Aller au contenu


Photo

TOP 14 - 2022/2023


  • Veuillez vous connecter pour répondre
39 réponses à ce sujet

#31 Alex chocolatines

Alex chocolatines

    Champion du Monde

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 19 682 messages
  • Genre:Homme
  • Mon club:

Posté 01 septembre 2022 - 17:09

à part l'exceeeeeeeeeeeeeeellent Julien Marchand, j'en connais pas un  :ermm:



#32 el landeno

el landeno

    Joueur de TOP 14

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 4 900 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:dax
  • Mon club:

Posté 01 septembre 2022 - 19:49

https://www.lequipe....daction/1351522

 

a faire passer en boucle dans les vestiaires !



#33 el landeno

el landeno

    Joueur de TOP 14

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 4 900 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:dax
  • Mon club:

Posté 01 septembre 2022 - 20:30

Woki, Parra, Waisea, Jaminet et Tanga : cinq joueurs de Top 14 qui ont fait le pari de changer de club Si aucune star étrangère n'a rejoint le Top 14 cet été, plusieurs joueurs majeurs du Championnat ont changé d'écurie. Zoom sur cinq d'entre eux.

 

Le pouls du marché des transferts ne s'affole jamais moins que lorsqu'on s'engouffre dans une saison menant à une Coupe du monde. Tout le monde connaît les recommandations d'usage quant à la part de risque à changer d'air, de vie, de langue, de coach, si près de l'échéance majeure. Il y a quatre ans, avant le Mondial au Japon, le Top 14 avait tout de même accueilli quelques pointures internationales (Sanchez, Moala, Savea, Russell, Ngatai, Zebo, Messam...) ; en tout cas davantage que cet été.

 
 

Cette intersaison, c'est principalement intra-muros que les mouvements les plus remarquables ont été observés. Ils concernent pour l'essentiel des internationaux français ou proches de l'être (Thomas, Tanga, Barassi, Carbonel, Priso, Hastoy, Païva, Falatea, Vili, Colombe, Baubigny...), dont deux titulaires du dernier Grand Chelem (Jaminet, Woki), mais aussi quelques figures du championnat (Parra, Machenaud, Lopez, Waisea, Paillaugue, Plisson, West...).

Cameron Woki (23 ans), le renfort inespéré du Racing 92

Et si le meilleur recrutement du Racing 92 pour la saison à venir coïncidait avec le dossier le moins préparé ? À la dernière minute, le président, Jacky Lorenzetti, et le patron sportif, Laurent Travers, ont réussi un drôle de coup en enrôlant Cameron Woki (Union Bordeaux-Bègles). Celui-ci cumule plusieurs avantages : le standing qu'on accorde à un titulaire du dernier Grand Chelem avec les Bleus (16 sélections), la jeunesse (23 ans) et cette polyvalence dont il a fait la preuve au niveau international (en troisième comme en deuxième-ligne).

« On n'avait pas ciblé Cameron plus qu'un autre, indique Lorenzetti. C'est lui qui nous a contactés. Il voulait se rapprocher de sa compagne, de sa famille... On n'a pas été prédateurs. D'autant moins que j'ai d'excellentes relations avec le président Marti. Le talent de Cameron, tout le monde le connaît. C'est un joueur brillant. Et nous, nous avions besoin de réfléchir à moyen terme vu que certains leaders de notre pack approchent de la retraite (Le Roux, Lauret, etc.). »

L'arrivée de Woki, formé à Bobigny puis à Massy où il n'a jamais pu jouer en première, peut revigorer un paquet d'avants trop souvent atones la saison dernière. « Au-delà des qualités du joueur, tu sens quelqu'un plein de maturité, signale Travers. Il est arrivé avec une grande humilité sans revendiquer de jouer 4, 7 ou 8. »

La contrepartie de recruter un semi-cadre du quinze de France est connue : Woki sera réquisitionné pour la Tournée d'automne et le Tournoi. Mais si le Racing 92 peut l'utiliser 21 fois, comme l'UBB a pu le faire l'an dernier, il devrait s'y retrouver. Ayant pris de l'avance sur Ibrahim Diallo, Hassane Kolingar ou Jordan Joseph (toujours prêté à Pau, il est censé revenir au Racing 92 dans un an), qu'il côtoyait dans le groupe des champions du monde des moins de 20 ans en 2018, Woki a le pouvoir d'attraction pour les tirer vers le plus haut.

