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69 réponses à ce sujet

#61 AurélienASM

AurélienASM

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Posté 22 mai 2005 - 16:56

et merde!!!!!!!!!!!!

#62 coincoin

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Posté 22 mai 2005 - 16:58

si tu fais les efforts c'est dabord dans la tête



:D :D :D t'en a bien besoin toi de faire des effort avec ta tete :D :D :D


bon c'est vraiment faible quand meme.......meme pas un essai.........on devrai faire une regle ou l'equipe qui n'a pas mis d'essai ne peut pas gagner si l'equipe adverse en a mis au moins 1

#63 AurélienASM

AurélienASM

    Champion du Monde

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Posté 22 mai 2005 - 17:06

putain drop de l'autre michakalak de m.........

#64 pgv

pgv

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Posté 22 mai 2005 - 17:18

font chier ces toulousains...

tant pis.

angry

#65 AurélienASM

AurélienASM

    Champion du Monde

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Posté 22 mai 2005 - 17:19

font chier ces toulousains...

tant pis.

angry

oui ils font chier!!!!!!!!!!

#66 Stella

Stella

    Champion d'Europe

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Posté 22 mai 2005 - 17:22

,dimanche 22 mai 2005, 18:06]putain drop de l'autre michakalak de m.........

Michou il avait la larmichette a la fin le pauvre c'est l'émotion et puis il a été élu HOMME DU MATCH


w00t w00t :blink: :blink:
il les paye avant non? :blink:

#67 TITUS

TITUS

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Posté 22 mai 2005 - 19:46

TOULOUSE RESTE LE MAÎTRE
Par Aymeric MARCHAL

Le Stade Toulousain remporte sa troisième Coupe d'Europe en battant le Stade Français après prolongation (18-12), au terme d'un match fermé et crispant. Toulouse s'impose à l'expérience devant des Parisiens qui n'ont pas grand chose à regretter, tant le match s'est joué sur peu de choses.


Un match fermé, comme prévu

Qu'il est loin le festival offensif observé au Parc des Princes il y a trois semaines lors de la 26e journée du Top 16 (victoire du Stade Français 40-16). On ne s'attendait évidemment pas à une rencontre aussi ouverte et aussi spectaculaire, mais les deux Stades nous auront offert en deux matches les deux faces du rugby moderne. Après le hourra rugby, le rugby de tranchées. Comme prévu, la guerre des nerfs débute avant le match avec la composition des équipes. Côté Toulousain, le feuilleton Michalak prend fin et le secret de polichinelle est enfin dévoilé : il tiendra bien sa place à l'ouverture. Le troisième ligne Jean Bouilhou, l'un des meilleurs pourvoyeurs de ballons en touche, est laissé sur le banc au profit de Trevor Brennan, afin de contrer le solide pack parisien dans les phases de conquête. Au Stade Français, la surprise vient de la première ligne où Sylvain Marconnet, sans doute le meilleur pilier du monde actuellement, est laissé sur le banc de touche.

Adriana Karembeu a bien essayé de détendre l'atmosphère en donnant le coup d'envoi du match, mais le combat s'annonce âpre. Toulouse essaie de dynamiser d'entrée avec une première occasion d'essai pour Gareth Thomas suite à une passe au pied de Michalak, mais le capitaine du XV de Galles est poussé en touche. Les deux équipes s'observent, la tension est palpable, les défenses sont très bien organisées, et les espaces inexistants. David Skrela ouvre le score sur pénalité à la douzième minute, mais comme souvent, l'enjeu semble primer sur le jeu. Les Parisiens jouent plus haut, sont plus agressifs en défense et poussent leurs adversaires à la faute, ce qui permet à Skrela de doubler le score à la 15e.

A ce jeu de gagne terrain, voire de gagne petit, aucune des deux formations ne parvient à déséquilibrer l'adversaire, mais le champion de France se montre plus organisé et plus efficace. Jauzion puis Liebenberg tentent bien de faire sauter le verrou adverse, mais à chaque fois la défense se met à la faute, et Elissalde puis Skrela portent le score à 12-6 à la demi-heure de jeu. A la pause, on n'en sait pas beaucoup plus sur l'identité du futur champion d'Europe. La première période n'a en tout cas pas été brillante, avec peu de jeu, beaucoup de fautes de main, une grande fébrilité, bref, beaucoup d'ennui.



Le Stade Français tient bon

Incapable jusque-là de lancer son jeu en mouvement, Toulouse revient sur la pelouse avec de meilleures intentions en mettant la pression au près afin de créer des espaces au large. Fabien Pelous quitte ses coéquipiers touché au genou, mais la dynamique rouge et noir n'est pas enrayée. Le match s'emballe enfin un peu, avec des envolées de Clerc ou de Jauzion, mais la défense parisienne ne craque pas, même si elle doit pour cela se mettre à la faute. Elissalde enquille une nouvelle pénalité et Toulouse revient à 12-9 (51e). Guy Novès et Fabien Galthié commencent alors leur coaching, avec les entrées entres autres de Human, Brouzet ou Marconnet.

