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[Silhouette]

Cest un scandale la gestion des internationaux. Remettre Danty cest vraiment se foutre de sa santé. Jai lu un édito dans le midol dun médecin du sport repris par des entraîneurs de top 14 qui disait en substance que ça va, le match de samedi dernier était rude mais personne na fait de KO, cest un sport de combat et il comprenait de façon misogyne et condescendante que « les mamans » peuvent avoir peur pour leur fils. Si cest du MMA ou de la boxe on ne joue/combat pas tous les we. Danty a pris un autobus dans la tête, il ne va pas se plaindre car sinon on en sélectionne un autre, il vient dêtre papa donc pas forcément vigilant ou concentré mais balek tu retournes sur le terrain car des japonais cest des petits asiatiques qui jouent au toucher. Franchement cest pas professionnel.

Ou au contraire, c'est tres (sport) professionnel. La seule chose qui peut faire bouger un peu les lignes au niveau de la sante des joueurs c'est un syndicat fort qui peut negocier pied a pied avec les dirigeants de clubs et de fede, comme ca arrive dans certaines ligues nord-americaines. Mais bon, la, avec Provale, ca va les dirigeants sont pas trop genes..

[Alex chocolatines]

Ou au contraire, c'est tres (sport) professionnel. La seule chose qui peut faire bouger un peu les lignes au niveau de la sante des joueurs c'est un syndicat fort qui peut negocier pied a pied avec les dirigeants de clubs et de fede, comme ca arrive dans certaines ligues nord-americaines. Mais bon, la, avec Provale, ca va les dirigeants sont pas trop genes..

Sont tellement actifs chez provale que je me demandais si ça existait encore ce truc. J'ai toujours pas compris à quoi ils servaient, y a jamais un article qui relate une de leurs revendication ou action     

[Arverne03]

Ou au contraire, c'est tres (sport) professionnel. La seule chose qui peut faire bouger un peu les lignes au niveau de la sante des joueurs c'est un syndicat fort qui peut negocier pied a pied avec les dirigeants de clubs et de fede, comme ca arrive dans certaines ligues nord-americaines. Mais bon, la, avec Provale, ca va les dirigeants sont pas trop genes..

 

...............me parait beaucoup moins "actif" que par le passé !  

[Gourine63]

Tchale-Watchou a eu plus de gueule pour gronder l'ASM qui avait aligné un jeune plutôt que de demander des comptes à Galthié qui aligne un mec détruit y'a pas une semaine. Quelle bande de guignols sans déconner.

[Alex chocolatines]

 

...............me parait beaucoup moins "actif" que par le passé !  

Vu qu'ils ne l'étaient déjà pas beaucoup avant, avec ce "moins" on passe à zéro quoi 

[el landeno]

Maxime Lucu, l'heure du teigneux a sonné contre le Japon Titulaire ce samedi contre le Japon en raison de la suspension d'Antoine Dupont, le discret demi de mêlée de l'Union Bordeaux-Bègles Maxime Lucu s'est notamment construit grâce à sa rage et à sa force de caractère.

« Il ne lâche rien ! » Chaque personne interrogée au sujet de Maxime Lucu a prononcé cette phrase au moins une fois. Sa maman, Monique, l'a répété cinq fois. Elle a ajouté : « Jamais ! Max est un battant. » Le demi de mêlée de 29 ans est ainsi depuis son plus jeune âge. « Nous avions un fronton pour jouer à la pelote basque près de chez nous, se souvient Ximun, son frère aîné (32 ans), qui a longtemps fait office de modèle. Il était le plus jeune. Il perdait souvent. Ça l'énervait, mais il revenait à chaque fois. À force, il a fini par nous battre, tous ! »

 

 

 

« La pelote à main nue, sa première passion, l'a façonné mentalement, assure sa maman. Max est un tignous (teigneux) ! » Cette détermination, dictée par une éducation stricte de son père Jean-Louis, où la valeur du travail est très forte, se retrouve également au rugby, qu'il pratique en parallèle dans son village à Saint-Pée-sur-Nivelle (Pyrénées-Atlantiques) avant d'être repéré par le Biarritz Olympique, qu'il rejoint en 2011.

