https://www.lamontag...EaWMGN1P5N3s7p0

STADE AURILLACOIS
#1
Posted 14 January 2020 - 16:28 PM
#4
Posted 03 April 2020 - 16:00 PM
#5
Posted 19 June 2021 - 14:44 PM
Paix à son âme...
Envoyé de mon SM-A505FN en utilisant Tapatalk
#6
Posted 02 May 2022 - 12:58 PM
GAJION quitte Oyonnax, ne peux tu pas le récupérer à l'ASM.
Pourquoi Aurillac l' a laissé partir en cours de saison alors qu'il a fait parti des 23 sur la plupart des feuilles de matchs ?
#7
Posted 03 June 2022 - 16:30 PM
Comme révélé un peu plus tôt dans la journée par La Montagne, le Stade Aurillacois a officialisé la signature pour 2 saisons (plus une en option) du 3e ligne irlandais Eoghan Masterson. Formé au Connacht où il a passé toute sa carrière, le joueur de 29 ans est ainsi la troisième... et dernière recrue d'Aurillac pour la saison à venir.
#8
Posted 01 December 2022 - 16:22 PM
Le pilier aurillacois Henzo Kiteau vient d’enchaîner 6 feuilles de match consécutives... et bientôt une septième face à Colomiers. Une récompense pour celui qui a soif d’apprendre et a trouvé dans le Cantal le cadre qu'il était venu chercher pour progresser.
Comment aborder le retour à domicile après la lourde défaite contre Oyonnax ?
On a envie de bien retrouver la maison et de rebondir face à cette équipe de Colomiers. C’est une belle occasion.
Que retenez-vous de ce déplacement chez le leader ?
C’était un match très dur, rude. Je pense qu’ils ont mis plus d’agressivité que nous et on aurait pu être meilleurs que ce qu’on a été. On n’a pas mis les bons ingrédients et c’est ce qu’on doit faire contre Colomiers.
A quoi est dû ce déficit d’agressivité ? Le statut et le niveau d’Oyonnax ont-ils tendance à inhiber l’adversaire avant un match??
Oui et non. On sait que ce sont des humains en face et qu’on peut faire quelque chose. C’est juste qu’on n’a pas joué à notre meilleur niveau.
Aligné une seule fois sur le premier bloc, Henzo Kiteau n'est plus sorti du groupe depuis la réception de Montauban qui l'a vu inscrire son premier essai en Pro D2. Photo Jeremie Fulleringer
Comment vous sentez-vous en mêlée ?
Je me sens bien. Je travaille beaucoup avec Alain (Belguiral). Il m’aide beaucoup, m’explique les choses et j’essaie d’être meilleur match après match. C’est difficile pour moi parce que je suis toujours en apprentissage, mais j’essaie de donner le meilleur.
Cet apprentissage, où se situe-t-il ? Sur les liaisons, les appuis ?
En fait, c'est un tout. Il n’y a pas un petit détail en particulier. Il faut penser à tout?: les liaisons, les appuis, la tête, où pousser… Ce n’est pas une seule chose.
On est rentré dans l’hiver, c’est généralement un terrain de jeu qui plaît aux piliers. C’est votre cas ?
Moi, je me plais tout le temps?! Surtout l’hiver. J’aime bien le froid, ça ne me gêne pas. C’est vrai que c’est une période à laquelle nous, Aurillac, on est habitués. Et c’est une période qui peut nous aider, en plus avec deux matches de suite à la maison.
Henzo Kiteau a alterné les entrées en jeu en seconde période et les titularisations avec souvent un remplacement à la demi-heure de jeu pour faire rentrer Kartvelishvili. Le patron au poste.
Vous êtes dans une situation particulière puisque vous êtes prêté par l’ASM. Comment Clermont suit votre progression et échange avec vous ?
