313 réponses à ce sujet

[frednirom]

Dominici à encore raté un essai tout fait apparement.

[Silhouette]

Dominici à encore raté un essai tout fait apparement.

[Alex chocolatines]

Dominici à encore raté un essai tout fait apparement.

Ou peut etre que les investisseurs n’aiment pas recevoir des coups de fils d'un mec bourré au milieu de la nuit ... 

 

Non sérieux, Domninici à Bézier ???? Pourquoi pas Lorenzetti président de l'ASM ? 

[el landeno]

et voilà ! Novès futur manager. il lui restera plus qu'a telephoner à Dominici à 4h du mat pour lui demander comment ça va 

 

René Bouscatel : «Un projet vraiment biterrois» Ancien président du Stade Toulousain, René Bouscatel a été pressenti par les actionnaires de l'ASBH pour présider le club héraultais. Choix validé ce mardi matin par le maire de Béziers. De préférence au projet porté par Christophe Dominici avec des investisseurs émiriens.

Avocat, René Bouscatel (74 ans) est entré à la direction du Stade Toulousain en 1987 avant d'en prendre la présidence cinq ans plus tard. Premier président rémunéré de l'ère professionnelle en France, il a tenu à nous préciser qu'il était « bénévole » à l'AS Béziers-Hérault et qu'on lui rembourserait seulement ses pleins d'essence et ses tickets de péage, « car je serai au moins trois jours par semaine à Béziers »... Ancien conseiller municipal de Toulouse, membre de la Ligue nationale de rugby, aujourd'hui nouveau président du club de Béziers, cet ancien capitaine des juniors toulousains est un des personnages clés du rugby français depuis trente ans.

 

« Quelle est la genèse de votre implication dans ce nouveau projet de relance du club de Béziers ? 
C'est très simple : j'ai été consulté par des actionnaires du secteur pro du club de Béziers. Dans un premier temps, ils souhaitaient avoir mon avis et mon expertise sur la situation de l'ASBH. Ensuite, ils m'ont demandé comment il était possible de structurer et de développer économiquement et sportivement le club. Ce que j'ai fait comme conseil. Et puis, il y a quelques jours, ils m'ont dit que ce projet leur convenait parfaitement.

En quoi consiste-t-il ?
C'est un projet qui concerne l'ensemble du club, c'est-à-dire l'association amateur, le centre de formation et le secteur professionnel. Il respecte la culture sportive de ce club, basée sur la formation, avec un modèle économique qui permettrait de générer des ressources. C'est un projet vraiment biterrois. Ça a plu aux actionnaires et ils m'ont proposé d'en prendre la direction.

Vous serez donc le président de l'ASBH ?
C'est une société avec un conseil de surveillance et un directoire. Le conseil de surveillance veille à la bonne marche des choses et confie un mandat au directoire qui, lui, dirige le club. Moi, tout ce qui est actionnariat ne me concerne pas.

Jusqu'à quel point votre rencontre avec le maire de Béziers, Robert Ménard, a-t-elle été déterminante ? 
Nous sommes allés voir le maire ce mardi matin à sept heures. Alors que j'y allais en qualité de conseil pour informer les différents interlocuteurs, j'en suis ressorti désigné par les actionnaires comme président du directoire. Mais il faut que ce soit consacré par un vote du conseil de surveillance.

Depuis quand travaillez-vous sur ce dossier biterrois ?
Juste après le début de la crise coronavirus, vers la fin mars. Je ne pouvais rencontrer personne mais j'ai eu tous les éléments que je demandais, et les tableaux statistiques de la DNACG sur les quatre dernières années pour apprécier la situation de Béziers par rapport aux autres clubs de ProD2.

« Je n'ai rien contre Christophe Dominici, mais il n'a qu'à venir avec ses investisseurs, il n'a qu'à les nommer

René Bouscatel, nouveau président de Béziers

 

 

 

Quelle analyse avez-vous du déficit financier du club, qu'on estime à cinq millions d'euros ?
Je n'ai pas fait d'audit financier. Je suis parti sur les bases certifiées par un expert-comptable. Il y a un passif, mais aucune dette exigible. Il y a des emprunts, des échéanciers. Béziers est dans la moyenne des déficits de la Pro D2. Quant au plan de trésorerie, il est bon. Il n'y a pas de souci de ce côté-là, rien qui mette en péril l'existence du club. Et il y a des actionnaires qui prendraient leurs responsabilités, si cela était nécessaire.

