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Coupe du Monde de rugby avant tout 2023


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#151 el landeno

el landeno

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Posté 10 novembre 2022 - 22:01

Marcus Smith : « Fier d'être anglais et fier d'être philippin » Le jeune et très en vue demi d'ouverture du quinze de la Rose s'est construit entre l'Asie et l'Angleterre. Né à Manille, éduqué à Singapour, incubé à Brighton, façonné à Londres, il se raconte.

Dans un parc de la grande banlieue de Londres, Marcus Smith, 23 ans, trempe les lèvres dans son café brûlant et tâte le terrain. « C'est Benzema, le Ballon d'Or ? Je sais qu'il a gagné, c'est bon... » Le gamin de Brighton, au sud de l'Angleterre, aime le foot et n'est pas rancunier. Le monde du ballon rond ne lui trouvait aucun grand talent mais ça ne l'empêche pas de suivre, surtout Brighton, assidûment. « On vient de perdre Graham Potter, mais on a recruté un bon manager (Roberto De Zerbi). Je suis confiant. » C'est cependant de rugby qu'on était venu parler, de son histoire, son jeu fantasque et son ascension expresse. Le plus jeune joueur de Premiership à avoir jouer 100 matches compte déjà un titre de champion avec les Harlequins (2021), 14 sélections et une tournée avec les Lions. L'Angleterre, qui vient de trébucher à Twickenham contre l'Argentine (29-30), cherche à se renouveler et ne parle que de lui. Le café est terminé. Il n'avait pas la réponse à sa question ; mais il donna réponse aux nôtres.

 
 
 

 

Nous sommes dans un endroit tranquille, aux antipodes du rythme de vos deux dernières années...
Ç'a été vraiment un changement brutal mais c'est ce que je voulais depuis tout petit. Il y a eu le titre avec mon club de toujours, puis l'Angleterre et les Lions. C'est arrivé en quelques semaines. Je veux continuer sur ce chemin. J'aime ce sport, les gens que je croise. Je travaille avec des références comme Eddie Jones et j'apprends énormément. Ça m'a permis de me régénérer aussi. On n'est jamais préparé à cela. J'avais l'impression que chaque nuit, quelque chose allait changer.

À quel point apprenez-vous sur vous-même ?
Énormément ! Notamment sur le rapport au succès. Tout va si vite qu'on ne peut pas s'éterniser, même sur les victoires personnelles. Quand je suis arrivé au camp d'entraînement de l'Angleterre, j'ai été lancé dans le grand bain tout de suite. Ça ne veut pas dire qu'on ne profite pas non plus. J'ai hâte de la suite, ça m'excite que ce ne soit que le commencement.

 
 

Parlons de vos origines, en Asie.
Je suis né aux Philippines, le pays de ma mère. Mes parents se sont rencontrés à Hongkong. J'ai eu une enfance très particulière, mais, pour rien au monde, je ne la changerai. J'ai vécu aux Philippines sept, huit ans, avec beaucoup de temps passé dehors. J'ai deux frères et notre mère ne cessait de nous pousser à faire plein de choses. Notre père était plus sportif. Ensuite, on a déménagé à Singapour. C'est là-bas que je suis tombé amoureux du rugby et du football. Ce sont des souvenirs merveilleux, à jouer autour de barbecues interminables. Les parents, eux, s'enfilaient bien trop de boissons et de grillades... (Rires.) Et nous, on jouait, riait, courait. J'ai commencé le rugby là-bas, au Centaurs Rugby Club. J'avais 13 ans lorsqu'on a déménagé en Angleterre. J'y ai repris le rugby directement.

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Malgré sa petite taille, 1,75 m, le demi d'ouverture anglais possède un style incisif, agressif, aime porter le ballon et venir au soutien. (Alex Davidson/The RFU Collection via Getty Images)

Maman a définitivement fait une croix sur l'idée des nouveaux Jonas Brothers (groupe de pop américain), avec vos frères ?
(Il sourit.) Elle vient juste d'arrêter, je crois... On formera ce groupe quand on sera plus vieux ! On est très proches avec mes frères. Ils m'aident beaucoup. Je profite de leurs retours honnêtes. Ma mère est la personne la plus motivante que j'ai eue. Elle passe son temps à me challenger. Mon père, lui, a passé tant d'heures avec moi sur le terrain... Sans eux et mes frères, on ne serait pas en train de parler.

