Attendre la fin du match
sa va mieux !
quoique deux fois l'ors des finales avec les drogués ,on se fait avoir par les arbitres Bonnoure et Barnes ,et comme on dis jamais deux sans trois !
Posté 20 janvier 2020 - 13:44
Attendre la fin du match
sa va mieux !
quoique deux fois l'ors des finales avec les drogués ,on se fait avoir par les arbitres Bonnoure et Barnes ,et comme on dis jamais deux sans trois !
Posté 20 janvier 2020 - 13:51
Celui qui commentait avec pires était très bon. Meilleur que candelon. Ça se rapproche de kayser.
Benjamin Boyet. C'est à mon sens le meilleur consultant toutes chaînes confondues depuis un moment déjà.
Candelon est très bien en bord terrain, pour faire des blagues, à la manière d'un Paganelli.
Posté 20 janvier 2020 - 13:54
Benjamin Boyet. C'est à mon sens le meilleur consultant toutes chaînes confondues depuis un moment déjà.
Candelon est très bien en bord terrain, pour faire des blagues, à la manière d'un Paganelli.
Perso pour moi le meilleur c'est YACH...j 'adore !
Posté 20 janvier 2020 - 14:12
Benjamin Boyet. C'est à mon sens le meilleur consultant toutes chaînes confondues depuis un moment déjà.
Candelon est très bien en bord terrain, pour faire des blagues, à la manière d'un Paganelli.
Perso pour moi le meilleur c'est YACH...j 'adore !
Le meilleur c'est KAYSER ! Un point c'est tout !
Posté 20 janvier 2020 - 14:46
Perso pour moi le meilleur c'est YACH...j 'adore !
au risque de vous choquer, j'aimais beaucoup Galthié aux commentaires. Technique, passionné, parfois un peu de mauvaise foi et surtout voyait les coups avant tout le monde
!
Posté 20 janvier 2020 - 14:52
au risque de vous choquer, j'aimais beaucoup Galthié aux commentaires. Technique, passionné, parfois un peu de mauvaise foi et surtout voyait les coups avant tout le monde
!
Le problème de Galthié c'est que sur la fin il passait plus de temps à faire des blagues avec Lartot qu'à commenter le match. Pareil avec Candelon d'ailleurs, d'où ma réserve. Boyet est plus sobre.
Posté 20 janvier 2020 - 15:14
Attention à la relance !!!!et surtout voyait les coups avant tout le monde
!
Posté 21 janvier 2020 - 08:12
Posté 21 janvier 2020 - 10:58
Salviac forever
Posté 22 janvier 2020 - 07:06
Dans l'Equipe ce matin
Un coaching en première ligne qui intrigue à quelques secondes de la sirène… C’est presque courant en Top 14, où la règle qui autorise quatre changements supplémentaires en cas de blessures peut être détournée à des fins tactiques (L’Équipe du 12 septembre 2018). Mais samedi, chez les Harlequins en Coupe d’Europe, le retour de Rabah Slimani à la 79e minute avec mêlée à suivre dans les 22 mètres de Clermont a fait bondir outre-Manche. Au micro de Channel 4, Paul Gustard, l’entraîneur des Quins, ne décolérait pas : « Je ne remets pas en question leur intégrité mais je remets en question leur intégrité (sic). Pour moi, ce n’est pas un changement juste. Je les laisse à leur morale s’ils pensent qu’il fallait changer le joueur. » Sur le plateau de BT Sport, Lawrence Dallaglio, l’ancien numéro 8 devenu consultant, a évoqué une « petite machination ». À l’antenne, revient l’exemple du France-Galles à 100 minutes de 2017, où Rabah Slimani avait remplacé un Uini Atonio prétendument commotionné, avant une longue série de mêlées.
Samedi, au Stoop, c’est Sipili Falatea (22 ans) qui a cédé sa place avant la fameuse mêlée, suite à un arrêt de jeu interminable. D’abord car Sébastien Vahaamahina et Alexandre Lapandry sont K.-O. après un choc tête contre tête. Puis parce que le banc clermontois demande aussi à remplacer son pilier droit. « I want to check the 18 » (*), entend-on dire Franck Azéma auprès de George Clancy, l’arbitre. Un soigneur s’approche de Falatea qui pose ensuite un genou à terre et finit par sortir sous les huées.
La mêlée qui suit ? Les Clermontois obtiennent une pénalité quasi synonyme de match gagné. Fureur générale dans le camp adverse. Contacté hier, Franck Azéma se défend de toute filouterie : « Après une mêlée qui s’effondre (72e), il (Falatea) fait passer le message au staff sur le terrain qu’il a mal aux cervicales et voit trouble. Sur l’action qui suit, il prend un coup de tronche dans un ruck. Je perds deux autres avants coup sur coup. Ça faisait beaucoup de signaux d’alarme. Je ne vais pas exposer un gamin qui ne se sent pas à 100 % avec une troisième ligne au cul (ce sont deux deuxième-ligne, Jedrasiak et Timani, qui pousseront sur la mêlée en question). Pour moi, c’est du bon sens de protéger ce joueur. Si je ne le sors pas, il peut y avoir un souci. Et on va dire : “On ne l’a pas sorti alors que…” »
Mais alors pourquoi, avant qu’Azéma n’interpelle le corps arbitral, Falatea s’est-il mis en place pour une mêlée comme si de rien n’était ? « C’est humain, répond Azéma. Il ne va pas dire “je vais m’échapper, je sors”, il a de l’orgueil. » D’un point de vue purement réglementaire, l’ASM était dans son droit si Falatea était blessé, ce qui est impossible à diagnostiquer à chaud et laisse libre cours à toutes les interprétations. L’organe disciplinaire de l’EPCR pourrait-il ouvrir une enquête ? La décision devrait être prise au plus tard ce soir mais ce n’était pas la tendance hier. « Les Anglais peuvent en parler s'ils veulent, on a la conscience tranquille », conclut Azéma, avant de donner des nouvelles rassurantes de son jeune pilier, qui devrait reprendre l’entraînement demain.
