Serait la véritable expression d'après les dires des spécialistes culinaires de la télévision ( débat au sujet de la chanson de Jo DASSIN )
C'est en zone chocolatine qu'il y a le plus de champions d'Europe. J'dis ça, j'dis rien
Posted 24 September 2022 - 13:59 PM
Serait la véritable expression d'après les dires des spécialistes culinaires de la télévision ( débat au sujet de la chanson de Jo DASSIN )
C'est en zone chocolatine qu'il y a le plus de champions d'Europe. J'dis ça, j'dis rien
Posted 25 September 2022 - 08:53 AM
C'est en zone chocolatine qu'il y a le plus de champions d'Europe. J'dis ça, j'dis rien
Exact, puisque la "déformation" grammaticale vient d'Occitanie !
Posted 31 October 2022 - 20:55 PM
À peine arrivé, au coeur de l'été, au centre de performance de son sponsor Under Armour, Maro Itoje est resté fidèle à lui-même, intéressé par les détails et curieux de tout, comme du nom des athlètes l'ayant précédé dans ces couloirs à Portland, Oregon, sur la côte ouest des États-Unis. Il y a peu, Stephen Curry, le meneur NBA, est passé par là, mais ce n'est pas pour cela qu'il est venu. « On fait un camp d'entraînement avant la reprise, détaillait Itoje, très pointilleux sur la nutrition et son poids. Et je découvre plein de choses ! Sur la respiration, la visualisation et aussi des technologiques pour la récupération, comme les infrarouges. » Entre deux séances, le géant des Saracens, 28 ans, s'est posé pour évoquer ce qui fait l'essence de sa personnalité.
« On parle beaucoup de l'athlète que vous êtes devenu et de ce que vous faites en dehors du terrain. Est-ce que le garçon que vous étiez pouvait l'imaginer ?
Je ne sais pas ce qu'il penserait, mais j'imagine qu'il serait plutôt content. Mais peut-être qu'il se dirait totalement autre chose (rires.) Être critique ou râleur. Parce qu'à ses yeux, ça pourrait être mieux. Il pourrait s'imaginer une grande maison sur les hauteurs de Los Angeles ou sur un lac. Mais j'adore ma vie ! Je suis un homme heureux et chanceux. J'ai tout ce qu'il faut autour de moi. Une belle famille, des amis formidables. Et je joue pour de magnifiques équipes.
Et le grand "vous", lui, dirait quoi ?
Pas grand-chose. On construit nos vies par les expériences que l'on a. S'il fallait qu'il recommence comme bon lui semble, alors qu'il le fasse. C'est la beauté de la vie, et il n'y a pas de moment plus important qu'un autre. Chaque période compte à sa manière. Je dirais que mes premières années, ç'a été plutôt... informatif. Grâce à mes proches, j'ai eu accès à beaucoup de choses. Et quand j'ai commencé dans le rugby, pareil. À chaque étape, vous rencontrez des gens différents. Mes entraîneurs en centre de formation ont été importants pour celui que je suis aujourd'hui. Comme mes oncles et tantes. Tout le monde a contribué à celui que je suis.
« J'aime cette sensation de grandir, repousser les limites et sentir que je fais partie du gratin
Maro Itoje
Vous étiez très différent, enfant ?
J'aime bien penser que non. Que ce que j'ai au plus profond de moi n'a pas changé. Je reste le même et, au fil des années, j'ai toujours tenu à garder l'essentiel. J'y tiens beaucoup.
Qu'est-ce que vous cherchez le plus, désormais ?
L'amélioration. J'aime cette sensation de grandir, repousser les limites et sentir que je fais partie du gratin. Je veux être dans les équipes qui dominent et qui, chaque saison, peuvent faire la course pour un titre. Je suis bien loti avec les Saracens, l'Angleterre et les Lions. Être parmi les meilleurs joueurs du monde, ça me plaît.
Et votre bonheur découle de cela ?
Naturellement. C'est la substance même de l'existence : sentir qu'on arrive à accomplir quelque chose. Si ce que tu fais ne t'amène pas vers cela, en quoi y a-t-il du sens à le faire ? J'essaie d'avoir un bon équilibre. Ça doit se faire en harmonie avec ma carrière et c'est une grande partie de ma vie de la chercher. Certains, peut-être, considèrent peu ces choses-là, mais je crois que ça évolue. Nos sociétés avancent sur ces questions : la santé mentale ; le bonheur lié à ce que l'on fait ; s'en satisfaire. On le valorise davantage. L'humain, dans sa nature, va chercher le succès, mais si c'est quelque chose qui vous rend malheureux, ça ne fait plus sens.
Vous rêvez de la même manière qu'au début de votre carrière ?