Toulouse reste dominateur dans cette seconde période, mais ne concrétise pas sa maîtrise du ballon et du terrain. Jauzion est partout et multiplie les actions personnelles, perforant le rideau défensif adverse à plusieurs reprises. Le Stade Français ne s'affole pas et continue à bien défendre. La rencontre monte en intensité au fur et à mesure que le chrono s'égrène. Le bal des remplacements n'y change rien, et à 10 minutes de la fin du match, l'écart n'est que de trois points, la fin de match s'annonce haletante. Toulouse n'arrive pas à marquer, le suspense devient étouffant, et on aborde les arrêts de jeu avec trois petits points d'écart. Le match va devenir complètement fou, enfin. A défaut de vibrer grâce au niveau de jeu, on tremble devant le suspense. On joue depuis six minutes les arrêts de jeu lorsque Toulouse jette ses dernières forces dans une offensive désespérée. Le Stade Français se met à la faute et Michalak offre l'égalisation à Toulouse. Comme en 1995 entre Toulouse déjà, et Cardiff, la finale d'une Coupe d'Europe se jouera en prolongation.



Toulouse à l'expérience

La prolongation démarre en fanfare pour Toulouse, dans la bonne dynamique depuis l'égalisation. Isitolo Maka puis Yannick Jauzion, énorme tout au long du match, percent le premier rideau, et Michalak marque une nouvelle pénalité pour permettre à Toulouse de mener au score pour la première fois du match, au meilleur moment(15-12, 82e). David Skrela rate lui une pénalité, et Toulouse semble petit à petit mettre la main sur le match alors que le Stade Français est abattu. L'expérience des Rouge et noir fait alors la différence, et Dubois fait admirer son jeu au pied pour cantonner les Parisiens dans leur camp.

La seconde période des prolongations confirme cette impression, et les Haut-Garonnais ne lâchent pas la pression face à un adversaire à la dérive. Frédéric Michalak marque un drop décisif sur la première action, et donne six points d'avance à Toulouse (18-12, 92e). Une pénalité en fin de temps règlementaire pour égaliser, puis une en début de première prolongation, un drop en début de seconde, Michalak vient tout simplement de crucifier le Stade Français, qui ne se relèvera pas. Le Stade Toulousain devient le premier club à remporter la Coupe d'Europe à trois reprises, le Stade Français échoue lui à nouveau en finale, comme en 2001. Les deux équipes auront peut-être l'occasion de nous offrir une revanche en Championnat de France
RETENIR
LES REACTIONS
Fabien Galthié (entraîneur du Stade Français) :
«A chaud, c'est un moment difficile, pour les joueurs, pour l'équipe. A la 75e minute, on menait de trois points, on était à 5 m de leur ligne. A la 80e, il y a égalité et prolongation. Peut-être on peut avoir des regrets, les cinq dernières minutes auraient pu être différentes. Mais je veux les féliciter, ils n'ont pas volé leur victoire, loin de là. Je ne pense pas qu'on ait refusé de jouer. Ils nous ont posé des problèmes et, psychologiquement, on s'est un peu recroquevillé. Ce n'était pas un grand match, de notre part, mais les finales parfois ça se débride, parfois pas. Eux ont su faire ce qu'il fallait. Cela se joue parfois sur des détails. On aurait pu faire mieux en première période, mais sur deux ou trois détails, on a été défectueux. Ils ont mieux su gérer les temps forts et concrétiser. Ils ont montré une cohésion plus forte et quelques joueurs nous ont fait mal, surtout un grand Yannick Jauzion.»

David Auradou (capitaine du Stade Français) :
«On a fait une bonne première mi-temps. Les deux équipes se regardaient un peu. La priorité était donnée à la défense, les deux équipes se connaissent bien. En seconde période, on a eu des temps forts, mais on ne concrétise pas. C'est frustrant, je pense qu'il y avait la place. Mais ils ont mieux défendu que nous leur ligne et ils ont aussi mieux géré la prolongation. C'est vrai que quand on est arrivé en prolongation, on a eu un peu l'impression d'avoir loupé quelque chose. Ils ont débuté avec enthousiasme et nous, on subit plus qu'autre chose. Le drop nous fait mal, ensuite, ça va vite.»

#68 TITUS

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Posté 22 mai 2005 - 19:47

Yannick JAUZION , trés fort sur toutes ses interventions a été le meilleur joueur sur le terrain .

#69 coincoin

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Posté 22 mai 2005 - 20:37

c vrai.....et l'oscar de la semaine est..........sawrzenski tiens donc

#70 epo03

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Posté 22 mai 2005 - 20:50

le match va se jouer sur la faute de derniere minute que va accorder l'arbitre .......

dans un match comme ca ou tout le monde attends les fautes des autres, l'arbitre detient le score pour lui tout seul......

Bien vu !! whistling