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LHERMET Jean Marc


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152 réponses à ce sujet

#16 Le Marseillais

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Posté 14 mars 2019 - 21:53

Prenez mon cas personnel, par exemple: je mériterais probablement le prix Nobel de médecine, et bien, par pure modestie, j'ai décidé de ne pas y être candidat.

 

Sinon, c'est sympa pour Lhermet, je crois que c'est un mec bien.


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#17 George Abitbol

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Posté 14 mars 2019 - 22:10

Ya un journaliste du canard enchaîné qui avait été viré pour l'avoir accepté . Il s’en était défendu et son boss lui aurait rétorqué : vous n’aviez qu’à pas la mériter.

 

Ah merci ! Je n'arrivais pas à me souvenir de l'anecdote. Je cherchait une phrase « Une distinction ça se refuse ». Mais c'était plutôt ça ne se mérite pas.


Prenez mon cas personnel, par exemple: je mériterais probablement le prix Nobel de médecine, et bien, par pure modestie, j'ai décidé de ne pas y être candidat.

 

 

Pas besoin d'être candidat pour avoir le prix Nobel.

 

Tous les espoirs sont encore permis !

 

 

Tu ne veux pas faire une thèse sur « L'impact des pelouse hybrides Grassmaster® sur les blessures dans le rugby professionnel » ? Tu aurais toutes tes chances !


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#18 Le Marseillais

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Posté 15 mars 2019 - 12:04

Je te confirme que, pour avoir le Prix Nobel, il faut être candidat, soit personnellement, soit proposé par d'autres.

Et comme personne ne m'a encore proposé...



#19 Le vieux Tullois

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Posté 15 mars 2019 - 12:35

Je te confirme que, pour avoir le Prix Nobel, il faut être candidat, soit personnellement, soit proposé par d'autres.

Et comme personne ne m'a encore proposé...

Ce qui signifie qu'il y a quand même pas mal de gens qui ont des "amis" qui leur veulent assez de mal pour proposer leur nom !

"Mon Dieu,  protégez moi de mes amis ... mes ennemis je m'en charge! " 



#20 George Abitbol

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Posté 15 mars 2019 - 12:36

Je pense que tu confonds avec la légion d'honneur. :)

Il y a des commités chargés de proposer des nominations, qui envoient des formulaires de nomination à ~3000 personnes (par catégorie).
 
https://www.nobelprize.org/nomination/

Who can nominate?

Each year, thousands of members of academies, university professors, scientists, previous Nobel Laureates and members of parliamentary assemblies and others, are asked to submit candidates for the Nobel Prizes for the coming year.

 
Plus spécifiquement en ce qui concerne le prix de médecine c'est réservé aux scandinaves (professeurs de médecine ou membre de la fondation) + une poignée d'étrangers, avec la précision « No self-nominations are considered. ».



#21 Le Marseillais

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Posté 15 mars 2019 - 12:47

Je crois qu'on se comprend pas  :D

"members of parliamentary assemblies and others, are asked to submit candidates for the Nobel Prizes for the coming year."

 

Ca veut bien dire que des membres, des assemblées soumettent des candidats pour le prix, non? 



#22 Rugby ?

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Posté 15 mars 2019 - 12:49

En chocolat!

Mon père, instit l'a eu, et il en était très très fier.

Et quand je retrouve d'anciens élèves, leurs louanges, me confirment qu'il l'avait mérité.



#23 frednirom

frednirom

    le Var est dans le fruit.

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Posté 15 mars 2019 - 13:03

Ma maman aussi !



#24 Rugby ?

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Posté 15 mars 2019 - 13:05

Ma maman aussi !

Et ton papa au lit ?



#25 George Abitbol

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Posté 15 mars 2019 - 13:44

Je crois qu'on se comprend pas  :D
"members of parliamentary assemblies and others, are asked to submit candidates for the Nobel Prizes for the coming year."
 
Ca veut bien dire que des membres, des assemblées soumettent des candidats pour le prix, non?