Je parle beaucoup avec le coach des Espoirs, Adel Fellah. Il m’envoie des messages pour me demander comment ça s’est passé sur tel match, en mêlée, si je me sens bien… J’échange avec lui comme ça. Je dis si ça va ou non. De loin, ils ne peuvent pas trop me donner de conseils mais je profite de ce que j’ai ici?: Alain et puis mes partenaires, qui m’aident beaucoup. Ils me disent comment être, comment faire ma routine par exemple. Surtout Gio (Kartvelishvili).
« Tout est nouveau, j’affronte des piliers qui ont 10 ans d’expérience »Et moralement, comment vous sentez-vous dans cette équipe ?
Je me sens bien. Intégré. Je me sens considéré et je pense que c’est un plus. Pour l’instant, je suis dans un bon cadre de vie et j’espère que ça ne va pas changer. C’est exactement ce que je cherchais ici et pour l’instant, je l’ai trouvé.
Le repositionnement temporaire de Tim Daniel en 2e ligne puis la blessure du Nîmois ont fait d'Henzo Kiteau le numéro 2 au poste de pilier droit sur cette première partie de saison.
Contre Colomiers, c’est un gros défi qui vous attend en mêlée…
Oui, c’est une équipe très forte, ça va être un beau défi. On a vu les images. Quel est le sentiment ? C’est de l’excitation. On est à la maison, on sait qu’on va avoir un petit plus pour nous, et puis ce sont des humains comme nous.
Pensez-vous que ce sera l’équipe la plus forte que vous ayez à affronter ici pour le moment ?
Je ne peux pas le dire, parce que pour moi chaque match est différent.
Justement, est-ce particulier, quand on débute votre carrière comme vous, de découvrir vraiment un nouvel adversaire à chaque match ?
Oui, pour moi tout est nouveau. C’est un nouveau monde. L’an dernier, je jouais en Espoirs et je connaissais tout le monde. Là, j’affronte des piliers qui ont dix ans d’expérience ou presque derrière eux. Ça m’aide beaucoup à m’améliorer parce que c’est nouveau, c’est un niveau au-dessus et j’aime ça. Je sais que ça va être un nouveau défi car en face de moi, j'ai quelqu’un que je ne connais pas et qu’il va me donner beaucoup de mal. Ça m’aide à travailler.
Propos recueillis par Jean-Paul Cohade
Photos : Jérémie Fulleringer
La Montagne - 01/12/2022
- Lycha, Frédéric58, Binche63 and 1 other like this
#9
Posted 10 September 2024 - 11:08 AM
#10
Posted 13 September 2024 - 18:19 PM
Très bon début d'Aurillac à domicile contre Grenoble.
17/0, 16°mn
27/0, 28°mn
#11
Posted 13 September 2024 - 20:04 PM
Oudart loin d'être ridicule à un poste qu'il découvre en étant très solide en défense.
Très difficile pour Palmier surtout avec la comparaison de Seunes (15) d'Aurillac.
Javakhia à plus de 10 placages avant son rouge.
Dommage pour le BO, mais un match très agréable.
#12
Posted 15 February 2025 - 10:32 AM
Et 5 mois plus tard...
Dix classes d'écart et une grosse gueule de bois pour le Stade Aurillacois, rossé sur le terrain de Grenoble En infériorité numérique dès le début de partie et un temps à 12 contre 15, Aurillac a explosé, vendredi 14 février, à Grenoble. Une déroute historique (75-14) dans un match plié avant la 20e minute.
Franchement, on ne s’attendait pas à un miracle. Parce qu’on a beau aimer ce club et lui vouloir tout le bien du monde, on connaît quand même un petit peu le rugby et on sait que le voyage d’Aurillac à Grenoble était un saut dans la gueule du loup pour ce Stade qui, de toutes les manières, ne venait chercher que des petites raisons de positiver. Des occasions de montrer du caractère. Une opportunité pour donner du rythme à des garçons sur lesquels le staff devra compter dans l’opération maintien et puis advienne que pourra au niveau du score.
