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[thurfin]

la condition sine qua non pour etre président de la ligue c'est d'avoir planté son club, à ce titre Merling et Boucsou sont disqualifiés, Guazzini a toute ses chances pour le coup après l'histoire de la facem

[el landeno]

Alain Tingaud (vice-président de la LNR) : «Pas d'homme providentiel» Comme Vincent Merling et René Bouscatel, le vice-président de la LNR a présenté son programme aux présidents de clubs pro, mercredi à Paris. Il souhaite innover et rétablir des relations apaisées avec la FFR.

Le programme d'Alain Tingaud est actuellement chargé. Après avoir participé mardi aux tractations sur l'appel d'offres des droits de diffusion du Top 14 pour la période 2023-2027, raflé par Canal+, le vice-président de la Ligue a passé son grand oral de candidat à la présidence de la Ligue, mercredi. Entre deux rendez-vous, il est ensuite revenu avec nous sur cette élection (programmée le 23 mars) et ses enjeux.

 

 

« Que retenez-vous du grand oral que vous avez passé mercredi devant les présidents de club ?
Les présentations des candidats étaient courtes, seulement une heure. Il aurait fallu plus de temps. J'ai l'impression que les présidents étaient dans l'écoute, mais qu'il y a aujourd'hui beaucoup de questions, sur l'importance de la Ligue, la manière dont ils peuvent être impliqués dans la gouvernance. Je ne pourrais être que le chef d'orchestre de trente musiciens. Il n'y a pas d'homme providentiel.

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Vous êtes passé en premier...
Oui, un tirage au sort organisé par Emmanuel Eschalier (DG de la Ligue) en a décidé ainsi. Ce n'est pas la position la plus simple... Tu lâches tout alors que personne n'est prêt (rires). Avec Vincent (Merling), on s'était mis d'accord sur le fait de pouvoir assister à nos présentations respectives. Mais avant de passer, Emmanuel a indiqué que ce ne serait pas possible. J'ai trouvé ça dommage.

Avez-vous l'impression que la relation entre la Ligue avec la FFR est au coeur de cette élection ?
La Ligue a gagné depuis plus de vingt ans son indépendance. Elle est dans un format de délégation par rapport à la FFR, donc elle doit discuter. Il faut que les deux institutions fonctionnent ensemble. Nous ne sommes pas en confrontation. Il y a eu parfois trop de testostérone, d'ego. J'ai eu le président de la FFR Bernard Laporte au téléphone, je lui ai dit que si un jour j'avais la responsabilité de la Ligue, je voudrais qu'on travaille ensemble, et je défendrais l'intérêt des clubs professionnels, et celui du rugby en général. En ce qui concerne l'équipe de France, qui est souvent un point de friction, il faut que la FFR accepte de comprendre qu'il faudra un copilotage avec la Ligue. Parce que les clubs fournissent les joueurs, les payent, ils sont totalement derrière l'équipe de France. On a juste envie que la Ligue soit

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« Il faut changer ce système électoral où la politique entre trop en compte »

 

 

 

 

Vincent Merling présente une ligne dure face à la FFR. La polémique née de la gestion de la bulle sanitaire des Bleus peut-elle jouer en sa faveur ?
Personne ne se réjouit de la situation de l'équipe de France. On la voyait renaître grâce à un nouvel encadrement de qualité et grâce à l'éclosion d'une génération exceptionnelle. Et ce sont les clubs pros qui l'ont fait éclore ! Actuellement, l'équipe de France subit, on la soutient. Après, si la Ligue avait été dans le copilotage de l'équipe de France, on aurait peut-être amené une certaine expérience sur ce que nous avons mis en place dans le Top 14 et en Pro D2 au sujet des mesures sanitaires. Mais ce n'est pas le débat.

