62 réponses à ce sujet

[Salvator]

je sais pas ....ça serait peut être une catastrophe mais curieux de voir ce que cela donnerait. En tout cas sacré meneur d'homme.

 

En CCUP, il a pas mené grand chose par contre...      

[TH69]

 

En CCUP, il a pas mené grand chose par contre...      

intéressant en effet ça par contre et voir avec l'UBB l'année prochaine si il restera dans une méthode "restrictive" type CO ou si il jouera la coupe à fond.

[jm12]

C'est vrai qu'il a ce coté "excessif" mais dès fois ça fait du bien aussi pour pas se laisser marcher sur les pieds.

Excessif ? Bof !  évidemment ça change du mutisme de Franck en bord de touche...sauf quand Astrid Bard se pointe

 

Des styles différents qui me plaisent tout autant entre passion introvertie et parfois extra vertie, mais franchement mis à part l 'épisode Galtuche , je ne vois pas trop en quoi il exagère !

 

Dans une interw/ récente de De Cromières , la question Urios venue sur le tapis , De Cro  a donné le sentiment d'être plutôt positif à son encontre!

 

Bon de toutes façon ce n 'est pas d'actualité , on en  a , assez de régler les problèmes du moment!

[TH69]

Excessif ? Bof !  évidemment ça change du mutisme de Franck en bord de touche...sauf quand Astrid Bard se pointe

 

Des styles différents qui me plaisent tout autant entre passion introvertie et parfois extra vertie, mais franchement mis à part l 'épisode Galtuche , je ne vois pas trop en quoi il exagère !

 

Dans une interw/ récente de De Cromières , la question Urios venue sur le tapis , De Cro  a donné le sentiment d'être plutôt positif à son encontre!

 

Bon de toutes façon ce n 'est pas d'actualité , on en  a , assez de régler les problèmes du moment!

Excessif je m'étais aussi le coup du soigneur sur la pelouse au Michelin et sa réaction  y a deux ou trois ans.....

[titou1512]

je ne le cache pas... j'aime beaucoup ce coach!

bon ben moi pas du tout...

sa gestion des hommes coincée entre son coté sud ouest cassoulet valeurs blabla et son autorité mal placée sonne faux pour moi ....

[Salvator]

bon ben moi pas du tout...

sa gestion des hommes coincée entre son coté sud ouest cassoulet valeurs blabla et son autorité mal placée sonne faux pour moi ....

 

     

[steph]

Pour moi, c'est le coach idoine pour le top 14. Motivation, ressorts psychologiques pour un groupe, pour un championnat long et fastidieux. A voir pour la hcup l'an prochain. Et je pense que ce serait un gros fiasco au niveau international, son management nécessitant l'insistance d'un discours que les rassemblements éphémères de l'équipe de France ne permettent pas.

[Bon Chasseur]

J'aimerai bien voir ce que cela donnerait chez nous.

C'est un peu paradoxal mais je pense qu'il serait très bon à Clermont peut-être meilleur qu'un Azéma, au moins pour gagner des Brennus. Paradoxal parce qu'on penserait que les Azéma, plus techniciens/super à cheval sur le détail et l'aspect scientifique du Rugby moderne, sont ce qui se fait de mieux, et pourtant ce ne sont pas eux du tout qui raflent les Brennus année après année. C'est peut-être un Rugby trop exigeant, un peu anxiogène, et dans ce sens pas le plus réaliste. Bien sûr il y a le titre de 2017, le staff Azéma est très bon, mais les coachs qui gagnent sont les couillus, moins les premiers de la classe avec mention TB: Urios, Mola les derniers. Des mecs relâchés, un tantinet déconneurs.

 

Je pense que tu prends les moyens de l'ASM, avec son standing et sa régularité historique (tout le temps qualifiés en T14 et Heineken) et que tu lui mets au bout Christophe Urios avec derrière un bon staff technique (physios, défense/conquête, attaque)... si cet homme avec des staffs moyens, est arrivé à qualifier Oyonnax dans les 6 (OYO en Champions l'année suivante hein), arrive à gagner le titre avec le CO et ses soldats moyens de clubs T14, et que Bordeaux qui essaie de se qualifier depuis 10 ans risque de non seulement de le faire, mais est favori pour le titre suprême (et au passage, favori pour le Challenge Cup aussi)... on est en droit d'imaginer qu'il ferait des merveilles en Auvergne.