Alors, parti de ce principe-là, on a un poil jubilé avant de tomber d’encore plus haut qu’on aurait pu l’imaginer. Dix minutes d’espoir, dix minutes pour se dire que le Stade était venu pour embêter un petit moment Grenoble. On ne parlait pas de faire un résultat, mais d’y croire un peu. Allez, pendant une mi-temps…
Une entame idéale jusqu’au carton rouge qui change toutMais ça a donc duré 10 minutes. Seulement. Dix minutes, douche comprise, même, pour Moala, après que l’ancien Corrézien a découpé le genou de Pieterse sur un ruck, envoyant l’Isérois à l’infirmerie et lui-même devant la commission de discipline qui ne devrait pas être tendre avec lui pour ce carton rouge logique qui a précipité les Cantaliens dans l’abîme alors qu’ils menaient (0-7) depuis la première minute et un essai de Loughnane sur maul.
Aurillac avait parfaitement entamé ce match et l’a donc sabordé aussitôt. Et Grenoble égalisait sur un essai de Romain Trouilloud. C’était difficile à 14, ça allait devenir impossible à 13 et encore plus à 12 quand le Stade encaissait deux essais de pénalité et autant de jaunes pour Salvan et Bevia. On avait à peine passé le premier quart d’heure que le match était fini (17e, 21-7).
Le FCG s’amuse et atomise un Stade K.-O. deboutGrenoble était parti pour un cavalier seul et enfilait les essais comme des perles. Il s’en fallait même de peu pour que la barre des 50 pions dans la musette ne soit atteinte à la pause. Et encore, c’est surtout parce que Mme Groizeleau fit preuve d’un instant de mansuétude et de clémence en sifflant la mi-temps quelques secondes avant le terme, tandis que Loughnane était K.-O. au sol dans ses 22 mètres.
C’est en réalité tout Aurillac qui était sonné, et depuis belle lurette. Le calvaire reprenait de la même manière dès le retour des vestiaires, quand Mouton, puis Hulleu - sur un doublé - portaient le nombre d’essais isérois à… 10.
Un improbable moment à 15 contre 15 suivi d'une supériorité numériqueC’était long. Et même pas vraiment plaisant tant l’écart était abyssal. Et ce n’est pas les 30 secondes qu’Aurillac passait à 15 contre 15 (à la faveur d’un double changement cantalien, Nonkontwana oubliait de sortir, et restait ainsi sur le pré quand son remplaçant Backhouse jouait également) ni la fin de partie à 14 contre 14 - après un rouge pour Holt sur un plaquage haut - puis 14 contre 13 (jaune pour Soury), qui pouvait y changer quoi que ce soit.
Enfin si, sur le plan comptable, Perrin pouvait soigner ses statistiques avec son 3e essai de la saison (68-14) mais c’était une trop faible étoile dans la nuit glaciale de Grenoble. Une nuit encore percée d’un éclair avec un 11e essai signé Sirgel (75-14). La saison d’Aurillac ne se jouait pas là, mais il va falloir digérer cette déroute historique.
A Grenoble, Jean-Paul Cohade
#13
Posted 15 February 2025 - 11:26 AM
Et 5 mois plus tard...
Dix classes d'écart et une grosse gueule de bois pour le Stade Aurillacois, rossé sur le terrain de Grenoble En infériorité numérique dès le début de partie et un temps à 12 contre 15, Aurillac a explosé, vendredi 14 février, à Grenoble. Une déroute historique (75-14) dans un match plié avant la 20e minute.
Franchement, on ne s’attendait pas à un miracle. Parce qu’on a beau aimer ce club et lui vouloir tout le bien du monde, on connaît quand même un petit peu le rugby et on sait que le voyage d’Aurillac à Grenoble était un saut dans la gueule du loup pour ce Stade qui, de toutes les manières, ne venait chercher que des petites raisons de positiver. Des occasions de montrer du caractère. Une opportunité pour donner du rythme à des garçons sur lesquels le staff devra compter dans l’opération maintien et puis advienne que pourra au niveau du score.
