paris/asmca...
Débuté par
lancien
, mars 30 2009 19:52
24 réponses à ce sujet
#18
dungannon92
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Champion du Monde
Posté 03 avril 2009 - 13:04
Merci. J'ignorais que les joueurs étaient encore suivis par un préparateur mental. Sait-on si c'est un gars du coin ou un Néozed?
#19
obewan
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Equipe de France
Posté 03 avril 2009 - 14:27
Merci. J'ignorais que les joueurs étaient encore suivis par un préparateur mental. Sait-on si c'est un gars du coin ou un Néozed?
un Rased
#20
dungannon92
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Champion du Monde
Posté 03 avril 2009 - 14:35
Tant qu'il en reste, profitons-en...un Rased
#21
obewan
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Equipe de France
Posté 03 avril 2009 - 16:59
vaincre cette malédiction..... il faut ........................
quand je lis dans LM d'aujourd'hui qu'on est encore maudit............. et qui nous voit encore battu........ p
ca me donne les abeilles....... ou les frelons.... comme vous voulez
quand je lis dans LM d'aujourd'hui qu'on est encore maudit............. et qui nous voit encore battu........ p
ca me donne les abeilles....... ou les frelons.... comme vous voulez
#22
lancien
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Champion du Monde
Posté 03 avril 2009 - 17:33
restons zen, c' est pas la fin du monde, et qu' on ne nous voit pas gagnant on a l' habitude...ça changera bientotvaincre cette malédiction..... il faut ........................
quand je lis dans LM d'aujourd'hui qu'on est encore maudit............. et qui nous voit encore battu........ p
#23
Max-63
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Joueur de Fédérale 2
Posté 03 avril 2009 - 17:37
Moi aussi je me lève en pensant au titre et surtout à la fiesta qu'on pourrait faire place de Jaude 
#24
lancien
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Champion du Monde
Posté 03 avril 2009 - 17:54
Rugby - Top 14 - Les artilleurs sont là
[Hernandez blessé, c'est Lionel Beauxis qui se dressera sur la route de Brock James. (L'Equipe)]
Samedi, la 22e journée proposera un alléchant Stade Français-Clermont. Si les Parisiens vont tenter de s'imposer pour la première fois de la saison au Stade de France, les Clermontois doivent prendre des points pour écarter la menace briviste. Au delà des enjeux directs du match, il sera intéressant de se concentrer sur deux joueurs qui pourraient bien faire pencher la balance au dernier moment, Lionel Beauxis et Brock James, les deux ouvreurs. Deux artilleurs nés. Mais pas seulement.
C'est le pied
La qualité de leur jeu au pied est une des premières choses qui vient à l'esprit lorsque l'on évoque les deux joueurs. En effet, tant James que Beauxis sont de véritables artilleurs. Des machines à enquiller les points et à faire basculer un match au dernier moment. Cependant, même dans ce domaine, les différences sont notables. Si Lionel Beauxis dispose d'une force de frappe proprement impressionnante, capable de faire mouche de tous les coins du terrain, Brock James officie plus dans la mécanique de précision. Il vient d'ailleurs d'enchaîner une série de 41 tirs réussis et c'est son drop en fin de match qui permet à Clermont de repartir avec les points du nul de Montauban. Pour preuve, ce n'est pas lui qui prend les tirs de loin à Clermont. Là où Beauxis tente de canaliser son insouciance et cherche à plus visualiser son tir, James est depuis longtemps un adepte de la concentration d'avant tir. En revanche, tous deux savent occuper le terrain et offrir à leurs avants quelques plages de repos en trouvant des touches d'extra-terrestre.
Pas le même statut
Arrivés tous les deux lors de la saison 2006-2007 dans leur club respectif, Beauxis et James n'ont cependant pas connu le même parcours. James s'est rapidement imposé et est devenu un des joueurs les plus utilisés par Vern Cotter, «mais c'était facile pour moi car tout était nouveau. Un nouvel entraîneur, de nouvelles méthodes. Je me suis adapté naturellement», confie le toujours modeste James. Lionel Beauxis, tout auréolé d'un titre de champion du monde des moins de 21 ans, n'a pas tout de suite pris les commandes du jeu parisien. Tout d'abord son caractère discret ne l'y incitait pas. Et surtout, il arrivait en tant que troisième ouvreur, derrière David Skrela et Juan Martin Hernandez. En effet, le génial arrière argentin avait décidé que son futur s'écrirait à l'ouverture, mais c'est un autre débat. Skrela parti à Toulouse, Beauxis n'a pas pour autant gagné autant de temps de jeu qu'il aurait pu l'espérer. De plus, là où James affiche une santé de fer, Beauxis enchaîne les pépins. Avec une prédilection pour les adducteurs. Un problème récurrent depuis la Coupe du monde 2007, mais qui semble enfin être devenu de l'histoire ancienne.
