136 réponses à ce sujet

[Alex chocolatines]

C'est la chaine qui est gratuite pour l'abonné. Je n'ai aucun doute qu'elle doivent payer des droits à la LNR.

Un partage des retransmissions, sur les chaines à abonnement et les chaines gratuites, ne serait peut être pas une moins value pour la LNR.

Bin je pense que c'est plus la fédé qui en tirerait bénef ! si iça crée des vocations, plus de licences, plus de sous sous ! 

[Bougnat et Breton]

J aime ta naïveté, on ne peut pas ramer a contre courant hélas !
 

Si, on peut ramer à contre courant, ce n'est pas un problème, par contre c'est vrai que c'est difficile pour avancer, par contre l'ami COVID va probablement se charger d'inverser le sens du courant et là tout redevient possible

[Gourine63]

"Seuls les poissons morts suivent le courant."

[castrais avant tout]

Passer à 12 clubs est une fausse bonne solution.
Le plus intelligent serait pour préserver la santé des joueurs de limiter le nombre de feuilles de matchs par joueurs.
En passant à 12 clubs, c'est deux matchs de moins à domicile et donc moins de recettes alors que beaucoup de clubs sont déjà en difficulté financière.
De toute façon, Alain Gaillard, le syndicat des entraîneurs est pour l'instant contre, estimant qu'à 12 et une seule descente, l'élite pourrait devenir une ligue encore plus fermée et que le jeu pourrait en pâtir.

[jm12]

Si, on peut ramer à contre courant, ce n'est pas un problème, par contre c'est vrai que c'est difficile pour avancer, par contre l'ami COVID va probablement se charger d'inverser le sens du courant et là tout redevient possible

J 'aurais tendance à penser comme toi ou quelque part l 'espérer...sauf que je n 'en suis pas aussi certain que ça aux vues des incohérences de cette LNR et de cette Fédé enlisées dans des combats d'intérêts collatéraux de conflits d'intérêts multiples de personnes , d'égos , avec à la tête de cette Fédé une sacrée nébuleuse digne des meilleures Républiques bananières....

 

Aléa jacta èst ....

[George Abitbol]

En passant à 12 clubs, c'est deux matchs de moins à domicile et donc moins de recettes dépenses

[RCV06]

Si, on peut ramer à contre courant, ce n'est pas un problème, par contre c'est vrai que c'est difficile pour avancer, par contre l'ami COVID va probablement se charger d'inverser le sens du courant et là tout redevient possible

Ça c’est pour toi

 

Retour (encore une fois) sur le passé.
Le seau et l’éponge magique.
Alors, légende? Pas légende, cette histoire d'éponge magique? Tout le monde en parle, mais seuls les vrais de chez vrais ont connu. Les vieux s'en rappellent avec nostalgie, et les jeunes l'évoquent avec respect et admiration. Mais c'était quoi, cette éponge magique? C'était quoi la recette pour la fabriquer?
L'éponge magique, comme son nom l'indiquait, était une éponge toute simple, mais quand même un peu magique. Un peu comme celle qu'on utilise pour fignoler le nettoyage de sa bagnole. Une grosse éponge qu’on mettait dans un seau plein d’eau. Une eau fraiche quand il faisait chaud, et froide, voire glacée quand il faisait froid.
Au bout de ce seau: le soigneur. Petit être vif, vêtu d'un survêtement démodé et chaussé d'une paire de crampons d'une autre époque. Accroupi près des entraineurs, l'homme à l'éponge magique était prêt à intervenir dès qu'un joueur restait au sol. Trottinant gentiment vers le blessé, en compagnie de son seau, il ne lui fallait jamais beaucoup de temps pour remettre le joueur sur pied. Un simple coup d'éponge et zou, le grand blessé repartait au combat comme de rien. Et c'est pour ça qu'elle était magique cette éponge : elle soignait tout ! De la plaie ouverte, à l'entorse de la cheville, et du KO au coup dans les roues, un coup d'éponge et en avant. Pour les fractures il était demandé un délai un peu plus long, mais en étant patient, ça marchait aussi.
Faut dire aussi qu'à l'époque, les blessures étaient plus simples à diagnostiquer que maintenant. T'avais les coups, les plaies, les claquages, les entorses et les fractures. On parlait pas de commotions ou de ligaments. T'avais 5 blessures possibles et c'est tout ! Il y avait mêmes des blessures qui comptaient pas comme blessures. Genre, KO, fractures des côtes, retournage de doigts ou nez tordu. Ce genre de petits soucis  demandaient juste un coup d'éponge, pas mieux!
A la mi-temps, les plus audacieux se servaient même de l’éponge comme gourde pour se réhydrater, parce qu'à cette époque, y avait pas non plus d'histoires de contaminations. Et heureusement d'ailleurs, parce qu'après quelques interventions du soigneur, l'eau dans le seau à éponge, ressemblait à tout sauf à de l'eau. Mélange de boue, de sang, de salive, de pommade et de substances indéterminées. Malgré ça, l'éponge restait encore magique et on s'en barbouillait la figure ou on croquait dedans comme dans un fruit.
Pour les clubs à petit budget et une fois le match terminé, l'éponge repartait gentiment sécher dans la boite à pharmacie, pendant que le seau lui, repartait au boulot pour une toute autre mission: permettre aux joueurs de s'abreuver le plus vite possible, d'un liquide mystérieux fait d'une dose de jaune pour 5 doses d'eau. Mais ça, c'est encore une autre histoire.
La prochaine fois, je vous parlerai du temps où l'on servait des quarts d'oranges pleines de bonnes vitamines aux joueurs de chez nous à la mi-temps et des quarts de demi citrons pleins de bonne acidité aux joueurs adverses.
.