 
Oui, juste que dans ma compréhension, on ne peut pas se porter candidat spontanément, ni proposer une personne, sauf à être sur la liste des gens pouvant proposer des noms.
 
D'ailleurs souvent les nominés sont surpris. Ils ne savaient pas qu'il étaient candidats, et découvrent qu'ils ont le prix en recevant d'un coup des salves d'emails, de SMS, d'appels téléphonique (portable, pro, perso à la fois).
 
 
 

En chocolat!
Mon père, instit l'a eu, et il en était très très fier.
Et quand je retrouve d'anciens élèves, leurs louanges, me confirment qu'il l'avait mérité.

 
Je n'ai jamais dit qu'elle n'était jamais méritée. Je dis juste que ce genre de distinction étant parfois galvaudée, ne permet pas de discriminer les personnes méritantes de celles qui méritent moins.
 
Heureusement que ces distinctions ne sont pas remises QUE à des personnes qui ne méritent pas.
 
 
 
Quand je vois que Servier est grand-croix de la légion d'honneur, le plus haut grade attribuable ! Et son bras droit (Nallet) commandeur soit le 3e palier. Par contre Irène Frachon, pas de légion d'honneur. Tout ça me laisse un goût amer.
 
Les grades : chevaliers ~ 100 000 personnes, officiers : 10 000, commandeurs : 1 250, grands officiers : 250, grands-croix : 68

#26 Le Marseillais

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Posté 15 mars 2019 - 13:48

Ok, j'ai compris ce que tu voulais dire  ;)



#27 George Abitbol

George Abitbol

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Posté 08 mai 2019 - 21:01

ASM : Jean-Marc Lhermet raconte le titre européen de 1999 (vidéo)
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#28 el landeno

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Posté 15 juin 2019 - 10:06

Jean-Marc Lhermet : « Je me suis embrouillé avec les surnoms » Le Clermontois a vécu les quatre finales perdues contre Toulouse, comme joueur puis comme dirigeant. Malgré les échecs, il lui reste en tête quelques souvenirs cocasses, dont un avec le président François Mitterrand.
 

Quelle est la finale qui vous laisse le plus de regrets ?
Je dirais celle de 1994, qu'on avait peut-être le plus de chances de gagner (16-22 face à Toulouse). On avait fait un tel parcours cette saison-là que jouer la finale c'était la cerise sur le gâteau, on ne s'y attendait pas du tout. En quart, on tombe contre la meilleure équipe de la saison, Toulon, on les bat par miracle (15-8). Puis on élimine les mammouths grenoblois à Nîmes en demi-finales (22-15). Pour nous, c'était déjà extraordinaire d'être en finale. On avait fait une bringue pas possible. Disons qu'on n'avait pas préparé cette finale comme on l'aurait dû mais on peut quand même la gagner. On prend l'avantage en deuxième période (16-9 sur un essai de Juillet) mais ils égalisent tout de suite derrière et on perd sur la fin.

 

Vous n'aviez pas autant de regrets en 1999 (défaite 11-15 face à Toulouse) ?
J'en avais mais pour des raisons différentes. C'était mon dernier match et ça aurait pu être la consécration ultime. Finir sur un titre pour mon club en tant que capitaine, ça aurait eu de la gueule (rires).

Comment vous sentiez-vous à la fin du match ?

Je m'étais préparé à ce que soit le dernier, j'avais pris ma décision depuis un moment. Mais quand je sors du terrain, à 10-15 minutes de la fin, je réalise. Je me suis dit ''voilà, tu n'y reviendras plus'' et il y a plein de choses qui se percutent dans la tête alors que le match n'est pas fini et que c'est encore jouable. Le fil de l'histoire rugby repasse dans la tête, c'est tout un tas d'émotions qui jaillissent. On est un peu triste, un peu joyeux. Ma carrière était finie mais j'allais repartir sur autre chose, avoir plus de temps pour ma famille.

Quelle est la finale qui vous laisse le moins de regrets ?
2008. On perd mais il y a une logique sportive. Toulouse était plus fort. Je n'ai pas le souvenir d'avoir cette frustration de se dire ''on aurait dû gagner''. Peut-être qu'elle laisse moins de regrets aussi car l'année d'avant on perd sur un essai à la dernière minute contre le Stade Français. Celle-là, c'est la pire de toutes... En 2008, on n'était pas aussi près du Bouclier.

