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Hommage: Louis Picamoles (retraite annoncée)


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36 réponses à ce sujet

#1 Bon Chasseur

Bon Chasseur

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Posté 13 octobre 2021 - 11:44

 

Je sais je sais. Pica boum boum. Pica muscuuuuuuu. On connaît tous.

 

Mais derrière la caricature, il y a surtout un joueur qui sortait du lot de la tête et des épaules pendant la période la plus noire du Rugby français moderne. Par moments il sauve le XV de France (notamment ce match à Dublin 2013 où il arrache le nul à lui tout seul presque), ou fait la différence avec sa puissance et sa finition (57 essais en club et 10 en sélection), ou bien une action fracassante pour libérer un coéquipier via ses fameux offloads. Ses plaquages marquent l'adversaire, et il a bouffé du ballon au sol comme peu de 8 sur cette dernière décennie. Pouvait jouer tous les postes de la 3èL, de 6 à 8. Il a excellé en Top 14, au niveau international, et même à la coupe du monde (meilleur joueur français en 2015, fort probablement), en Premiership ou en Champions Cup. Dans plusieurs effectifs, il s'est tjrs fait remarquer.

 

Quel dommage d'être tombé à ce moment là. Un Picamoles en pleine force de l'âge sous Galthié aurait été absolument monumental.


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#2 grospaquet33

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Posté 13 octobre 2021 - 12:20

Bonne retraite a lui…sur un titre de champion de france et d’Europe  :bush:



#3 Alex chocolatines

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Posté 13 octobre 2021 - 12:28

Bon alors bonne retraite ! Il nous a beaucoup apporté, on a eu la chance de le voir évoluer chez nous au top de sa forme, il a souvent fait vibrer le stade !

Un beau gaillard sympa et limite timide ! Il semblait parfois gêné devant les nuées de droles qui voulaient une photo avec lui ou un autographe . 



#4 ELSAZOAM

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Posté 13 octobre 2021 - 15:36

Bonne retraite sportive à Louis !

Belle carrière en club (2 Brennus et 1 Ccup avec le ST) et en équipe nationale avec 82 sélections (9 Tournois et 3 CDM).



#5 Boulard

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Posté 13 octobre 2021 - 17:30

Je ne connais pas l'homme mais je n'ai ajamis apprécié le style du joueur.
Bonne retraite avec du repos car il doit être sacrément mâché.
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#6 Ptolémée

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Posté 13 octobre 2021 - 17:53

Joueur immense ! respect ...



#7 gregouarrrr

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Posté 13 octobre 2021 - 17:57

Bonne retraite sportive à Louis !

Belle carrière en club (2 Brennus et 1 Ccup avec le ST) et en équipe nationale avec 82 sélections (9 Tournois et 3 CDM).

oui on aurait pu penser a un palmares plus important ...

 

a ce propos ... hommage hommage ...  c est pas non plus un palmares de dingue non plus 


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#8 Bad Zé

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    Si yen a qu'ça les dérange... Et ben on va vous en debarrass

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Posté 13 octobre 2021 - 19:52

C'est aussi un hommage aux topics à la con.
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#9 el landeno

el landeno

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Posté 13 octobre 2021 - 19:56

Louis Picamoles retrace sa carrière : « le terrain a été mon exutoire » Louis Picamoles, troisième-ligne de Bordeaux-Bègles en Top 14, a pris la décision de mettre un terme à sa carrière en fin de saison. Il explique pourquoi et raconte comment lui, gamin introverti, est arrivé jusqu'à l'équipe de France, dont il a porté 82 fois le maillot de 2008 à 2019.

Louis Picamoles nous reçoit chez lui dans sa maison de Bègles, en Gironde. L'entretien se déroule en présence de sa femme Maïlis et de leur troisième enfant, Zélie (9 mois), d'un côté ; de Nox et Oz de l'autre, deux molosses (American Bully) que la présence d'une solide baie vitrée nous rend plus sympathiques. Dans son salon, le troisième-ligne international (35 ans, 82 sélections) nous montre une photo sépia encadrée. C'est son grand-père, troisième-ligne de Mazamet (Tarn), légende des repas de famille, par lequel il est venu au rugby. « Oui, et pourtant je ne l'ai jamais connu. Il est décédé avant ma naissance. Ma grand-mère paternelle parlait beaucoup de lui, il était l'amour de sa vie. À tel point qu'elle le rendait vivant. Il est devenu un mythe, a nourri mon imaginaire. C'était un rustre, un bon vivant qui aimait la vie. Je me suis identifié à lui et j'ai fait du rugby pour partager avec lui. C'est presque ésotérique. »