Alors, parti de ce principe-là, on a un poil jubilé avant de tomber d’encore plus haut qu’on aurait pu l’imaginer. Dix minutes d’espoir, dix minutes pour se dire que le Stade était venu pour embêter un petit moment Grenoble. On ne parlait pas de faire un résultat, mais d’y croire un peu. Allez, pendant une mi-temps…
Une entame idéale jusqu’au carton rouge qui change toutMais ça a donc duré 10 minutes. Seulement. Dix minutes, douche comprise, même, pour Moala, après que l’ancien Corrézien a découpé le genou de Pieterse sur un ruck, envoyant l’Isérois à l’infirmerie et lui-même devant la commission de discipline qui ne devrait pas être tendre avec lui pour ce carton rouge logique qui a précipité les Cantaliens dans l’abîme alors qu’ils menaient (0-7) depuis la première minute et un essai de Loughnane sur maul.
Aurillac avait parfaitement entamé ce match et l’a donc sabordé aussitôt. Et Grenoble égalisait sur un essai de Romain Trouilloud. C’était difficile à 14, ça allait devenir impossible à 13 et encore plus à 12 quand le Stade encaissait deux essais de pénalité et autant de jaunes pour Salvan et Bevia. On avait à peine passé le premier quart d’heure que le match était fini (17e, 21-7).
Le FCG s’amuse et atomise un Stade K.-O. deboutGrenoble était parti pour un cavalier seul et enfilait les essais comme des perles. Il s’en fallait même de peu pour que la barre des 50 pions dans la musette ne soit atteinte à la pause. Et encore, c’est surtout parce que Mme Groizeleau fit preuve d’un instant de mansuétude et de clémence en sifflant la mi-temps quelques secondes avant le terme, tandis que Loughnane était K.-O. au sol dans ses 22 mètres.
C’est en réalité tout Aurillac qui était sonné, et depuis belle lurette. Le calvaire reprenait de la même manière dès le retour des vestiaires, quand Mouton, puis Hulleu - sur un doublé - portaient le nombre d’essais isérois à… 10.
Un improbable moment à 15 contre 15 suivi d'une supériorité numériqueC’était long. Et même pas vraiment plaisant tant l’écart était abyssal. Et ce n’est pas les 30 secondes qu’Aurillac passait à 15 contre 15 (à la faveur d’un double changement cantalien, Nonkontwana oubliait de sortir, et restait ainsi sur le pré quand son remplaçant Backhouse jouait également) ni la fin de partie à 14 contre 14 - après un rouge pour Holt sur un plaquage haut - puis 14 contre 13 (jaune pour Soury), qui pouvait y changer quoi que ce soit.
Enfin si, sur le plan comptable, Perrin pouvait soigner ses statistiques avec son 3e essai de la saison (68-14) mais c’était une trop faible étoile dans la nuit glaciale de Grenoble. Une nuit encore percée d’un éclair avec un 11e essai signé Sirgel (75-14). La saison d’Aurillac ne se jouait pas là, mais il va falloir digérer cette déroute historique.
A Grenoble, Jean-Paul Cohade
En avant match difficile de tabler sur une telle déculottée , même si à part d'être aveugle il existe actuellement un fossé entre ces deux formations , l 'une qui lutte pour son maintien et l 'autre candidat crédible à la montée en top 14 qui devrait être actée normalement en juin prochain !
A 14 contre 15 à Grenoble que vouliez -vous qu'ils fassent à part colmater les brèches à la sauve qui peut sur le radeau de la méduse.
A Jean Alric ils existent dans la boue et les frimas du Lioran sur les valeurs séculaires de ce sport avec vaillance mais on voit bien que quand les écuries du haut de panier se mettent à envoyer du jeu malgré une vaillance admirable , ils sont vite dépassés , avec en point de mire cette foutue place de barragiste !
- Babé03 likes this
1 user(s) are reading this topic
0 members, 1 guests, 0 anonymous users