[Silhouette]

Passer à 12 clubs est une fausse bonne solution.
Le plus intelligent serait pour préserver la santé des joueurs de limiter le nombre de feuilles de matchs par joueurs.
En passant à 12 clubs, c'est deux matchs de moins à domicile et donc moins de recettes alors que beaucoup de clubs sont déjà en difficulté financière.
De toute façon, Alain Gaillard, le syndicat des entraîneurs est pour l'instant contre, estimant qu'à 12 et une seule descente, l'élite pourrait devenir une ligue encore plus fermée et que le jeu pourrait en pâtir.

D'ailleurs, on voit bien que les clubs de Premiership sont en grosses difficultes financieres par rapport aux Francais, et que le jeu y est de bien moindre qualite ...  ... 

[Arverne03]

La logique sportive dit oui au top 12; la logique économique lui répond: non ! 

[Alex chocolatines]

Ça c’est pour toi

 

Retour (encore une fois) sur le passé.
Le seau et l’éponge magique.
Alors, légende? Pas légende, cette histoire d'éponge magique? Tout le monde en parle, mais seuls les vrais de chez vrais ont connu. Les vieux s'en rappellent avec nostalgie, et les jeunes l'évoquent avec respect et admiration. Mais c'était quoi, cette éponge magique? C'était quoi la recette pour la fabriquer?
L'éponge magique, comme son nom l'indiquait, était une éponge toute simple, mais quand même un peu magique. Un peu comme celle qu'on utilise pour fignoler le nettoyage de sa bagnole. Une grosse éponge qu’on mettait dans un seau plein d’eau. Une eau fraiche quand il faisait chaud, et froide, voire glacée quand il faisait froid.
Au bout de ce seau: le soigneur. Petit être vif, vêtu d'un survêtement démodé et chaussé d'une paire de crampons d'une autre époque. Accroupi près des entraineurs, l'homme à l'éponge magique était prêt à intervenir dès qu'un joueur restait au sol. Trottinant gentiment vers le blessé, en compagnie de son seau, il ne lui fallait jamais beaucoup de temps pour remettre le joueur sur pied. Un simple coup d'éponge et zou, le grand blessé repartait au combat comme de rien. Et c'est pour ça qu'elle était magique cette éponge : elle soignait tout ! De la plaie ouverte, à l'entorse de la cheville, et du KO au coup dans les roues, un coup d'éponge et en avant. Pour les fractures il était demandé un délai un peu plus long, mais en étant patient, ça marchait aussi.
Faut dire aussi qu'à l'époque, les blessures étaient plus simples à diagnostiquer que maintenant. T'avais les coups, les plaies, les claquages, les entorses et les fractures. On parlait pas de commotions ou de ligaments. T'avais 5 blessures possibles et c'est tout ! Il y avait mêmes des blessures qui comptaient pas comme blessures. Genre, KO, fractures des côtes, retournage de doigts ou nez tordu. Ce genre de petits soucis  demandaient juste un coup d'éponge, pas mieux!
A la mi-temps, les plus audacieux se servaient même de l’éponge comme gourde pour se réhydrater, parce qu'à cette époque, y avait pas non plus d'histoires de contaminations. Et heureusement d'ailleurs, parce qu'après quelques interventions du soigneur, l'eau dans le seau à éponge, ressemblait à tout sauf à de l'eau. Mélange de boue, de sang, de salive, de pommade et de substances indéterminées. Malgré ça, l'éponge restait encore magique et on s'en barbouillait la figure ou on croquait dedans comme dans un fruit.
Pour les clubs à petit budget et une fois le match terminé, l'éponge repartait gentiment sécher dans la boite à pharmacie, pendant que le seau lui, repartait au boulot pour une toute autre mission: permettre aux joueurs de s'abreuver le plus vite possible, d'un liquide mystérieux fait d'une dose de jaune pour 5 doses d'eau. Mais ça, c'est encore une autre histoire.
La prochaine fois, je vous parlerai du temps où l'on servait des quarts d'oranges pleines de bonnes vitamines aux joueurs de chez nous à la mi-temps et des quarts de demi citrons pleins de bonne acidité aux joueurs adverses.
.