Mes aspirations ont changé. Ça dépend du stade où vous vous trouvez. Quand j'avais 17 ans, mon objectif était juste d'être professionnel avec les Saracens. Mais à chaque fois que tu arrives au sommet de la montagne, une autre se présente. Ç'a été ensuite être titulaire aux Saracens, puis l'Angleterre, puis gagner avec cette équipe. Et même là, il y a encore des choses à faire. Tu veux intégrer les Lions. Le passé est très vite oublié. Il y a toujours un nouvel Everest à gravir. C'est précisément le jour où tu crois que tu es arrivé que tu entames la descente...
« Mon but ultime, c'est d'avoir une influence positive sur ceux que je croise
Ces sommets sportifs vous ont aussi permis de construire autre chose.
J'ai toujours été très ouvert d'esprit et curieux. Ça me nourrit. Je pose des questions, j'imagine d'autres éventualités, je retourne les problèmes. Je ne veux pas trop penser, non plus, mais on ne se refait pas... Je suis un penseur. Beaucoup de choses me passent par la tête et j'aime planifier ma vie. Je suis guidé par une passion et l'idée de faire ce que j'aime.
C'est un avis assez partagé : en ayant mis sur la table des thèmes comme la diversité dans le sport, vous resterez une référence.
Et j'apprécie cela. C'est sympa à entendre. Mais ce n'est pas quelque chose que je cherche nécessairement. Mon but ultime, c'est d'avoir une influence positive sur ceux que je croise. Si tous ceux qui me voient jouer et m'entourent en tirent quelque chose de positif, ça sera déjà bien.
Comment aimeriez-vous que le monde extérieur vous perçoive ?
Comme un individu multi-face. Je fais plein de choses, j'ai plusieurs quêtes et centres d'intérêts. La plupart des gens me connaissent pour le rugby, et c'est normal, mais il y a plus que ça ! Aujourd'hui, il est plus accepté que tu ne te concentres pas seulement sur le sport. Les sportifs, en général, s'expriment plus, et le rugby est plus ouvert. On dépasse notre condition et je trouve ça bien. Et si ça permet à certains de se sentir mieux, il faut continuer.
Qui vous inspire ?
J'ai plein de références. Dont plein de Français ! Thierry Henry, Patrick Vieira (il est fan d'Arsenal)... Mohammed Ali, Michael Jordan, Bill Russell... Au-delà des personnalités, il y a la démarche. J'aime les gens qui arrivent à atteindre des niveaux jamais vus auparavant. Mais les gens m'intéressent, en général. Ce qui est cool sur cette planète, c'est la diversité de personnes et les différentes quêtes et passions qui les animent. Tout le monde poursuit un but différent. C'est fascinant. J'aime cette variété chez l'être humain. Certains arrivent à exceller dans des domaines uniques. Même ceux qui n'y arrivent pas sont intéressants. Il n'y a pas forcément besoin d'être spécial.
« La seule chose qui compte, c'est la finalité. Il n'y a que ça qui m'intéresse. J'accorde assez peu d'importance à la manière de gagner. »
Et en tant qu'athlète, comment vous vous définiriez ?
(Il réfléchit.) Je dirais que je suis un athlète plutôt... athlétique et développé. Je suis assez constant dans le volume de jeu, de travail, de puissance, d'énergie, ce qui est astreignant, car le rugby l'est. On nous demande beaucoup. L'an dernier, j'ai joué 27 matches, en majorité 80 minutes, sans compter tout le reste. Avec une tonne de contacts. Le rugby met nos corps à l'épreuve. Mais c'est comme ça ! Le mien est en bonne santé et je fais les choses pour. Parfois, lorsqu'on déconnecte, il y a des semaines où on se sent mal. J'ai le corps qui grince. Il faut donc le chouchouter pour, le moment venu, le mettre au service de l'équipe. Dans la tête, je vais bien aussi. J'ai eu une commotion cet été, mais ça va. Je peux remettre de l'intensité.
À quel point vous prenez soin de cela ?
Je fais de mon mieux car le cerveau est notre meilleur actif. Je vois tout ce qui peut arriver en post-carrière. Le rugby est une grande part de ma vie mais il y en aura une autre que j'espère plus longue. Le cerveau doit être en forme, et ça passe par plusieurs choses. Déjà, la technique, car c'est la chose primordiale. Plaquer correctement, et pas que pour soi, aussi pour l'adversaire. Et j'essaie de suivre les conseils des spécialistes. On a également besoin de moments off. Mon travail, c'est de savoir quand je dois travailler et me reposer et puis quand je peux étudier ou m'amuser. Et, parfois, on a du temps pour voyager et faire la fête. Je dois me fixer des priorités. Il y a un temps pour tout. L'après-carrière sera sûrement plus festive (rires).
Vous arrivez à un âge où l'équipe d'Angleterre se renouvelle. Le rôle de grand frère vous intéresse ?
