Je suis à deux doigts de prendre une sanction
Vous ne voulez pas un whisky avant ?
Posted 17 October 2025 - 20:23 PM
Je suis à deux doigts de prendre une sanction
Vous ne voulez pas un whisky avant ?
Posted 17 October 2025 - 20:24 PM
J'aurais fait tourner un peu plus le 5 de devant mais derrière de la jeunesse ca me va. Typiquement le genre de match ou faut envoyé du jeunes avec les dents qui rayent le parquet !
Plummer au repos, c'est très bien.
Pas grave de perdre à Bayonne mais autant utiliser ca comme labo pour faire émerger les minots
Des minots...y'en a pas tant que ça à part Guillaud
Je ne compte pas Raffy, il a une tête de vieux et par principe je ne le compte pas. Du coup des minots il y en a 1
Bon ok 4 sur le banc
Frier mine de rien... passé de Bourgoin au top 14, c'est beau
Posted 17 October 2025 - 20:32 PM
Pour gagner, il faudra sans doute mettre le même niveau d'intensité que pour Toulon. Et ça me paraît plus facile en ne tirant pas sur les mêmes, notamment pour le 5 de devant. L'interview de Jurand irait d'ailleurs dans ce sens.
Aligner les meilleurs joueurs d'une équipe n'est pas forcément synonyme de meilleure équipe. Ça marche pas à tous les matches dans un championnat aussi exigeant.
Je suis entièrement d'accord avec ça, et j'aurais préféré voir certains titulaires sur le banc.
D'autres viendront expliquer que le joueurs ont besoin de jouer et d'enchainer pour être performant, je pense qu'il faut quand même du repos.
Mon message était plus, parce qu'à lire certains j'ai l'impression qu'on envoie une équipe C faite de bric et de broc alors que ça tient bien la route. Même si je nous vois perdre à cause du banc, de la fatigue et de notre capacité à ne pas être constant (dans un même match et entre les matchs)
Posted 17 October 2025 - 20:38 PM
Je suis entièrement d'accord avec ça, et j'aurais préféré voir certains titulaires sur le banc.
D'autres viendront expliquer que le joueurs ont besoin de jouer et d'enchainer pour être performant, je pense qu'il faut quand même du repos.
Mon message était plus, parce qu'à lire certains j'ai l'impression qu'on envoie une équipe C faite de bric et de broc alors que ça tient bien la route. Même si je nous vois perdre à cause du banc, de la fatigue et de notre capacité à ne pas être constant (dans un même match et entre les matchs)
L'AB a une capacité à finir très fort ses matches, l'absence de Plummer sera un vrai test pour voir si il y a une "Harry dépendance", mais à coup sur il va manquer et si Raffy peut assurer l'intérim sur un gros match.
Posted 17 October 2025 - 20:50 PM
Je suis entièrement d'accord avec ça, et j'aurais préféré voir certains titulaires sur le banc.
D'autres viendront expliquer que le joueurs ont besoin de jouer et d'enchainer pour être performant, je pense qu'il faut quand même du repos.
Mon message était plus, parce qu'à lire certains j'ai l'impression qu'on envoie une équipe C faite de bric et de broc alors que ça tient bien la route. Même si je nous vois perdre à cause du banc, de la fatigue et de notre capacité à ne pas être constant (dans un même match et entre les matchs)
Posted 18 October 2025 - 04:32 AM
On va en prendre quarante, ça paraît écrit, et ce serait logique vu les compos, mais je suis quasiment sûr que ce sera la faute de l'arbitre.
Au moins, cette année Urios fait jouer les jeunes, ce sera donc profitable pour la suite.
Posted 18 October 2025 - 06:15 AM
En attendant de créer son topic...
"Je ne pensais pas remettre un Frier sur une feuille de match" : après avoir coaché le père, Christophe Urios va lancer le fils en Top 14 Arrivé en début de saison en provenance de Bourgoin pour jouer avec les Espoirs, Timéo Frier est catapulté avec les pros de l’ASM ce samedi après-midi à Bayonne (14 h 30). Pour ce baptême du feu, il pourra compter sur la présence en tribunes de son père, Julien, ancien joueur de Christophe Urios au CSBJ.