C'est magnifique ton éloge de l'éponge ! Remplacée dans l'indifférence générale par la "bombe magique" ... Peut etre encore plus miraculeuse quand elle s'invite chez les fouteux, on a déja vu cet engin mystérieux "ressusciter" des joueurs quasi mourants ! Cependant l'engin est beaucoup moins polyvalent que la célebre éponge, avec quand meme un avantage non négligeable : on peut rafraichir une bière en moins de deux !    

[Caplan]

d'accord si on vire le Stade Français et le Racing

[George Abitbol]

d'accord si on vire le Stade Français et le Racing Agen et Castres

[jm12]

Ça c’est pour toi

 

Retour (encore une fois) sur le passé.
Le seau et l’éponge magique.
Alors, légende? Pas légende, cette histoire d'éponge magique? Tout le monde en parle, mais seuls les vrais de chez vrais ont connu. Les vieux s'en rappellent avec nostalgie, et les jeunes l'évoquent avec respect et admiration. Mais c'était quoi, cette éponge magique? C'était quoi la recette pour la fabriquer?
L'éponge magique, comme son nom l'indiquait, était une éponge toute simple, mais quand même un peu magique. Un peu comme celle qu'on utilise pour fignoler le nettoyage de sa bagnole. Une grosse éponge qu’on mettait dans un seau plein d’eau. Une eau fraiche quand il faisait chaud, et froide, voire glacée quand il faisait froid.
Au bout de ce seau: le soigneur. Petit être vif, vêtu d'un survêtement démodé et chaussé d'une paire de crampons d'une autre époque. Accroupi près des entraineurs, l'homme à l'éponge magique était prêt à intervenir dès qu'un joueur restait au sol. Trottinant gentiment vers le blessé, en compagnie de son seau, il ne lui fallait jamais beaucoup de temps pour remettre le joueur sur pied. Un simple coup d'éponge et zou, le grand blessé repartait au combat comme de rien. Et c'est pour ça qu'elle était magique cette éponge : elle soignait tout ! De la plaie ouverte, à l'entorse de la cheville, et du KO au coup dans les roues, un coup d'éponge et en avant. Pour les fractures il était demandé un délai un peu plus long, mais en étant patient, ça marchait aussi.
Faut dire aussi qu'à l'époque, les blessures étaient plus simples à diagnostiquer que maintenant. T'avais les coups, les plaies, les claquages, les entorses et les fractures. On parlait pas de commotions ou de ligaments. T'avais 5 blessures possibles et c'est tout ! Il y avait mêmes des blessures qui comptaient pas comme blessures. Genre, KO, fractures des côtes, retournage de doigts ou nez tordu. Ce genre de petits soucis  demandaient juste un coup d'éponge, pas mieux!
A la mi-temps, les plus audacieux se servaient même de l’éponge comme gourde pour se réhydrater, parce qu'à cette époque, y avait pas non plus d'histoires de contaminations. Et heureusement d'ailleurs, parce qu'après quelques interventions du soigneur, l'eau dans le seau à éponge, ressemblait à tout sauf à de l'eau. Mélange de boue, de sang, de salive, de pommade et de substances indéterminées. Malgré ça, l'éponge restait encore magique et on s'en barbouillait la figure ou on croquait dedans comme dans un fruit.
Pour les clubs à petit budget et une fois le match terminé, l'éponge repartait gentiment sécher dans la boite à pharmacie, pendant que le seau lui, repartait au boulot pour une toute autre mission: permettre aux joueurs de s'abreuver le plus vite possible, d'un liquide mystérieux fait d'une dose de jaune pour 5 doses d'eau. Mais ça, c'est encore une autre histoire.
La prochaine fois, je vous parlerai du temps où l'on servait des quarts d'oranges pleines de bonnes vitamines aux joueurs de chez nous à la mi-temps et des quarts de demi citrons pleins de bonne acidité aux joueurs adverses.
.

     

[marco43]

C'est magnifique ton éloge de l'éponge ! Remplacée dans l'indifférence générale par la "bombe magique" ... Peut etre encore plus miraculeuse quand elle s'invite chez les fouteux, on a déja vu cet engin mystérieux "ressusciter" des joueurs quasi mourants ! Cependant l'engin est beaucoup moins polyvalent que la célebre éponge, avec quand meme un avantage non négligeable : on peut rafraichir une bière en moins de deux !    

c'est chiadé comme comme éloge c'est vrai, magnifique. moi j'attends maintenant l'éloge du peigne, équipement indispensable aux lignes arrières d'il y a quelques décennies 

[Rugby ?]

Passer à 12 clubs est une fausse bonne solution.
Le plus intelligent serait pour préserver la santé des joueurs de limiter le nombre de feuilles de matchs par joueurs.
En passant à 12 clubs, c'est deux matchs de moins à domicile et donc moins de recettes alors que beaucoup de clubs sont déjà en difficulté financière.
De toute façon, Alain Gaillard, le syndicat des entraîneurs est pour l'instant contre, estimant qu'à 12 et une seule descente, l'élite pourrait devenir une ligue encore plus fermée et que le jeu pourrait en pâtir.

Et tu fais comment si tu as trop de joueurs blessés ou mis à disposition  ? Tu attaques le match à 14 pour respecter les quotas ?