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EDF de Galthié


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9972 réponses à ce sujet

#2521 Bon Chasseur

Bon Chasseur

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Posté 28 mars 2020 - 14:06

pour revenir sur le cas Vahaa, je suis un peu un fataliste. J'imagine que c'était en lui de faire un truc comme ça tôt ou tard. Je ne lui en veux pas. C'était "écrit". Tant pis. C'est pas cette unique action qui aurait changé le destin de cette équipe. Et les bleus avaient malgré tout une chance de gagner le match. Malheur au vaincu, point barre.


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#2522 RCV06

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Posté 28 mars 2020 - 16:06

Exact, les supporters l'ont maudit mais pas un mot du staff. C'est comme ça que tu construit une équipe.

Galthié a des défauts qui sortent souvent dans la presse en ce moment, mais il assume, pas comme Brunel.

 

Moi Vahaa je lui en veut toujours, même si c'est surement le meilleur 2nd ligne Français avec les deux Sud Afs (il a le même défaut que Taofifenuoa sur l'indiscipline), son geste il est à la fois impardonnable et par la force des choses et le temps pardonné.

Ca sera le plus gros cauchemar de sa carrière. Haouas est poussé à bout par les Ecossais, Vahaa y'avait absolument rien il pète une durite alors qu'on écrase totalement les Gallois.

 

Comme souvent pour la France, notre pire ennemi c'est nous même.

On en sait rien pour Vaha, c'est pas parceque sur l action il n y a rien qui explique son geste qu il n y avait pas un contentieux en court ou des petites provocs cumulées qui lui au chauffé le teston et qui accumulées lui ont fait péter la durite.

Vaha c'est pas un seconde ligne a l ancienne méchant gratuitement pour le plaisir, j ai du mal a croire que ce soit gratuit, par le passé on lui a plutôt reproché de ne pas être assez agressif, tout le contraire de Haouas qui avait déjà de belles casseroles avant son pétage de plombs.
 



#2523 Jesus Hans Hubert Vorme

Jesus Hans Hubert Vorme

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Posté 28 mars 2020 - 20:28

C'est ce qu'on a dit pour Zizou !
La provocation, est un "outil" très efficace. Dans tous les domaines de la vie. Le grand art étant de la faire en toute discrétion.  

Au contraire, haouas prend une fourchette avec autant de discrétion qu'un Mac caw defonce un Parra avec le genou. La classe c'est de faire ça au grand jour, au ralenti et de voir sanctionné l'adversaire.
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#2524 Rugby ?

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Posté 29 mars 2020 - 00:26

Au contraire, haouas prend une fourchette avec autant de discrétion qu'un Mac caw defonce un Parra avec le genou. La classe c'est de faire ça au grand jour, au ralenti et de voir sanctionné l'adversaire.

La classe, c'est de l'art ? 



#2525 Jesus Hans Hubert Vorme

Jesus Hans Hubert Vorme

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Posté 29 mars 2020 - 01:05

La classe, c'est de l'art ? 

c'est Fabrice.


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#2526 Arverne03

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Posté 29 mars 2020 - 09:17

c'est Fabrice.

 

Pas sûr que les plus jeunes saisissent ce monument de FR3 !  :P



#2527 Bougnat et Breton

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Posté 29 mars 2020 - 10:25

 

Pas sûr que les plus jeunes saisissent ce monument de FR3 !  :P

Les plus vieux non plus d'ailleurs !! :P



#2528 ELSAZOAM

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Posté 29 mars 2020 - 10:32

c'est Fabrice.

Ah... c'est Fabrice ? Qu'est-ce que vous voulez Fabrice...? Combien il y a dans la valise RTL ?... Comment voulez-vous que je sache combien il y a dans la valise ? Et vous, vous savez où il est mon mari...  (E. K.)



#2529 Bougnat et Breton

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Posté 29 mars 2020 - 11:40

Ah... c'est Fabrice ? Qu'est-ce que vous voulez Fabrice...? Combien il y a dans la valise RTL ?... Comment voulez-vous que je sache combien il y a dans la valise ? Et vous, vous savez où il est mon mari...  (E. K.)