 
 

« Comme ça, vous avez pris la décision de remiser vos crampons à la fin de saison ?
Oui, j'ai vu Christophe (Urios, le manager de Bordeaux-Bègles) il y a quelques jours pour lui en parler. Le coach m'a dit "je te trouve bien", mais je ne veux pas risquer de faire la saison de trop. Il a compris. J'aurai 36 ans en février, mon corps et ma tête me disent que c'est le moment. J'ai aussi trouvé ce que je voulais faire après. Avec mon épouse Maïlis, on va monter un élevage caprin bio et il est temps de nous lancer dans ce beau projet.

Vous avez commencé dans le rugby pro en octobre 2004, il y a dix-sept ans...
À mon époque, on avait déjà ces cadences infernales mais, aujourd'hui, l'impact physique a encore franchi un cap. On voit de plus en plus de blessures, des joueurs usés, des gars de 23 ans déjà opérés plusieurs fois. D'autres avec des problèmes d'arthrose. Sur toute ma carrière, je n'ai jamais eu de grosses blessures avant les ligaments croisés, il y a deux ans.

« Jouer en pro n'a jamais été mon objectif, c'est une succession d'aléas de la vie. Je n'ai jamais consenti à de gros sacrifices au départ »

 

 
 
 

Une blessure que vous attribuez à la charge émotionnelle trop lourde encaissée à Montpellier à l'époque...
Oui, l'émotionnel ça contribue à fragiliser. La dimension psychique de ce que je vivais là-bas, l'atmosphère toxique, m'ont usé et sont venues s'ajouter à une grande fatigue au retour de la Coupe du monde (2019). Je trainais une pubalgie. Mon corps m'a dit "stop, faut faire un reset". Sur un appui, je me suis blessé seul. Mais bon, je ne veux garder que du positif de ma carrière. Je suis un chanceux du rugby. Certains étaient programmés. Moi c'est arrivé comme ça. Je jouais en jeunes sans nourrir ce rêve. Jouer en pro n'a jamais été mon objectif, c'est une succession d'aléas de la vie. Je n'ai jamais consenti à de gros sacrifices au départ. J'ai dû en faire ensuite pour durer. En débarquant à Toulouse, en 2009, j'ai découvert l'exigence. J'avais 23 ans. Un jour Yannick Bru m'a demandé de lever mon tee-shirt à côté de Thierry Dusautoir. J'étais bien gras. Ça m'a piqué et incité à bosser. Je suis fier de ma belle carrière. J'ai eu une part de chance d'être tombé sur des groupes de bonhommes magnifiques qui m'ont fait grandir. Succès sportif ou pas, ça passe après.

Louis Picamoles, c'est 50 essais inscrits en Top 14. Un record pour un avant
que vous partagez avec Alex Tulou...

Ah ? Vous me l'apprenez. Je n'avais pas fait gaffe... Bah, un essai ce n'est que la conséquence d'une action collective. Savoir qui aplatit, ce n'est pas important. Je sais juste qu'en 2018 j'avais fini deuxième meilleur marqueur (de Montpellier), derrière Nadolo (3e du Top 14 derrière le Toulonnais Chris Ashton et Nemani Nadolo), là ça m'avait fait marrer !

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Louis Picamoles dans son attitude caractéristique d'attaque de la défense, ballon sous le bras, en guise bouclier. (L. Hahn/L'Équipe)

Longtemps vous avez été Obélix, à perforer les défenses un ballon sous le bras...
Ce n'est pas très académique. Dans les écoles de rugby, on vous apprend à éloigner le ballon de l'impact pour ne pas le perdre. Moi c'était comme un bouclier. Déjà gamin, à Montpellier, je percutais comme ça, un peu bas et les coudes en avant. On se marrait à imiter Sébastien Charbonnier qui fut mon éducateur chez les jeunes du MRC entre 13 à 15 ans. Ce style m'a fait connaître : aller défier en puissance et marquer l'adversaire par un jeu frontal.