3/3

Maxime Lucu va connaître sa troisième titularisation en équipe de France contre le même adversaire que les deux premières fois. En juillet, il était titulaire pour les deux victoires des Bleus lors de la tournée d'été au Japon (42-23 et 20-15).

Trois ans plus tard, alors que le club est relégué en Pro D2, il prolonge d'un an son contrat espoirs. Mais le président du BO de l'époque, Serge Blanco, lui balance : « On te garde, mais tu ne joueras pas ! » Piqué au vif, Maxime Lucu ravale sa salive. Il préfère les actes. « Il aurait pu aller voir ailleurs, mais ce n'est pas son genre, pose Ximun Lucu, arrière passé par le Stade Montois (2011 à 2016) et Biarritz (2016 à 2022). Tu lui lances un défi, il le relève ! »

 

 

Il jouera finalement 27 matches sur 30 possibles dont 25 comme titulaire, avec à la clé la signature de son premier contrat professionnel. L'histoire se répète en 2019 quand Maxime Lucu s'engage en faveur de l'Union Bordeaux-Bègles, au même moment que Christophe Urios. Le manager sportif ne veut pas du demi de mêlée et le lui dit clairement. Le joueur demande au président Laurent Marti si une autre alternative est envisageable. La réponse est non. « Là encore, il a été piqué, précise son frère. Il m'a dit : "On verra, je vais montrer de quoi je suis capable." Il ne se fatigue jamais. »

Du mal à se sentir totalement légitime

« Je ne sais pas où il va puiser tout ça, il m'impressionne, glisse sa maman. Nous avons traversé des moments familiaux difficiles avec notamment des décès, dont un en août dernier. Son papa a également eu un souci de santé. Il a eu très peur de le perdre. Il a été secoué. Certains auraient tout lâché. Lui non. Ça lui donne encore plus de force. Il se nourrit de ça. » Le demi de mêlée n'a rien dit. « Les coups durs, il les garde pour lui, . Il ne montre rien. » confirme son frère, dont il est très proche

À l'inverse, quand vous avez besoin de lui, Maxime Lucu donne de sa personne. « Il est tellement humble et généreux, confie son cousin Clément, que le demi de mêlée considère comme son meilleur ami. Tu peux compter sur lui, notamment dans les moments difficiles. » Nous revient en tête une déclaration de son ex-entraîneur Christophe Urios à Bordeaux au plus fort de la tempête traversée par le club en fin de saison dernière : « C'est un vrai mec. Il ne s'est pas chié dessus, il fait ce qu'il dit. » Justement, son champ d'expression reste le terrain. Il extériorise, se lâche complètement, évacue toute la rage qui bout en lui.

 

Le 12 novembre à Marseille, Maxime Lucu a joué les vingt dernières minutes de la victoire française contre l'Afrique du Sud. (James Crombie/Inpho/Presse Sports)

Régulièrement, Maxime Lucu crie, serre les poings, harangue la foule, exulte. Un comportement qui agace. Sa maman le défend : « Il a conscience que ça ne plaît pas à tout le monde. Mais c'est sa façon de se libérer. » « C'est une très belle personne, simple, à l'image de son jeu, tourné vers le collectif, précise Frédéric Charrier, l'entraîneur des avants de l'UBB. Oui, il a un caractère fort, c'est un gagneur ! » « Il fait tout à fond, appuie encore Clément. Même avec les potes, c'est toujours la gagne. Il ne fait pas de cadeau et exprime toujours cette rage qui est en lui. » « Il n'était peut-être pas aussi démonstratif plus jeune, mais il avait ça en lui, se remémore le capitaine des Bleus, Charles Ollivon, qui a commencé le rugby avec Lucu à l'âge de 5 ans. Max est surtout fiable. C'est un super mec dans un groupe. »