Désolé, je ne connais rien de ce Monsieur ni de son oeuvre !! :innocent: :innocent:



#2530 marco43

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Posté 29 mars 2020 - 13:19

Désolé, je ne connais rien de ce Monsieur ni de son oeuvre !! :innocent: :innocent:

il devait passer à une heure ou le chouchen avait déjà fait son effet


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#2531 el landeno

el landeno

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Posté 29 mars 2020 - 13:56

Thibault Giroud à propos des Bleus : « Nous avons explosé tous nos records » Le directeur de la performance du quinze de France revient sur les progrès physiques réalisés par les Bleus lors du dernier Tournoi des Six Nations. Et fixe les nouveaux objectifs à atteindre.

Depuis sa maison du Pays basque, Thibault Giroud (46 ans) fait défiler les heures, comme tout le monde, un peu comme il peut : Il regarde des vidéos « bon enfant » sur Internet, impose à Kelyan, son fils de 15 ans, des séances à haute intensité dans leur jardin. Il échange, aussi quotidiennement, avec le reste de l'encadrement tricolore, par visioconférences, pour débriefer le dernier Tournoi. Tous les domaines sont évoqués. La performance, son champ de compétences, est prévue au programme la semaine prochaine.

 
En bref
Thibault Giroud
46 ans.
Directeur de la performance du quinze de France.
2003 : Il commence la préparation physique dans le rugby en Afrique du Sud avec l'ancien sélectionneur des Springboks Andre Markgraaf.
2013 : il remporte le Challenge européen avec Biarritz.

Avec les autres, il avance aussi, à pas feutrés, sur une « flèche du temps », chère au sélectionneur, qui joue les girouettes. La tournée d'été en Argentine n'a pas été annulée, elle le sera sans doute bientôt. Le directeur de la performance du quinze de France, comme tout le staff, s'adaptera, quelle que soit la décision prise. En attendant, il a accepté de revenir plus en détail sur la progression des Tricolores au niveau athlétique.

« Le sélectionneur, Fabien Galthié, a fait état de progrès athlétiques extraordinaires durant ce Tournoi. Pouvez-vous être plus précis ?
On avait fait un constat, avant la préparation à la Coupe du monde, ciblant essentiellement le cinq de devant, mais tous les postes étaient concernés. Nous étions plus ou moins à la page sur les déplacements à 15 km/h (vitesse de déplacement de base). En revanche, nous avions vraiment du retard, notamment sur le jeu sans ballon, à 18 km/h et 21 km/h (courses à haute intensité). On avait progressé pendant l'été puis en compétition avec un développement d'environ 20 %. Là, pendant ce Tournoi, nous avons explosé tous nos records sur ces données particulières de hautes intensités à la course et de jeu sans ballon. Nos piliers ont progressé de 64 % (par rapport à la Coupe du monde), les deuxième-ligne de 74 % et les talonneurs de 25 %.

« On s'est aperçus que nos joueurs parcouraient beaucoup trop de distance à l'échauffement d'avant match, alors que nos adversaires en faisaient souvent à peine la moitié »

 

 
 
 

Comment expliquez-vous cette progression ? 
Pour commencer, c'est dû au choix des profils. Ensuite, les clubs ont vraiment joué le jeu sur l'échange de données avant le Tournoi des Six Nations et sur l'application des données cibles. Enfin, il y a la forme de travail pour laquelle nous avons opté. Nous avons totalement abandonné cette idée de "faire de la fraîcheur" lors des semaines de rassemblement de l'équipe de France. La vieille théorie était de dire qu'on ne pouvait pas développer de qualité sur ces périodes parce que les joueurs étaient fatigués et qu'il fallait qu'ils se régénèrent pour les matches internationaux. On a pris le problème dans l'autre sens, c'est-à-dire qu'en transférant les qualités athlétiques directement dans le rugby, grâce aux datas, on était continuellement en développement spécifique des compétences athlétiques nécessaires pour exister au niveau international. Ce qui est intéressant, c'est que nous avons progressé non seulement dans les séquences neuro-musculaires, c'est-à-dire très explosives (faculté à atteindre un nombre d'accélérations et une distance d'accélération élevés), et sur les séquences énergétiques (faculté à répéter et à tenir ce nombre d'accélérations et ces distances d'accélération sur des séquences longues).

