1111 réponses à ce sujet

[Velveteethol]

Rester dans des organismes "en état de mort cérébrales" : je crois que c'est le terme que le Président a employé, je vois pas trop l'intérêt. Surtout si personne t'écoute.

Çà empêchera la France libérale de respecter les règles de l'OMC et le commerce de se faire, et de te faire entuber quand les Américains l'auront décidé.

[Le vieux Tullois]

et accessoirement alliance atlantique et otan, c'est la meme chose.

Les Chinois ont (hypocritement) raison sur un point, l'Aukus va relancer la prolifération nucléaire, désormais vendre des SNA n'est plus tabou, et l'Inde souhaite s'équiper, et se tourne vers la france. De plus on a un accord de coopération sur le sujet depuis 10 ans avec le Brésil, Bolsonaro l'a mis a au point mort mais un retour de Lula pourrait relance le truc voir transformer l'accord en contrat sur étagères. Ce qui est dommage c'est que le projet avec l'australie aurait abouti au sous marin conventionnel le plus performant jamais fait et de loin et ca pouvait intéresser beaucoup de pays ne voulant pas de nucléaire pour des raisons politiques ou opérationnelles. Et dans le pacifique entre l'indonésie la NZ et la malaisie ca pouvait faire du monde.  Aller une de perdu 10 de retrouvés.

Pas tout à fait .... en 1966 la France De gaulle est sortie de l'OTAN ou plus présisément du commandement militaire intégré de l'OtAN (elle y est revenue en 2009 sous Sarkozy) , mais elle n'est jamais sortie de l'Alliance Atlantique.

Si l'Otan s'engage dans un conflit, l'ensemble des troupes des pays de l'Alliance  qui participent à ce conflit passent sous l'autorté du commandement intégré, c'est à dire d'un général américain.

En sortant du commandement intégré, De Gaulle a expliqué aux ricains qu'il restait leur allié, que la Fance participerait à un éventuel conflit si elle estimait que ce conflit était justifié mais que les troupes françaises resteraient sous commandement français. 

Quelques années plus tôt en 1962 lors de la crise des fusées de Cuba, la France de De Gaulle avait clairement indiqué qu'en cas de conflit nucléaire entre les USA et l'URSS elle serait du côté US .

A cette occasion, il a reçu l'ambassadeur d'URSS en France qui lui a dit qu'en cas de conflit de ce type, Paris serait une des premières cibles des missiles soviétiques .... ce à quoi De Gaulle lui aurait répondu poliment "En ce cas Monsieur l'amabassadeur, nous mourons ensemble".