9993 réponses à ce sujet

[pims]

Acculé et tendu le Bernard
 

tadu ça veut rien dire ???

[George Abitbol]

Il n'est pas médecin (répété 10 fois)

 

Du coup avec Simon qui répète qu'il l'est, ça fait une bonne moyenne à la tête de la FFR.

[Kestandi]

Serge Simon le COVID manager ,
compile 3 clusters dans les EDF ,
nous assure (masqué) que le match se jouera à 100% il y a 3 jours.

[George Abitbol]

Dans stade 2, interrogé sur les déclarations de Roxana Mărăcineanu, Laporte nous sort « Normal elle est dans son rôle, j'ai été à sa place ».

 

Bah non Nanard, c'était Bachelot la ministre des sports, toi tu étais secrétaire d'État et tu devais lui rendre des comptes. Roxana elle rend des comptes au premier ministre. C'est pas tout à fait pareil.

 

 

C'est pas la première fois qu'il ment là dessus, mais ça le tient.

 

 

Vous me direz au milieu des innombrables mensonges qu'il a distillé dans l'interview, ça passe quasi inaperçu.

[Bart Simpson]

Je connais pas le fonctionnement du cirque Pinder mais depuis juillet Roxana n'est plus ministre des sports.
C'est Jean Mimi Blanquer. Elle est déléguée ou un truc comme ça donc elle doit rendre des comptes à Jean Mich, j'imagine.

[Alex chocolatines]

Laporte emploie des méthodes de voyous au seing de la fédé ! Les menaces et tout ça !  Remarquez, ce n'est pas la première fois, on se souvient d'histoires de harcèlement psychologique dès l'arrivée du parrain aux commandes.

 

 

Petit article très intéressant :

 

 

https://actu.fr/ile-...e_39841422.html

[Alex chocolatines]

Je connais pas le fonctionnement du cirque Pinder mais depuis juillet Roxana n'est plus ministre des sports.
C'est Jean Mimi Blanquer. Elle est déléguée ou un truc comme ça donc elle doit rendre des comptes à Jean Mich, j'imagine.

Voilà le truc exact ! soyons précis cher ami ! 

 

Roxana Maracineanu a été nommée ministre déléguée auprès du ministre de l'Éducation nationale, de la Jeunesse et des Sports, en charge des Sports sur proposition du Premier ministre, le lundi 6 juillet 2020.

 

 

Bernard Laporte, secrétaire d'État chargé des Sports auprès de la ministre de la Santé, de la Jeunesse et des Sports dans le second gouvernement Fillon du 

22 octobre 2007

 au 

23 juin 2009

.

[George Abitbol]

Exact, elle n'est plus ministre, mais ministre déléguée. C'est toujours plus haut que secrétaire d'État. Et c'est toujours un mensonge quand Nanard dit avoir été ministre.

[Boulard]

Laporte emploie des méthodes de voyous au seing de la fédé ! Les menaces et tout ça !  Remarquez, ce n'est pas la première fois, on se souvient d'histoires de harcèlement psychologique dès l'arrivée du parrain aux commandes.
 
 
Petit article très intéressant :
 
 
https://actu.fr/ile-...e_39841422.html

Quelle sacrée passe d'armes entre la Fédé et le Ministère.
On parlerait pas de crise sanitaire en pleine pandémie avec près de 90000 morts depuis 1 an, je dirais que c'est rigolo.

Mais le problème de Nanard, c'est qu'il n'est pas sur son terrain. Là, on parle de crise sanitaire, il a beau gesticuler dans tous les sens, menacer (!!) les joueurs, il faudra qu'il "fasse un geste d'apaisement" en sortant Simon. Ce serait la meilleure chose à faire pour retrouver un climat plus serein notamment pour les joueurs.

Après, il est tellement barré et egocentrique qu'il est capable de tenir et tenir face à la Ministre.

[gregouarrrr]

en attendant .... 

 

Du côté de Toulon, le président Bernard Lemaître est monté au front. Dans un mail adressé aux autres présidents du Top 14, il a informé ne pas vouloir « offrir » une nouvelle date au Tournoi des 6 Nations et, en filigrane, un énième doublon. ( rugbyrama )

 

en meme temps j ai trop suivi l affaire et sur les dates possibles

[Alex chocolatines]

Quelle sacrée passe d'armes entre la Fédé et le Ministère.
On parlerait pas de crise sanitaire en pleine pandémie avec près de 90000 morts depuis 1 an, je dirais que c'est rigolo.