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Comment ressentez-vous l'influence de la Fédération sur cette élection ?
J'ai juste un constat : j'ai vu arriver pour l'élection un certain nombre de personnes qui se sont présentées pour être élues au collège des personnalités qualifiées (élues par les clubs à l'assemblée générale puis à l'AG au comité directeur, NDLR). Je ne sais pas pourquoi ils en sont venus à se présenter. Je peux juste avoir des suspicions sur qui leur a donné cette idée-là, mais je ne leur fais aucun procès d'intention. Notre système électoral fait que, si les clubs peinent à s'entendre, la Fédération peut être un arbitre. Il faut changer ce système électoral où la politique entre trop en compte, pour basculer sur un scrutin de liste.

« Il y a un vrai problème, c'est que la Ligue n'a pas de fonds propres. On est dans une organisation de type associatif »

 

 

 

 

Parmi les chantiers majeurs du prochain président de la LNR, il y aura l'évolution du Top 14. On a parlé de Top 12, de Top 16, quelle est votre position ?
Le Top 14 est, dans sa configuration actuelle, l'un des meilleurs Championnats de rugby au monde. Avant de détruire de la valeur, en passant à un Top 12 ou un Top 16, étudions bien pourquoi la situation actuelle fonctionne. Il peut en revanche y avoir un problème sur le nombre de dates du calendrier. On peut peut-être en gagner sur la Coupe d'Europe en organisant un nouveau format, et une autre sur le Tournoi des Six Nations, où un week-end ne compte pas de match.

Économiquement, comment la Ligue a-t-elle résisté à la crise ?
Il faut féliciter la Ligue et les clubs, les équilibres budgétaires ont été respectés. Toutefois, il y a un vrai problème, c'est que la Ligue n'a pas de fonds propres. On est dans une organisation de type associatif. S'il y a une autre crise d'envergure ou si celle-là perdurait, la situation de financement des clubs pros serait en danger. Je propose de discuter avec des investisseurs pour créer des fonds propres suffisants, des fonds de garantie et de soutien. Il faut se mettre en capacité d'accueillir cet investissement en cédant une partie du capital ; pour ça, il faudrait créer une société spécialisée. C'est ce qu'ont fait les All Blacks avec Silver Lake, le Pro 14 et la Premiership avec CVC. On a créé une valeur unique au monde, sachons récupérer une partie de cet investissement pour garantir et investir. »

[Eria]

Revol il en a tellement, comment dire Nike "é"...

[el landeno]

Vincent Merling : « Je n'ai aucun problème avec la Fédération »  

 

Candidat à la succession de Paul Goze à la tête de la LNR, le président du Stade Rochelais Vincent Merling regrette d'être étiqueté comme un simple opposant à la FFR. Et explique vouloir mettre en place une gouvernance participative de la Ligue s'il est élu.

 

Homme rare dans les médias, Vincent Merling a accepté mardi d'ouvrir les portes de son bureau de l'Apivia Parc, le centre d'entraînement du Stade Rochelais, pour évoquer les motivations de sa candidature à la présidence de la LNR, dont l'élection est prévue mardi prochain.

 

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Détendu avant l'entretien, plaisantant avec l'un des entraîneurs Grégory Patat au détour d'un couloir, le dirigeant s'est ensuite montré plus grave au moment d'évoquer les problématiques du rugby pro. Investi, il partira dans la foulée de l'interview à la rencontre d'un président de Pro D2.

« À quel moment vous êtes-vous décidé à être candidat à la présidence de la LNR ?
Ce n'est pas une décision prise avec une visée carriériste. Vous savez, je suis bien dans mon club. Mais, après que Pierre-Yves (Revol, président de Castres) a décidé de ne pas se présenter à l'élection, j'ai eu des demandes pressantes d'autres dirigeants. Je ne m'y attendais pas. Je ne suis pas un homme public, dans le sens où je n'ai pas l'habitude de m'exposer. Être mis en valeur, ce n'est pas dans mon tempérament. Mais je me suis demandé si ce n'était pas de mon devoir d'accepter cette démarche qui m'était proposée.

