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Le Point.fr : Clermont a perdu le 14 mai sa 3e finale européenne. Durant votre passage au club, vous avez aussi connu ces défaites. V ous dîtes dans votre livre « qu 'au fil des années, une certaine complaisance a gagné Clermont ». Ce constat est-il toujours valable ?
Jamie Cudmore : Inconsciemment, oui, ça existe toujours. À Clermont, après une défaite, il n'y a pas d'électrochoc. Cela n'arrive pas d'être alpagué dans un café ou aux supermarchés par des supporteurs mécontents. Je pense que ça crée une forme de confort. À Oyonnax, où je suis arrivé cet été, l'atmosphère était différente. Au lendemain de notre première défaite, un homme m'a arrêté dans la rue en me disant : Tu es nul, tu es trop payé, tu te prends pour qui ? Cela m'a choqué, je n'avais jamais entendu ça à Clermont !
Y en a qui n'ont pas peur