Et hop encore une interview du midol pour bien nous chier dessus...
On se chie dessus nous-mêmes ici, alors normal que les journaux rugby en rajoutent une couche .
Posté 01 janvier 2023 - 18:38
Et hop encore une interview du midol pour bien nous chier dessus...
On se chie dessus nous-mêmes ici, alors normal que les journaux rugby en rajoutent une couche .
Posté 01 janvier 2023 - 19:03
On se chie dessus nous-mêmes ici, alors normal que les journaux rugby en rajoutent une couche .
Ils viendraient faire des copier-coller de leurs papiers, sur le forum, qu'ils seraient classés bisounours 6ème dan!
Posté 01 janvier 2023 - 19:07
Et hop encore une interview du midol pour bien nous chier dessus...
Posté 01 janvier 2023 - 19:10
Qu'est-ce qu'on a encore fait pour les rendre chaffoins les midols'boys.
Posté 02 janvier 2023 - 20:48
Posté 05 janvier 2023 - 19:30
https://www.lequipe....-saison/1373027
https://www.sudouest...on-13568065.php
Mori s'engage avec Bayonne, Maynadier vers la prolongation (c'est une surprise tout de même) et Roussel est "vendu" au LOU.
Posté 05 janvier 2023 - 19:37
Posté 05 janvier 2023 - 20:41
Et Jalibert reste jusqu'en 2025, parce que son pote Penaud arrive.
Putain, 2 ados à gérer, bon courage !
Posté 05 janvier 2023 - 22:11
https://www.lequipe....-saison/1373027
https://www.sudouest...on-13568065.php
Mori s'engage avec Bayonne, Maynadier vers la prolongation (c'est une surprise tout de même) et Roussel est "vendu" au LOU.
Posté 10 janvier 2023 - 15:32
Tevita Tatafu devrait rejoindre l'UBB après la CDM (RR). Font feu de tout bois les girondins. Après, l'adaptation des japonais n'est pas toujours aisée mais Tevita est tongien, alors.
Posté 10 janvier 2023 - 19:42
Vous le trouvez bon ce joueur ? J'avoue être dubitatif quant à ce choix.
Posté 10 janvier 2023 - 20:13
Vous le trouvez bon ce joueur ? J'avoue être dubitatif quant à ce choix.
![]()
C'est le troisième ligne centre, non?
Posté 10 janvier 2023 - 20:46
C'est le troisième ligne centre, non?
Ouep c'est bien lui.
Posté 10 janvier 2023 - 20:57
Depuis l'éviction de Christophe Urios mi-novembre, Laurent Marti ne s'était pas exprimé. Le président de l'Union Bordeaux-Bègles avait donné rendez-vous après la réception de Bayonne (victoire 23-15). Il n'a éludé aucun sujet : la mise à l'écart d'Urios, le choix du duo Charrier-Laïrle pour assurer l'intérim, le nouveau cycle avec Yannick Bru à partir de la saison prochaine, la signature de Damian Penaud, le dossier Matthieu Jalibert et bien entendu la saison en cours dans laquelle il reste très ambitieux.
« L'UBB surfe à nouveau sur une dynamique positive. Êtes-vous un président heureux, rassuré ou toujours méfiant ?
Toujours méfiant ! Oui, nous sommes sur une belle série (quatre victoires de rang en Top 14), ça redonne de la confiance. Mais il suffit de regarder le calendrier avec un déplacement à Castres (le 28 janvier), je ne vous fais pas de dessin, puis au Stade Français (5 février), qui marche sur tout le monde. On peut très vite sortir du Top 6. Les deux prochains mois, sans les internationaux, seront très piégeux et très difficiles.
« Après l'éviction de Christophe Urios, les joueurs ont pris leurs responsabilités »
Après la défaite à Pau début novembre (33-7), votre équipe était 11e avec 20 points après 10 journées. Deux mois et cinq matches plus tard, vous êtes 4e avec quasiment le double de points (39). Comment l'expliquez-vous ?
Il y a sans doute eu un déclic psychologique. Après l'éviction de Christophe Urios, les joueurs ont pris leurs responsabilités. Frédéric Charrier et Julien Laïrle font également du très bon boulot. Nous avons aussi eu un peu plus de réussite que lors du début de saison. C'est un ensemble d'éléments.
