[RCV06]

 

 

Rigolo, je sais bien que la vraie légende était Eric, mais bon les frères Buchet à Nice... la finale de championnat en 83 etc... Philippe si mes souvenirs sont exacts avait eu son heure de gloire, le jour de la finale perdue face à Béziers... où il paraîtrait qu' à la fin du match  un joueur de Béziers (dont j'ai perdu le nom) vienne pour lui serrer la main, il lui a mis une droite... sacré fait d'arme... une autre époque...

 

Non, on jouait à Charles Ehrmann...

 

Enfin, ils étaient complètement jobastres... j'ai vu notre ailier, étudiant en médecine, prendre plus de cartons sur une saison que les mecs de devant... il avait vraiment du gaz, et une fois, il prend son ailier, cad-deb, file à l'essai, et il l'a insulté sur les 15 derniers mètres (je vous passe les insultes relatives à sa maman et autres joyeusetés !, lui montrait son numéro etc...    ) , jusqu'à récolter un carton rouge... je n'avais jamais vu ça avant... et pourtant j'avais déjà 12 ans de rugby....

Suicidaire surtout parce que Nice c'était rugueux mais la force de frappe coté Béziers c'était encore pire.

[La goutte]

https://actu.fr/spor...i_19497712.html

 

C'était mieux avant.

[Jean Paul Belmondo]

https://actu.fr/spor...i_19497712.html

 

C'était mieux avant.

 

faudrait regarder les statistiques .... mais je suis pas sur qu'on ait deja rempli un stade de france pour un France Fidji ...

[reo63]

 
faudrait regarder les statistiques .... mais je suis pas sur qu'on ait deja rempli un stade de france pour un France Fidji ...

ça risque pas cela n'ayant jamais eu lieu, au mieux il faudrait comparer au match de 2014 au velodrome

[La goutte]

FRANCE Test Match - 2014

(2014)

Samedi 08/11/2014 FIDJI 40   15 14 Score MT 0

 

ARBITRE : Glen JACKSON (NZ)

LIEU : Stade Vélodrome (Marseille)

 SPECTATEURS : 44 128

[el landeno]

Le 28 avril 1991, le match entre Toulon et Bègles a été un sommet de violence Il y a 30 ans, le 28 avril 1991, Toulon et Bègles s'affrontaient en huitième de finale aller du Championnat de France. Un match resté dans les mémoires pour son extrême violence.

Le 28 avril 1991 est une date restée dans la petite histoire du rugby français. Ce jour-là, un vent de folie traversa Mayol et fit rentrer le huitième de finale aller Toulon-Bègles (victoire des Toulonnais, 18-9) au panthéon de la violence. Deux sordides bagarres générales avec coups de pied sur joueurs à terre, des avertissements, des licences retirées, des crachats, des injures, des bagarres d'après match entre remplaçants... Vingt ans plus tard, en septembre 2011, à l'occasion d'un match de Championnat entre les deux équipes, nos reporters Serge Tynelski et Marc Beaupère avaient revisité ce match en interrogeant les anciens Béglais Bernard Laporte, alors fraîchement nommé manager du...RCT, et Vincent Moscato.

 

 

La descente du bus

« Ça avait été plus une embuscade qu'un attentat », estime Bernard Laporte, alors capitaine de Bègles. Vincent Moscato, son talonneur de l'époque, nuance : « Plutôt la guerre des gangs dans le Bronx entre les Ritals et les Irlandais. Là, c'était les Toulonnais contre les Béglais, sans Di Caprio. Pas de musique et que du geste. Quand on est descendus du bus, les Toulonnais nous attendaient, alignés en deux colonnes de part et d'autre de la sortie et ils ont commencé à nous défier du regard. Méchante limonade comme on dit. Le ton était donné. Ça n'a pas parlé mais c'était pire. »

 

La première partie du compte-rendu du match publié dans L'Équipe le 29 avril 1991.

Le coup du lacet

« Un ancien international d'Agen m'avait dit : "Tu vas voir Champ va te faire le coup du lacet" », raconte Laporte. Avant d'entrer sur le terrain, Champ avait effectivement le lacet défait... Là, il se baisse pour nous pousser à entrer sur la pelouse en premier sous les huées du public, rigole-t-il, mais je m'arrête aussi et Champ se met à gueuler : " Tu vas rentrer oui ou merde ? " Alors je lui ai répondu un truc du genre : " Mais non, je t'attends car je veux m'amuser avec toi, moi. " On est alors rentrés tranquillement mais c'était tendu. »

L'état d'esprit des Béglais

« Quelques semaines avant le match, j'étais allé superviser Toulon à Mayol contre Narbonne, explique Bernard Laporte. Personne ne me connaissait, mais, à Besagne, j'ai entendu de tout sur les voyous de Bègles. Au retour, je ne me suis pas gêné pour le rapporter aux gros qui ont décidé de se raser la tronche pour faire les durs. Quand on est arrivés à Mayol, on était chauds comme la braise...»

 

La deuxième partie du compte-rendu du match publié dans L'Équipe le 29 avril 1991.

L'état d'esprit des Toulonnais

Un seul élément permet d'imaginer le degré de motivation des joueurs varois ce jour-là. Laporte : « C'était la der de Daniel Herrero comme entraîneur », la suite de la phase finale ayant lieu sur terrain neutre. Impensable alors que le « bubar » (pour barbu en verlan) ne quitte le stade Mayol sur une défaite. Quant au public toulonnais, il est en fusion avant même le coup d'envoi. Pendant la minute de silence qui précède le match, Vincent Moscato est copieusement insulté. Entre les joueurs, au centre du terrain, la tension est indescriptible.

Le coup d'envoi

L'arbitre n'a que retardé l'échéance. « Deylaud file le coup d'envoi directement dans la tribune, se souvient Laporte. Mêlée au centre. Je vous passe le reste. » Pourtant les choses ne dégénèrent pas tout de suite. L'arbitre, bien au fait de l'ambiance électrique, siffle une pénalité en faveur de Toulon avant même l'entrée en mêlée. But réussi 3-0 pour le RCT. Sur le coup d'envoi suivant, pénalité pour Bègles, qui la manque. Mais l'arbitre ne fait que retarder l'échéance. Les deux équipes s'étaient « donné » rendez-vous et se trouvent à plusieurs reprises avec une violence inouïe. « Ça promettait d'être chaud et ça l'a été, sourit Moscato. Ça a fait badaboum. C'est tombé de partout. Tout aux hormones. Marrons et coups de pompes d'usage. J'ai compris à ce moment-là pourquoi j'ai toujours regretté de ne pas avoir joué à Toulon. Champ avait été énorme. »

 

[modeste]

C'était mieux avant,  Roger Couderc  valait beaucoup mieux que Lartot 

[la bella y la Bestia]

C'était mieux avant,  Roger Couderc  valait beaucoup mieux que Lartot 

il a quel âge Monsieur Modeste ?

Hein ?