À écouter ses proches, un paradoxe surgit dans la personnalité de Maxime Lucu. Au fil des années, sa détermination et sa rage ont forcément gonflé sa confiance en lui, ce qui lui a permis de gravir les échelons jusqu'à intégrer l'équipe de France. Et pourtant, le demi de mêlée a du mal à se sentir totalement légitime. « Lors de ses premières sélections, il me disait souvent : "Mais qu'est-ce que je fais là ?" relate sa maman. Encore aujourd'hui, il donne l'impression d'avoir usurpé sa sélection. Mais je sais qu'au fond de lui, il a confiance. Son passage en équipe de France l'a fait grandir, comme son rôle de capitaine à l'UBB l'a obligé à se surpasser. Il a gagné en maturité. »

« Il sait que Dupont est meilleur. Il se sert de cette expérience pour progresser. [...] Pour Max, le défi est perpétuel

Ximun Lucu, son frère

 

 

 

« Il a confiance en lui, confirme son frère Ximun. Mais il est très humble, très pudique. Il ne s'imaginait pas en arriver là et vit tout ça comme un rêve de gamin. » S'il est titulaire indiscutable et indiscuté à Bordeaux, en équipe de France, son statut est à l'extrême opposé. En club, il joue en moyenne 75 minutes par match. En bleu, remplaçant d'Antoine Dupont, estampillé meilleur joueur du monde, il se contente des miettes. En dix sélections, il ne compte que deux titularisations, au Japon cet été (Dupont était au repos). Le reste du temps, son temps de jeu moyen est de 11 minutes par match. Deux fois, il est même resté toute la partie sur le banc, comme face à l'Australie lors du premier test automnal (30-29).

Est-il frustré de ce rôle ingrat ? Forcément. Mais il est le seul Français, avec le talonneur Peato Mauvaka, à pouvoir se targuer d'avoir été sur chaque feuille de match de la série record en cours de douze victoires. « Il sait que Dupont est meilleur, souffle son frère. Il se sert de cette expérience pour progresser. Mais il reste compétiteur et tente de montrer qu'il peut jouer cinq minutes, puis dix minutes et pourquoi pas vingt ! Pour Max, le défi est perpétuel. »

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« Il y laisse beaucoup de jus, reconnaît Ximun. Il termine les saisons rincé mentalement. Il donne tellement... Parfois, il est à bout. Il explose. » Comme en fin de saison dernière, à la suite de l'élimination de l'UBB en demi-finales du Top 14 (19-10, le 18 juin, face à Montpellier). Sa maman raconte : « On l'attendait avec son père à l'aéroport de Mérignac. Quand Max nous a vus, il a craqué. C'est l'une des premières fois que je le voyais pleurer ainsi, comme un gosse. Mais il en avait besoin. Il a tout lâché car il n'en pouvait plus. »

Pourtant, trois jours plus tard, il était à nouveau dans l'avion, pour le Japon avec l'équipe de France. « Il est toujours comme ça, admire sa maman. Il tombe, il se relève toujours. » Prêt à relever un nouveau défi.

[Oscar]

C'est le joueur idéal pour finir les matchs à mon avis. Pour plusieurs raisons :d'une part pour sa complémentarité avec Jalibert, d'autre part parce qu'il accepte tout à fait ce rôle de finisseur.
Autant Jalibert peut titiller Ntamack (d'ailleurs impossible de dire qui est vraiment meilleur que l'autre), autant il est impossible de détrôner Dupont en ce moment. Serin était frustré, rappelez vous. Lucu ne se plaint pas. Je pense que Galthié a donné le brassard à Dupont en partie pour asseoir ce statut de titulaire indiscutable (il est le capitaine, donc necessairement titulaire).

