Remarque bien que si se retrouver ailleurs c’est embêtant, de ne pas (vouloir) le savoir ça me paraît carrément grave…mais pas de polémique
que des FAITS Petit état des lieux :
A l’issue de la saison 2004-2005, on revient de l’enfer grâce au sorcier et tout le monde est d’accord pour reconnaître qu’un groupe était né dans la douleur. »Un héritage, comme une précieuse valeur ajoutée à entretenir… »
Rappel objectif des faits :
Chacun s’étant déjà prononcé sur les décisions concernant les critères de choix des joueurs conservés ou pas (Merceron, Raynaud, Messina,….,) ne refaisons pas l’histoire…
Chacun s’est également prononcé sur le recrutement, jugé globalement de qualité et renforçant le potentiel de l’équipe avec néanmoins quelques bémols (Dambielle pas utilisé, absence de doublure au niveau en 9 et 10) gouverner c’est prévoir…
Le choix du coach, élément hautement stratégique pour faire fructifier cette fameuse valeur ajoutée, se porte sur un profil d’entraîneur atypique pour le top 14 (pas d’expérience à ce niveau, entraîneur de sélection des jeunes) à chacun de voir…
La gestion de l’héritage de Tonton Saisset, la valeur ajoutée et les faits :
Ça grogne dans les tribunes quant au jeu proposé. Pas très grave, comptablement ça va bien…
Ça raille dans les médias quant aux lancements de jeu. Pas important, z’i connaissent rien…
Ça s’épanche parmi les joueurs. Trop payés qui s’en prennent aux techniciens…
Ça communique. On travaille tout va bien.
Ça persiste dans la bouillie proposée, on s’agite en haut lieu, on réclame du mieux, les joueurs cadres veulent du jeu et de l’ambition, se contentent pas de leur chèque, tiens… tiens…
Jusque là, il me semblait encore possible de rebondir si cette révolution de palais était maîtrisée en interne. Souvent dans la gestion d’un groupe ces tensions naturelles peuvent permettre, après que chacun est vidé son sac, de ressouder l’effectif et de créer un véritable esprit d’équipe. Or les annonces de contacts tout azimuts pour recomposer un staff technique la saison prochaine n’augure pas que l’histoire aille dans ce sens.
Qu’en penser et quel peut être l’état d’esprit du staff en place et des joueurs face à cette réalité et surtout les conséquences vis-à-vis des échéances futures ?
Les hypothèses :
Les joueurs ont bordurés le staff technique et pris le pouvoir : ça peut le faire. Bon d’accord payer 2 personnes aussi qualifiées pour porter les ballons et ranger le matériel, ça fait un peu cher surtout pour des techniciens de surface. Mais pour une demi finale on va pas commencer à regarder à la dépense..
Le staff a toujours les mêmes prérogatives, et doit continuer à entraîner et à donner des consignes à des saloupiots de trop payés qui ont réussis à avoir leurs peaux…ça risque d’être a little cacophonique comme ambiance y compris sur le terrain. Mais bon si JML y met le survêt de l’Olive (a bien du en garder un) et qu’il allume une bonne gitane y va te régler tout ça en 2 temps 3 mouvements et on devrait jouer l’Europe au dernier match (Enfin faut pas que Toulouse et Biarritz déconnent non plus parce que 6ème c’est pas gagné)
Enfin une hypothèse légèrement teintée de rose. Non non, ne protestez pas je sais qu’il y a des amateurs.
Tout le monde il est beau tout le monde il est gentil. Les entraîneurs ont écoutés ces joueurs de talents qui ont quelques idées sur le jeu. Ils adaptent leurs entraînements et mettent au point main dans la main de nouveaux, enfin des lancements de jeu tout simplement.
Et tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes, même si chacun sait qu’ils ne passeront pas leurs vacances ensemble because les valises de certains sont déjà bouclées. 
Là tout est possible le pire comme le moins mauvais mais de toute façon je vous fiche mon billet qu’il y aura bien quelqu’un qui saura nous affirmer qu’il a su provoquer une prise de conscience salutaire et qu’il convient de faire fructifier cette formidable valeur ajoutée qui…
Enfin pourquoi faire simple pour créer de la valeur ajoutée quand on peut compliquer à l’envie...Je sais pas vous mais moi j’hésiterai à leur confier mon héritage aux épiciers du quartier même s'ils prêtent à rire ou donnent envie de pleurer selon l'humeur du jour