Qu'est-ce qui vous a fait basculer de conseil à président ?
À l'origine, les actionnaires de l'ASBH n'étaient pas vendeurs : ils ont été sollicités pour vendre. En fait, j'ai basculé hier (lundi) soir. Ce ne sont pas des mots qui ont pesé mais ce que représente Béziers sur le plan du rugby. C'est un grand club, avec une histoire et un palmarès (11 boucliers de Brennus entre 1961 et 1984). Je me suis convaincu que je devais essayer d'apporter, grâce à un travail d'équipe, un modèle sportif et économique qui respecterait la culture biterroise.

Vous ne craignez pas qu'après avoir été le président des années fastes du Stade Toulousain, on vous reproche d'aider la concurrence ?
Je pense avoir démontré, avec vingt-cinq ans de présidence, ma fidélité à mon club de coeur... Dès qu'il a su que j'avais accepté la présidence de Béziers, Didier Lacroix (actuel président du Stade Toulousain et successeur de Bouscatel), que je n'avais pas mis au courant avant cela, m'a félicité. Depuis, je suis submergé d'appels provenant d'anciens Toulousains, jusqu'à Xavier Garbajosa (entraîneur en chef de Montpellier)...

Quelle va être votre première décision en tant que président de l'ASBH ?
Rencontrer toutes les composantes du club, même si j'ai déjà un peu commencé. Car je voudrais un projet sportif unique pour l'ASBH, afin de revenir à une identité. Je vais aussi rencontrer tous les acteurs économiques du club, pour faire le point avec chacun sur son secteur d'activité, écouter ce que chacun a à dire. Je souhaite bâtir une économie pérenne pour avoir un projet sportif qui s'inscrive dans la durée.

Christophe Dominici, qui planchait depuis deux mois sur un projet de rachat, donnera une conférence de presse devant le stade Raoul-Barrière, ce mardi à 20 heures. Ne craignez-vous pas que votre nomination entraîne des réglementes de comptes ?
Je n'ai rien contre Christophe Dominici et son projet. Je ne veux pas entrer dans cette polémique mais, objectivement, il (Christophe Dominici) n'a qu'à venir avec ses investisseurs, il n'a qu'à les nommer, apporter toutes les garanties demandées et préciser l'origine des fonds. Une conférence de presse, c'est un peu court, comme réponse. »

[le nougatier]

Ou peut etre que les investisseurs n’aiment pas recevoir des coups de fils d'un mec bourré au milieu de la nuit ... 

 

Non sérieux, Domninici à Bézier ???? Pourquoi pas Lorenzetti président de l'ASM ? 

 

Et pourquoi pas un ancien président de Toulouse?

 

Franchement c'est pas dérangeant aussi qu'un président puisse aller d'un club à l'autre comme ça pour toi

 

 

 

Je copie colle la réponse que j'ai faite dans un autre topic vu que je ne regarde jamais les titre des topics et répond toujours du tac au tac et que les modos pourrait bisquer....

 

Sans déconner ??? qui a pris au sérieux le pipeau de Dominici ??? C'est juste un faisan, il a essayé de se faire un billet en entubant tout le monde, mais la ficelle était beaucoup trop grosse ! 

En tout cas moi, je ne ferais pas d'affaires avec un mec comme ça ....

 

 

 

Oaui...

 

Enfin je sais qu'il faut pas toucher à Bouscatel pour un toulousain mais bon la ficelle de le sortir du chapeau au dernier moment est pas mal non plus....

 

Et si on s'interroge peu être à juste titre sur la provenance des fonds de Dominici, ça ne semble géné personne que Bouscatel soit parachuté là.

A priori il ne viens pas non plus avec son apport personne....

 

Pour ma part je pense que ça pu la guerre fratricide dans les loges maconique. Connaissant un peu l'Herault et les guerre de pouvoir qui ont lieu la bas dans la confrérie et qu'en générale le rugby est plutôt un sport très maconique ça ne m'étonnerai guère.

 

Après quoiqu'il en soit que l'ASBH servent à blanchir l'argent du pétrole et des émir ou celui des francs maçons et des copinages entre amis, ma foi peu importe l'important au finale c'est que cela profite à l'ASBH et aux amoureux de ce club..

