19716 replies to this topic

[journey63]

C'est du jazz ! L'improvisation lors des soli c'est tout de même l'essence de cette musique. C'est un peu comme si tu reprochais au reggae sa rythmique saccadée.

Je ne dois pas être asez intelligent pour écouter du jazz (déjà que je suis un mauvais supporter, je dois être irrécupérable).

 

Une musique où tout le monde fais son petit solo dans son coin et on se retrouve tous à la coda, franchement ca me gave, comprends pas.

 

Intelligent person like this :

 

Aller rendez vous au tas de sable comme ils disent.

[Vynce]

Je ne dois pas être asez intelligent pour écouter du jazz (déjà que je suis un mauvais supporter, je dois être irrécupérable).

 

Une musique où tout le monde fais son petit solo dans son coin et on se retrouve tous à la coda, franchement ca me gave, comprends pas.

 

Je ne crois pas que l'intelligence est un rapport avec la musique. Il faut peut être une certaine éducation, un éveil pour apprécier des formes de musiques plus complexes...

Je crois qu'on peut-être très intelligent et se contenter de "mitraillette à droite hé Hé ! mitraillette à gauche oh Oh !"

 

Cela dit en jazz, chacun ne fait pas sa cuisine dans son coin. Il faut même être sacrément en phase avec les autres pour que le solo puisse coller à la grille rythmique. Il y a beaucoup d'interactions entre les musiciens, je dirais même bien davantage que dans le rock qui est un style musical beaucoup plus stéréotypé.

L'extrait musical que tu postes est tout de même très particulier, il s'agit de Free Jazz qui est davantage une démarche intellectuelle dans laquelle les musiciens noirs voulaient s'affranchir des codes blancs. C'est effectivement très hermétique.

[befa]

 

C'est pas du free jazz, mais ça vrille bien la tête également.

[journey63]

Je ne crois pas que l'intelligence est un rapport avec la musique. Il faut peut être une certaine éducation, un éveil pour apprécier des formes de musiques plus complexes...

Je crois qu'on peut-être très intelligent et se contenter de "mitraillette à droite hé Hé ! mitraillette à gauche oh Oh !"

 

Cela dit en jazz, chacun ne fait pas sa cuisine dans son coin. Il faut même être sacrément en phase avec les autres pour que le solo puisse coller à la grille rythmique. Il y a beaucoup d'interactions entre les musiciens, je dirais même bien davantage que dans le rock qui est un style musical beaucoup plus stéréotypé.

L'extrait musical que tu postes est tout de même très particulier, il s'agit de Free Jazz qui est davantage une démarche intellectuelle dans laquelle les musiciens noirs voulaient s'affranchir des codes blancs. C'est effectivement très hermétique.

Je disait intelligent de façon ironique car un certain nombre d'adeptent du jazz n'y connaissent réellement rien en musique et font semblant de l'apprécier pour faire bien, par snobisme car ils se croivent plus intellignet.

 

Je déseste ce type de personnes, bien que non musicien mais très amateur de musique (1 300 CD et 400 Lp, je ne compte pas les enregistrements) j'en ai bâché quelques uns par pure mesquinerie.

 

Quaund au jazz, je n'ai jamais pu apprécier ce genre de musique m^me si ,je me suis penché sur plusieur groupe nottament de guitaristes (Holdsworth, MCLaughin et bien d'autres).

 

J'ai mis du free jazz evolontairement pour forcer le trait. J'aurais pu mettre aussi le groupe de Steve Smith le batteur de mon groupe préferer d'OAR qui le dit lui même s'éclatait dan Journey et prend son pied en free jazz.

 

Le seul jazz qui me convienne est le soft, plus mélodique moins hermétique et moins démonstratif.

[Vynce]

Je disait intelligent de façon ironique car un certain nombre d'adeptent du jazz n'y connaissent réellement rien en musique et font semblant de l'apprécier pour faire bien, par snobisme car ils se croivent plus intellignet.

 

Je déseste ce type de personnes, bien que non musicien mais très amateur de musique (1 300 CD et 400 Lp, je ne compte pas les enregistrements) j'en ai bâché quelques uns par pure mesquinerie.

 

Quaund au jazz, je n'ai jamais pu apprécier ce genre de musique m^me si ,je me suis penché sur plusieur groupe nottament de guitaristes (Holdsworth, MCLaughin et bien d'autres).

 

J'ai mis du free jazz evolontairement pour forcer le trait. J'aurais pu mettre aussi le groupe de Steve Smith le batteur de mon groupe préferer d'OAR qui le dit lui même s'éclatait dan Journey et prend son pied en free jazz.

 

Le seul jazz qui me convienne est le soft, plus mélodique moins hermétique et moins démonstratif.

Le snobisme en musique est effectivement insupportable. J'abhorre également ces personnes qui écoutent de la musique uniquement pour se donner un genre.

Pour avoir la chance de côtoyer quelques musiciens de jazz, je peux te garantir que je ne connais guère de musiciens plus modestes et qu'ils ne jouent pas cette musique pour se mette en valeur. D'ailleurs qui serait prêt à travailler son instrument 11 heures par jour si ce n'est par passion ?

