Ooooooooh
Le vendredi 2 octobre (ça rime avec opprobre) marquera d'une pierre bleue et blanche la fin de l'ascension irrésistible au classement du Stade Français Paris Rugby, club glorieux mais maudit ! Cédant sous les coups de boutoir répétés d'un Aviron transcendé par l'odeur du sang et conforté par un arbitrage à sens unique (Car d'ona.), le Stade Français, soldat sans armure, verra le score s'aggraver irrémédiablement, poil aux dents !
Lors de la conférence de presse d'après-match, Gonzalo, le romantique, le doux, le charmant ne pourra que s'incliner devant la force basque. Des moutons viendront brouter notre pelouse désormais inutile, des pottoks empliront les pistes cyclables d'une capitale livrée aux fantasmes d'Hidaldingue.
Dans l'cul la balayette, dans l'cul, dans l'cul, dans l'cul.