652 réponses à ce sujet

[tix]

Un jeune jiff, international pour une nation qui ne jouera pas la coupe du monde (le tournoi B je sais pas) avec un niveau et un potentiel comme le sien, je crois qu'on a fait une belle affaire !!!

[George Abitbol]

pour une nation qui ne jouera pas la coupe du monde (le tournoi B je sais pas)

 

 

 

Pour le tournoi B, les joueurs sont libérés il me semble (on voit souvent de Géorgiens absents pendant les doublons).

 

La Moldavie, c'est plutôt le tournoi E. Mais vu que c'est organisé par la même structure (rugby Europe), j'imagine qu'il y a les mêmes engagements contractuels avec la LNR.

 

D'un autre côté, si on en croit it's rugby, il n'a pas joué pour sa sélection depuis 4 ans.

[gourmachou]

alors la question qui tue est il sélectionnable avec les bleus

[Y&B]

alors la question qui tue est il sélectionnable avec les bleus

Ben comme Brock James pardi !!!!

[anje]

Ne pas oublier que samedi il fait sa rentrée au moment où on fait rentrer notre banc xxl et que Castres fait rentrer son banc moins expérimenté...l'écart se fait aussi là. Et puis comme d'hab si un remplaçant est bon en première ligne c'est souvent parce que les titulaires ont bien bossé...sans dire que Slimani a fait un gros match, mais il a bien bossé. 

[inASMweTrust]

Ne pas oublier que samedi il fait sa rentrée au moment où on fait rentrer notre banc xxl et que Castres fait rentrer son banc moins expérimenté...l'écart se fait aussi là. Et puis comme d'hab si un remplaçant est bon en première ligne c'est souvent parce que les titulaires ont bien bossé...sans dire que Slimani a fait un gros match, mais il a bien bossé. 

Oui, il faut prendre plein de choses en compte. Et puis avant d'en faire un sélectionnable, faisons le jouer en Top 14 ! Il a quoi, 8-9 matchs en Top14 au total, non ? 

[Salvator]

Oui, il faut prendre plein de choses en compte. Et puis avant d'en faire un sélectionnable, faisons le jouer en Top 14 ! Il a quoi, 8-9 matchs en Top14 au total, non ? 

 

C'est la classique du supporter Clermontois...

[xdderf63]

alors la question qui tue est il sélectionnable avec les bleus

 

je t'ai répondu page précédente

[gourmachou]

 
je t'ai répondu page précédente

Merci désolé je n'avais pas vu t'a réponse 🖐️

[herve-beaulon]

Ne pas oublier que samedi il fait sa rentrée au moment où on fait rentrer notre banc xxl et que Castres fait rentrer son banc moins expérimenté...l'écart se fait aussi là. Et puis comme d'hab si un remplaçant est bon en première ligne c'est souvent parce que les titulaires ont bien bossé...sans dire que Slimani a fait un gros match, mais il a bien bossé. 

Ne pas oublier que si on avait perdu, on serait en train de se demander combien on va le vendre

[clum63_]

Ne pas oublier que si on avait perdu, on serait en train de se demander combien on va le vendre

Même match perdu je lui fait signer un +4

[el landeno]

 

 

 

Pour le tournoi B, les joueurs sont libérés il me semble (on voit souvent de Géorgiens absents pendant les doublons).

 

La Moldavie, c'est plutôt le tournoi E. Mais vu que c'est organisé par la même structure (rugby Europe), j'imagine qu'il y a les mêmes engagements contractuels avec la LNR.

 

D'un autre côté, si on en croit it's rugby, il n'a pas joué pour sa sélection depuis 4 ans.

 

pour la Molvadie c'est plutôt Tintin !  et s'il veut partir quand même on lui enverra les RG

[el landeno]

Les lutteurs moldaves

CLERMONT - BORDEAUX-BÈGLES Les deux joueurs moldaves du Top 14 sont originaires du même village. Vadim Cobilas, pilier de l’UBB, et Cristian Ojovan, celui de l’ASM, se sont construits sur les tapis de lutte

 

Yoan Leshauriès y.leshauries@sudouest.fr

 