 

Du jazz mélodique pour te faire plaisir :

 

 

Du grand art !

A ne pas confondre avec le tube d'Uriah Heep qui porte le même titre et qui correspond j'imagine davantage à tes goûts.

[binôme]

C'est du jazz ! L'improvisation lors des soli c'est tout de même l'essence de cette musique. C'est un peu comme si tu reprochais au reggae sa rythmique saccadée.

 

Flûte ! Pour une fois que j'émet une réserve personnelle à un de tes posts (ou alors c'est la deuxième fois mais la première c'était y a longtemps !) je me fais renvoyer dans les cordes... Et dire que j'ai mis un "j'aime" en plus  ... Non mais ce ne sont pas les solos que j'ai critiqué mais la manière dont ils nous sont servis, j'avais l'impression d'assister au gala de fin d'année de mon école de musique 

 

Pour rebondir sur les formes de musique complexes "opposées" à des trames supposées plus accessibles (en gros le rock, la pop et tous ses sous-genres) c'est un débat qui me passionne depuis longtemps. Je défend en effet l'idée qu'une structure de chanson bien accrocheuse avec couplet et refrain qui te dresse les poils et qui reste gravée en mémoire (je ne parle pas de musique commerciale qui suivent l'air du temps on est bien d'accord) est tout aussi difficile à chier que n'importe quelle session de jazz, et dieu sait, malgré son souffle au coeur, que le genre est plutôt bien engorgé. Paddy McAloon ou Kate Bush pour ne citer que deux exemples absolument pas pris au hasard   ne bossent peut-être pas leurs instruments 11 heures par jour mais compensent par une inspiration mélodique, un sens de l'expérimentation et une connaissance technique et des tables de mixage hors norme.

 

Pour revenir au jazz, et puisque j'ai commencé par la flûte, une petite relecture absolument somptueuse du Gypsy '66' (sorti en 65 je crois) de Szabo (je reste aussi sur la guitare) par le quartet de Charles Lloyd (Keith Jarett, Cecil McBee et DeJohnette  ) Eux aussi aimaient se faire plaisir et poser leurs pattes mais c'était d'une fluidité...

 

[journey63]

 

Flûte ! Pour une fois que j'émet une réserve personnelle à un de tes posts (ou alors c'est la deuxième fois mais la première c'était y a longtemps !) je me fais renvoyer dans les cordes... Et dire que j'ai mis un "j'aime" en plus  ... Non mais ce ne sont pas les solos que j'ai critiqué mais la manière dont ils nous sont servis, j'avais l'impression d'assister au gala de fin d'année de mon école de musique 

 

Pour rebondir sur les formes de musique complexes "opposées" à des trames supposées plus accessibles (en gros le rock, la pop et tous ces sous-genres) c'est un débat qui me passionne depuis longtemps. Je défend en effet l'idée qu'une structure de chanson bien accrocheuse avec couplet et refrain qui te dresse les poils et qui reste gravée en mémoire (je ne parle pas de musique commerciale qui suivent l'air du temps on est bien d'accord) est tout aussi difficile à chier que n'importe quelle session de jazz, et dieu sait, malgré son souffle au coeur, que le genre est plutôt bien engorgé. Paddy McAloon ou Kate Bush pour ne citer que deux exemples absolument pas pris au hasard   ne bossent peut-être pas leurs instruments 11 heures par jour mais compensent par une inspiration mélodique, un sens de l'expérimentation et une connaissance technique et des tables de mixage hors norme.

 

Pour revenir au jazz, et puisque j'ai commencé par la flûte, une petite relecture absolument somptueuse du Gypsy '66' (sorti en 65 je crois) de Szabo (je reste aussi sur la guitare) par le quartet de Charles Lloyd (Keith Jarett, Cecil McBee et DeJohnette  ) Eux aussi aimaient se faire plaisir et poser leurs pattes mais c'était d'une fluidité...

 

Si j"avais pu j'aurais liké 2x

Le snobisme en musique est effectivement insupportable. J'abhorre également ces personnes qui écoutent de la musique uniquement pour se donner un genre.

Pour avoir la chance de côtoyer quelques musiciens de jazz, je peux te garantir que je ne connais guère de musiciens plus modestes et qu'ils ne jouent pas cette musique pour se mette en valeur. D'ailleurs qui serait prêt à travailler son instrument 11 heures par jour si ce n'est par passion ?

 

Du jazz mélodique pour te faire plaisir :

 

 

Du grand art !

A ne pas confondre avec le tube d'Uriah Heep qui porte le même titre et qui correspond j'imagine davantage à tes goûts.

En effet, ceux qui ont généralement la grosse tête se sont les mauvais.