J'ai de la chance d'être pro depuis un certain moment mais j'essaie juste d'aider comme je peux. Je ne force pas. C'est très informel. On ne s'assoit pas pour discuter de ceci ou cela. C'est plus débridé. Mais tout ce que je peux apporter de positif, je le ferai. C'est ma nature. Beaucoup de jeunes joueurs sont déjà très professionnels et savent dans quelle direction ils veulent aller.
La Coupe du monde approche et cela fera vingt ans que l'Angleterre a gagné celle de 2003. Ça serait quoi, pour vous, l'équivalent d'un drop en prolongation ?
Je crois que tant que l'Angleterre gagne, je n'en ai rien à faire ! (rires) Un pick and go, je prends... La seule chose qui compte, c'est la finalité. Il n'y a que ça qui m'intéresse. J'accorde assez peu d'importance à la manière de gagner, parce que ça ne se matérialise jamais pareil. Combien ai-je fait de matches dans ma carrière ? Plus de 200, non ? Aucun ne se ressemble. Je m'intéresse plus à la faculté d'adaptation d'une équipe qu'à son style.
Ce Mondial, c'est votre objectif numéro 1 ?
C'est une grosse opportunité. Ça sera une belle Coupe du monde. Il y a un top 5 des équipes mondiales et, la question, ça reste de savoir qui va tirer son épingle du jeu lors du grand rendez-vous. La France a des joueurs superbes, c'est une équipe très talentueuse. J'ai encore beaucoup à faire d'ici là, alors je ne perds pas trop de temps à imaginer l'éventualité que, peut-être, je peux la gagner. L'important, c'est ce qu'il y a devant moi aujourd'hui. Le jour venu, j'y penserai. Ça ne sera pas simple. Le rugby est ainsi fait. Et je ne m'attends pas à ce que, cette fois, ça soit différent... »
Posted 01 November 2022 - 09:36 AM
Posted 01 November 2022 - 09:45 AM
Quelqu un peut faire un résumé c'est trop long !
Posted 01 November 2022 - 09:48 AM
Quelqu un peut faire un résumé c'est trop long !
Posted 01 November 2022 - 09:51 AM
Quelqu un peut faire un résumé c'est trop long !
Posted 01 November 2022 - 09:52 AM
Il ne quittera pas les Saracens, l'Angleterre et les Lions pour venir à l'ASM. Dommage...
Voila comme ça c'est bien, merci, heureusement qu il y a les femmes
Posted 01 November 2022 - 12:21 PM
Voila comme ça c'est bien, merci, heureusement qu il y a les femmes
Posted 01 November 2022 - 22:49 PM
on disait des sudafs de 95-99 qu'ils étaient dopés. Je regarde certaines photos actuellement je me dis qu'il y a vraiment un pb dans ce pays niveau Rugby:
Ils n'ont mm pas l'air de contracter forcément. Ils ont l'air déformés. Des proportions anormales des bras par rapport au reste du corps.
Posted 04 November 2022 - 16:59 PM
Pour les intéresssés y aura le train de la CDM avec le trophée lundi 7 et mardi 8 Novembre 2022 en gare à clermont (enfin s'il arrive à l'heure et qu'il percute pas un sanglier sur la route)
Y a une expo dans le train
Posted 04 November 2022 - 19:52 PM
Pour les intéresssés y aura le train de la CDM avec le trophée lundi 7 et mardi 8 Novembre 2022 en gare à clermont (enfin s'il arrive à l'heure et qu'il percute pas un sanglier sur la route)
Y a une expo dans le train
accessible de 10h30 à 18h00... réservé aux retraités
Posted 04 November 2022 - 20:05 PM
on disait des sudafs de 95-99 qu'ils étaient dopés. Je regarde certaines photos actuellement je me dis qu'il y a vraiment un pb dans ce pays niveau Rugby:
Ils n'ont mm pas l'air de contracter forcément. Ils ont l'air déformés. Des proportions anormales des bras par rapport au reste du corps.
Posted 09 November 2022 - 11:43 AM
Le PNF ouvre une enquête sur l'organisation de la CM 2023.
Favoritisme, trafic d'influence, corruption entre autres.
Atcher dans le viseur.
Posted 09 November 2022 - 11:49 AM
Le PNF ouvre une enquête sur l'organisation de la CM 2023.
Favoritisme, trafic d'influence, corruption entre autres.
Atcher dans le viseur.
Oooooooooh noooooooon !? mais dites moi pas qu'c'est pas vrai ? Les pooooooooooovres, on fait tout pour leur mettre des bâtons dans les roues, des bénévoles, dévoués corps et âmes au rugby amateur de nos campagnes, les valeurs, l'entraide, le respect, non ça c'est pas bien
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