Le principal souci est que les joueurs français entretiennent ce désir de jouer. Un international tricolore glissait récemment : « J'ai une petite blessure qui nécessite une opération. Mais j'ai des matches importants qui arrivent avec mon club. On verra plus tard... »
Comme si c'était nouveau des joueurs qui voulaient absolument jouer sans se préoccuper de leur santé. Ils regrettent des années plus tard, trop tard, mais dans le feu de l'action, aucune prudence.
C'est pour ça que la santé ne doit pas être déléguée aux joueurs, mais aux staffs, aux arbitres, aux médecins officiels, etc.
Wallabies et Boks l'ont atteinte en élevant leur impact physique en défense, manière d'empêcher les Bleus d'enclencher leur schéma offensif préférentiel. On a ainsi remarqué que, quand ils sont contrés dans le défi frontal, Dupont et ses partenaires manquent aujourd'hui d'alternatives.
En 2022 on découvre que le rugby commence devant.
La structure de cette liste définitive sera un premier enjeu stratégique intéressant : partir avec 20 avants et 13 trois-quarts ? Ou bien 19 et 14 ?
19 avants, 13 trois-quarts et Macalou.