Morgan Parra (33 ans), la bonne pioche du Stade Français ?

 

ac262.jpg
 
Morgan Parra a quitté Clermont pour rejoindre le Stade Français. (Icon Sport/Icon sport)

L'intersaison a été mouvementée au Stade Français avec 14 départs pour 14 arrivées. La tête d'affiche de ce recrutement n'est autre que Morgan Parra, qui a signé un contrat de deux ans. Après treize saisons à Clermont, le demi de mêlée (33 ans, 71 sélections) a décidé de relever un dernier défi avec le club de la capitale« Morgan a notamment été recruté pour amener cette exigence au quotidien et la transmettre, expliquait cet été à L'Équipe le directeur général Thomas Lombard. Un grand leader forme d'autres leaders. Morgan est de cette trempe. »

« Morgan a déjà pris de la place, confirme son coéquipier, le troisième-ligne Sekou Macalou. C'est un leader naturel. Quand il parle, tu bois ses paroles. Son apport est très enrichissant. Morgan est un très grand joueur qui a déjà gagné. C'est surtout un compétiteur. Il n'est pas venu à Paris pour jouer une saison de plus et se la couler douce. Il veut apporter quelque chose à l'équipe et gagner. »

Parra s'est rapidement intégré à sa nouvelle équipe et son nouvel environnement. Fort de son expérience de plus de 250 matches en Top 14 et près de 100 en Coupe d'Europe, le demi de mêlée a rapidement pris les galons de « taulier » dans une équipe qui a perdu la majorité de ses cadres au cours des dernières saisons (Parisse, Fickou, Danty, Waisea, Burban).

« Morgan Parra, c'est une bonne pioche pour le Stade Français ! » L'affirmation est signée Damian Penaud, son ex-partenaire à Clermont. « Son expérience, sa maturité, sa façon d'emmener les mecs à l'approche des matches, ça va faire du bien à l'équipe, Morgan est un vrai plus dans un vestiaire », glissait l'ailier international.

Waisea Nayacalevu (32 ans), plus qu'un joueur, un leader

 

80812.jpg
 
Waisea a quitté le Stade Français pour rejoindre Toulon. (Florian Escoffier/Photopqr/nice matin/maxppp)

L'arrivée de Waisea Nayacalevu (32 ans) à Toulon promet de faire des étincelles. Même Thomas Lombard, le directeur général du Stade Français, où le centre Fidjien évoluait depuis 2012, le reconnaît : « Cette saison, il peut faire très mal. On aurait aimé le garder, mais il a préféré faire un choix pour les siens. On peut le comprendre. Aujourd'hui, il est dans la forme de sa vie. Après quelques années de phase de découverte de l'Europe et de la France, il a désormais atteint la plénitude dans sa vie personnelle et ça se ressent sur le terrain. »

À l'autre bout du monde, le sélectionneur des Fidji, Vern Cotter, se montre tout aussi enthousiaste : « Merci de parler de lui ! Il le mérite ! Avec ses qualités et sa personnalité, c'est un joueur clé de notre sélection en vue de la Coupe du monde 2023. Il est costaud, rapide et puissant, ce qui lui permet de remporter ses un-contre-un. En termes de jeu, au poste de centre il parvient à mettre ses ailiers dans l'intervalle grâce à sa technique de passe très variée. » Les flèches toulonnaises (Kolbe, Villière, Luc, Wainiqolo, Cordin, etc.) devraient se régaler à ses côtés.

