5236 réponses à ce sujet

[red-and-black31]

Kolbe jouera la finale.

 

Une bonne nouvelle pour l'AFS et si j'étais le sélectionneur je le mettrais directement à l'arrière.

 

Il sera pas plus mauvais que Leroux que les ballons hauts et les Anglais y réflechiront à deux fois avant de donner des ballons de relance.

[el landeno]

Dans les coulisses de Pennyhill Park, le centre d'entraînement des Anglais Pendant quatre ans, dans leur centre d'entraînement où se côtoient luxe et sobriété, les Anglais ont balisé le chemin qui les a conduits en finale de Coupe du monde.

 

« An Englishman home is his castle. This is our castle. » Cette phrase, tirée d'un dicton britannique, qui veut que la maison d'un Anglais soit son château, est inscrite depuis 2016 à l'entrée du centre d'entraînement de Pennyhill Park, au coeur de la campagne verdoyante du Surrey, à 40 km du centre de Londres, et a remplacé, à la demande d'Eddie Jones, une citation d'Arnold Schwarzenegger qui avait accompagné les joueurs lors du mandat de son prédécesseur, Stuart Lancaster (2011-2015) : « La force ne vient pas de la victoire. Elle vient des épreuves que l'on traverse, sans accepter de se rendre. »

 

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Avec cette phrase, Eddie Jones a tout de suite marqué son territoire et, surtout, celui de ses joueurs. Engagé à prix d'or par la RFU (on parle de 750 000 livres annuelles, environ 868 000 euros) pour ramener le quinze de la Rose sur les sentiers de la gloire après l'humiliante élimination dès les poules lors du Mondial 2015, l'Australien veut que les choses soient claires : « Ici, à Pennyhill Park, nous sommes dans un environnement luxueux, un magnifique hôtel cinq étoiles mais le château de l'équipe d'Angleterre est juste à côté. Notre château, c'est le centre d'entraînement. »

 

Des fondamentaux affichés sur les murs pour ancrer une identité

Dès le premier coup d'oeil, le contraste entre la majestueuse demeure du XIXesiècle et le gymnase, rectangle de briques rouges qui s'élève sur deux étages, frappe le visiteur. D'un côté, il y a le luxe : le spa le plus chic d'Angleterre avec ses huit piscines, dont une où on peut écouter de la musique sous l'eau, des suites que les joueurs se partagent et où, selon ses coéquipiers, Owen Farrell chante bruyamment sous la douche, des cheminées immenses ; de l'autre, une construction extrêmement sobre, qui accueille le quinze de la Rose depuis le titre mondial de 2003, à côté d'un terrain où pousse le même gazon qu'à Twickenham.

 

Elliot Daly file à l'entraînement. (A.Coulridge/ AI/Reuters/Panoramic)

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Il n'y a rien de trop dans le bâtiment. Au rez-de-chaussée, sur la droite, c'est le domaine du kit-man : un grand hangar avec le matériel (sacs de plaquage, frigos de cryothérapie, etc.). Et à gauche, l'entrée principale du « château » avec un écran qui indique d'un côté le temps qu'il reste jusqu'au prochain match et de l'autre, les heures, les minutes et les secondes qui séparent l'équipe de la finale de la Coupe du monde. C'est ici que se trouvent le grand vestiaire, très dépouillé, et la pièce où les entraîneurs discutent des séances. Eddie Jones dispose également d'un bureau qui évoque celui de Dumbledore, directeur de Poudlard, l'école des sorciers dans Harry Potter. Niché dans une vieille tourelle, près de l'entrée de l'hôtel, on se demande quel mot de passe doivent prononcer les joueurs pour y accéder : « chocogrenouille » ou « champions du monde » ?

À l'étage du bâtiment consacré à l'entraînement, deux salles. Celle de fitness, avec vélos, tapis, médecine balls et des bancs où les joueurs soulèvent des poids, filmés en permanence par quatre caméras qui sortent du plafond. Et le terrain synthétique de 40 x 40 m où les joueurs s'échauffent, travaillent les skills et répètent inlassablement des combinaisons qu'ils peuvent visionner en direct sur un écran géant.