 

Mais bon j'ai bien peur pour eux que l'ASBH ça ce ne soit que secondaire. Au moins les émirats avait eux la pression médiatique de bien faire et pas se louper ce qui aurait pu être bénéfique. Mais Bouscatel? Enfin on verra bien.....

[el landeno]

ça vient de là l'expression avoir une passe de maçon ?

[el landeno]

Rachat de Béziers : la grosse colère de Christophe Dominici Candidat au rachat de l'ASBH au côté d'investisseurs émiriens, l'ancien international ne digère pas l'attitude des dirigeants biterrois qui ont confié mardi les rênes à l'un des actionnaires, Louis-Pierre Angelotti, et la présidence à René Bouscatel.

En 2006, le Sunday Times l'avait classé parmi les dix joueurs les plus effrayants du rugby français. Le quotidien britannique intégrera peut-être désormais Christophe Dominici à ce classement après l'immense coup de gueule poussé par l'ancien ailier international au stade Raoul-Barrière, devant la statue d'Armand-Vaquerin, l'ancien pilier de légende du grand Béziers cité dans le fameux article du Times.

 

Sûr, Dominici n'a pas digéré la décision prise par les présidents de l'ASBH, Pierre-Olivier Valaize et Cédric Bistué, qui ont donc accepté le projet de rachat porté par le promoteur immobilier Louis-Pierre Angelotti, l'un des actionnaires de l'ASBH, au détriment de celui qu'il défendait depuis deux mois et demi maintenant aux côtés d'investisseurs émiriens.

Un projet qui avait vu le jour grâce à son ami Yannick Pons, exploitant viticole local, qui l'avait mis en relation avec les responsables de la société Sotaco International, spécialisée dans la construction de bâtiments, et avec l'avocat et ancien secrétaire d'Etat aux sports, Thierry Braillard. Dominici n'a digéré ni la décision, ni le ton employé dans le communiqué officiel diffusé mardi en début d'après-midi. « Contrairement aux nombreuses déclarations médiatiques, à ce jour, aucun élément crédible n'a été communiqué à l'avocat de la SASP Béziers Rugby, Maître Frédéric Simon. Les présidents et la majorité des actionnaires viennent donc d'accepter un vrai projet, biterrois, concret et réaliste. »

« Nous avons le sentiment d'avoir été traités comme des moins que rien

 

 

 

 

La réponse de l'ancienne tête d'affiche des Bleus est sans équivoque. « Aujourd'hui (mardi), a-t-il martelé devant quelque 300 supporters chauffés à blanc au pied du stade Raoul-Barrière, je peux dire que Louis-Pierre Angelotti est un menteur. J'ai eu des discussions avec lui, il m'a assuré, les yeux dans les yeux, qu'il ne serait pas candidat. Il a menti au peuple biterrois. J'espère de tout mon coeur qu'il ne sera pas l'actionnaire principal de la SASP. »

Un Dominici en colère, c'est le moins que l'on puisse écrire, extrêmement déçu, le visage grave, marqué, les mots saccadés, capable d'emportements : « J'ai mis tout mon coeur, toute mon âme dans ce projet. Aujourd'hui, on subit une offense. On a été confrontés à des propos très laids. A des injustices. Nous avons le sentiment d'avoir été traités comme des moins que rien. J'ai rencontré tous les acteurs du club. Les anciens, les nouveaux. On avait envie de faire de ce club le plus grand d'Europe. Aussi, je viens demander solennellement aux institutions de la région: Robert Ménard, maire de Béziers ; Carole Delga, présidente de la Région Occitanie; Kléber Mesquida, président du département, d'auditer la SASP Béziers Rugby.