[jm12]

C'est un peu paradoxal mais je pense qu'il serait très bon à Clermont peut-être meilleur qu'un Azéma, au moins pour gagner des Brennus. Paradoxal parce qu'on penserait que les Azéma, plus techniciens/super à cheval sur le détail et l'aspect scientifique du Rugby moderne, sont ce qui se fait de mieux, et pourtant ce ne sont pas eux du tout qui raflent les Brennus année après année. C'est peut-être un Rugby trop exigeant, un peu anxiogène, et dans ce sens pas le plus réaliste. Bien sûr il y a le titre de 2017, le staff Azéma est très bon, mais les coachs qui gagnent sont les couillus, moins les premiers de la classe avec mention TB: Urios, Mola les derniers. Des mecs relâchés, un tantinet déconneurs.

 

Je pense que tu prends les moyens de l'ASM, avec son standing et sa régularité historique (tout le temps qualifiés en T14 et Heineken) et que tu lui mets au bout Christophe Urios avec derrière un bon staff technique (physios, défense/conquête, attaque)... si cet homme avec des staffs moyens, est arrivé à qualifier Oyonnax dans les 6 (OYO en Champions l'année suivante hein), arrive à gagner le titre avec le CO et ses soldats moyens de clubs T14, et que Bordeaux qui essaie de se qualifier depuis 10 ans risque de non seulement de le faire, mais est favori pour le titre suprême (et au passage, favori pour le Challenge Cup aussi)... on est en droit d'imaginer qu'il ferait des merveilles en Auvergne.

Je partage ...toutefois tout peut se dire car nous ne sommes pas en situation !

 

Quoiqu'il en soit , la réalité est bien là , et son parcours plaide en sa faveur, alors les arguments qui visent à atténuer sa performance je les reçois sans plus !

 

Quand à échafauder des hypothèses sur ses prétendues limites en C.C, ça reste du domaine des suppositions ...

 

Peut-être qu'il a le look , le parler , un peu trop terroir et pas assez "spécialiste " au col relevé et à la com/ peaufinée , n 'empêche, que !

 

Ben moi comme homme de terrain, tacticien , et même technicien, il ne m 'aurait pas déplu , loin de là...et pour certains de chez nous , ça ne leur ferait pas de mal  de les sortir de leur petit confort , pour aller chercher le meilleur d'eux mêmes...après pas sûr que ça convienne à certaines personnalités et caractères ….

 

Même si je reste assez partisan pour Urios , pour être complet j 'adore aussi Franck très différent , plus introverti et discret mais tout aussi brûlant de l 'intérieur...des bons mecs ...chacun avec ses qualités, mais pour briffer les gros j 'aime bien le profil à la Urios.

[Eria]

bon ben moi pas du tout...

sa gestion des hommes coincée entre son coté sud ouest cassoulet valeurs blabla et son autorité mal placée sonne faux pour moi ....

tout pareil ,mais Oyo ,Castres, et maintenant l'UBB en haut du tableau ,on peut lui reconnaître les résultats et en plus il n'est pas du sud ouest mais de Minerve ,le tour du cul du monde et du bon vin puissant qui tache fort ,il a des circonstances atténuantes quand mêmes....

[Jesus Hans Hubert Vorme]

à d'accord l'épisode Galthié... déjà il se bat pas, il met une petite claque à Galtoche parce que ce dernier se branche et même plus avec l'adjoint d'Urios, Fred Charrier... et on n'oublie pas qu'il a joué talonneur...faut pas non plus le chercher!
 
Sûr que c'était pas une image gégé, menfin, ça va on est quand même loin d'une putasserie de Kockott, Jennecker, Tekori...(au hasard) ou une simulation d'Andreu... voir un chambrage de Nougatier...
 
J'aime son discours, sa vision du rugby, de ses joueurs, et tout ce qu'il a fait dans les 3 clubs où il est passé... son côté stratégique, réfléchi, et même sa communication!

Cet épisode était amusant. le grand Galthié a encaissé sa tapette en baissant la tête puis est parti avec son petit paquet au froc lui rappelant l'humilité.

[el landeno]

Christophe Urios, des mots et une philosophie à Bordeaux-Bègles Après la victoire poussive et étriquée de Bordeaux-Bègles samedi contre Castres (20-16), le manager girondin Christophe Urios a haussé le ton pour défendre sa vision du rugby. Plus qu'un simple coup de gueule, une mise au point éclairante.

