Cet état d'esprit en effet, est général. Comme disait l'autre, le plus dur c'est pas d'arriver en haut, c'est d'y rester. Et pour ça, il faut innover, regarder ce que font les autres, avoir un cap et le suivre. Ca concerne le sportif, la façon de gérer le public, etc. Curieux parce qu'on peut pas dire que chez Michelin, on ne connaît pas l'adversité et la concurrence, la nécessite d'innover, de se renouveler, de trouver d'autres façons de faire..
Et clairement aussi, on est de plus en plus dans un monde de consommation. A une époque, on avait pas de concurrence, et le fan était un vrai fan. Sauf que maintenant si c'est trop cher ou pas bien, il passera du rugby au foot ou au hand.
Oui, pour reprendre "cocotte63", l'A.S.M a force d'être le "tracteur sportif" d'une région en a oublié l'essentiel. Se dire que la concurrence pouvait arriver et ne pas faire les efforts essentiels pour fidéliser un public qui ne demande qu'à l'être. Après, il me semble vu de l'extérieur, qu'elle désire tout gérer; que ce soit le comportement des supporters ou "l'attirail" qui va avec. La gestion de la boutique ( par délégation ) est un exemple qui interpelle. On vit sur les acquis en pensant que le château de cartes ne s'écroulera jamais. Au final, ce type de gestion va s'avérer pénalisant à plus ou moins longue échéance si, les responsables n'en prennent pas conscience rapidement. A suivre......