Mi-novembre, votre club a officialisé le départ de Christophe Urios. Vous ne vous êtes pas exprimé depuis. Pourquoi ?
Ce n'était pas le moment. Cet épisode était difficile à vivre pour le club, pour Christophe et moi. La décision a été difficile à prendre. Est-ce que je prenais la bonne décision ? Il y a aussi l'humain qui entre en jeu. Mon objectif était de retrouver un peu de calme. J'ai préféré m'en tenir à un communiqué et j'avais donné rendez-vous début janvier après le match face à Bayonne. Heureusement, les résultats sont positifs, sinon on me serait tombés dessus. Je dirais d'abord que certaines choses resteront entre Christophe et moi. Je parlerais de ce que tout le monde voyait.
Depuis janvier 2022, il y a eu une détérioration des résultats. Certes, nous avons joué une demi-finale l'an dernier (défaite 19-10 face à Montpellier). Mais elle est complètement loupée. Elle fait suite à un match de barrage où les joueurs étaient en rébellion (victoire 36-16 face au Racing) et qu'on a pu disputer grâce à une première partie de saison réussie. Sur la phase retour l'an dernier, nous sommes 11e et au moment de l'éviction de Christophe cette saison, nous sommes encore 11e. Sur l'année civile 2022, nous sommes à près de 60 % de défaites ! Ce qui avait également engendré une détérioration globale des relations. J'ai donc pris la décision de me séparer de Christophe. Pas seul, mais je garderai secrète l'identité des personnes que j'ai consultées.
Pourtant, vous veniez de le prolonger, en décembre 2021...
C'est ce que je ne m'explique pas. La détérioration intervient peu après sa prolongation. On s'est expliqué avec Christophe sur un tas de choses, mais malgré tout je m'interroge encore. Comment en est-on arrivé là ? Je n'aurais sans doute jamais la réponse. Il y aura une part de mystère. Je lui ai proposé de prolonger en septembre 2021. Il m'a donné sa réponse deux mois plus tard. Peut-être n'était-il finalement pas sûr du coup. Avec le recul, il aurait été préférable d'attendre pour prolonger et de finir le cycle de quatre ans.
Certains joueurs auraient demandé la tête d'Urios...
(Il coupe) Ça m'agace. Ce sont des bêtises. Ça peut venir des joueurs, mais cette décision se prend en fonction d'une multitude d'éléments. Si les résultats sont là, que le président pense que son manager est l'homme de la situation, il le garde. Depuis 15 ans, je n'ai pas pris que des bonnes décisions. Mais si vous regardez la courbe des résultats de l'UBB, par cycle de deux, trois ou quatre ans, nous franchissons à chaque fois un palier. Mon rôle est que le club grandisse et progresse.
« Christophe (Urios) a fait du très bon travail, il a apporté un vrai plus. Mais dire qu'il est celui qui a qualifié l'UBB parce qu'on ne le faisait pas avant, c'est faux ! »
Le bilan d'Urios reste positif avec la qualification pour la phase finale à chaque fois, ce qui n'était jamais arrivé au club avant...
Je mets un bémol important. L'UBB a grandi année après année. Quand Christophe arrive en 2019, il a trouvé un club solide, mais surtout un effectif redoutable ! Christophe a été un des paramètres, mais pas le seul. On gagne ensemble, on perd ensemble. Vouloir faire croire que c'est un homme qui change une équipe ou un club, c'est de la supercherie. Christophe a fait du très bon travail, il a apporté un vrai plus. Mais dire qu'il est celui qui a qualifié l'UBB parce qu'on ne le faisait pas avant, c'est faux ! Nous avions travaillé avant pour arriver à maturité. La première qualité d'un manager est la qualité de son effectif.
Qu'est-ce qui vous a poussé à donner les clés du camion aux adjoints d'Urios ?
Fred (Charrier) et Julien (Laïrle) faisaient du bon boulot et même s'ils étaient très proches de Christophe, je ne devais pas tout mélanger et leur donner la possibilité de continuer à bosser pour le club. Entre Christophe et moi, ils avaient choisi. Je n'avais aucun souci qu'ils soient solidaires de Christophe. Ce qui comptait pour moi était de savoir s'ils se sentaient capables de finir l'année. Ils ont répondu oui !