Est-ce là votre principal point de satisfaction ?
Nous avions un autre chantier : nous n'arrivions pas à additionner, chez les joueurs, cette haute intensité de course combinée au nombre de tâches de combat effectuées pendant les matches. Nous avions beaucoup de joueurs très bons soit sur l'un soit sur l'autre de ces paramètres. Nous avons également ramené ces données à la minute, parce que nous nous sommes rendus compte que nous avions des joueurs très hauts sur la première minute, qui s'effondraient sur la deuxième, puis remontaient, et ainsi de suite... Or nous recherchions de l'homogénéité dans nos séquences, maintenir un rythme élevé de course, un gros volume de combat avec une déperdition maximum de 5 % jusqu'à six minutes de séquence. Et c'est pour ça que nous avons à ce point insisté auprès des joueurs avec ces entraînements très durs en opposition. Nous avons comparé nos données du match en Écosse sur les volumes de courses à plus de 21 km/h et les distances d'accélération à plus de 2m/s à celles collectées depuis la préparation à la Coupe du monde : en jouant pendant cinquante-trois minutes à 14, nos avons battu tous nos records sur le cinq de devant ! Alors évidemment, on a perdu le match (28-17), mais on parvient quand même à marquer à la 76e minute (par Charles Ollivon), on se crée des occasions qui, si on les joue mieux, changent un peu les choses. Et ce n'est pas une analyse empirique. Ce sont des faits scientifiques.

Avez-vous des moments précis, lors des matches disputés, qui illustrent en images les progrès athlétiques des joueurs ? 
Nous avons développé des qualités en rapport avec notre projet de jeu. C'est ce qui a été le plus flagrant. Nous voulions mettre en place un jeu de transition, c'est-à-dire tenir de longues séquences défensives et, sur un ballon récupéré, pouvoir attaquer, changer de rythme et vice versa. Nous avions aussi remarqué en Coupe du monde que nous tapions largement moins que les autres au pied. Que ces équipes avaient la capacité de taper et de réussir un plaquage très haut dans le terrain, avec un gain considérable, ce qui cramait leurs adversaires, notamment devant. Nous avions donc besoin de joueurs capables de chasser. En gros : monter vite et fort, plaquer en gagnant la collision, redescendre si besoin, prendre le terrain et le répéter 4, 5 ou 6 fois. Ce fut beaucoup le cas face aux Anglais et aux Gallois où la dimension athlétique a répondu aux exigences du projet de jeu. Après, sur le travail de tâches défensives, nous avons été capables de tenir de longues séquences avant chaque mi-temps, avec un "back in game" (retour au jeu après une collision et un passage au sol) hyper rapide, un replacement à haute intensité et, surtout, nous avons été en mesure de réaliser des plaquages offensifs et, donc, de récupérer la munition au terme de très longues séquences de trois ou quatre minutes. En attaque pure, ça s'est moins vu, mais nous avions toujours des avants disponibles partout pour effectuer des tâches qu'ils étaient en mesure de réaliser, avec un très net progrès du replacement offensif du cinq de devant. Et ça, c'est capital. On a aussi beaucoup marqué sur des ballons de contre-attaque, ce qui veut dire que nous avons été capables de changer de rythme.

Sur quoi espérez-vous encore progresser ? 
Déjà, nous allons connaître un palier sur la haute intensité de course. Nos gars ne vont pas courir à 35 km/h pendant quarante minutes dans six mois. On progressera moins vite. En revanche, on peut aller plus loin sur le travail de tâches mixé à cette haute intensité de course. C'est pour ça que nous avons tenu, avec le staff, à faire ces entraînements avec 42 joueurs disponibles. Pour que, physiologiquement, le corps des mecs s'habitue à cette exigence. Or, ça, vous ne pouvez le faire qu'en fixant des objectifs physiologiques bien précis à l'intérieur de ces oppositions. Alors oui, c'est dur pour les joueurs. C'est un choix plus risqué, en termes de blessures. Néanmoins, on s'était rendu compte qu'à "faire de la fraîcheur", on flinguait beaucoup plus de mecs en match.

« Nous avons développé des qualités en rapport avec notre projet de jeu. [...] Nous voulions mettre en place un jeu de transition, c'est-à-dire tenir de longues séquences défensives et, sur un ballon récupéré, pouvoir attaquer, changer de rythme et vice versa »

 

 
 
 

Les joueurs perdent-ils en qualité quand ils retrouvent le Top 14 ? 
Non, justement, parce que nous échangeons toutes les informations. J'ai vraiment apprécié le niveau de collaboration que j'ai pu avoir avec tous les autres directeurs de la performance depuis le retour du Japon jusqu'au début du Tournoi (novembre 2019-février 2020). Nous avons essayé d'imposer des standards internationaux par rapport à des critères précis et les clubs ont été top. On leur avait aussi demandé d'atteindre certaines valeurs sur les trois semaines précédant le Tournoi et là encore, les clubs ont vraiment joué le jeu. Du coup, les internationaux sont arrivés prêts à taper dans les intensités que nous souhaitions.