 

Les images de la conférence de presse de Christophe Urios, samedi après la victoire de l'UBB contre Castres (20-16), ont fait le tour des réseaux sociaux. Adepte des déclarations fortes, le manager girondin a reconnu que la victoire fut laborieuse, plus que d'habitude, dans des conditions climatiques difficiles. Et il s'est quelque peu énervé après qu'un journaliste lui a demandé si, à l'UBB plus qu'ailleurs, il était difficile de pratiquer ce rugby restrictif.

Si sa longue tirade peut s'apparenter à un simple coup de gueule, elle révèle en réalité beaucoup de la philosophie de jeu prônée par le « bon client » Urios.

 

  Bordeaux laborieux ? Tant mieux !

Sans grandes envolées, ni jeu de possession parfaitement huilée, l'UBB a gagné des points précieux pour envisager plus sereinement une première qualification dans le top 6. « Il faut qu'on soit capable d'être laborieux, sinon on ne sera jamais champion de France », a commenté Urios. Bordeaux-Bègles n'est pas une équipe reconnue pour son jeu au près et la qualité de sa conquête. Mais samedi, elle a battu le CO en se montrant intraitable dans les secteurs du combat, en touche notamment.

« Qui a dit que le rugby devait se jouer en faisant des passes, en faisant des contre-attaques... Qui a dit ça ? Personne »

Christophe Urios

 

 

 

« Quand on nous emmène dans ce combat-là, il faut être capable de le faire, sinon tu perds les matches, a poursuivi le manager. Et si tu perds les matches, je ne vais pas te faire un dessin quand même, tu fais ce que fait Bordeaux tous les ans ! Tu finis 7e, 8e, 9e, 10e tous les ans. Tous les ans ! Donc il faut que l'on comprenne ça. Ça me fait du bien de le dire. »

lire aussiCalendrier et résultats du Top 14

Si l'UBB, jamais qualifiée pour la phase finale du Top 14 jusqu'à présent, espère soulever le Bouclier de Brennus, elle doit disposer de toutes les cartes possibles. C'est ce que pense Urios en tout cas, quand il exprime ainsi que son équipe a l'obligation de savoir jouer de plusieurs manières différentes. Pour ne jamais se retrouver sans solution.

Une charge contre « les apôtres du beau jeu »

Christophe Urios (55 ans) a aussi profité de la conférence de presse d'après-match pour préciser une nouvelle fois sa vision du rugby. Et son hostilité contre ceux qui ne jurent que par le jeu de passes et de mouvement : « Qui a dit que le rugby devait se jouer en faisant des passes, en faisant des contre-attaques... Qui a dit ça ? Personne. »

« Si nous, on pense qu'il faut juste jouer à la baballe, etc. et qu'on sera champion de France comme ça, je suis désolé... Ce n'est pas que ça, le rugby, a complété le Bordelais, en haussant le ton. Des fois, ils me gonflent. » On sent ici chez Urios une forme de rancoeur envers les critiques qui ont émaillé sa carrière d'entraîneur.

« Tu joues le rugby comme tu le veux. Selon ton profil d'équipe, selon ton territoire, selon ton histoire »

Christophe Urios

 

 

 

Lors de ses passages à Oyonnax (2007-2015) puis Castres (2015-2019), le manager a souvent été caricaturé comme un entraîneur axé sur le jeu d'avant et la défense, peu porté sur l'attaque dans le désordre. Encore récemment, le coach de Toulouse Ugo Mola, reconnu comme un adepte du mouvement et pas vraiment un ami d'Urios, a piqué le Bordelais en déclarant que « son président (Laurent Marti) l'a converti au jeu, ce qui n'est pas rien ». Une petite phrase qui n'avait pas plus au manager girondin : « S'il vous plaît, ne me parlez pas de ce personnage. »

L'identité au coeur de la philosophie Urios

En réalité, Urios est loin de cette image de technicien limité. Sa force, c'est de s'adapter aux effectifs dont il dispose en maximisant le potentiel de ses équipes. Cette méthode lui a permis de hisser Oyonnax en barrage, Castres au titre de champion de France et Bordeaux-Bègles en demi-finales de Coupe d'Europe.

« J'ai entraîné en face (à Castres) et on se régalait de jouer comme ça, les mecs, ils prenaient du plaisir, a rappelé Urios samedi. Tu joues le rugby comme tu le veux. Selon ton profil d'équipe, selon ton territoire, selon ton histoire. » Là se trouve sans doute le point central de la philosophie du manager girondin.