A terme je pense que Le Garrec, qui a 6 ans de moins, pourra réellement challenger Dupont (à la Jalibert vs Ntamack) mais pas avant 3 ou 4 ans à mon avis, sauf blessure évidemment.

Sinon je pense que l'on pourrait tout à fait revoir l'association Jalibert-Ntamack dans les années à venir.

[Rugby ?]

Je comprends l'idée de rester sur une dynamique positive, et refaire jouer les mêmes gars.

Mais attention, que les coiffeurs ne manquent pas de compétition.

Le cas du foot est parlant: les tauliers au bercail, Dédé bricole.

Or le rugby est encore plus accidentogène.

Pour moi, Galthié, aurait du faire tourner. Et pareil pour le VI nations. L'objectif n°1 en 2023 c'est la CDM.

[Oscar]

Un essai pour Penaud et il atteindra la barre des 20 réalisations en bleu. Il entrerait ainsi dans le top10, à égalité avec Jauzion et Lagisquet.
Rougerie est à 23.

[ELSAZOAM]

Un essai pour Penaud et il atteindra la barre des 20 réalisations en bleu. Il entrerait ainsi dans le top10, à égalité avec Jauzion et Lagisquet.
Rougerie est à 23.

Maintenant il est à 21...
26 ans, il a largement le temps de passer devant Jauzion, Lagisquet et Roro !

Envoyé de mon SM-A505FN en utilisant Tapatalk

[Boulard]

Maintenant il est à 21...
26 ans, il a largement le temps de passer devant Jauzion, Lagisquet et Roro !

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Parti comme il est parti, sauf blessure, il devrait tutoyer Blanco dans 3 ou 4 ans.

[Jean Paul Belmondo]

Parti comme il est parti, sauf blessure, il devrait tutoyer Blanco dans 3 ou 4 ans.

En terme de surcharge pondérale ? j'espere pas

[Gibbs]

Merci Jalibert pour ce match...quant à N'Tamack...

[Polochon]

Merci Jalibert pour ce match...quant à N'Tamack...

 

Faut pas être trop ingrat avec Ntamack, il a quand même eu le mérite de se "blesser" ce qui a amené l'entrée de Jalibert.

[el landeno]

La grande forme de Jalibert peut-elle bousculer la hiérarchie des ouvreurs du XV de France ? Dimanche, comme à chaque fois pendant cette tournée d'automne, Matthieu Jalibert a brillamment pris le relais de Romain Ntamack, peu à son aise. L'équipe de France tient-elle une formule létale ? Si oui, les deux ouvreurs sont-ils prêts à accepter cette répartition ?

Quand ils décidèrent d'aborder vocalement le sujet mercato, les supporters du Stadium surent raison garder. Autant ils avaient chanté « Penaud à Toulouse ! » quand l'ailier clermontois inscrivit son second essai, autant ils ne dédicacèrent pas le même refrain à Matthieu Jalibert, qui venait d'être l'élément déclencheur de cet essai à l'heure de jeu, par la grâce d'un coup au pied futé dans le second rideau japonais.

 

 

 

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On n'entonna pas davantage le nom de l'ouvreur bordelais à la 73e minute alors qu'il provoqua de nouveau le déséquilibre avant l'essai d'Anthony Jelonch. Le supporter toulousain de l'équipe de France n'allait pas froisser son demi d'ouverture chéri Romain Ntamack, même qu'il a dû voir, comme tout le monde, le gris de son après-midi.

Comme contre l'Australie (coup de reins puis merveille de passe pour l'essai décisif de Penaud), comme, à un degré moindre, contre l'Afrique du Sud, Jalibert a mis à contribution ses minutes de finisseur (22 contre les Wallabies, 9 face aux Boks et 23 dimanche) pour laisser parler sa poudre. Pour la troisième fois cet automne, le contraste avec Ntamack fut frappant. Il fut même encore plus prononcé dimanche tant le meneur de jeu toulousain a semblé perdre pied.