Le plus frappant, jusqu'à la Coupe du monde, était la baisse de régimes des Bleus dans les vingt dernières minutes. Comment avez-vous remédié à ce problème ?
On a analysé tous les facteurs de performance afin d'essayer de comprendre pourquoi et comment nous arrivions à une telle déperdition d'énergie en fin de partie. On s'est aperçus que nos joueurs parcouraient beaucoup trop de distance à l'échauffement d'avant-match, alors que nos adversaires en faisaient souvent à peine la moitié. À l'heure actuelle, sur un match international, les joueurs courent entre 5 et 7 kilomètres. Or si vous en avez déjà fait la moitié à l'échauffement, ce sera compliqué de finir le match avec 10 bornes dans les pattes et dans de très hautes intensités. Donc on a réduit cette distance. Et pour cela, il a fallu changer la culture.

 
C'est-à-dire ? 

Nous avons voulu responsabiliser les joueurs sur des préparations individuelles pour qu'ils arrivent sur le terrain déjà échauffés à l'entraînement. Or, pour le joueur français, lancer la machine seul équivalait à courir. On a donc mis en place des protocoles d'échauffement, sans mobilité, avec beaucoup de mouvements explosifs grâce auxquels vous faites monter en température le corps et vous pouvez partir très vite ensuite sur des accélérations assez courtes et d'intensité assez élevée. Au bout du compte, on a réduit les protocoles individuels d'échauffement de moitié en distance.

Vous avez également travaillé sur la diététique...
Là aussi il a fallu changer des habitudes. Ç'a été assez drastique. Grâce à Ève Trollier et Florence Mullie, nos nutritionnistes, nous avons adapté l'alimentation aux charges de travail et au système énergétique ciblé. Nous faisions varier la nature et le volume des aliments selon le programme de la journée : neuro-musculaire ou énergétique. Nous avons également travaillé sur la mi-temps des rencontres. On s'est aperçu que le taux de glycémie s'effondrait totalement pendant les vingt dernières minutes. Nous avons donc simulé, sur certains entraînements, les mêmes pauses de quinze minutes, en retenant des joueurs test pour un nouveau protocole d'alimentation à la mi-temps. Nous avons essayé plusieurs schémas en jouant sur le moment de l'ingestion, son contenu, l'association et la mixité des aliments. Les joueurs avaient l'habitude de prendre beaucoup de sucre dès leur arrivée dans le vestiaire. On s'est aperçus qu'en faisant évoluer le timing et le contenu de ces aliments destinés à faire fonctionner la machine pendant l'effort, on n'avait plus cette baisse de régime. En fait, une association de certains aliments permet de conserver un taux glycémique très élevé jusqu'à la fin du match. Pour nous, ç'a changé la donne, notamment sur les entraînements à haute intensité parce que les gars ont été capables de tenir jusqu'à la fin de l'entraînement. Et donc de le recréer en match. »

 



#2532 Jesus Hans Hubert Vorme

Jesus Hans Hubert Vorme

    Salut Fred

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Posté 29 mars 2020 - 14:26

 
Pas sûr que les plus jeunes saisissent ce monument de FR3 !  :P

C'est la marque des vioques, avec le romantisme de la générale.

il devait passer à une heure ou le chouchen avait déjà fait son effet

Le soleil se couche tôt en Bretagne.
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#2533 Lourugby

Lourugby

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Posté 29 mars 2020 - 15:01

Je ne savais pas vraiment où poster cela mais il y a un article intéressant du MIDOL sur le management avec un regard croisé de Didier Deschamps et Gonzalo Quesada : https://www.midi-oly...ais,8819790.php


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#2534 Rugby ?

Rugby ?

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Posté 29 mars 2020 - 15:30

Je ne savais pas vraiment où poster cela mais il y a un article intéressant du MIDOL sur le management avec un regard croisé de Didier Deschamps et Gonzalo Quesada : https://www.midi-oly...ais,8819790.php

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#2535 Bougnat et Breton

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Posté 29 mars 2020 - 15:37

Le soleil se couche tôt en Bretagne.

Environ 1h30 plus tard qu'ici ................et oui, cap à l'ouest c'est de plus en plus tard :rolleyes:


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