heureusement que Pelous a son vécu à faire valoir, car il n'a plus grand chose à montrer à Un Jacquet par exemple, en terme de rugby. POur revenir à Rougerie, je crois que son exploit, aussi invraissemblable qu'il soit, n'a pas assommé cette rencontre. Je crois que le doute vient de la branlée reçue au Michelin. Cette fébrilité soudaine doit venir de cette déconvenue considérable. Comme les invincibles vikings, ces toulousains connaissent enfin la peur. Grosbaf, si tu nous écoutes...
Quand même, il leur a fait très mal à la tronche !!!