Pas mal pour l'introverti que vous étiez et qui, à l'école, se faisait mettre à l'amende par des plus petits, plus véhéments. Ça guérit le rugby ?
Ce sport m'a donné confiance en moi. Je n'ai jamais eu un tempérament de bagarreur, j'ai toujours été mal à l'aise dans le conflit. Le terrain a été mon exutoire. Je joue pour marquer l'adversaire, dans la règle, jamais pour faire mal. Blesser un gars, le voir souffrir ou sortir, ça me gêne. Ce que j'aime, c'est le jeu, partager avec les coéquipiers, le public. C'est juste fou de prendre du plaisir et d'en donner à 20 000 spectateurs chaque week-end ! Mon image n'a jamais été conforme à celui que je suis vraiment. Comme je suis un introverti, les gens peuvent penser que je suis distant. La réalité, c'est que je suis un hypersensible. J'ai du mal à me détacher des choses. Mais bon, mon image, je m'en balance. À quoi bon, aujourd'hui ce sont les réseaux sociaux qui façonnent une réputation. En rugby, on a aussi des gars qui jouissent d'une image sympa, mais qui ne le sont pas.

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Louis Picamoles vainqueur avec Toulouse de son premier Bouclier de Brennus, en 2011 face à Montpellier, son ancien club (15-10). (RONDEAU/L'Équipe)

Y a-t-il un coach de Top 14 qui a pris soin d'élargir votre palette technique ?
En arrivant à Toulouse, en 2009, j'ai appris à regarder autour de moi. Avant je faisais avancer mon équipe, quitte parfois à enterrer le ballon derrière. Guy Novès m'a dit : "Ne change pas, on est venus te chercher pour ça. Mais ça ne suffira pas. Si tu rajoutes un peu de vision et de la gestuelle, tu seras difficile à jouer grâce à des passes avant ou après contact." Alors j'ai bossé sur mes appuis pour sortir de cette recherche d'affrontement systématique, varier mon jeu.

Vous aviez un surnom dans les vestiaires ?
À Northampton (il y a évolué en 2016-2017), on m'appelait "King Louis". Rien à voir avec la monarchie, c'est un clin d'oeil au Livre de la jungle. Luther Burrell, au centre, c'était Bagheera, la panthère. Moi j'étais l'orang-outan (il se marre). Après la Coupe du monde 2015 en Angleterre, j'ai eu le sentiment d'avoir fait le tour à Toulouse, je souhaitais vivre autre chose. Benjamin Kayser m'avait accompagné pour rencontrer le staff de Northampton et ça m'a bien plu. En plus, le club était proche de Birmingham, où vivait mon grand-père maternel, Pierre. J'avais à coeur de le découvrir, de rattraper le temps perdu. Peu après mon arrivée, il est tombé malade. Son état s'est dégradé. J'allais dormir à ses côtés à l'hôpital. Un matin, j'ai voulu l'embrasser. Son visage était reposé. Depuis trois mois, on le voyait grimacer, souffrir. Là il était enfin serein, paisible.

Pourquoi être revenu en France ?
Parce que j'ai reçu un appel de Vern Cotter et que c'était Montpellier. Vern, c'est un mec rare. Précieux. Sous ses airs granitiques, lui aussi c'est un sensible. Il a fait de moi un capitaine, jamais je ne me serais vu dans ce rôle. Il m'a fait grandir. On échangeait beaucoup, souvent. Vern est un bâtisseur, un bosseur, un énorme pro à qui on n'a pas laissé le temps. Quand il a été remercié par Montpellier, un an avant la fin de son contrat, j'ai dit ce que j'en pensais. Ça m'a valu des inimitiés avec certains joueurs et parasité ma relation avec son successeur Xavier Garbajosa, puis avec Philippe Saint-André. Deux coaches avec qui je n'ai jamais accroché.

C'est pour ça que vous êtes venus vous relancer à Bordeaux en mars ?
Surtout parce que Christophe Urios est une belle rencontre. Je ne le connaissais pas. J'avais un peu de mal avec son personnage vu de l'extérieur mais, on a eu un bel échange au téléphone, confirmé par des bonnes ondes quand on s'est rencontrés. J'ai besoin de sentir les gens. Et, aussi, de savoir que je peux servir le groupe. La sensation d'être inutile me pèse, peut avoir un impact très néfaste sur moi au quotidien. À Montpellier, ne plus trouver ma place m'a rendu dingue. J'en ai parfois chialé de rage. Ici, à Bordeaux, le groupe est sain, l'envie est partagée. Christophe peut me dire des choses désagréables, quand on a la confiance on peut entendre et accepter. C'est la beauté d'une relation humaine. Voilà ce que je cherche dans le rugby : des mecs vrais et sincères.