Soroca. Ville au Nord de la Moldavie, tout proche de la frontière ukrainienne. Vadim Cobilas (37ans), le pilier droit de l’Union Bordeaux-Bègles, et son compatriote Cristian Ojovan (24ans), pilier droit de Clermont, y ont leurs racines. « Avoir grandi là-bas te rend plus fort, souligne le Bordelais. La vie était difficile comme partout en Moldavie après la chute de l’URSS. Les parents n’avaient pas de travail, c’était très dur.» « C’est une ville ex-soviétique avec des bâtiments abîmés, des routes cabossées. C’est un peu apocalyptique, poursuit le Clermontois. On a tous grandi dans une atmosphère compliquée. Je suis né après Vadim, mais lui, il est de la génération qui a vu pas mal d’agressivité, des choses liées à la mafia… » À l’époque, les deux Moldaves se réfugient dans le sport: Cobilas a joué au foot, au basket, au tennis de table. Ojovan a fait de la boxe, a tué le temps à la salle de muscu. Mais tous les deux ont pratiqué la lutte ou plus précisément le « Trinta », véritable sport national. Les fêtes populaires sont l’occasion pour les jeunes de s’affronter dans ces épreuves qui durent moins de cinq minutes. Le gagnant est celui qui fait toucher le tapis ou l’herbe aux omoplates de son adversaire. Ojovan se souvient : « Je faisais ça pour m’amuser, après l’école, de 16 h 30 à 19 heures. J’étais un peu grassouillet. Les copains se moquaient un peu, c’est ce qui m’a dirigé vers le sport. » Cobilas, lui, a pratiqué la lutte jusqu’à l’université. Il a même remporté le tournoi annuel de Soroca lorsqu’il avait 19ans, de retour chez lui avec un bélier sur les épaules, le prix dédié au vainqueur. « C’est un grand souvenir pour moi et ma famille. Celui qui gagne ces épreuves devient un vrai héros au village ». Cobilas a ouvert la voie Depuis, Cobilas est surtout connu pour être le premier joueur de rugby moldave à s’être imposé en Europe de l’Ouest. Après des débuts à Chisinau, la capitale moldave, il a ensuite évolué en Roumanie (2004-2006), en Russie (2006-2011), avant de briller dans le championnat anglais à Sale (2011-2016) et de rejoindre le Top14 et l’UBB. Il a ouvert la voie à Cristian Ojovan qu’il a rencontré à la salle de muscu de Soroca. « Un ami qui tenait cette salle m’a dit: “Tu vois ce mec, il vient souvent ici, il est très costaud. Tu devrais lui proposer de jouer au rugby”, raconte Cobilas. Je suis allé lui en parler. » Ojovan poursuit : « Je ne connaissais pas Vadim mais vu la carrure, je me suis dit: il doit faire de la lutte ou de l’haltérophilie. Le rugby, je ne voyais pas du tout ce que c’était. J’ai regardé sur YouTube, ça avait l’air pas mal. Mes parents n’avaient pas confiance en ce sport, ils me disaient: “Tu vas te péter, ça va s’arrêter net”. Dans les pays de l’Est, si tu ne fais pas d’études, c’est très compliqué… » Cobilas ne lâche pas l’affaire et se montre convaincant. Soroca ne possédant pas encore de club de rugby, Ojovan rejoint un lycée professionnel à Chisinau où il découvre le ballon ovale. « Avec mon agent, on s’est demandé s’il fallait l’envoyer en Roumanie ou en Russie », explique Cobilas qui choisit finalement d’aiguiller son protégé directement vers la France. Ojovan rejoint l’académie de Pau en 2016 mais n’est pas conservé. « Pour moi, c’était énorme d’être ici. Mais en arrivant, je me suis rendu compte que ça allait être très dur. En plus avec la barrière de la langue… », témoigne Ojovan devenu parfaitement bilingue depuis. Ojovan dans les pas de l’idole Après trois années à Aurillac (2017- 2020) où il s’est imposé en ProD2, Ojovan a rejoint Clermont où il a réussi à se faire une place. « Je suis très content pour lui, je l’ai vu partir de zéro dans ce sport et aujourd’hui, il est dans une très bonne équipe », se réjouit Cobilas. « Je suis fier de mon parcours, reconnaît Ojovan. Il y a quatre ans, je ne savais pas que j’allais me retrouver en France et que j’allais jouer face au mec qui m’a fait rêver quand j’ai débuté le rugby ». Le manque d’infrastructures en Moldavie empêche pour l’heure le développement du rugby. Pourtant, ce pays regorge de bosseurs qui ne se plaignent jamais, de durs au mal aux physiques de déménageurs. Bien aidés par la pratique de la lutte. « Dans cette discipline, tu dois être tout le temps concentré. Tu travailles beaucoup le cou », souligne Cobilas. « C’est très similaire avec le rugby, confirme Ojovan. Certains mouvements sont quasiment les mêmes qu’un plaquage » Fort de 42 sélections en équipe de France, Jean-Baptiste Poux, en charge de la mêlée de l’UBB, ne cache pas les bienfaits de la lutte pour un pilier: « C’est un sport qui se rapproche énormément de toutes phases de combat qu’il peut y avoir dans le rugby. Ça fait travailler la mobilité articulaire, la souplesse, la force, le gainage… Pas mal de clubs mettent aujourd’hui de la lutte dans leur préparation d’avant-saison. Le plus intéressant, c’est d’en proposer pour les catégories jeunes ». Grâce à leurs racines, Cobilas et Ojovan, eux, y sont tombés dedans il y a déjà bien longtemps. Et en ont fait une vraie force

[clum63_]

Grosse entrée d'Ojovan dans un match merdique. Il fait une boulette en fin de partie, mais lui reprocher serait indigne, alors que l'on supporte la gabegie Slimani/Falgoux

[clem123]

Grosse entrée d'Ojovan dans un match merdique. Il fait une boulette en fin de partie, mais lui reprocher serait indigne, alors que l'on supporte la gabegie Slimani/Falgoux

+1

Très bon en mêlée et dans le jeu

Maintenant il doit enchainer les titularisations 

 

Titulariser sans cesse Slimani faut arrêter, alors qu'Ojovan et Falatea ont récemment montrés de belles choses,