À votre avis, pourquoi ces présidents vous ont demandé de vous présenter ?
Je ne sais pas... Peut-être est-ce l'image du Stade Rochelais qui me projette comme un dirigeant légitime. Ce que je leur ai dit, c'est que ma philosophie de gouvernance serait basée, si j'étais élu, sur le participatif et non le directif. Mon devoir serait d'animer, de proposer, sur des thématiques précises, d'être dans le partage, la délégation de la compétence pour continuer à faire grandir le rugby français. L'exemple vivant de ma philosophie de gouvernance et de gestion participative, c'est le Stade Rochelais.

« Si je suis élu, je me devrais d'être en soutien de la Fédération et particulièrement de l'équipe de France, que tout le monde souhaite voir devenir championne du monde »

 

 

 

 

On vous a parfois présenté ces dernières semaines comme influencé par Jacky Lorenzetti, votre homologue du Racing...
Il est vrai que des présidents m'ont appelé pour me demander de me présenter. Jacky, avec qui j'entretiens de bonnes relations, en fait partie. Mais je ne suis pas l'homme de Jacky, je n'aime d'ailleurs pas qu'on dise que je suis l'homme de quelqu'un, je trouve ça péjoratif. Je suis Vincent Merling, un homme qui vit dans le rugby depuis toujours, un homme de partage.

Au quotidien, aviez-vous l'habitude de vous intéresser au fonctionnement de la Ligue ?
À l'origine de sa création, j'ai participé à faire adopter le 60-40 (60 % de la répartition des droits télé aux clubs de Top 14, 40 % pour ceux de Pro D2), on m'a longtemps appelé Monsieur 60-40, je suis très marqué Pro D2. Je me suis ensuite occupé d'une commission éthique, mais j'ai vite compris que ça ne servait pas à grand-chose, tout est éthique, c'était compliqué... Après, j'ai pris du recul, j'avais besoin de m'occuper du Stade Rochelais. Mais j'ai toujours été prêt à faire valoir mes convictions.

Est-ce que les tensions qui ont resurgi l'automne dernier avec la FFR autour de la mise à disposition des internationaux vous ont poussé à vous investir davantage ?
On peut parler de mes prétendus problèmes avec la FFR. J'ai un profond respect pour la Fédération. J'ai effectivement parfois des divergences de vues avec les dirigeants, mais en tant que président du Stade Rochelais. En tant que président de la Ligue, si je suis élu, je me devrais d'être en soutien de la Fédération et particulièrement de l'équipe de France, que tout le monde souhaite voir devenir championne du monde.

On vous a souvent caractérisé dans cette campagne comme le candidat de l'opposition à la FFR, ça vous gêne ? 
Je ne suis pas quelqu'un de clivant, j'aime partager, batailler, mais je ne suis pas anti-Fédération. Ça serait faire preuve d'inintelligence, d'irresponsabilité. C'est facile de dire qu'avec moi, ça serait la guerre. J'ai cette image parce que je suis parfois monté au créneau, ce qui me sanctionne aujourd'hui auprès de certains présidents. Mais si je suis élu à la présidence de la LNR, je nommerai un vice-président en charge des relations avec la FFR. Non que je ne puisse le faire, mais afin de renforcer notre collaboration. Je serais un président cherchant à construire. Je le répète : je n'ai aucun problème avec la Fédération. En cas d'élection, mon premier appel serait d'ailleurs pour la FFR, afin de les saluer.

Un dialogue serein vous semble donc possible entre les deux instances ?
Je suis pour le dialogue, on peut parfois batailler, mais avec la volonté de trouver un chemin consensuel. Pour cela, il faut que chacun ait des cartes dans sa main, sinon, la discussion s'arrête vite. Mon devoir serait de défendre les intérêts des clubs, dans l'intérêt supérieur du rugby.