Mais le problème de Nanard, c'est qu'il n'est pas sur son terrain. Là, on parle de crise sanitaire, il a beau gesticuler dans tous les sens, menacer (!!) les joueurs, il faudra qu'il "fasse un geste d'apaisement" en sortant Simon. Ce serait la meilleure chose à faire pour retrouver un climat plus serein notamment pour les joueurs.

Après, il est tellement barré et egocentrique qu'il est capable de tenir et tenir face à la Ministre.

Il est capable de tout en effet ! Mais préparer un choc important comme l'Ecosse et le mythique crunch dans une ambiance pareille ......... C'est pas terrible..... 

Exact, elle n'est plus ministre, mais ministre déléguée. C'est toujours plus haut que secrétaire d'État. Et c'est toujours un mensonge quand Nanard dit avoir été ministre.

Laporte qui se vante de ses hautes fonctions passées sous tutelle du ministère de la santé !!! C'est pas cocasse dans la situation actuelle ??   

[Binche63]

https://www.rugbyram...574/story.shtml

La fête du slip

[Combinator]

Le président de la fédération se défausse sur l'État... bon, affaire à suivre...

[63manu]

https://www.rugbyram...574/story.shtml
La fête du slip

Oui c est une bulle élastique comme le slip.

[el landeno]

Les clubs de Top 14 mécontents de la gestion de la FFR de la bulle sanitaire

Victimes collatérales du cluster apparu en équipe de France, certains clubs du Top 14, principaux pourvoyeurs d'internationaux, vivent mal la gestion de la situation par les autorités fédérales.

 

L'agacement monte. On le sent là, tout près, sous-jacent, prêt à se transformer en grosse colère à la moindre nouvelle contrariété. Depuis que Marcoussis est devenu un foyer épidémique, et que douze joueurs du quinze de France sont tombés les uns après les autres sous le coup de tests positifs au Covid-19, les clubs du Top 14, principalement ceux qui fournissent le plus d'internationaux à la sélection, en ont gros sur la patate.

 

 

Et c'est vraiment au prix d'un gros effort, et sans doute aussi pour ne pas brûler trop vite la belle image renvoyée sur tout le rugby français depuis un an par la bande à Galthié, qu'ils se retiennent encore un peu de dire tout le mal qu'ils pensent de la gestion de la fameuse bulle sanitaire par la Fédé et l'encadrement des Bleus.

« Je suis extrêmement mécontent. La relation entre les clubs pros et la Fédé ne ressortira ni améliorée ni grandie de cet épisode »

Bernard Lemaître, président du RCT

 

 

 

Seul le président toulonnais Bernard Lemaître a osé dire tout haut dans les colonnes du journal Sud-Ouest ce que beaucoup pensent tout bas : « J'en ris pour ne pas avoir à pleurer. Je n'ai pas d'éléments très précis sur ce qui s'est passé. La vérité révèlera sans doute une mauvaise gestion de la bulle sanitaire. Mais on ne peut pas dire d'un côté qu'on est superman pour gérer la bulle de l'équipe de France et faire infiniment moins bien que les clubs qui sont pourtant dans un contexte plus large. [...] Je suis extrêmement mécontent. La relation entre les clubs pros et la Fédé ne ressortira ni améliorée ni grandie de cet épisode. »

Il faut comprendre le patron du RCT, qui a vu trois de ses joueurs rentrés de Marcoussis avec un test positif (Ollivon, Villière, R. Taofifenua). Même chose à Toulouse, frappé de quatre cas positifs (Dupont, Marchand, Baille, Mauvaka) et obligé de céder trois autres de ses joueurs à la sélection en début de semaine dernière, avant de les voir revenir quatre jours plus tard comme cas contact (après le test positif d'Atonio) et donc promis à l'isolement. « C'est clairement un effet domino, a regretté l'entraîneur des avants rouge et noir Jean Bouilhou. Nous comptions sur ces trois éléments pour jouer à La Rochelle. C'est évident que ça nous est préjudiciable, mais que pouvons-nous faire ? »

Même constat du côté de Bordeaux-Bègles, qui déplore lui aussi trois joueurs en quarantaine (Cazeaux, Lucu, Moefana, Paiva) dont il n'est pas sûr de pouvoir disposer le week-end prochain contre Pau (18e j. du Top 14). « Il y a probablement eu une connerie de faite, je n'en sais rien, mais on a un peu l'impression qu'on en paie les pots cassés, s'est désolé cette semaine le manager de l'UBB Christophe Urios. Évidemment que l'on est content pour nos mecs appelés, mais nous, à l'UBB, ça nous fait chier. »

Laurent Marti, le président girondin, s'est aussi étonné dans Sud-Ouest du rappel de joueurs à Marcoussis après la découverte des premiers cas positifs : « On se doutait bien qu'il y avait un risque énorme. Dans la même situation, un club aurait été fermé et tout le monde serait resté chez lui. »

La FFR pousse pour un report du match France-Écosse le 26 mars, également week-end de Top 14

Le hic, c'est que ces gros pourvoyeurs d'internationaux n'en ont sûrement pas fini de subir les conséquences du foyer épidémique contracté à Marcoussis. Si l'on a bien suivi, le manager des Bleus Raphaël Ibañez pousserait à ce que France-Écosse soit reporté à la date la plus proche de la fin initialement programmé du Tournoi (20 mars), c'est-à-dire au week-end juste après. La date du vendredi 26 mars a été avancée.