[Vynce]

Pour rebondir sur les formes de musique complexes "opposées" à des trames supposées plus accessibles (en gros le rock, la pop et tous ses sous-genres) c'est un débat qui me passionne depuis longtemps. Je défend en effet l'idée qu'une structure de chanson bien accrocheuse avec couplet et refrain qui te dresse les poils et qui reste gravée en mémoire (je ne parle pas de musique commerciale qui suivent l'air du temps on est bien d'accord) est tout aussi difficile à chier que n'importe quelle session de jazz, et dieu sait, malgré son souffle au coeur, que le genre est plutôt bien engorgé. Paddy McAloon ou Kate Bush pour ne citer que deux exemples absolument pas pris au hasard   ne bossent peut-être pas leurs instruments 11 heures par jour mais compensent par une inspiration mélodique, un sens de l'expérimentation et une connaissance technique et des tables de mixage hors norme.

 

Je suis tout à fait d'accord avec ça. Cependant bosser son instrument n'empêche aucunement d'avoir de l'inspiration ou le sens de l'expérimentation.

Sinon, je ne me suis pas vraiment penché sur la question de Kate Bush, mais je ne suis pas sûr qu'elle maîtrise si bien que ça les tables de mixage. Mon petit doigt me dirait plutôt que c'est le boulot de la cohorte d'ingénieurs du sons et autres techniciens qui bossent avec elle. Enfin je peux me tromper.

[Vynce]

Sinon en écoutant le très récent et étonnant disque de Brad Meldhau, qui visiblement se sentait à l'étroit dans le jazz "académique" (disque dont Binôme nous avait gratifié d'un extrait dans ce topic) je me suis dit qu'il était allé pas mal piocher du côté du Krautrock, de Greenslade ou de John Surman.

 

[befa]

 

[binôme]

Je suis tout à fait d'accord avec ça. Cependant bosser son instrument n'empêche aucunement d'avoir de l'inspiration ou le sens de l'expérimentation.

Sinon, je ne me suis pas vraiment penché sur la question de Kate Bush, mais je ne suis pas sûr qu'elle maîtrise si bien que ça les tables de mixage. Mon petit doigt me dirait plutôt que c'est le boulot de la cohorte d'ingénieurs du sons et autres techniciens qui bossent avec elle. Enfin je peux me tromper.

Bien sûr mais je pensais à l'inspiration mélodique, celle qui fait que les Beatles sont connus dans le monde entier. Rien que sur le morceau que tu as posté, je suis bien incapable d'en fredonner de mémoire un passage et les musiciens eux-mêmes seraient bien sans soute bien incapables de le reproduire à l'identique. Là encore c'est l'essence du jazz tu me diras...

 

En ce qui concerne Kate Bush Vynce, on parle d'une extra-terrestre qui a composé "The man with a child in his eyes" à 11 ans, qui à l'époque de la signature de son premier contrat avec EMI à l'âge de 16 ans avait 200 compos dans ses bagages (l'immense majorité jamais enregistrée), et qui dès "Never for ever" en 1980 avais fait construire son propre studio d'enregistrement, produisant et arrangeant elle-même ses visions musicales inouïes, maîtrisant dès son apparition le Fairlight (le fameux verre brisé de "Babooshka")... Alors c'est vrai qu'en bonne perfectionniste elle sait aussi s'entourer, de la crème des musiciens notamment, et qu'elle sait  rester fidèle : Gilmour, Gabriel (autre artisan des studios), Mickael Kamen et surtout Del Palmer, le bassiste et ingé son qui n'est autre que son compagnon pendant une vingtaine d'années. 

 

Sinon en écoutant le très récent et étonnant disque de Brad Meldhau, qui visiblement se sentait à l'étroit dans le jazz "académique" (disque dont Binôme nous avait gratifié d'un extrait dans ce topic) je me suis dit qu'il était allé pas mal piocher du côté du Krautrock, de Greenslade ou de John Surman.

 

 

J'aime beaucoup Meldhau, c'est un peu grâce à lui et à Zappa que je me suis réélement ouvert au jazz et à Charles Lloyd notamment.

[befa]

 

[la bella y la Bestia]

ca me fait ch..le Jazz   ( pas tout hein ! )

 

 

 

[journey63]

Je suis tout à fait d'accord avec ça. Cependant bosser son instrument n'empêche aucunement d'avoir de l'inspiration ou le sens de l'expérimentation.

Sinon, je ne me suis pas vraiment penché sur la question de Kate Bush, mais je ne suis pas sûr qu'elle maîtrise si bien que ça les tables de mixage. Mon petit doigt me dirait plutôt que c'est le boulot de la cohorte d'ingénieurs du sons et autres techniciens qui bossent avec elle. Enfin je peux me tromper.

Les tables de mixage ne font pas la mélodie surtout en 78 ou les albums over-produced n'existaient pas encore faute de technologie.

 

bosser son instrument n’empêche pas l'inspiration mais ces musiciens là compense malheureusement leur manque de feeling par la technique : un exemple Mamsteen qui a développer le sweeping à l’extrême : techniquement très fort surtout sur cette video à la sèche. Aucun feeling sur album...

 

[journey63]

ca me fait ch..le Jazz   ( pas tout hein ! )

 

 

 

Y z"auraient pas écouté  Black Sabbath un  peu trop...