Joueur de promotion
Posté 23 octobre 2025 - 21:38
voilà l esprit ! Allez ! Hoña Section !
A non là ça ne va pas du tout. D'abord le tilde sur le n c'est de l'espagnol, ensuite la graphie occitane c'est honha (prononcé hougna). Pour ne pas te tromper je te propose la graphie béarnaise, "comme ça se prononce" Hougna. C'est la seule qui vaille.
Malheureusement le choix de graphie est politique et c'est l'occitan qui est privilégié et le béarnais opprimé snif
Parisien Névrotique
Posté 24 octobre 2025 - 08:41
Dites-donc les gars, vous piquez The Water is Wide, une noble chanson irlandaise alors ne faites pas les difficiles sur l orthographe !A non là ça ne va pas du tout. D'abord le tilde sur le n c'est de l'espagnol, ensuite la graphie occitane c'est honha (prononcé hougna). Pour ne pas te tromper je te propose la graphie béarnaise, "comme ça se prononce" Hougna. C'est la seule qui vaille.
Malheureusement le choix de graphie est politique et c'est l'occitan qui est privilégié et le béarnais opprimé snif
Joueur de promotion
Posté 24 octobre 2025 - 10:23
Dites-donc les gars, vous piquez The Water is Wide, une noble chanson irlandaise alors ne faites pas les difficiles sur l orthographe !
Et allez la Section ! Piétinez leurs pulls cachemire et leurs mocassins à glands !
Plutôt écossaise la chanson, (voire anglaise). c'est Renaud qui en a fait une ballade irlandaise mais à sa décharge il était bourré 
Equipe de France
Posté 24 octobre 2025 - 12:39
L'ambiance promet d'être lourde samedi à Sapiac. Le promu montalbanais reçoit une USAP en bien piteux état, dernière du Top 14 avec zéro point au compteur. Les deux équipes squattent le fond du classement, à onze points du 12e, Clermont, après seulement sept journées.
« Il était surtout comédien, ce n'est pas un chanteur avec un très grand charisme, décrit le journaliste Bertrand Dicale, spécialiste de la chanson française, qui a consacré une émission à C'est ça l'rugby sur France Info en 2021. Il avait une tête de cadre moyen des années 1960, pour tout dire (sourire). »
Son interprétation de l'oeuvre, enregistrée en 1969, est disponible sur le site de l'INA. Autour du chanteur déguisé en arbitre, on y voit des danseuses habillées en joueurs de rugby de l'époque, avec des maillots qui rappellent davantage ceux de Grenoble et Toulon que les couleurs de Perpignan et Montauban...
« Les Frères Jacques ont pris cette chanson par un biais amical. C'est peut-être ça qui en a fait sa qualité »
Bertrand Dicale, journaliste spécialiste de la chanson française
Malheureusement pour Massoulier, ce sont les Frères Jacques qui vont faire connaître la chanson. Des années 1950 aux années 1970, ces quatre loustics (André et Georges Bellec, François Soubeyran, Paul Tourenne) formaient un groupe populaire de musique humoristique qui a fait se bidonner bon nombre de Français, en manque de rigolades après la guerre.
« Les Frères Jacques ont pris cette chanson par un biais amical, poursuit Dicale. C'est peut-être ça qui en a fait sa qualité. » Dans leurs justaucorps colorés signature, ils sortent leur meilleur accent du Sud-Ouest pour l'occasion, miment des passes avec un ballon imaginaire, et moquent gentiment le culte de l'homme viril.
Sans tomber dans la pure vulgarité, la chanson prend un ton clairement grivois quand il est question de relations intimes entre les joueurs de Perpignan et les filles de Montauban, puis en retour entre les joueurs de Montauban et les filles de Perpignan. De ces amours d'un soir naissent des rugbymen en herbe qui, bientôt, iront défier l'équipe adverse de leur géniteur.