Le raisonnement d'Ibañez s'entend, sauf que ce week-end-là correspond aussi à une journée de Top 14 (la 20e) et du Championnat anglais (la 15e), où évoluent plusieurs joueurs écossais. Surtout, ce match de rattrapage tomberait une semaine seulement avant le début de la phase finale de la Coupe d'Europe (huitièmes de finale les 3 et 4 avril).

« Cette histoire de Covid emmerde tout le monde, a balancé Bouilhou juste après la victoire de Toulouse à La Rochelle (11-14), samedi soir. Le problème, c'est qu'il faut effectivement trouver une autre date pour le report. Ce sera soit en semaine (la date du mardi 9 mars a aussi été évoquée), mais ça serait compliqué pour les joueurs de l'équipe de France d'enchaîner deux rencontres en cinq jours. Soit la semaine de notre match contre Montpellier (27 mars), ce qui pourrait nous pénaliser à une semaine de la Coupe d'Europe. »

« L'embêtant, c'est qu'on avait prévu de donner une semaine de vacances ou au moins quelques jours de repos à nos internationaux cette semaine-là pour qu'ils puissent recharger les batteries avant d'aborder l'échéance européenne », ajoute cet autre dirigeant d'un club toujours en course dans cette épreuve.

« Regarder qui est malade et s'il y a des conséquences m'importe plus que de savoir qui est le patient zéro »

Didier Lacroix, président du Stade toulousain

 

 

 

La négociation s'annonce serrée. Les responsables ou managers des clubs de l'élite sont d'autant moins enclins à la concession qu'ils savent désormais que les complications qui les frappent aujourd'hui par ricochet ne sont pas forcément dues à un coup de pas de chance ou à la fatalité.

Si le variant anglais s'est invité à Marcoussis, c'est peut-être aussi parce que certains membres de la délégation tricolore ont pris des libertés avec le protocole censé préserver l'étanchéité de leur bulle sanitaire. Apprendre que Fabien Galthié lui-même, supposé montre l'exemple, ait pu sortir du cadre doit forcément leur hérisser les poils. Pourtant, le sélectionneur échappe pour l'instant aux rafales, du moins publiquement.

« J'ai suffisamment de problèmes à gérer à Toulon pour analyser et donner un avis sur ce qu'il se passe à l'extérieur, s'est ainsi exprimé vendredi soir le manager de RCT Patrice Collazo. Je ne suis pas docteur, je ne suis pas là pour juger, je suis là pour faire tourner mon club. Là, je pense surtout à la santé de nos joueurs qui sont rentrés avec un test positif, ainsi qu'à celle de leurs proches. »« Dans les moments difficiles, il faut être très solidaire et très humble, car cela peut arriver à tout le monde, estime le président toulousain Didier Lacroix. Regarder qui est malade et s'il y a des conséquences m'importe plus que de savoir qui est le patient zéro. »

Son homologue lyonnais Yann Roubert semble aussi attendre l'exhumation d'éventuelles responsabilités par les ''bulle-terrier'' de l'enquête interne avant de sortir la sulfateuse. « On sait que le risque zéro n'existe pas, dit-il. Que même en étant exemplaire, on n'est pas sûr d'être à l'abri. On ne va pas juger avant de savoir. On verra ce que dit le rapport. »

D'autres enfin, tel ce haut responsable d'un éminent club de l'élite, pointe aussi les largesses du comité des Six Nations : « Je ne comprends pas pourquoi il n'a pas fait en sorte d'isoler les équipes en créant une bulle de cinq ou six semaines en un même endroit. Surtout au regard de ce qui s'est passé avec les Fidji lors de la Coupe d'automne des nations (ils avaient perdu par forfait tous leurs matches de la première phase à cause d'un cluster). Pourquoi autoriser les joueurs à rentrer chez eux quelques jours après les deux premiers matches de la compétition ? À partir du moment où il y a de tels allers-retours, on ne peut plus parler de bulle. »