Kirky, (le) 27 Oct 2015 - 09:06 AM, a écrit :Kirky, (le) 27 Oct 2015 - 09:06 AM, a écrit :Kirky, (le) 27 Oct 2015 - 09:06 AM, a écrit :Kirky, (le) 27 Oct 2015 - 09:06 AM, a écrit :Kirky, (le) 27 Oct 2015 - 09:06 AM, a écrit :
j'ai plus de rancœur que toi,et je vais dire "le moins possible"
je n'accepte pas la forme de démission qu'ils nous ont proposé.
PSA,ok,il est ce qu'il est,mais une fois sur le pré,montrez nous vos cojones,les gars!
et des Rocco Siffrédi,j'en ai pas vu la queue d'un.
fais chier!
ils ont tous abdiqué,ont reculé la ou on devait avancer.
je n'attendais pas du talent,on en a pas,mais au moins un minimum d'engagement.
Ben, c'est ce qu'on a eu, non ?
Les joueurs ne pouvaient pas proposer plus. Psychiquement, ils sont détruits depuis des lustres avec un type qui ne te donne pas envie de mourir sur le terrain, sans projet de jeu dans lequel les mecs s'éclatent. Des joueurs sans joie de vivre, claffis d'injonctions paradoxales, niés dans leurs valeurs, voilà les mecs qu'ils y avaient sur le terrain face à une équipe stratosphérique, au sommet de son art, qui maîtrise toutes les formes de rugby, que dis-je qui EST le RUGBY, armé depuis 2011 d'un mental Wilkoniesque.
Je comprends que les mecs n'est pas donné plus, j'ai même envie de dire que c'est un positionnement qui défend l'intérêt général. Se battre pour une mascarade, un non sens ?
Cette humiliation est peut-être ce qui pouvait arriver de mieux au Rugby Français. Et j'espère, sans attendre de résultat au niveau national, que la révolution commencera au niveau de la formation.
Le Rugby Français se regarde vraiment le nombril, ou un poil de bras, pour ne pas s'ouvrir à la philosophie des autres nations que se soit au rugby, et surtout le Foot, notamment la Roja, qui a été l'une des premières en Europe (celle-ci s'étant inspiré des centres de formation Français crées, si je ne m'abuse fin des années 60) a proposé un foot offensif, avec des joueurs ultra techniques et un système de jeu privilégiant, la conservation, un jeu à une touche de balle, avec des joueurs qui se déplacent pour proposer plusieurs solutions. Une Roja, qui a réalisé le triplé inédit CE (2008), CM (2010), CE (2012) et qui a généré un nouveau souffle, dans lequel s'est engouffré La Mannschaft, pendant que la Squadra Azzura et son catenaccio des années 90 est has been.
On ouvre les yeux ou bien on continue à se prendre pour ce que l'on n'est pas ?