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Dès le début de son mandat en 2015, Eddie Jones s'est attaché à faire coller le jeu de son équipe aux valeurs historiques du rugby anglais, à celles du pays aussi, seule façon selon lui d'ancrer profondément une identité. Dès sa première conférence de presse, il prévenait : « Si des joueurs ne veulent pas jouer à l'anglaise, ils ne seront pas dans l'équipe et porteront le maillot de leur club, pas celui de la Rose. » Ces fondamentaux, identifiés dès le premier rassemblement lors d'une concertation avec les joueurs, sont affichés sur trois des murs qui entourent le terrain synthétique. « Ferocious defence », « brutal set piece », « smart attack ». Défense féroce, conquête brutale, attaque intelligente. Inscrits sur trois affiches en lettres énormes, les préceptes n'ont rien de révolutionnaire mais, pendant quatre ans, à chaque rassemblement, les joueurs anglais les ont eus sous les yeux ; ils sont devenus leurs balises.

Un objectif à atteindre pour chaque match

Autre outil de la méthode Jones : un gigantesque mur, toujours sur le terrain couvert, où chaque match, depuis 2016, apparaît comme une étape du long chemin qui mène jusqu'à la finale de la Coupe du monde. Lors de sa visite du centre anglais, au printemps 2017, le nouveau sélectionneur français, Fabien Galthié, l'avait tout de suite repéré et défini comme une « carte des transformations ». Il s'agit d'un tableau qui permet, d'un seul coup d'oeil, de retracer les quatre années que les Anglais ont passées ensemble et ce qu'ils ont travaillé, match après match.

Pour chacune des rencontres, en plus de la date et du score, un homme du match a été élu, seulement en cas de victoire et selon des critères bien particuliers. « Je donne à chaque fois un objectif très précis, explique Jones, une mission à accomplir en fonction de l'adversaire. » L'élu est celui qui a le mieux collé au plan de jeu mais, surtout, la stratégie du jour est considérée validée par le groupe et ajoutée à la panoplie d'outils des joueurs, une panoplie qui augmente match après match.

Un exemple suffit à comprendre le procédé. Lors du test contre l'Afrique du Sud, le 3 novembre dernier (remporté 12-11), l'objectif collectif à atteindre était « structured suffocation ». Tout un programme qui indique que les Anglais avaient abordé cette rencontre avec pour but « l'étouffement organisé » de l'adversaire. Depuis, ils ont disputé 17 autres rencontres et, si les calculs d'Eddie Jones sont bons, chacune aura apporté à ses joueurs une arme supplémentaire qui devrait leur permettre de devenir champions du monde

 

[Vulcan Gallois]

Congratulations a Monsieur Garces et bonne finale.

[Ptolémée]

oui bonne chance à Mr Garçès 

[George Abitbol]

Alors tu m'excuseras mais le fait de désigner un arbitre n'est pas uniquement basé sur la qualité de ses prestations...

 

Mais du coup c'est basé sur quoi ?
 

[Jesus Hans Hubert Vorme]

Comme la plupart des essais Toulousains des 20 dernières années  .......          

ça dépend qui est dans le camping car Régie.

[zebdomes]

 
Mais du coup c'est basé sur quoi ?
 

Sa carrière, le fait que ce soit son dernier match, des éléments politiques, l'influence d'un compatriote, tu peux en trouver des raisons diverses et variées, certaines totalement recevables d'autres moins pour désigner le quatuor arbitral autres que les seules performances.

[Bon Chasseur]

Kolbe jouera la finale.

 

Une bonne nouvelle pour l'AFS et si j'étais le sélectionneur je le mettrais directement à l'arrière.

 

Il sera pas plus mauvais que Leroux que les ballons hauts et les Anglais y réflechiront à deux fois avant de donner des ballons de relance.

Je pense que ce serait une faute professionnelle de jouer Willie Le Roux dans une finale de Coupe du Monde. Il a des relances sympas une fois tous les 4 Test matches, et c'est déjà bien, mais punaise de bordel de caca boudin qu'est ce qu'il commet comme fautes ce type. Wohhhhh. Je ne pense pas avoir vu un seul match int'l où il ne fait pas soit une passe en avant soit une course isolée ballon gratté soit une grosse faute de main... incroyable pour moi que ce mec là ait 60 caps. En face les Anglais ont Daly, le contraire: mesuré, régulier, polyvalent, tactique, intelligent... et vu ce que les Anglais ont fait aux Néozeds il faudra que les Boks soient impeccables sur les ballons hauts et le troisième rideau.