« La priorité, c'est de sortir de la crise et qu'on ne laisse personne au bord du chemin. En tant que président en activité, je ne pense qu'à ça »

 

 

 

 

Si vous êtes élu, quel serait votre chantier prioritaire ?
La priorité, c'est de sortir de la crise et qu'on ne laisse personne au bord du chemin. En tant que président en activité, je ne pense qu'à ça. Il faudra nous recentrer sur le soutien du gouvernement, sans qui on ne s'en sortira pas. Il faut qu'il comprenne qu'avec ces matches à huis clos, nous sommes dans la même problématique que lors du premier semestre, 70 % de notre chiffre d'affaires ne peut être réalisé. Que ce soit avec le fonds billetterie, le fonds de solidarité et le fonds de compensation des charges fixes, il faut absolument que le gouvernement nous soutienne encore.

Je remercie par ailleurs l'équipe en place à la LNR d'avoir réussi à nous donner de la vision avec le nouvel accord de droits télés signé avec Canal+ (jusqu'en 2027). Ça va permettre aux clubs de solliciter leurs banques et d'emprunter avec cette caution forte. Il faudra également se pencher sur les baisses de masses salariales - avec ou non baisse du salary-cap -, que la DNACG assouplisse ses règles au moment où la crise nous affecte. Il sera également nécessaire d'inciter le public à revenir au stade quand ce sera possible.

Vous avez une crainte que le public ne revienne pas de la même manière qu'avant la pandémie ?
Je pense qu'une fois que la campagne de vaccination aura atteint ses objectifs, il y aura moins de souci. Mais en septembre, nous nous sommes aperçus qu'il y avait une inquiétude de nos supporters face à cette pandémie. Je comprends ces craintes, la Ligue devra accompagner les clubs pour favoriser le retour du public dans les stades en toute sécurité. C'est essentiel pour le rugby. »

Au Stade Rochelais, une succession organisée

Président du Stade Rochelais depuis trente ans, Vincent Merling quitterait son club de toujours s'il était élu à la tête de la Ligue la semaine prochaine. Qui le remplacerait alors ? Le dirigeant a tout programmé. « Gérer, c'est prévoir, donc tout est organisé pour que le Stade Rochelais ne subisse pas les conséquences de mon départ éventuel, assure-t-il. Je n'ai pas de crainte, j'ai des amis ici prêts à prendre les responsabilités que j'avais, je sais qui me remplacerait à la tête du comité de surveillance. J'en dirai plus à nos supporters et partenaires très rapidement en cas d'élection. Mais le dire maintenant, ça serait faire preuve de prétention. »

 

 

[Arverne03]

Attendons patiemment l'heureux élu ! 

[TH69]

Merling vs Bouscatel

https://www.lequipe....merling/1234835

[diomedea]

la condition sine qua non pour etre président de la ligue c'est d'avoir planté son club, à ce titre Merling et Boucsou sont disqualifiés, Guazzini a toute ses chances pour le coup après l'histoire de la facem

 

Rappelle-moi c'était qui le génie qui avait trouvé la Facem ? ...... Il est pas devenu président de la ligue lui.... juste président de la FFR  et de World Rugby dans quelques années.

[Eria]

mince alors ! quelle déception...

[cocotte 63]

Merling pas élu au comité directeur de LNR, donc ne peut pas être candidat à la présidence... ça sent bon à la LNR !!!   à n'en pas douter.

 

Je suis déçu, je l'aime bien Merling ! 

[clum63_]

Merling pas élu au comité directeur de LNR, donc ne peut pas être candidat à la présidence... ça sent bon à la LNR !!!   à n'en pas douter.
 
Je suis déçu, je l'aime bien Merling !

Rassurons nous lombard a été élu lui... Tout va bien...

[cricri]

Main mise de la Federation sur la ligue avec lélection de bouscatel gare au top 12 dans lavenir

[la bella y la Bestia]

Dallas le retour 

[claude63500]

Bouscatel vient d'être élu

[Ptolémée]

oui , 

Rugby - René Bouscatel, nouveau président de la LNR

[la bella y la Bestia]

Bouscatel vient d'être élu

 

Bigflo & Oli au Comité directeur 

l'ASM humiliée