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Louis Picamoles a inscrit 10 essais en 82 sélections avec l'équipe de France (ici contre l'Italie, à Rome, lors du Tournoi des Six Nations 2017). (A. Mounic/L'Équipe)

Votre bilan en équipe de France c'est 82 matches, 37 victoires, 42 défaites et 3 nuls...
C'est vrai, je n'ai pas connu la meilleure période de l'équipe de France. Quand même, 82 sélections, je n'aurais jamais imaginé ça. Et, même dans des temps difficiles, porter le maillot de ton pays, défendre le drapeau, chanter la Marseillaise, c'est indescriptible. Je n'ai pas toujours fait des bons matches, mais j'ai toujours donné mon maximum. L'équipe de France, c'est une aventure lumineuse. Tant pis si parfois on partait en sélection en se disant : "On va encore se faire défoncer par la presse". Une fois avec les Bleus, c'était différent. C'est magique l'équipe de France. Aujourd'hui, elle est extrêmement compétitive. Elle n'a pas encore remporté de titre majeur, mais ça ne va pas tarder, dès le prochain Tournoi des Six Nations je pense.

Pour vous, le fait qu'ils gardent l'esprit festif est aussi une explication de leur réussite. Comme ce fameux soir où Antoine Dupont, en pleine fête de village avec Grégory Alldritt, vous le passe au téléphone.
Un peu allumé, Greg m'avait lancé : "Oh Picamoles, baisse le chauffage !" Le lendemain, il était tout gêné, ne se souvenait de rien. J'avais trouvé ça bon enfant, spontané. Ça m'a fait marrer. On s'est retrouvés peu après en sélection, ça crée du lien. C'est bien que cette génération n'oublie pas la convivialité. Ils ne sont pas devenus des robots. Le rugby, c'est le terrain, mais, aussi, ce qu'il y a autour. Cette génération est forte techniquement mais aussi humainement, avec des têtes bien faites. Moi, ça me parle, tant pis si d'autres ne comprennent pas. Antoine, il est au-dessus du lot depuis trois saisons mais il reste le même. Pas le mec qui prend la grosse tête. La fête, c'est dans l'ADN du rugby même si les exigences du sport vont de plus en plus la réguler.

Le combo récup et shaker de protéines, c'est pas votre truc ?
(Il se marre.) Je n'ai jamais avalé de milk-shake de protéines ! J'ai toujours préféré la récup à la bière. Bon, les fêtes jusqu'à six heures du mat', je n'en fais plus, je n'y arrive plus. Avec l'exigence des matches et leur intensité, la fête c'est devenu compliqué. Tu t'exposes à des blessures, à une méforme. Surtout que je suis un peu excessif, pour moi "aller boire un verre", c'est juste une expression. Il y en a toujours un autre qui suit derrière. Notre sport a changé, avec des progrès techniques et technologiques dingues. Ça va devenir très difficile de faire de longues carrières. Après chaque match, on est mâchés. »

 
 


#10 frednirom

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Posté 13 octobre 2021 - 20:00

Son geste technique restera le levé de coude .

#11 Panasonic

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Posté 14 octobre 2021 - 17:28

Je ne sais pas si son interview a été réécrite, ou si ce sont ses vrais mots, mais le fait est que ce qu'il est diffère grandement de ce que je pouvais imaginer de lui. Joueur, c’était pour moi un tracto-pelle fourche levée qui fonçait dans le tas. Il est en fait plus subtil que cela, et j'aime bien sa vision de sa propre carriere.

donc, Respect king Louis.



#12 aymeric

aymeric

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Posté 14 octobre 2021 - 17:36

Ca fera un adversaire en moins, c'est toujours ça de pris.

C'est pas un joueur qui m'a marqué personnellement. 



#13 modeste

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Posté 14 octobre 2021 - 17:50

Pourquoi un hommage à un looser 



#14 Fast Kimi

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Posté 14 octobre 2021 - 17:56

Pourquoi un hommage à un looser 

Ah je veux bien être un looser alors.

#15 Alex chocolatines

Alex chocolatines

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Posté 14 octobre 2021 - 18:04

C'est aussi un hommage aux topics à la con.

C'est surtout que ça manque de Fenwick !   :D  :D






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