James « cerveau de l'ASM »
Le dernier Tournoi a suffisamment stigmatisé ce défaut pour ne pas s'appesantir dessus mais Lionel Beauxis peine à prendre le jeu en charge. Souvent loin de sa ligne, il est bien plus efficace dans les phases d'occupation et de défense que dans le travail créatif nécessaire à ce poste. Sur ce point précis, James possède une bonne longueur d'avance. Véritable patron du jeu clermontois, il l'oriente à sa guise et se retrouve souvent à la conclusion. Et quand il n'est pas titulaire, Clermont est capable du pire, comme cette défaite à Mont-de-Marsan (12-11) déjà relégué au bas de classement, lors de la 12e journée. Et ça, son rival du jour le reconnaît volontiers. «C'est le cerveau de l'ASM. C'est lui qui initie toutes les attaque de Clermont. En plus de ça, c'est un super défenseur», reconnaît Lionel Beauxis. La défense qui, pourtant était le point faible de James à son arrivée en France. «Quand il est arrivé, on lui a reproché de ne pas trop défendre. Mais il a beaucoup travaillé et ce n'est plus une faiblesse dans son jeu», explique Pierre Mignoni. Lionel Beauxis justifie également les différences entre James et lui par les tactiques différentes de leurs deux équipes. «On ne peut pas vraiment dire qu'on a le même style de jeu compte tenu de la différence tactique qui oppose nos deux équipes. L'ASM cherche avant tout à écarter le jeu sur les ailes et pour ça James et très bon, il bénéficie d'un super jeu de passe des deux côtés», ajoute le Parisien.
En toute discrétion
Meilleur réalisateur du Championnat dès sa première saison, James a également remporté le Challenge Européen et disputé deux finales consécutives. Pourtant, sa présence est rare dans les médias. L'homme est discret, inconnu de ses compatriotes (il n'a jamais été sélectionné par les Wallabies) et rare dans les médias. A vrai dire, il s'en fiche pas mal. Français d'adoption, James ne rêve plus de sélection avec l'Australie mais juste du bout de bois. Ce Bouclier qui fuit désespérément Clermont est devenu son graal. Un trophée que Beauxis a eu l'occasion de soulever avec le Stade Français, après avoir battu Clermont justement. Beauxis, que ses coéquipiers ont surnommé Bernardo tant sa propension à prendre la parole était rare. Si les deux hommes ont finalement bien des différences sur le terrain, ils se rejoignent indéniablement sur celui de la discrétion. Et c'est peut-être là le principal point commun entre ces deux joueurs d'exception. Cette qualité à ne pas se mettre en avant, à se fondre dans le collectif et à laisser la pression glisser sur eux sans les atteindre.
Personnalités attachantes du rugby français, Lionel Beauxis et Brock James devront pourtant mettre de côté les qualités humaines samedi. Seul le meilleur joueur de rugby pourra avoir le sourire à la fin du match. Et à ce jeu là, James semble avoir un petit avantage. - Bertrand LAGACHERIE
l equipe fr
[Hernandez blessé, c'est Lionel Beauxis qui se dressera sur la route de Brock James. (L'Equipe)]
Samedi, la 22e journée proposera un alléchant Stade Français-Clermont. Si les Parisiens vont tenter de s'imposer pour la première fois de la saison au Stade de France, les Clermontois doivent prendre des points pour écarter la menace briviste. Au delà des enjeux directs du match, il sera intéressant de se concentrer sur deux joueurs qui pourraient bien faire pencher la balance au dernier moment, Lionel Beauxis et Brock James, les deux ouvreurs. Deux artilleurs nés. Mais pas seulement.
C'est le pied
La qualité de leur jeu au pied est une des premières choses qui vient à l'esprit lorsque l'on évoque les deux joueurs. En effet, tant James que Beauxis sont de véritables artilleurs. Des machines à enquiller les points et à faire basculer un match au dernier moment. Cependant, même dans ce domaine, les différences sont notables. Si Lionel Beauxis dispose d'une force de frappe proprement impressionnante, capable de faire mouche de tous les coins du terrain, Brock James officie plus dans la mécanique de précision. Il vient d'ailleurs d'enchaîner une série de 41 tirs réussis et c'est son drop en fin de match qui permet à Clermont de repartir avec les points du nul de Montauban. Pour preuve, ce n'est pas lui qui prend les tirs de loin à Clermont. Là où Beauxis tente de canaliser son insouciance et cherche à plus visualiser son tir, James est depuis longtemps un adepte de la concentration d'avant tir. En revanche, tous deux savent occuper le terrain et offrir à leurs avants quelques plages de repos en trouvant des touches d'extra-terrestre.
