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Match au Stade de Galles demain


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1 réponse à ce sujet

#1 AurélienASM

AurélienASM

    Champion du Monde

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Posté 23 février 2007 - 12:59

Oui le stade de France c'est un peu le 2e stade des Gallois, j'espere enfin voir la France battre les diables rouge demain!!!!

En 4 visites au Stade de France les gallois ont gagné 3 fois. Une bonne raison de se méfier d’une épidémie de Galles :

2005 : France - Galles 18 - 24
A cause de la loi Evin les gallois ne peuvent pas jouer le match avec, sur leur maillot, la publicité pour la marque "Brains", leur sponsor. Alors ils trouvent un stratagème. Comme on dit que le cerveau se joue avec les têtes (Brain en anglais) mais aussi avec les muscles (Brawn en anglais) il transforment le Brain (s) du maillot en Brawn. Indirectement tous les supporters gallois comprennent que derrière cette appellation de circonstance se cache le nom de leur bière favorite.

Dès l’entame de cette rencontre entre deux candidats au Grand Chelem, les Gallois affichent leur intention de produire le jeu plein de panache qui leur réussit si bien depuis la Coupe du monde 2003.

Les Français relèvent le défi et le demi de mêlée Dimitri Yachvili se faufile dans une brèche pour inscrire le 1er essai, qu’il transforme. La furia française continue. Yann Delaigue puis Yannick Jauzion s’enfoncent dans les lignes galloises pour passer à Julien Laharrague qui sert Aurélien Rougerie pour un 2e essai. Les Diables rouges reprennent leurs esprits. Un hors-jeu de Sylvain Marconnet fournit à Stephen Jones l’occasion de marquer 3 points. Une pénalité de Dimitri Yachvili rétablit l’écart. Les Bleus sont toujours à l’attaque et les visiteurs n’ont guère d’occasion de sortir de leur camp ni de toucher le ballon. Stephen Jones ne manque pas passer une pénalité pour une faute française. A la mi-temps, les Français mènent 15 à 6.

Les Gallois cueillent à froid les Français et l’ailier Shane Williams envoie le flanker Martyn Williams à l’essai. Stephen Jones réussit la transformation. Les Diables rouges se déchaînent. Martyn Williams réalise un doublé. Les visiteurs prennent l’avantage au score. Les Français desserrent l’étau et Frédéric Michalak en profite pour égaliser d’un drop. Mais Stephen Jones répond d’une pénalité puis il ajoute un drop. Dans un sursaut d’orgueil, les Bleus atteignent les 22 adverses et lancent l’épreuve de force. La défense galloise résiste, même si elle se fait pénaliser. Malgré tous leurs efforts, les Bleus ne passent pas.

2003 : France - Galles 33 - 5
Pour les gallois, qui n’ont jamais perdu au Stade de France, l’enjeu est simple. Ils y gagnent pour la troisième fois consécutives et ils évitent la cuillère de bois qui leur est promise après la défaite concédée à la dernière minute du match contre l’Irlande à Cardiff. Blessé à l’épaule, le capitaine Humphreys a déclaré forfait. L’ancien treiziste Harris est titularisé au centre. Côté français, c’est exactement l’équipe victorieuse de l’Italie à Rome la semaine précédente, qui est reconduite. C’est la troisième fois (après Johannesburg et Durban en 2001 contre l’Afrique du sud et Marseille et Paris en 2002 contre l’Afrique du Sud et la Nouvelle Zélande) que Laporte reconduit dans son intégralité son équipe d’un match sur l’autre.

La partie commence plutôt mal pour les français qui encaissent un essai dès la 4ème minute et un autre aussitôt après, refusé par l’arbitre après avoir fait appel au contrôle vidéo. Qu’on ajoute une tentative de pénalité ratée de Jones et c’est de 18 points que l’équipe de France aurait dû se trouver menée au bout de 20 minutes. C’est alors que le public du stade de France, qui affiche complet, se met à siffler les sélectionnés français qui jouent comme des intermitents du spectacle. L’essai de Castaignède, rescussité dans ce match, près de la demi heure de jeu remet l’équipe de France dans le bon sens. En défiant les gallois au plus près et en continuant de varier le jeu les joueurs du XV de France ajoutent deux essais et en laissent filer autant. A l’arrivée une confortable victoire par 33 à 5 avec une participation remarquée de Yachvilli, le buteur français, qui marque à lui seul 18 points de coups de pied. Après cette victoire la France prend la 3ème place du Tournoi 2003. La 5ème défaite en 5 matches condamne l’équipe de Galles à la cuillère de bois, ce qui ne lui était pas arrivé depuis 95.