« Christophe Urios nous a donné un état d'esprit, c'est sûr [...] Il s'est adapté à ce que Bordeaux aime faire, ce que les supporters aiment voir. Il a créé un état d'esprit bordelais »

Jefferson Poirot, capitaine de l'UBB

 

 

 

Pour Urios, la culture du club, son identité, doit être placée devant tout le reste. En février 2020, il s'était confié à L'Equipe à ce sujet, et notamment son point de vue sur l'UBB quand il y a débarqué à l'été 2019 : « On m'a parlé du beau jeu mais bon, c'était vague... J'ai donc préparé un projet pour coller à la région. D'abord développer l'Union et inculquer la culture du travail, comme à la vigne. Puis s'appuyer sur des leaders et intégrer les jeunes. Et enfin imprimer un style à toutes les équipes et rayonner sur la région avant de pouvoir vendre notre vin, c'est-à-dire devenir champions de France. »

« La culture d'un club ou d'une équipe nationale battra toujours la stratégie, affirmait encore le coach. Quand on me propose un jeu qui ne correspond pas à son équipe, c'est qu'on place en premier son désir d'entraîneur et c'est une erreur. Toulouse est revenu au premier plan en replongeant dans son identité, celle du jeu pratiqué par les jeunes formés au club. En venant à Bordeaux, je savais qu'il faudrait que je sois capable de gagner et de plaire. Cela se construit en profondeur. »

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La semaine dernière, en conférence de presse, le capitaine de l'UBB, Jefferson Poirot, était revenu sur la patte de son entraîneur sur l'équipe et cette quête de l'identité, un thème récurrent entre Urios et les journalistes. « Il nous a donné un état d'esprit, c'est sûr, confirmait le pilier gauche. Et au-delà de ça, il s'est adapté à ce que Bordeaux aime faire, ce que les supporters aiment voir. Il a créé un état d'esprit bordelais [...] Il y a 2 ou 3 ans, on a essayé de réduire la voilure, de rentrer dans des standards qui ne nous convenaient pas forcément. Et au final, c'est en revenant à notre ADN qu'on fait de belles saisons. »

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Urios n'a pas changé d'avis. La victoire contre Castres, sans la manière, n'est pas le signe d'un renoncement. « Jouer comme ça, ce n'est pas notre histoire à Bordeaux », a-t-il d'ailleurs reconnu samedi. L'UBB a son identité propre, son manager est persuadé que c'est en la cultivant et en l'adaptant au mieux qu'il pourra l'amener vers des sommets encore inconnus pour ce jeune club.

Marti : « Il faut savoir faire preuve de pragmatisme »

Dans un entretien accordé à Sud Ouest dimanche, le président de l'UBB, Laurent Marti est revenu sur la déclaration de son manager après la victoire contre Castres. « Pour moi, il n'y a pas de débat, Christophe (Urios) a raison dans ce qu'il dit, affirme-t-il. Sur une saison, il est difficile de faire toujours les mêmes matches. Tu dois t'adapter au contexte, à ton adversaire, à l'époque de l'année [...] Après l'UBB fera toujours partie des clubs joueurs, c'est son ADN. »

Le président bordelais a également évoqué son désir de voir son équipe devenir encore plus réaliste que par le passé : « Il faut se méfier des habitudes prises. Et si j'ai fait venir Christophe, c'est aussi pour ça [...] Il faut savoir faire preuve de pragmatisme quand on veut aller le plus loin possible [...] L'UBB s'est parfois trop exposée mais elle n'avait pas non plus l'effectif dont elle dispose aujourd'hui. »

 

 

[cocotte 63]

Rien de plus à ajouter mois j'adhère à 100 % à son discours !

[el landeno]

Rien de plus à ajouter mois j'adhère à 100 % à son discours !

+ 1

le seul reproche que je ferais à Azema, c'est d'avoir idéalisé un style de jeu et choisi ses recrues en fonction ( mobilité, dextérité) en perdant le pragmatisme qui réclame de s'adapter sans se renier à ce que propose l'adversaire, la météo ou l'arbitre. ce qui nous met systématiquement en difficulté face à Castres, MHR et même Toulouse qui quand il joue contre nous nous propose systématiquement une rugby de combat .

[TH69]

Bien aimé Urios sur cet interview.