Tout le monde a déjà expérimenté ce vilain sentiment qui fait, il faut bien l’avouer, un peu mal à l’ego. Tout le monde, pas tout à fait, mais il arrive souvent bien plus vite qu’on ne le croit. Ce dont il est question ici, c’est le coup de vieux. Christophe Urios l’a pris en pleine face cette semaine lorsqu’il a décidé qu’il allait lancer Timéo Frier dans le grand bain du Top 14 face à Bayonne, ce samedi (14 h 30).
« Quand tu fais jouer le fils d’un mec que tu as entraîné, ça fait flipper ! Ça ne te rajeunit pas », souriait le manager de l’ASM Clermont vendredi matin. Car Timéo est effectivement « un fils de ». Celui de Julien Frier très exactement, ancien troisième ligne de Grenoble, mais surtout de Bourgoin-Jallieu dans les années 2000. Le nom de ce dernier avait même, un temps, circulé à l’ASM pour le poste de directeur sportif, finalement attribué à Didier Retière en décembre 2021.
Julien Frier« Avec Christophe, on s’est fréquenté pendant deux ans (2005-2007, NDLR), confirme l’ex-capitaine du CSBJ. Il y a eu des hauts et des bas, parce que j’ai du caractère et que lui aussi. Mais j’ai été très touché par le texto qu’il m’a envoyé jeudi soir où il me disait qu’il ne pensait pas avoir à remettre un jour un Frier sur une feuille de match. »
Une véritable fierté pour ce papa, avant tout, qui n’a pas hésité à sauter dans un avion avec sa femme et un ami, ce vendredi, depuis Genève pour rallier le Pays basque et assister à cette grande première. « J’ai remercié Christophe pour la confiance qu’il accorde à Timéo, mais aussi de pouvoir me permettre de vivre des émotions comme je vais sûrement en traverser ce week-end. Après une carrière, quand on reprend le chemin de la vie active, ces émotions-là, on ne les retrouve pas. Alors quand on peut les revivre à travers ses enfants… »
Si ce n’est pas vraiment une surprise pour Julien Frier de voir son fils toucher le monde professionnel - « je le sentais, je voyais bien que ce gosse avait des qualités » - il faut bien avouer que tout est allé très vite pour le centre de 19 ans, capable d’évoluer à l’aile. « Il y a encore cinq mois, il jouait en Crabos avec Bourgoin, se baladait dans un fourgon huit places avec un repas tiré du sac, rigole son père. Et là, il se retrouve dans un avion pour aller disputer un match de Top 14. »
"Timéo rêvait de jouer pour l'ASM"Membre de l’équipe des U18 Nationaux de Bourgoin champions de France, il y a deux ans, avec un certain Axel Guillaud, Timéo Frier n'a, en revanche, pas mis longtemps à prendre sa décision lorsque l’ASM est venue le solliciter l’an dernier. « Il a commencé à jouer au rugby vers 5-6 ans, mais très vite, il a supporté l’ASM. Il rêvait de jouer pour ce club, poursuit son père. Des clubs de Pro D2 et de Top 14 sont bien venus aux renseignements, mais il n’a même pas réfléchi. »
Un choix que le paternel a accompagné. « Je suis là pour le conseiller, pas pour prendre des décisions, explique-t-il. J’essaie surtout de ne pas trop m’immiscer dans tout ça, parce que j’en ai moi-même parfois souffert. Mais je reste vigilant. » Notamment à ce que son garçon reste fidèle aux valeurs de travail et d’humilité. Comme il le fait, aussi, avec son fils aîné, Gabin, arrière au CSBJ (Nationale). « J’ai fait deux trois-quarts. Ils jouent là où j’aurais aimé jouer. Mais je n’avais pas les jambes qu’ils ont. »
Posted 18 October 2025 - 06:59 AM
Des minots...y'en a pas tant que ça à part Guillaud
Je ne compte pas Raffy, il a une tête de vieux et par principe je ne le compte pas. Du coup des minots il y en a 1
Bon ok 4 sur le banc
Frier mine de rien... passé de Bourgoin au top 14, c'est beau
Raffy, Guillaud, Michaux, Zamora, Montilla, Frier...