(*) « Je veux checker l’état de santé du 18 ».
Posté 22 janvier 2020 - 07:22
Dans l'Equipe ce matin
Un coaching en première ligne qui intrigue à quelques secondes de la sirène… C’est presque courant en Top 14, où la règle qui autorise quatre changements supplémentaires en cas de blessures peut être détournée à des fins tactiques (L’Équipe du 12 septembre 2018). Mais samedi, chez les Harlequins en Coupe d’Europe, le retour de Rabah Slimani à la 79e minute avec mêlée à suivre dans les 22 mètres de Clermont a fait bondir outre-Manche. Au micro de Channel 4, Paul Gustard, l’entraîneur des Quins, ne décolérait pas : « Je ne remets pas en question leur intégrité mais je remets en question leur intégrité (sic). Pour moi, ce n’est pas un changement juste. Je les laisse à leur morale s’ils pensent qu’il fallait changer le joueur. » Sur le plateau de BT Sport, Lawrence Dallaglio, l’ancien numéro 8 devenu consultant, a évoqué une « petite machination ». À l’antenne, revient l’exemple du France-Galles à 100 minutes de 2017, où Rabah Slimani avait remplacé un Uini Atonio prétendument commotionné, avant une longue série de mêlées.
Samedi, au Stoop, c’est Sipili Falatea (22 ans) qui a cédé sa place avant la fameuse mêlée, suite à un arrêt de jeu interminable. D’abord car Sébastien Vahaamahina et Alexandre Lapandry sont K.-O. après un choc tête contre tête. Puis parce que le banc clermontois demande aussi à remplacer son pilier droit. « I want to check the 18 » (*), entend-on dire Franck Azéma auprès de George Clancy, l’arbitre. Un soigneur s’approche de Falatea qui pose ensuite un genou à terre et finit par sortir sous les huées.
Question d’interprétationLa mêlée qui suit ? Les Clermontois obtiennent une pénalité quasi synonyme de match gagné. Fureur générale dans le camp adverse. Contacté hier, Franck Azéma se défend de toute filouterie : « Après une mêlée qui s’effondre (72e), il (Falatea) fait passer le message au staff sur le terrain qu’il a mal aux cervicales et voit trouble. Sur l’action qui suit, il prend un coup de tronche dans un ruck. Je perds deux autres avants coup sur coup. Ça faisait beaucoup de signaux d’alarme. Je ne vais pas exposer un gamin qui ne se sent pas à 100 % avec une troisième ligne au cul (ce sont deux deuxième-ligne, Jedrasiak et Timani, qui pousseront sur la mêlée en question). Pour moi, c’est du bon sens de protéger ce joueur. Si je ne le sors pas, il peut y avoir un souci. Et on va dire : “On ne l’a pas sorti alors que…” »
Mais alors pourquoi, avant qu’Azéma n’interpelle le corps arbitral, Falatea s’est-il mis en place pour une mêlée comme si de rien n’était ? « C’est humain, répond Azéma. Il ne va pas dire “je vais m’échapper, je sors”, il a de l’orgueil. » D’un point de vue purement réglementaire, l’ASM était dans son droit si Falatea était blessé, ce qui est impossible à diagnostiquer à chaud et laisse libre cours à toutes les interprétations. L’organe disciplinaire de l’EPCR pourrait-il ouvrir une enquête ? La décision devrait être prise au plus tard ce soir mais ce n’était pas la tendance hier. « Les Anglais peuvent en parler s'ils veulent, on a la conscience tranquille », conclut Azéma, avant de donner des nouvelles rassurantes de son jeune pilier, qui devrait reprendre l’entraînement demain.
(*) « Je veux checker l’état de santé du 18 ».
Je ne comprends même pas que l'on en parle puisque la règle l'autorise.
Si tu fais cela à la 50ème, personne ne le relève.
Parlons déjà de ce que la règle n'autorise pas et après on verra...
Posté 22 janvier 2020 - 08:31
Voilà. La seule inconnue c'est la blessure, et je vois mal comment une enquête pourrait démontrer le contraire.
Je ne comprends même pas que l'on en parle puisque la règle l'autorise.
Si tu fais cela à la 50ème, personne ne le relève.
Parlons déjà de ce que la règle n'autorise pas et après on verra...
Posté 22 janvier 2020 - 08:39
au risque de vous choquer, j'aimais beaucoup Galthié aux commentaires. Technique, passionné, parfois un peu de mauvaise foi et surtout voyait les coups avant tout le monde
!
Heu, y'a des moments, il disait de grosses bêtises, mais on lui pardonne; c'était à "chaud" !
Posté 22 janvier 2020 - 09:37
Je ne comprends même pas que l'on en parle puisque la règle l'autorise.
Si tu fais cela à la 50ème, personne ne le relève.
En Top 14 oui, mais pas dans les autres compétitions. C'est le problème d'avoir des règles différentes : on prend de mauvaises habitudes.
Posté 22 janvier 2020 - 10:48
En top 14 on peut faire re-rentrer n'importe qui. En CC et sélection, on peut faire re-rentrer un pilier (ce le march contre le PdG qui se termine à la 100e minute).En Top 14 oui, mais pas dans les autres compétitions. C'est le problème d'avoir des règles différentes : on prend de mauvaises habitudes.
0 members, 0 guests, 0 anonymous users