Waisea a une telle aura que Cotter en a d'ailleurs fait son capitaine : « Ce n'est pas dans les habitudes, aux Fidji, qu'un joueur qui évolue à l'étranger soit désigné capitaine. Mais j'ai perçu le rôle majeur qu'il a sur le terrain comme en dehors. Je suis certain que, si à Toulon on lui demande d'endosser le capitanat, il le fera avec coeur et passion. Il en a les épaules. » Confirmation de son compatriote, le troisième-ligne de Montpellier Masivesi Dakuwaqa : « Waisea, je le côtoie depuis la sélection olympique de rugby à 7. Il a une certaine manière de se rendre disponible pour les autres, avec beaucoup de bienveillance. Du coup, les autres ont envie de le suivre, de l'écouter. »

Melvyn Jaminet (23 ans), une place à gagner

 

e55c0.jpg
 
Melvyn Jaminet a quitté Perpignan pour rejoindre Toulouse. (Icon Sport/Icon sport)

Le match amical remporté à Toulon la semaine dernière (21-31) préfigure peut-être de la manière dont l'encadrement toulousain gérera la concurrence entre Thomas Ramos et Melvyn Jaminet. L'un a disputé la première période, l'autre la seconde. Ce qui est sûr, c'est que l'ex-Perpignanais (23 ans), tout arrière titulaire et buteur de l'équipe de France qu'il est, devra gagner sa place dans un effectif où son suppléant chez les Bleus, Ramos, fait partie des tauliers.

« Quand on arrive au Stade Toulousain, même si on a déjà fait ses preuves ailleurs, on doit très souvent passer par une période d'adaptation qui n'est pas simple, prévient le manager Ugo Mola. À la fois dans notre mode de fonctionnement, dans notre rugby et dans l'exigence qu'on a autour du jeu. »

Jaminet devra donc d'abord s'imprégner des préceptes du jeu à la toulousaine avant d'espérer s'installer à l'arrière ou entrer dans une rotation équilibrée avec Ramos. Commencera-t-il à terme un match sur deux ? Possible, mais pas certain, quand on sait à quel point Mola aime disposer de ses meilleurs joueurs sur le terrain au même moment. Or, Jaminet peut aussi évoluer à l'ouverture, voire sur une aile, même si l'autre recrue phare de l'été, l'Italien Ange Capuozzo, qui arrive de Grenoble (Pro D2), semble plus taillée que lui pour se décaler sur un côté.

« La polyvalence de Melvyn ressemble un peu à celle de Cheslin Kolbe, dit Mola. En fonction de nos besoins, on verra comment on gère cette émulation entre nos arrières, sachant que Thomas peut aussi jouer à l'ouverture et que Romain (Ntamack) peut glisser au centre. On va cultiver cette polyvalence. Tant que nos joueurs s'inscrivent dans une cohérence collective et sont prêts à faire des efforts les uns pour les autres, le numéro qu'ils ont dans le dos importe peu. »

Yoan Tanga (25 ans), celui qui voit plus haut

 

04596.jpg
 
Yoan Tanga a quitté le Racing 92 pour rejoindre La Rochelle. (R. Perrocheau/L'Équipe)

Il n'a ni la flamboyance de Teddy Thomas, ni la vista d'Antoine Hastoy, recrues phares de Stade Rochelais cet été. Pourtant, Yoan Tanga (25 ans) sera bien l'un des renforts les plus attendus des prochaines semaines chez les Maritimes. D'abord parce qu'il est le seul troisième-ligne à avoir débarqué au club cet été (même si le deuxième-ligne irlandais Ultan Dillane peut aussi dépanner), alors que les Jaune et Noir ont perdu plusieurs cadres à ce poste ces derniers mois (Kévin Gourdon, Wiaan Liebenberg, Victor Vito, tous retraités).

Si Grégory Alldritt et Rémi Bourdeau sont restés, si plusieurs jeunes du club ont montré l'étendue de leur talent la saison dernière (Matthias Haddad-Victor, blessé jusqu'à fin novembre, ou Paul Boudehent) et si l'encadrement rochelais réfléchit toujours à attirer un joker à ce poste, l'expérience et la puissance de Tanga seront bienvenues.