Massa, Jauneau et Darricarrère n'ont que 21 ans, ce sont des gamins aussi !
9 joueurs de 21 ans maxi sur la feuille de matchs quand même... ![]()
Posted 18 October 2025 - 07:17 AM
Raffy, Guillaud, Michaux, Zamora, Montilla, Frier...
Massa, Jauneau et Darricarrère n'ont que 21 ans, ce sont des gamins aussi !
9 joueurs de 21 ans maxi sur la feuille de matchs quand même...
menfin, il te dit que Raffy est atteint de progéria, au moins capilaire, du coup lui ne compte pas
Posted 18 October 2025 - 07:45 AM
Posted 18 October 2025 - 08:13 AM
« Les dieux du rugby n'étaient pas forcément de notre côté... », glissait la semaine passée Grégory Patat après la défaite à Pau (47-24). Le manager de l'Aviron Bayonnais faisait référence à l'hécatombe de blessés (6 au total) qui a décimé ses rangs tout au long de la partie. La vérité, c'est que les Bayonnais sont plutôt bien lotis par les dieux du rugby, notamment lorsqu'ils évoluent dans leur stade, Jean-Dauger.
Ils surfent sur une série de 17 victoires avec comme particularité, des fins de match gérées d'une main de maître. Cardiaques s'abstenir ! Dernier exemple en date, le 28 septembre, face à Toulon : un succès arraché sur la sirène d'un drop de Joris Segonds (35-32). « On ne fait pas exprès, se marre Camille Lopez, un des adjoints de Patat. L'important, c'est qu'on fasse preuve de force de caractère et qu'on reste capables de faire les choses correctement pour aller chercher ces victoires. »
Un secret pour gérer ce money-time ? « Notre fil conducteur, c'est d'oser, de tenter, d'aller provoquer les situations, glisse Patat. On n'est jamais sur la défensive. Notre ADN c'est quand même d'aller chercher par moments des pénaltouches plutôt que des pénalités, de provoquer, de communier avec notre environnement. On continue à y croire jusqu'au bout. » Depuis la remontée du club basque en Top 14 en 2022, on dénombre dix rencontres terminées favorablement grâce à un coup d'éclat de dernière minute. « Il y a un savoir-faire sur ces fins de match, souligne encore Patat. Je ne sais pas comment l'expliquer, mais chaque fois, le premier message que je fais passer est : on a le temps, pas de stress, on aura une opportunité de... »
Souvent, très souvent même, l'ouvreur Camille Lopez, qui a pris sa retraite en fin de saison dernière, s'est mué en sauveur avec un drop ou une pénalité de la gagne. « Quand Camille marchait sur l'eau, j'en étais arrivé à un point où je pouvais fermer les yeux, car dans ma tête, l'échec n'existait pas se remémore le manager. Je savais que ça allait passer. »
« La force du public, la force de Jean-Dauger qui nous donne un supplément d'âme »
Tom Spring, ailier de Bayonne
L'an dernier, pour suppléer Lopez, l'Aviron Bayonnais a recruté Joris Segonds. Dès sa première entrée en jeu, l'ouvreur a pris le relais pour jouer les sauveurs d'une pénalité de cinquante mètres à quatre minutes du coup de sifflet final face à Perpignan (21-19). « C'est sans doute la force du public, la force de Jean-Dauger qui nous donne un supplément d'âme, imagine l'ailier Tom Spring. Ensuite, quand tu gagnes comme ça, la joie est décuplée. » Ça booste la confiance du groupe.
Patat renvoie aux déclarations de Sir Alex Ferguson, le manager emblématique de Manchester United (1986 à 2013). « Il disait que l'énergie était incroyable quand tu sortais vainqueur de ces matches. C'est le cas. » Mais Lopez prévient : « Un jour, ça ne passera pas. » « Aujourd'hui, et je démystifie ça, on sait qu'on va tomber un jour, pose Patat. Mais j'insiste, il ne faut pas tout remettre en question sur une contre-performance à Dauger. Il faudra l'analyser. D'ailleurs, plus on avance et plus le danger de tomber se rapproche. » Avec un effectif amoindri avant la réception de Clermont, impressionnant contre Toulon (27-10, le 11 octobre), le danger n'a jamais semblé aussi proche. À moins que les dieux du rugby...