« Je remets aussi en cause la validité de la DNACG. C'est très grave ce qui vient de se passer

 

 

 

 

Je vais également demander au patron du rugby français, Bernard Laporte, ancien ministre, d'accompagner Eric Freitas (président de l'association) dans son combat. Je demande également à la ministre des Sports qui a le devoir d'éduquer nos enfants, de faire respecter les règles, les lois, de regarder le projet rugby de Béziers, qu'elle mette le nez dedans. Je remets aussi en cause la validité de la DNACG. C'est très grave ce qui vient de se passer. Je souhaite que les gens que je viens de nommer aient autant de courage que j'en ai eu à me lancer là-dedans. J'ai dit que j'irai jusqu'au bout. J'irai jusqu'au bout. »

Christophe Dominici a évidemment conquis l'assistance. Surtout lorsqu'il a brossé les traits de son projet sportif et cité quelques-uns des noms qui avaient donné leur accord : Benjamin Fall, Marika Korobeité, Jordan Taufua, Santiago Medrano, Mathias Alemanno, Charly Malié, Ma'a Nonu, tous encadrés par un duo Rodrigo Roncero et Juan-Martin Hernandez...

Mais c'est donc René Bouscatel, président du Stade Toulousain entre 1992 et 2017, qui va devenir président du directoire du club héraultais, alors que Louis-Pierre Angelotti sera président du Conseil de Surveillance. « Nous resterons des observateurs avisés », promet Dominici qui a conclu par un « le combat commence » qui n'autorise aucun doute quant à ses intentions.

[pims]

ça vient de là l'expression avoir une passe de maçon ?

c'est à force de s'envoyer des parpaings

 

Dans les coulisses du rachat de Béziers (source Nougatier)

[frednirom]

le racing bezier aura ensoleillé ma journée.

[steph]

Pas plus dérangeant qu'un Cotter aille à Montpellier après avoir été à l'Asm.

[Fast Kimi]

 

Pour ma part je pense que ça pu la guerre fratricide dans les loges maconique. Connaissant un peu l'Herault et les guerre de pouvoir qui ont lieu la bas dans la confrérie et qu'en générale le rugby est plutôt un sport très maconique ça ne m'étonnerai guère.

 

 

qu'est-ce qui n'est pas maçonnique en France ?

[le nougatier]

 

 

ça dérange que Jean-Dominique Sénard devienne le patron de Renault après avoir été celui de Michelin ? Personnellement absolument pas.

 

Le rapport entre une entrreprise complétement privé et indépendante et un club sportif ou en générale tu joue sur la passion?

Perso j'ai aucune passion pour le caoutchouc et les boite de ferraille.

Après c'est sur que si on considére le sport comme une entreprise lambda.

 

Quand à Cotter et pour répondre à Steph il s'agit ici d'un employé comme les joueurs ça me choque moins ils ont des raisons. Même si parfois pour certains joueur ou entraineur je eux trouver ça dommage suivant l'histoire qu'ils ont avec le club. Mais bon Cotter non, ca reste un mercenaire le gars qui cherche le contrat i a fait une partie de sa carrière à l'ASM puis ensuite ailleurs comme d'autres. Mais j'aurais du mal à voir Daniel Herrero reprendre un banc ailleur qu'à Toulon par exemple (meme s'il a fait mais on l'a vite oublié ). Ou un Rougerie venir jouer au RCt en fin de carrière m'aurait déçu.

 

Maintenant pour moi le président et le dernier garant d'un état d'esprit d'un le club, d'une histoire de celui ci. Ca m'aurait pas choqué que Bouscatel reprenne un club amateur de la région toulousainne d'une division très inférieur qui lui tient à coeur et soit lié à son hitoire perso. Mais être président de deux club historique de ce sport oui je trouve ça nul.

Après quoiqu'il en soit avec le professionnalisme et l'argent à tous va dans ce sport c'est sur que plus rien n'est choquant.

 

Quand à l'interview de Bouscatel il n'engage que ceux qui y croit d'une part parceque si cela fait 4 mis sue tout est fait il est bizarre que la presse local en générale plutôt bien informée sur les clubs locaux ne l'ai pas vu arrivé avant....

Et d'après son interview il fut juste contacté au départ pour faire un audit du club pas en devenir président....

Enfin bref il parait évident que l'arrivé des Emirats à chamboulé leur projet et qu'ils monté un contre projet dans l'urgence.

 

Après comme je le disais peu importe que ce soit de l'argent emiratou autre mais l'entre soit en générale ça ne fait pas de belle lignée....

[Gourine63]

c'est à force de s'envoyer des parpaings
 
Dans les coulisses du rachat de Béziers (source Nougatier)

Sympa la référence à Glory Owl, vous en avez du goût pour une petite génoise recouverte de gelée fruitée et nappé de chocolat.