Au fur et à mesure de son expérience de trois ans au Racing 92, l'international (2 sélections) est monté en puissance, au point de devenir l'un des avants incontournables du groupe francilien la saison dernière. Le joueur a beau avoir un gabarit ordinaire pour le poste (1,85 m pour 107 kg), il s'est mué ces derniers mois en un porteur de balle dévastateur, un de plus dans l'escouade de l'entraîneur irlandais Ronan O'Gara.

Après avoir marqué des points en équipe de France lors de la Tournée au Japon cet été (deux titularisations), Tanga aura à coeur d'enchaîner dans sa nouvelle équipe. « Avant de penser à la Coupe du monde, il y a pas mal de choses à faire ici, il faut que j'arrive à m'installer », insistait-il cet été. Sa capacité à jouer à l'aile comme au centre de la troisième ligne - et donc la possibilité de remplacer ou d'être associé à Alldritt - sera un autre atout dans sa poche. Ainsi que dans celle de l'encadrement rochelais.

 
 


#34 el landeno

el landeno

    Joueur de TOP 14

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 4 900 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:dax
  • Mon club:

Posté 02 septembre 2022 - 06:04

Le maintien, un combat de haute lutte qui s'annonce cette saison en Top 14 Si la course au top 6 s'annonce intense, celle pour le maintien promet d'être tout aussi relevée. Pau, le Stade Français, Brive, Perpignan, qui ont bataillé la saison dernière, pourraient remettre ça, avec Bayonne.

Peyo Muscarditz, le centre bayonnais, ne se raconte pas d'histoires : « On n'a pas d'autre objectif que se maintenir. On a d'autant plus de pression que Bayonne est le seul promu, ça signifie que les treize autres clubs viendront à Jean-Dauger avec l'ambition d'essayer d'engranger un maximum de points. » Cette priorité est légitime pour un club dans l'ascenseur depuis plusieurs années (relégué en 2015, 2017 et 2021). En être conscient est un atout, ça évite de se voir trop beau.

 
 

La saison dernière, Brive a failli payer très cher son ambition initiale en se sauvant lors de l'ultime journée face au Stade Français. Pas question de retomber dans ce travers. Il faudra d'abord assurer le maintien avant de penser à mieux. « Quand on voit comment La Rochelle se renforce, par exemple, on comprend qu'il y a les gros et les autres, estime Saïd Hirèche, le capitaine du CAB, victime d'une fracture d'un péroné la saison dernière et qui ne reviendra pas avant octobre. À Brive, il y a eu 13 départs pour 8 arrivées, mais on compte aussi sur nos jeunes. »

« On parle parfois de défaites encourageantes mais les bons matches à zéro point, ça finit par faire mal à la tête »

Peyo Muscarditz, centre de Bayonne

 
 
 

Même chose à Perpignan, qui a assuré son maintien en barrage face au Stade Montois et devra faire désormais sans Melvyn Jaminet. « Si on peut l'assurer avant, ce serait une bonne chose, sourit Mathieu Acébès, qui va entamer sa 17e saison en pro. Le Top 14, c'est un gros travail de sape tout au long de l'année. Tout compte dans ce Championnat. » Le moindre point pris peut être déterminant au moment des comptes. « C'est pour ça qu'il faudra que nos bonnes performances soient payées, insiste Muscarditz. On parle parfois de défaites encourageantes mais les bons matches à zéro point, ça finit par faire mal à la tête. »

Qu'un participant soit vite décroché - Agen il y a deux ans, Biarritz l'an dernier - apporte-t-il un peu de sérénité aux autres clubs potentiellement menacés ? « Mouais, ne s'avance pas Hirèche. Perpignan a fait fort (Perpignan, face à Mont-de-Marsan (41-16), est le premier club de Top 14 à avoir remporté un match d'accession depuis son instauration en 2018). Mais ils étaient dans une bonne dynamique. Le Top 14 fonctionne souvent par cycles. » Du bon, du solide et des trous qui peuvent s'avérer fatals. Les gros non plus ne sont pas à l'abri d'un accident industriel, comme celui qui a hanté les tribunes de Mayol jusqu'au réveil toulonnais dans la dernière ligne droite la saison dernière. Et le risque sera peut-être encore plus important en cette saison pré-Coupe du monde où la sélection va dévorer beaucoup d'énergie chez les joueurs concernés.