Est-ce risqué ?
Le risque était qu'ils soient dans le négatif ou dans la rancoeur. Le challenge pour toutes les parties est de faire la part des choses. Pour le moment, c'est le cas. Ça fonctionne car ils ont trouvé leur équilibre et que ce sont deux bons entraîneurs. Naturellement la répartition des rôles s'est faite. Julien Laïrle a endossé le rôle de manager, même si dans leurs esprits, ils veulent être sur un pied d'égalité et qu'ils partagent les décisions. J'observe un peu plus qu'avec Christophe, mais je ne suis pas invasif. Et s'ils veulent me solliciter, ma porte est grande ouverte. Ça viendra d'eux.
Le duo craint ce fonctionnement sur la longueur de la saison...
Je les trouve pessimistes. Mais c'est normal. Ça ne m'inquiète pas. Le club est sain. Nous avons l'engagement des joueurs. L'important est que tout le monde tire dans le même sens. Tout est plus facile avec des résultats.
Son éviction a coûté plus d'un million d'euros. Est-ce que cela a un impact ?
Je ne confirmerais aucun chiffre. La somme est conséquente, mais je suis là pour assurer la bonne santé financière du club. Ce sera toujours le cas.
Vous avez annoncé ce mardi la signature de Yannick Bru comme futur manager pour les quatre prochaines saisons. Pourquoi ce choix ?
J'ai aimé son parcours de joueur, d'entraîneur, de manager. J'ai eu de bons retours. Je l'ai rencontré, ça s'est bien passé. J'ai décidé de le faire signer. Yannick était mon choix numéro 1. Quant à Thibault Giroud, c'est une opportunité. Il devait être au Racing. C'est une des meilleurs dans son domaine. Ses résultats en équipe de France le prouvent. Il a le respect et la confiance des joueurs.
Le gros coup en matière de transfert, c'est la signature de Damian Penaud pour trois saisons. Racontez-nous la genèse de cette signature...
Nous n'étions pas favoris (il sourit). Les échanges ont un peu traîné. On a tenté notre chance. Nous avons été besogneux pour remplir toutes les cases. Et finalement nous avons emporté la décision. La signature de Damian n'est que la suite logique de notre ambition depuis 15 ans. Je ne préside pas ce club pour dire : "Chouette, nous sommes en Top 14". Je vise le plus haut possible. Je ne suis pas seul non plus. Sur le recrutement, je travaille avec Christophe Laussucq et Nicolas Zenoni. Par exemple, nous avons bien fait d'insister sur Tom Willis alors qu'Urios et son staff n'en voulaient pas.
Qui de Matthieu Jalibert. Il sera bien là l'an prochain ?
(Il se marre) Matthieu n'est jamais venu dans mon bureau pour me qu'il souhaitait partir, contrairement à tout ce que j'ai pu lire. Il n'est donc jamais venu me dire qu'il restait, toujours contrairement à ce que j'ai lu dernièrement... Donc je ne me suis jamais posé la question de savoir s'il serait là ou pas. C'est une évidence.
« [Si on me propose une grosse somme d'argent pour Jalibert] je refuserai ! »
Et si on vous propose une grosse somme d'argent, comme pour Woki avec le Racing l'été dernier ?
Je refuserai !
Même si Matthieu Jalibert vient cette fois vous dire qu'il souhaite partir...
Aussi ! Matthieu est un grand joueur et un grand compétiteur. Il est ambitieux, nous aussi. Le seul engagement que j'ai pris avec lui était de tout faire pour que l'UBB joue le haut de tableau. C'est ce que je fais, notamment avec la signature de Damian Penaud !
Avant de basculer sur la saison prochaine et le nouveau cycle avec Yannick Bru, quel est l'objectif cette saison ?
La qualification ! Il n'a jamais été question de se dire : "cette année, on s'en fout !" C'est hors de question. On doit tout faire pour se qualifier. Il faut donc rester soudés et bien travailler. »
Posté 10 janvier 2023 - 21:01
Ouep c'est bien lui.
En sélection, il est vraiment intéressant, maintenant faut voir ce que ça peut donner avec le rythme européen en terme de nombre de matchs joués!
0 members, 4 guests, 0 anonymous users