Avoir été cet enfant voyageur, en quoi cela vous a-t-il construit ?
Socialement, déjà, car il fallait s'adapter. Ça m'a donné des facilités pour communiquer et le goût du travail collectif. Dans le sport, j'ai rencontré des gens de partout. D'Afrique du Sud, de Nouvelle-Zélande, d'Australie... Mon père faisait partie d'une équipe d'expatriés et nous, les enfants, tous différents, on essayait juste de faire un truc cool ensemble. Les Centaurs m'ont permis de jouer dans plein d'endroits, comme l'Australie ou la Malaisie. J'allais beaucoup à Hongkong pour le tournoi de rugby à 7 également. Quand tu as 12 ans, tous ces voyages changent ta vie. J'adorais ça. Et ça dépassait le rugby. Dès qu'il y avait un gros match à la télé, tout le monde se retrouvait autour d'un barbecue. J'ai le souvenir de week-ends entiers à regarder du sport.

« Je me souviens d'un truc assez fou pour un demi d'ouverture : lors de mon premier match pro, je n'ai pas tapé une seule fois au pied »

Marcus Smith

 
 
 

Cette double culture, c'est très important ?
À 100 %. Je suis anglais, fier de l'être. Et philippin, fier de l'être. J'espère pouvoir en apprendre la langue un jour. Pour l'instant, je la comprends seulement. Luc, mon frère, joue pour les Philippines, avec l'équipe nationale de rugby à 7. J'aimerais beaucoup y retourner, l'encourager, revoir ma famille. Ça fait partie de moi et j'adore ce pays. Un jour, j'y passerai du temps. C'est certain. J'ai le soleil philippin tatoué sur le bras. Avec la fleur préférée de ma mère, le lys, les initiales de ma famille et mon verset favori de la Bible. Et le dernier en date, sur le poignet, ce sont mes numéros de capé avec l'Angleterre et les Lions. Mes numéros pour la vie.

Avoir grandi ailleurs, ça induit d'autres références ?
J'ai adoré suivre Manny Pacquiao, comme tous les Philippins. J'ai tout aimé de lui : comment il a accédé au sommet de la boxe en venant d'où il vient ; et ce qu'il essaye de faire pour élever le pays et le sport. C'est un modèle. Dans le rugby, ç'a été Jonny Wilkinson. Le pro ultime. J'ai de la chance de l'avoir comme entraîneur spécifique avec l'Angleterre aujourd'hui.

Vous êtes aussi touche-à-tout, si on en croit vos proches. Cela a façonné le joueur que vous êtes ?
Je voulais être footballeur et j'en ai gardé quelques trucs. Sur la manière de sentir les espaces, comprendre là où tu te situes, si tu as du temps ou non... Mes premiers jeux au pied, aussi. Il faut que je continue à bosser sur ça ! J'ai pas mal joué au cricket. Mais le foot a été mon truc longtemps. À l'adolescence, j'ai fait des tests avec Tottenham. Mais je n'étais pas assez bon. Je me souviens du trajet retour jusqu'à Brighton. Ma mère était aux États-Unis, j'ai passé deux heures à pleurer au téléphone en lui disant que j'étais nul. Ça m'a donné du caractère et l'envie d'y arriver. Ça m'a ouvert les yeux sur ce qu'était le sport. J'ai ensuite eu un essai avec les Harlequins et j'ai délaissé le foot. Au grand désarroi de ma mère !

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Marcus Smith (Stéphane Mantey/L'Équipe)

Comment définieriez-vous votre jeu ?
Je suis assez tranquille et j'aime m'exprimer, avoir le ballon et m'amuser pendant les matches. C'est le moment de la semaine qui t'appartient. Mon mantra, c'est de jouer avec le sourire et être moi-même. J'ai changé, tout de même. Je me souviens d'un truc assez fou pour un demi d'ouverture : lors de mon premier match pro, je n'ai pas tapé une seule fois au pied. J'ai beaucoup progressé sur la gestion des matches et la conduite du jeu. Je le comprends mieux. Je regarde beaucoup de rugby, pas mal de rugby à XIII aussi. Quelque chose ne changera jamais, cependant, je veux jouer comme l'écolier que j'étais. C'est mon seul moyen de livrer ce que j'ai de meilleur.