 

 

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Ce contexte a-t-il justement poussé « NTK » à forcer quelques actions ? Ce n'est pas à exclure. « Jalibert est en confiance alors que Ntamack est encore en phase de reprise (il a manqué six semaines en raison d'une entorse tibio-fibulaire), estime l'ancien 10 du quinze de France Rémi Talès (24 sélections). Ils sont chacun dans des moments de forme différents. »

« On donne à Jalibert des bouts de match où il faut reconnaître qu'il est brillant, qu'il apporte une énergie nouvelle à l'équipe. Avant d'avoir le ballon, Jalibert sait ce qu'il va faire. On voit que sa position, son regard sont orientés et cela aspire les autres. Ntamack est souvent très près de son 9 et de la défense, sa tête est orientée vers le bas. Il varie moins son placement en fonction du jeu et des situations », dit Thierry Mentières, ancien entraîneur de Pau et Bayonne.

« Il n'y a pas de rage ou de revanche. Je prends le temps qu'on me donne

Matthieu Jalibert

 

 

 

« Mais d'un autre côté, Jalibert n'a pas encore démontré, pas autant que Ntamack du moins, qu'il pouvait gérer des matches en entier avec les Bleus (titulaire l'été dernier au Japon, il n'avait pas survolé les débats). Et je pense que Ntamack gère mieux les impulsions de Dupont (absent dimanche, car suspendu). C'est sûr que Ntamack doit se poser des questions en voyant que Jalibert rayonne. Mais j'apprécie que Galthié continue à faire confiance à Ntamack, qu'il ne "tue" pas son poulain. C'est juste un mauvais moment pour lui », ajoute-t-il.

Après avoir essayé de les associer en 10 et en 12 il y a un an - la formule « Jalimack » n'avait pas convaincu -, le staff du quinze de France tient peut-être une arme létale : commencer avec Ntamack pour coller au plan de jeu et terminer avec Jalibert pour profiter de défenses fatiguées. Cela suppose que les duettistes acceptent ce partage des rôles et que celui qui ne démarre pas bénéficie d'assez de temps pour s'exprimer.

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Aujourd'hui, d'une main, Galthié caresse son titulaire avec le fameux devoir de mémoire - légitime si on se rappelle sa performance royale contre les All Blacks voilà un an et le fait qu'il ait disputé les 400 minutes du Grand Chelem - et, de l'autre, il cajole son second violon. « Matthieu a été juste dans tout. Dans l'alternance, il a donné beaucoup d'air à notre équipe. Il est très intéressant dans ce rôle de finisseur. Il a bien pu voir ce qui se passait et analyser la situation avant d'entrer. Il confirme aussi son retour à son meilleur niveau après une année difficile avec des blessures musculaires. Dans l'émulation au poste, il confirme qu'on peut compter sur lui. Il est passé aux actes. »

 

Entré peu avant l'heure de jeu, Matthieu Jalibert a une nouvelle fois montré dimanche à Toulouse, contre le Japon, toute l'étendue de son talent. (A. Mounic/L'Équipe)

Chemise blanche impeccable, Jalibert sourit quand on lui demande si cette hiérarchie figée n'a pas quelque chose de frustrant ? « Ce n'est pas à moi qu'il faut poser cette question, c'est au staff. Il n'y a pas de rage ou de revanche, je prends le temps qu'on me donne. Peu importe le rôle, j'essaie d'apporter à l'équipe, de ne pas surjouer. C'est ce que j'ai réussi à faire dans cette tournée. » « Les rôles sont clairs, assure son coéquipier à l'UBB Maxime Lucu. Et Matthieu ne fera pas de vagues, contrairement à ce que j'entends ici ou là. En équipe de France, on n'a pas le droit d'avoir des états d'âme. »