Derrière l'ironie mordante des paroles des Frères Jacques se cache une morale pacifiste. Plutôt que de renvoyer à dos les deux équipes, la chanson met en évidence la « grande famille du rugby » : les joueurs ne défendent pas les mêmes couleurs mais ils sont animés d'une passion identique. Le même sang coule dans leurs veines.
« J'aime beaucoup cette chanson parce que c'est un rugby qui fait société, analyse Dicale. Il y a un petit surplomb parisien, quand même (sourire). Mais ça dit le terroir, le sport, l'amour, les filles... Tout est lié ensemble. Ça parle de tout sauf du terrain. Ça parle de la troisième mi-temps et de la vie entière. »
« C'est une chanson sur un esprit rugby très fantasmatique mais incroyablement humain, conclut Dicale. Les gens se la sont réappropriée, en changeant les noms des villes. En ça, c'est une vraie chanson populaire, une chanson dans le peuple, c'est-à-dire qu'on ne l'écoute pas, on la chante. » Samedi, dans les tribunes de Sapiac, par exemple ?
faux supporter
Posté 24 octobre 2025 - 12:40
Toujours mieux que les Bayonnais qui piquent des chansons autrichiennes.Dites-donc les gars, vous piquez The Water is Wide, une noble chanson irlandaise alors ne faites pas les difficiles sur l orthographe !
Et allez la Section ! Piétinez leurs pulls cachemire et leurs mocassins à glands !
Equipe de France
Posté 24 octobre 2025 - 17:24
En apparence, rien n'a changé. Sinon cette pluie et ces bourrasques, qui ont balayé toute la semaine la pelouse synthétique du Ramiérou, le centre d'entraînement flambant neuf de l'US Montauban. Bien sûr, il y a aussi cette concentration et cette application qui transpirent de tous les exercices, ces discours en rond au milieu du terrain qui paraissent plus longs et plus intenses qu'à l'accoutumée. Mais à part ça, rien. Le promu du Tarn-et-Garonne s'est évertué à préparer son prochain match face à Perpignan, ce samedi après-midi, comme s'il s'agissait de n'importe quelle autre rencontre de Championnat.
Il n'en sera rien, évidemment, et tout le monde le sait. Au regard du classement des deux équipes - l'USM est 13e (3 pts) et l'USAP 14e (0 pt) -, qui n'ont toujours pas gagné le moindre match cette saison, cette partie aura plutôt des allures d'un premier barrage aller pour le maintien.
« C'est sûr que c'est un match particulier, observait cette semaine Baptiste Mouchous, l'arrière de l'USM. On ne va pas se mentir, avec "Perpi", on est quand même dans un Championnat à deux équipes pour le maintien. Autant pour eux que pour nous, ce match sera donc déjà crucial. Après, on n'est qu'à la 8e journée, la saison est encore longue. Mais c'est sûr qu'une victoire nous ferait beaucoup de bien. » « On ne se fait pas d'illusions, c'est notre Coupe du monde », ajoutait le troisième-ligne sud-africain Sikhumbuzo Notshe.
Pour ne pas rajouter de la pression à la pression, le staff de l'USM a donc décidé de ne pas changer grand-chose à ses habitudes. La semaine s'est ainsi écoulée de manière classique avec, pour commencer, un rapide débriefing de la défaite du week-end dernier à La Rochelle (54-19), puis une projection sur la réception de l'USAP. La conférence de presse d'avant match du mercredi, elle, a attiré plus de journalistes que d'ordinaire, mais ça n'a pas poussé le manager Sébastien Tillous-Borde à s'y inviter.