Vous parlez beaucoup de plaisir. Le rugby l'oublie-t-il parfois ?
On ne se marrait pas beaucoup avant. Désormais, plein de personnalités émergent. Il y a plus de place pour être soi-même. Ça ne m'empêche pas de respecter les personnalités plus solitaires, mais, moi, je dois être joyeux pour être performant. Dans un vestiaire, tu peux t'exprimer plus librement. Ça ne dépend pas de l'âge ou du nombre de capes. On valorise les opinions, peu importe la génération. Je crois d'ailleurs qu'on a une responsabilité, en tant que joueur, d'améliorer ce sport. Il y a des projets, menés par les joueurs, qui permettent de s'ouvrir et ça fait du rugby un sport meilleur. Surtout en cette période où plusieurs clubs anglais font faillite.

« J'ai toujours voulu porter le numéro 10. Ça me gonflait un peu, le 9... . Regardez votre Antoine Dupont ! »

Marcus Smith

 
 
 

Vous avez déjà joué ailleurs qu'à l'ouverture ?
Un peu à la mêlée. Mais j'ai toujours voulu porter le numéro 10. Ça me gonflait un peu, le 9... Mais c'est un poste qui a évolué, où tu peux influer beaucoup plus sur le sort des rencontres. Regardez votre Antoine Dupont ! C'est le gars du moment.

Nick Evans, l'un de vos entraîneurs, dit de vous que vous n'avez jamais peur quand se présentent les moments qui comptent.
J'aime la pression. Alors, bien sûr, il faut « lire » ces moments et les comprendre, mais j'aime cette sensation. Ça rend les gens différemment heureux lorsque ça tourne bien. Je me souviens que mon père, qui est un Anglais très fier, est devenu fou lors du drop de Jonny Wilkinson lors de la finale 2003. Je pense qu'il a tellement crié que ç'a fait le tour des Philippines. Ça m'a marqué. Il m'a montré la vidéo pendant des années. J'aimais aussi regarder les grands matches de football. Je voulais être ce genre de sportifs, faire comme eux.

Vous vous sentez différent des autres ?
Je ne sais pas. Juste reconnaissant d'avoir un talent pour le rugby. Mais c'est du boulot. Je fais très attention à ma préparation. Ce qui ne m'empêche pas de manger mon Ben & Jerry's de temps en temps. (Rires.) Mais je bosse beaucoup, oui. Avec tout ça, je peux partir sur le terrain et profiter. C'est l'endroit où je me sens libre. J'y ai ma routine aussi, de visualisation, vérifier les coins, les angles, le vent, la pelouse au niveau du coup d'envoi. Ça me permet de me parler et de ressentir l'atmosphère avant les matches. C'est le premier et peut-être le seul moment où je ressens un noeud à l'estomac.

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Le 16 juillet dernier à Sydney, Marcus Smith inscrivait contre l'Australie (succès 21-17) son cinquième essai international avec l'Angleterre. (Steven Markham/Icon Sportswire via Getty Images)

Quelle est votre routine quotidienne ?
Je suis debout vers 7 h 30. Je prends mon petit déjeuner, des oeufs brouillés, un bagel, un shot au gingembre. Ce n'est pas très bon. (Rires.) J'arrive au club un peu avant 8 h 30 et on commence avec une réunion. Le matin, c'est vidéo, muscu et l'après-midi, rugby terrain. Vers 15 heures, je suis libre. Je fais un tour au spa plusieurs fois par semaine et puis je me repose, tout simplement. J'essaye de prendre du temps pour moi. Préparer le dîner, jouer à FIFA, regarder des séries, voir Brighton jouer... En dehors, je pratique un peu de golf et j'essaye de reprendre les bases à la guitare. Et ma grand-mère, qui parle français, me pousse à l'apprendre. J'ai téléchargé une appli rien que pour ça, mais ça n'est pas gagné !

Certains pensent que vous avez plus de French Flair que d'Angleterre en vous...
(Il se marre.) J'ai beaucoup regardé des numéros 10 français. J'adorais « Freddie » Michalak. Il s'exprimait vraiment. J'aimais son style et son calme sous pression. Aujourd'hui, j'aime voir jouer vos numéros 10. Ntamack, Jalibert... Carbonel, aussi. On a tous à peu près le même âge. Ils savent tout faire et avec un style propre à chacun. C'est ce que j'aime. Et ce sont de bons gars, en plus. On a échangé quelques maillots.