[Gourine63]

Je pense que ce serait une faute professionnelle de jouer Willie Le Roux dans une finale de Coupe du Monde. Il a des relances sympas une fois tous les 4 Test matches, et c'est déjà bien, mais punaise de bordel de caca boudin qu'est ce qu'il commet comme fautes ce type. Wohhhhh. Je ne pense pas avoir vu un seul match int'l où il ne fait pas soit une passe en avant soit une course isolée ballon gratté soit une grosse faute de main... incroyable pour moi que ce mec là ait 60 caps. En face les Anglais ont Daly, le contraire: mesuré, régulier, polyvalent, tactique, intelligent... et vu ce que les Anglais ont fait aux Néozeds il faudra que les Boks soient impeccables sur les ballons hauts et le troisième rideau.

Il n'a pas qu'un nom de famille français, il en a aussi le jeu

[George Abitbol]

on apprend que la chaîne TV NZ qui diffuse la CDM n'a pas acheté les droits pour la petite finale.
 
Et donc les NZ ne pourront pas voir le dernier match de leur équipe (sauf en streaming).

 
 
Tout se termine bien. On apprend que finalement TVNZ diffusera bien le match pour la 3e place (mais en différé d'une heure).

[julien]

Coupe du Monde, Match pour la 3e place, Galles-Nouvelle Zélande, vendredi 10h

Galles: 15 Hallam Amos, 14 Owen Lane, 13 Jonathan Davies, 12 Owen Watkin, 11 Josh Adams, 10 Rhys Patchell, 9 Tomos Williams, 8 Ross Moriarty, 7 James Davies, 6 Justin Tipuric, 5 Alun Wyn Jones ©, 4 Adam Beard 3 Dillon Lewis 2 Ken Owens 1 Nicky Smith
R: 16 Elliot Dee, 17 Rhys Carre, 18 Wyn Jones, 19 Jake Ball, 20 Aaron Shingler, 21 Gareth Davies, 22 Dan Biggar, 23 Hadleigh Parkes

NZ: 15 Beauden Barrett, 14 Ben Smith, 13 Ryan Crotty, 12 Sonny Bill Williams, 11 Rieko Ioane, 10 Richie Mo’unga, 9 Aaron Smith, 8 Kieran Read ©, 7 Sam Cane, 6 Shannon Frizell, 5 Scott Barrett, 4 Brodie Retallick, 3 Nepo Laulala, 2 Dane Coles, 1 Joe Moody
R: 16 Liam Coltman, 17 Atu Moli, 18 Angus Ta’avao, 19 Patrick Tuipulotu, 20 Matt Todd, 21 Brad Weber, 22 Anton Lienert-Brown, 23 Jordie Barrett

[Ptolémée]

Les Blacks auront à coeur d'atténuer en partie leur terrible

déconvenue ..

du grand spectacle en perspective 

[reo63]

Julien tu fais braire à jouer celui qui ne comprend pas ! Pour la dernière fois, les erreurs des joueurs n'excusent en rien les manquements de l'arbitre et ce soir là Garces est passé à travers. J'espère que ce ne sera pas le cas samedi, ce serait très dommageable pour le rugby.

je voudrais bien voir si un ballon ressort de la mêlée par là où il est censé rentrer si il dira quelque chose ce coup ci, car pour Garcés en juin 2019 c'était autorisé et cela a eu quelque conséquences fâcheuses pour nous (d'autant que cette mêlée faisait suite à un non en avant entre laidlaw et panpan si ma mémoire est bonne).
Clair que sur ce match, il a eu des absences quand même assez importantes pour un arbitre de ce calibre.

[Ptolémée]

AWJ mérite une statut ...

[zebdomes]

je voudrais bien voir si un ballon ressort de la mêlée par là où il est censé rentrer si il dira quelque chose ce coup ci, car pour Garcés en juin 2019 c'était autorisé et cela a eu quelque conséquences fâcheuses pour nous (d'autant que cette mêlée faisait suite à un non en avant entre laidlaw et panpan si ma mémoire est bonne).
Clair que sur ce match, il a eu des absences quand même assez importantes pour un arbitre de ce calibre.

Ta mémoire est très bonne, 🤬