2001 : France - Galles 31 - 43
Longtemps incertain pour épidémie de fièvre aphteuse le match a finalement lieu. Au dernier moment Monsieur McHugh, l’arbitre du match, est remplacé par son compatriote Lewis forfait pour cause de maladie. Les français, qui portent sur le bras le logo de la candidature de Paris à l’organisation des Jeux Olympiques 2008, jouent avec des bas blancs pour que l’abitre ne les confondent pas avec des bas rouges dans les regroupements. Merceron remplace Lamaison dans le rôle d’ouvreur et de buteur.

Ce match commence bien pour l’équipe de France qui marque un essai par Bonetti dès la 7ème minute. On croit que les bleus, qui ont pris l’option du tout offensif, ne vont pas connaître de problèmes face aux gallois. Mais en ratant chaque fois la dernière passe ils ne réussissent pas à faire le break. Après un duel Merceron-Jenkins dans le rôle du buteur, Howley marque un essai juste avant la mi-temps au prix d’un exploit personnel si bien qu’à la pause l’avance du XV de France n’est que de 3 points.

Le début de la deuxième période est catastrophique pour l’équipe de France. Un essai transformé de Quinnell, puis un essai transformé de James, auquel s’ajoute un drop de Jenkins et après un quart d’heure de jeu en deuxième mi-temps et le Pays de Galles mène 33 à 22 au Stade de France. 24 points pour les gallois entre la 36eme et la 42ème minute. Le XV de France se lance dans une course-poursuite qui aboutit à un essai transformé de Bernat-Salles à 20 minutes de la fin du temps règlementaire. Deux pénalités de Lamaison, qui a remplacé Merceron blessé à la reprise, et l’équipe de France reprend l’avantage 35-33 à huit minutes de la fin.

Mais aussitôt après Jenkins passe un deuxième drop, franchissant du même coup la barre des 1000 points réussis pour le Pays de Galles et les Rouges reprennent l’avantage. Les français jouent leur va-tout dans les dernières minutes pour essayer d’arracher la victoire mais un contre gallois aboutit à un quatrième essai gallois signé Jenkins qui se charge de la transformer.

Finalement le Pays de Galles gagne le match 43-35. C’est la deuxième victoire consécutive des gallois au Stade de France. Celà n’était pas arrivé depuis 1957. Le héros du match est Jenkins qui réussit 28 des 43 points du Pays de Galles ce jour-là.

1999 : France - Galles 33 - 34

C’est le premier match du Pays de Galles au Stade de France. Pour la circonstance l’équipe de Galles, qui a perdu les 2 premiers matches, est profondément remanié : une première ligne complètement modifiée dans laquelle débute le pilier Rogers, tandis qu’apparaît en 3ème ligne le néo-zélandais Sinkinson. Dans cette sélection cinq joueurs sur quinze sont nés ailleurs qu’au Pays de Galles : Howarth et Sinkinson en Nouvelle Zélande, James en Zambie, Charvis et Rodgers en Angleterre. Ce qui commence à provoquer des grincements de dents. L’Equipe de France enregistre le forfait de Magne remplacé par Raynaud qui fait ses débuts internationaux.

Le match commence par un coup dur côte français. Dourthe est victime d’une luxation accromio-claviculaire dès la 5ème minute. Castaignède passe au centre et laisse sa place à l’ouverture à Aucagne. C’est journée portes ouvertes ce samedi au Stade de France. Devant une défense française très élastique, le Pays de Galles porteur d’un rugby généreux multiplie les attaques de trois-quarts. Les gallois marquent un essai dès le début du match auquel la France réplique immédiatement par un essai de Ntamack. Une course poursuite s’engage pendant tout le match à coups d’essais. Au score les français ne mènent que 2 minutes pendant la première mi-temps et trois minutes pendant la deuxième mi-temps.

Aux trois essais marqués par les gallois, dont le troisième au terme d’une attaque de 80 mètres, les français répondent par 4 essais. Trois d’entre eux sont réussis par Ntamack qui joue son premier match au Stade de France. Ce jour-là il entre dans le club fermé des spécialistes du hat-trick dans un match du Tournoi : Crauste, Darrouy, Bonneval, et Venditti.

La fin du match est dramatique. L’équipe de France est menée 33 à 34 quand à la dernière minute l’arbitre Monsieur Fleming accorde une pénalité aux français. Si Castaignède la réussit c’est la gagne. Il la rate. Et le Pays de Galles bat la France pour la première fois depuis 1975.

source : http://mondialdurugb...id_article=1351 (le blog de Salviac)

#2 Ladoux

Ladoux

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Posté 23 février 2007 - 13:51

oui se serait bien !! <_< ALLEZ LA FRANCE ! :w00t:




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