Une rotation a été établie entre les entraîneurs du club, et "Perpi" ou pas "Perpi", c'était à l'entraîneur des trois-quarts André Hough de s'y coller. C'est donc le Sud-Africain qui s'est chargé de dédramatiser autant que possible le choc de ce samedi dans un bel exercice de langue de bois : « Si ça sera un match de phase finale ? Pas plus que les autres. Pour nous, c'est la guerre à chaque fois. S'il y aura du stress ? Il y en aura toujours un peu, mais les mecs sont tellement dans le boulot qu'ils n'ont pas le temps d'angoisser. » Hough a quand même confié que ses joueurs avaient davantage travaillé le jeu au sol ces derniers jours, un secteur particulièrement apprécié des Catalans. « On sait que la zone des rucks sera peut-être visée par l'adversaire », prévient-il.
« On sait d'où on vient et on sait aussi où on reviendra bientôt, parce que si ça n'arrive pas cette année, ça arrivera l'année prochaine »
Sébastien Planard, responsable des animations du club de supporters des Ultras Sapiac
Les supporters montalbanais, eux, bien aidés par leurs homologues perpignanais (un millier de fans de l'USAP sont attendus), se sont arraché les 9 200 billets d'entrée du stade de Sapiac. Mises en vente il y a dix jours, toutes les places assises sont parties en vingt-quatre heures. Et les autres ont été vendues en quelques jours, puisque les guichets ont officiellement fermé mardi, ce qui est une première aussi tôt dans la saison. Frustré par trois premiers matches à domicile au bien faible butin (défaite 18-25 contre Lyon et 28-32 contre Castres, nul 22-22 contre Montpellier), le public de Sapiac attend un premier succès pour exulter. Mais il ne montre encore aucun signe d'impatience, contrairement à celui de l'USAP.
« Je ne sais pas si les joueurs se mettent de la pression, mais nous, en tout cas, on ne se la met pas du tout, assure Sébastien Planard, responsable des animations du club de supporters des Ultras Sapiac. Cette saison, on s'est tous promis qu'on ferait la fête quoi qu'il arrive, et pour l'instant c'est ce qui se passe. L'ampleur des scores ne nous déstabilise pas, on s'amuse, on prend du plaisir partout. À La Rochelle, on en a pris 54, mais on a fait chanter tout le stade. Aujourd'hui, on a 3 points, mais même si on était à zéro à la place de Perpignan, ça ne changerait pas grand-chose. On sait d'où on vient et on sait aussi où on reviendra bientôt, parce que si ça n'arrive pas cette année, ça arrivera l'année prochaine. En fait, rien n'est grave dans ce qu'on vit. C'est juste génial. »
Ce positivisme déteint-il sur les joueurs ? On pourrait presque le croire à entendre Mouchous : « C'est quand même top d'être dans un Championnat comme ça, dit-il. Il faut qu'on en profite parce qu'on ne sait jamais. Perso, ça sera peut-être la seule saison que je disputerais dans l'élite. J'ai donc envie de la vivre pleinement et d'en profiter jusqu'au bout. »
Champion du Monde
Posté 24 octobre 2025 - 17:29
Bon les p'tits gars, j'voudrais pas faire ma raclette, mais là vous causez de la J8 sur le sujet J7.
J'en connais un qui va pas tarder à écrire en bleu ou fermer le bazar (peuchère) 
Joueur de 1ère série
Posté 24 octobre 2025 - 18:20
Bon les p'tits gars, j'voudrais pas faire ma raclette, mais là vous causez de la J8 sur le sujet J7.
J'en connais un qui va pas tarder à écrire en bleu ou fermer le bazar (peuchère)
Joueur de Pro D2
Posté 24 octobre 2025 - 19:56
Même chose la semaine dernière déjà et j'ai failli faire pareil aujourd'hui.Bon les p'tits gars, j'voudrais pas faire ma raclette, mais là vous causez de la J8 sur le sujet J7.
J'en connais un qui va pas tarder à écrire en bleu ou fermer le bazar (peuchère)
Champion du Monde
Posté 24 octobre 2025 - 20:00
Il rigole pas le Marseillais.
En plus il doit etre bien vénère avec Plummer qui ne le remercie meme pas pour sa guérison express des cotes pétées. 
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