Posted 18 October 2025 - 08:30 AM
Avec un effectif amoindri avant la réception de Clermont,
Mais bien sur, cette conclusion vaut son pesant de cahouétes
Posted 18 October 2025 - 08:38 AM
À cette allure, Killian Tixeront (23 ans) et Lucas Dessaigne (26 ans) passeraient presque pour de vieux briscards ! Et que dire de Rob Simmons (36 ans) et Thomas Ceyte (34 ans) qui se démènent pour maintenir péniblement une moyenne d’âge à 25 ans. Car avec quatre joueurs âgés de 19 ans ou moins, ce samedi après-midi à Bayonne, l’ASM a pris un sacré coup de jeune !
« Je ne suis rentré de sélection que la semaine dernière, mais ça m’a vachement surpris de les voir si bien intégrés au groupe professionnel, explique Marcos Kremer. J’en ai parlé avec Baptiste (Jauneau) et d’autres joueurs plus expérimentés, tous m’ont dit qu’ils étaient tops. Et ça, c’est la base pour être une bonne équipe. »
Pas une impasseAlors oui, Tom Raffy (21 ans) va profiter des blessures d’Harry Plummer (côtes) et Irae Simone (ischios) pour vivre sa première titularisation avec Clermont. Oui, Timéo Frier (19 ans) va découvrir le Top 14 peut-être un peu plus tôt que prévu (lire par ailleurs), en raison des nombreuses défections dans la ligne de trois-quarts.
Mais les absences des uns et des autres ne sont pas les seules raisons qui ont poussé Christophe Urios à faire appel à des éléments tels que Léo Michaux (18 ans), Juan Montilla (18 ans) ou Axel Guillaud (19 ans).
« Je n’ai pas besoin de les faire jouer pour qu’ils aient ma confiance. Je les vois tous les jours à l’entraînement, explique l’entraîneur clermontois. Je ne mets pas des mecs sur la feuille de match en fonction de leur carte d’identité. Je les mets en fonction de ce que je vois sur le terrain. Et aujourd’hui, je suis satisfait à 100 %. »
Et de développer sur les raisons qui l’ont poussé à franchir le pas pour Timéo Frier. « Si je n’avais pas ressenti cette confiance que j’ai aux entraînements et cette envie d’apporter à l’équipe, j’aurais fait jouer Lucas (Tauzin), même si on prenait un risque du fait qu’il a juste repris l’entraînement. Mais là, je ne me suis pas posé la question. »
C’est donc avec une vraie ambition de résultat que l’ASM se déplace aujourd’hui au Pays basque. Et pas question d’évoquer une quelconque impasse. Si tel avait été le cas, pas sûr que Marcos Kremer (après un Rugby Championship forcément usant) ou Thomas Ceyte (titulaire à chaque match depuis le début de la saison) eurent été du voyage.
« Ils poussent l’exigence »Si elle représente l’avenir de l’ASM, cette marmaille est aussi plus que jamais son présent. Il faudra donc très certainement s’habituer à les voir enchaîner. « Je suis très content qu’ils soient là, ils sont déjà à un très grand niveau, confirme le troisième ligne argentin. Je pense que l’an dernier, on a manqué de bons jeunes. Là, c’est tout le contraire. Ils poussent l’exigence, ils ont envie de s’améliorer. Après chaque entraînement, on voit que tous les jeunes restent pour faire des skills, même ceux qui ne joueront qu’en Espoirs. Cela fait du bien au groupe d’avoir cette énergie. »
Obtenir un résultat ce samedi après-midi à Jean-Dauger finirait de légitimer ces garçons « attachés au club, à son histoire et qui ont surtout envie de continuer à l’écrire. C’est fondamental et c’est pour ça que j’ai confiance », ajoute Urios.
Posted 18 October 2025 - 08:40 AM
Manque petitement actuellement :
Mais bien sur, cette conclusion vaut son pesant de cahouétes
Posted 18 October 2025 - 08:45 AM
Selon le Midol on va perdre !!
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