Des écarts réduits entre les clubs

D'autant que le Top 14 ne s'embarrasse pas des palmarès. Le Stade Français accroché à sa grandeur passée a tremblé jusqu'au bout et Jean-Bouin n'a rien du chaudron qui permet de se surpasser quand rien ne va plus. Les Parisiens qui ont perdu de nombreux cadres (Waisea, Maestri, Burban, Gray etc.) auront-ils retenu la leçon ? « Les écarts sont tellement réduits dans ce Top 14 que personne ne peut écarter une éventuelle dégringolade », veut se convaincre Muscarditz.

À quelques journées de la fin, la Section Paloise pouvait encore rêver de top 6 mais a fini en roue libre avec la marge suffisante pour éviter les drames : 12e il y a deux ans, 10e l'an dernier, Pau veut s'installer et gagner encore quelques places. Ambition légitime mais que la Section devra assumer sans Antoine Hastoy, deuxième meilleur réalisateur de la saison dernière, parti à La Rochelle.

 
 


#35 david63

david63

    Joueur de Fédérale 3

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPip
  • 1 461 messages
  • Genre:Homme
  • Mon club:

Posté 15 septembre 2022 - 11:10

Bonjour à tous 

Je ne sais pas si je suis sur le bon sujet de discussion.

depuis plusieurs années il y a un agenda google partagé (http://www.cybervulc...ndrier/ical.php), pour le moment il n'est plus mis à jour. 

As t il changer d'adresse ou tout simplement mort ?



#36 pims

pims

    Joueur du Grand Chelem

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 9 036 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Ouest coast
  • Mon club:

Posté 06 octobre 2022 - 18:04

Sais plus où on en parlait, dans le doute je le pose ici :



#37 Rugby1475

Rugby1475

    Joueur de 1ère série

  • Membres
  • PipPipPipPip
  • 414 messages
  • Genre:Homme
  • Mon club:

Posté 07 octobre 2022 - 10:53

Fe-ZWLDCWIAAFa-Wt.png

 

Quelques éléments factuels colligés par David Reboursiere (arbitre) sur les pénalités sifflées lors des 5 premières journées de TOP 14.



#38 Fanchic

Fanchic

    Champion d'Europe

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 6 283 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:SAINT-LOUIS
  • Mon club:

Posté 07 octobre 2022 - 11:58

Fe-ZWLDCWIAAFa-Wt.png

 

Quelques éléments factuels colligés par David Reboursiere (arbitre) sur les pénalités sifflées lors des 5 premières journées de TOP 14.

Très intéressant

CASTRES équipe la plus pénalisée çà corrobore l'identité de jeu de cette équipe. Etrangement peu pénalisée relativement dans le jeu au sol

Puis viennent les équipes qui font l'ascenseur entre Top 14 et PROD2 compensant probablement leurs faiblesses par des fautes

 

LR, ST et RACING sont beaucoup pénalisées pour jeu dangereux, peut être pour compenser les oublis sur les autres secteurs...

 

Au sol on prend plus de 30 pénalités contre seulement 17 pour Toulouse



#39 Murena

Murena

    Joueur de TOP 14

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 4 038 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:Riom
  • Mon club:

Posté 07 octobre 2022 - 18:26

Peut être aussi que LR a un peu un jeu de bourrin...

#40 Fanchic

Fanchic

    Champion d'Europe

  • Membres
  • PipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPipPip
  • 6 283 messages
  • Genre:Homme
  • Ville:SAINT-LOUIS
  • Mon club:

Posté 08 octobre 2022 - 05:00

Peut être aussi que LR a un peu un jeu de bourrin...

çà marche pour LR


  • Murena aime ceci




1 utilisateur(s) li(sen)t ce sujet

0 members, 1 guests, 0 anonymous users