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C'était mieux en tant que joueur ou tant que dirigeant ?
Sans hésiter comme joueur. Il n'y a rien de plus fabuleux que de jouer une finale, c'est l'apothéose de la saison, le top de ce à quoi on peut prétendre en club.

Vous êtes plutôt Parc des Princes ou Stade de France ?
Plutôt Parc des Princes. J'y ai joué avec l'ASM et l'équipe de France. C'était vraiment une ambiance particulière. Le Stade de France, c'est un super stade aussi mais il manque quelque chose. Peut-être que c'est un peu plus froid, avec des gens plus loin du terrain. Il n'y a pas cette chaleur et cet aspect « coquille » du Parc ou ça résonnait et où on avait l'impression d'avoir le public derrière nous, au propre comme au figuré.

Est-ce que vous en êtes venus un moment à haïr les Toulousains ?
Non, jamais. On parlait à l'époque de LA référence. Sous Novès, ils ont marqué le rugby français comme Béziers l'avait fait à son époque donc il y avait aussi une part d'admiration. Quand j'étais gamin, puis joueur, j'aimais le jeu toulousain et ce que ça représentait donc c'était aussi une fierté de les affronter en finale. On était déçus de perdre mais on se disait aussi qu'on perdait contre l'ogre du moment.

Mais eux se construisaient un palmarès énorme alors qu'on devait vous rabâcher que vous en étiez à 5,6,7 finales perdues...
Je me dis que beaucoup d'équipes auraient aimé faire autant de finales que nous. Mais c'est vrai qu'on en a entendu... ''Les losers magnifiques'', ''les Poulidor du rugby'', on en a pris plein la tête mais on s'en servait pour trouver une nouvelle source de motivation.

Une action qui vous a marqué ?
En 1994, on marque un essai par Christophe Juillet, on creuse l'écart en deuxième période et puis il y a cette chandelle... Je l'ai vue et revue pendant des semaines. C'est une chandelle de Christophe Deylaud, au milieu de terrain, elle paraît anodine, tombe sur nos 22 mètres mais il y a un cafouillage. Philippe Saint-André était dessous, mais il s'était gêné avec un coéquipier, avait raté le ballon et il a roulé jusque dans l'en-but où un Toulousain a aplati. C'est tellement con qu'on s'en souvient.

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Un souvenir cocasse en préparant une finale ?
En 1999, on avait tondu notre entraîneur Victor Boffelli après la demi-finale. Il avait fait ce pari un peu stupide en début de saison alors qu'il avait une tignasse pas possible. En début de saison, on avait une conversation en soirée et on parlait du Stade de France. Il avait accueilli sa première finale en 1998. C'était un stade qui venait d'être inauguré et y jouer, à l'endroit même où l'équipe de France avait été championne du monde de foot, ça symbolisait quelque chose. On dit à Boffelli ''t'imagines si on va au Stade de France...''. Et il répond ''alors là, je me tonds''. C'était pas tombé dans l'oreille de sourds.

Une anecdote que vous n'avez jamais racontée ?

C'était lors du protocole d'avant-match avec le Président. En 1994, je présente mes joueurs à François Mitterrand. Et je m'étais embrouillé avec certains surnoms... Jean-Philippe Versailles par exemple. Moi, je ne l'appelais jamais comme ça mais par son surnom. C'était ''Potiolo'', qu'on peut traduire par ''beau bébé'' en basque. Donc au moment de le présenter à Mitterrand, j'ai dit ''Monsieur Potiolo''. Je me suis dit ''que t'es con, t'es même pas capable de retenir le nom d'un de tes partenaires''. Les coéquipiers ont un peu tilté mais c'est passé. »

 
 

 


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#29 ELSAZOAM

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Posté 15 avril 2020 - 09:38

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#30 ELSAZOAM

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Posté 10 août 2020 - 16:26

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