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Pas content le Goze...
http://www.lequipe.f...c-est-trop.htmlGoze : «Trop, c'est trop»Suite à la citation de Grégory Le Corvec, Paul Goze est entré dans une grosse colère. Le président de l'USAP défend son joueur et s'insurge contre ce qu'il considère comme une cabale.Cité par le commissaire à la discipline du match Clermont-Perpignan en ouverture de la 21e journée de Top14, Grégory Le Corvec sera entendu par la commission de discipline de la LNR le 24 mars. En attendant, il est suspendu à titre conservatoire. Une situation qui offusque Paul Goze, le président de l'USAP. D'autant que le joueur catalan semble jugé avant d'avoir comparu devant ses juges et qu'il n'est fait aucun cas des agressions qu'il a subi aux 12èmes et 31èmes minutes de la rencontre et qui ont occasionné une fracture du nez du troisième ligne perpignanais.
C'est est trop pour le bouillant président catalan qui en a assez d'être «désigné comme le vilain petit canard du Top 14» peut-on lire sur le site du club. «Là, notre joueur est blessé sur deux coups de poings que l'on voit clairement à la vidéo et c'est lui que l'on suspend pour une "fourchette" qui n'est pas une seule seconde corroborée par la vidéo. Jusqu'à présent, Jacques Brunel et moi même avons toujours choisi de ne jamais polémiquer mais là trop, c'est trop. Entre le match aller et la suspension de Tchale Watchou, diverses décisions arbitrales défavorables comme à Albi et maintenant cette citation, nous avons vraiment l'impression de ne pas être traités comme les autres équipes» a-t-il déclaré.
En tout cas, l'USAP a décidé de faire corps derrière son joueur. «Donc maintenant, je dis ça suffit, si cela dérange que l'USAP soit champion de France, il faut nous le dire mais on ne peut accepter plus longtemps d'être les dindons permanents de la farce. Nous allons évidemment défendre Grégory jusqu'au bout et nous tenons à la disposition de tout le monde les images que refuse visiblement de regarder le commissaire. Nous utiliserons tous les moyens à notre disposition pour combattre cette véritable mascarade intellectuelle et la partialité de cette citation quitte à aller devant le tribunal administratif pour que l'on nous entende».