Pas le même statut
Arrivés tous les deux lors de la saison 2006-2007 dans leur club respectif, Beauxis et James n'ont cependant pas connu le même parcours. James s'est rapidement imposé et est devenu un des joueurs les plus utilisés par Vern Cotter, «mais c'était facile pour moi car tout était nouveau. Un nouvel entraîneur, de nouvelles méthodes. Je me suis adapté naturellement», confie le toujours modeste James. Lionel Beauxis, tout auréolé d'un titre de champion du monde des moins de 21 ans, n'a pas tout de suite pris les commandes du jeu parisien. Tout d'abord son caractère discret ne l'y incitait pas. Et surtout, il arrivait en tant que troisième ouvreur, derrière David Skrela et Juan Martin Hernandez. En effet, le génial arrière argentin avait décidé que son futur s'écrirait à l'ouverture, mais c'est un autre débat. Skrela parti à Toulouse, Beauxis n'a pas pour autant gagné autant de temps de jeu qu'il aurait pu l'espérer. De plus, là où James affiche une santé de fer, Beauxis enchaîne les pépins. Avec une prédilection pour les adducteurs. Un problème récurrent depuis la Coupe du monde 2007, mais qui semble enfin être devenu de l'histoire ancienne.
James « cerveau de l'ASM »
Le dernier Tournoi a suffisamment stigmatisé ce défaut pour ne pas s'appesantir dessus mais Lionel Beauxis peine à prendre le jeu en charge. Souvent loin de sa ligne, il est bien plus efficace dans les phases d'occupation et de défense que dans le travail créatif nécessaire à ce poste. Sur ce point précis, James possède une bonne longueur d'avance. Véritable patron du jeu clermontois, il l'oriente à sa guise et se retrouve souvent à la conclusion. Et quand il n'est pas titulaire, Clermont est capable du pire, comme cette défaite à Mont-de-Marsan (12-11) déjà relégué au bas de classement, lors de la 12e journée. Et ça, son rival du jour le reconnaît volontiers. «C'est le cerveau de l'ASM. C'est lui qui initie toutes les attaque de Clermont. En plus de ça, c'est un super défenseur», reconnaît Lionel Beauxis. La défense qui, pourtant était le point faible de James à son arrivée en France. «Quand il est arrivé, on lui a reproché de ne pas trop défendre. Mais il a beaucoup travaillé et ce n'est plus une faiblesse dans son jeu», explique Pierre Mignoni. Lionel Beauxis justifie également les différences entre James et lui par les tactiques différentes de leurs deux équipes. «On ne peut pas vraiment dire qu'on a le même style de jeu compte tenu de la différence tactique qui oppose nos deux équipes. L'ASM cherche avant tout à écarter le jeu sur les ailes et pour ça James et très bon, il bénéficie d'un super jeu de passe des deux côtés», ajoute le Parisien.
En toute discrétion
Meilleur réalisateur du Championnat dès sa première saison, James a également remporté le Challenge Européen et disputé deux finales consécutives. Pourtant, sa présence est rare dans les médias. L'homme est discret, inconnu de ses compatriotes (il n'a jamais été sélectionné par les Wallabies) et rare dans les médias. A vrai dire, il s'en fiche pas mal. Français d'adoption, James ne rêve plus de sélection avec l'Australie mais juste du bout de bois. Ce Bouclier qui fuit désespérément Clermont est devenu son graal. Un trophée que Beauxis a eu l'occasion de soulever avec le Stade Français, après avoir battu Clermont justement. Beauxis, que ses coéquipiers ont surnommé Bernardo tant sa propension à prendre la parole était rare. Si les deux hommes ont finalement bien des différences sur le terrain, ils se rejoignent indéniablement sur celui de la discrétion. Et c'est peut-être là le principal point commun entre ces deux joueurs d'exception. Cette qualité à ne pas se mettre en avant, à se fondre dans le collectif et à laisser la pression glisser sur eux sans les atteindre.
Personnalités attachantes du rugby français, Lionel Beauxis et Brock James devront pourtant mettre de côté les qualités humaines samedi. Seul le meilleur joueur de rugby pourra avoir le sourire à la fin du match. Et à ce jeu là, James semble avoir un petit avantage. - Bertrand LAGACHERIE
l equipe fr