Comment analysez-vous votre évolution avec l'Angleterre ?
J'étais un apprenti quand je suis arrivé. Les gens m'ont accordé du temps. J'en ai passé beaucoup avec George Ford, Owen Farrell, Danny Cipriani... Des gars que j'admire. Cette équipe a beaucoup gagné et c'est formateur. Ça se passe bien depuis. Ma première cape, il n'y avait que 10 000 personnes mais il y avait tous mes proches, c'était formidable. Et la première avec le public... Wow. Le stade qui chante le Swing Low Sweet Chariot, c'est quelque chose. Je me sens à la maison à Twickenham. Il faut maintenant que j'arrive à progresser encore plus. Notamment sur mon leadership.

La Coupe du monde qui approche, ça vous inspire quoi ?
On entre dans une année excitante. Croisons les doigts pour que ça aille. Ça sera la première pour moi. Ça ne sera pas très loin de la maison, on devrait avoir du soutien. J'espère en être et qu'on pourra célébrer. On veut la gagner. Pas mal de joueurs ont en travers de la gorge la dernière finale, alors ils veulent faire mieux. C'est pareil pour moi.

 


#152 Gourine63

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Posté 11 novembre 2022 - 12:52

Mais qu'il est moche.

#153 Buckaroo

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Posté 11 novembre 2022 - 13:35

Moitié moche.



#154 RCV06

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Posté 11 novembre 2022 - 13:49

Mais qu'il est moche.

C'est pas le frére d'Aymeric B)
 



#155 Bon Chasseur

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Posté 11 novembre 2022 - 14:26

Moitié moche.

Dépendant de ce que tu veux dire, ce message pourrait être soit une bonne vanne, soit moralement impardonnable (pour le grand public) :D



#156 Alex chocolatines

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Posté 11 novembre 2022 - 15:32

Mais qu'il est moche.

Mais pourquoi les dix Anglais sont ils si moches ? 


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#157 Gourine63

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Posté 11 novembre 2022 - 16:24

Mais pourquoi les dix Anglais sont ils si moches ? 


La réponse est dans la question.

#158 Buckaroo

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Posté 11 novembre 2022 - 16:26

Mais pourquoi les dix Anglais sont ils si moches ? 

Les 10 ? J'aurais dit les 23 personnellement.


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#159 ELSAZOAM

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Posté 11 novembre 2022 - 16:33

Mais pourquoi les dix Anglais sont ils si moches ? 

Ces Anglais, quels grands moches...   ^_^


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#160 Gourine63

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Posté 11 novembre 2022 - 17:01

Les 10 ? J'aurais dit les 23 personnellement.


Les 68 992 721.
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#161 RCV06

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Posté 11 novembre 2022 - 17:05

Mais pourquoi les dix Anglais sont ils si moches

Pléonasme !



#162 Alex chocolatines

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Posté 11 novembre 2022 - 17:13

Pléonasme !

Pléonasme c'est pas un truc avec de l'argile ou de la moutarde que certains utilisent contre les douleur ?  ^_^



#163 RCV06

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Posté 11 novembre 2022 - 17:15

Pléonasme c'est pas un truc avec de l'argile ou de la moutarde que certains utilisent contre les douleur ?  ^_^

Faut demander à ton pharmacien



#164 aymeric

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Posté 20 novembre 2022 - 12:20

POULE A
Nouvelle-Zélande : Lyon (Auvergne-Rhône-Alpes)
France : Rueil-Malmaison (Ile-de-France)
Italie : Bourgoin-Jallieu (Auvergne-Rhône-Alpes)
Uruguay : Avignon (Région Sud)
Namibie : Aix-les-Bains (Auvergne-Rhône-Alpes)

POULE B
Afrique du Sud : Toulon (Région Sud)
Irlande : Tours (Centre-Val de Loire)
Ecosse : Nice (Région Sud)
Tonga : Croissy-sur-Seine (Ile-de-France)
Roumanie : Libourne (Nouvelle-Aquitaine)

POULE C
Pays de Galles : Versailles (Ile-de-France)
Australie : Saint-Etienne (Auvergne-Rhône-Alpes)
Fidji : Lormont (Nouvelle-Aquitaine)
Géorgie : La Rochelle Ile de Ré (Nouvelle-Aquitaine)
Vainqueur du tournoi final : Annoncé prochainement

POULE D
Angleterre : Le Touquet-Paris-Plage (Hauts-de-France)
Japon : Toulouse (Occitanie)
Argentine : La Baule-Escoublac (Pays de la Loire)
Samoa : Montpellier (Occitanie)
Chili : Perros-Guirec (Bretagne)


Voilà les camps de base.

#165 Arverne03

Arverne03

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Posté 20 novembre 2022 - 14:01

Merci pour ce tableau complet ! 






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