Avec Julien aux manettes on aurait l'armoire à trophées totalement saturée à l'image de ma patience avec lui en se moment.
Une armoiràtrophée aussi pleine que celle des Racing depuis 2 ans.
Posted 08 July 2018 - 10:01 AM
Avec Julien aux manettes on aurait l'armoire à trophées totalement saturée à l'image de ma patience avec lui en se moment.
Posted 08 July 2018 - 10:40 AM
le Salary Cap a été inventé pour les clubs et par les clubs ,c'est regrettable que Decro s'en prenne encore à Altrad décidément bien seul sur la planète rugby,ça légitimise surtout son impuissance a recruter des cadors et sa volonté de rouler a l’économie sans trop le dire, alors que nombre de ténors recrute les meilleurs joueur de la planète légalement avec le SC ...
Posted 08 July 2018 - 10:51 AM
Voir plus haut: les ténors se sont gauffrés, alors l'impuissance...le Salary Cap a été inventé pour les clubs et par les clubs ,c'est regrettable que Decro s'en prenne encore à Altrad décidément bien seul sur la planète rugby,ça légitimiste surtout son impuissance a recruter des cadors et sa volonté de rouler a léconomie sans trop le dire, alors que nombre de ténors recrute les meilleurs joueur de la planète légalement avec le SC ...
Posted 08 July 2018 - 10:54 AM
Posted 08 July 2018 - 12:57 PM
Avec Julien aux manettes on aurait l'armoire à trophées totalement saturée à l'image de ma patience avec lui en se moment.
Et pourtant, il me semble qu'il vient juste de reprendre... En même temps que l'équipe de l'ASM!
Posted 08 July 2018 - 19:12 PM
ou alors, il prépare le terrain !
ça fait déjà pas mal de temps qu'on nous parle d’être au taquet du salary-cap, alors que l'asm dégraisse pas mal, du coup ils vont peut être pas mal recruté de top player pour 2019 et la si les autre proteste sur le respect du salary-cap, de-cro peut dire que Montpellier ne le respect pas et n'est pas sanctionné ...
Posted 08 July 2018 - 21:13 PM
Posted 09 July 2018 - 04:52 AM
C’est trop racinguesque pour Dekro ton idée .
Bien de cet avis...! c 'est pas le genre de la Maison.... ....et puis au final c 'est très bien comme ça !
Posted 09 July 2018 - 10:24 AM
Il faudrait qu'il change de discours et s'adapte surtout. Les discours de Mr De Cromières ne sont jamais suivi d'effet... (recrutement par exemple).
Plus souvent que tes prédictions en tout cas !
Posted 09 July 2018 - 18:00 PM
ou alors, il prépare le terrain !
ça fait déjà pas mal de temps qu'on nous parle d’être au taquet du salary-cap, alors que l'asm dégraisse pas mal, du coup ils vont peut être pas mal recruté de top player pour 2019 et la si les autre proteste sur le respect du salary-cap, de-cro peut dire que Montpellier ne le respect pas et n'est pas sanctionné ...
comme tout bon auvergnat :tout ce qui coûte ça me dégoûte ...
Decro manque d'agressivité il peut bien nous bassiner ,mais comment font les autres ? On parle de Savea ,Kaino celui la je l'aurai bien vu à Clermont pour sa retraite et Pau ,un petit club un petit budget qui semble bien plus pertinent...
Avec Roro comme superviseur,on aura des bons coups a faire,espérons que Decro soit moins frileux...
Posted 09 July 2018 - 18:06 PM
Je trouve son interview dans le Midol très bien.
Posted 09 July 2018 - 19:16 PM
le "détourner" légalement comme la grande majorité des clubs!
En pleine forme le devin, je serais d'avis de lui obtenir un petit contrôle fiscale histoire de voir s'il s'applique a lui même ce qu il demande à l ASM.
Détournement légale c'est beau on dirait du Cahuzac
Je sais pas si l ASM va redémarrer plein pot mais le devin est déjà au taquet
Il y a 5 heures
Plusieurs présidents de clubs de rugby professionnels figurent au palmarès. Le premier, loin devant la concurrence, se nomme Mohed Altrad, 30e ex-æquo avec 3,3 milliards d’euros. Jacky Lorenzetti, l’homme fort du Racing 92, pointe au 125e rang (750 millions d’euros). Enfin, à la 473e place, on retrouve Régis Dumange, le président de Nevers et nouveau membre du comité directeur de la Ligue nationale de rugby, avec 150 millions d’euros. À noter que comme le précise le magazine Challenges, ces estimations "recensent l’ensemble des actifs professionnels, cotés et/ou non cotés, mais ne prennent pas en compte les biens personnels".
Ce qui est bien c'est que comme ce n'est pas un Michelin qui est président de lASM il ne sont pas cités ils sont pourtant 50 eme
Posted 10 August 2018 - 20:46 PM
https://www.rugbyram....shtml#fr-tw-sh
A quelques heures du retour de son équipe sur les terrains, le président clermontois évoque la saison à venir. Ainsi que les dossiers en cours.
Rugbyrama : Comme vos joueurs, êtes-vous animé d'un esprit de revanche, au moment où votre équipe s'apprête à retrouver les terrains ce vendredi (19 heures à Mayol face au RCT) ?
Eric De Cromières : Non, pas du tout. On a loupé une saison, bon, voilà. Je veux bien, à la limite, qu'on soit revanchard envers nous-mêmes. Et encore... Les coachs ont tiré les leçons qu'il fallait de la saison dernière. Désormais, c'est un championnat nouveau qui va s'ouvrir. Celui de l'an dernier n'est pas oublié mais il est gommé, si je puis dire. La seule chose qui importe : que les leçons, elles, ne soient pas gommées. Mais je repars vers une nouvelle aventure.
Avez-vous transmis ce message positif aux acteurs de votre secteur sportif ?
E.D.C. : Oui, c'était la raison de ma présence à l'Insep, où le groupe professionnel effectuait son stage de préparation. Je leur ai dit ce que j'attendais d'eux lors de la saison à venir.
C'est-à-dire ?
E.D.C. : Que nos supporters, nos spectateurs et nos partenaires avaient conservé leur enthousiasme intact. On le voit, factuellement, sur la campagne de réabonnement et sur le réengagement du partenariat. Aucun n'a souffert de la saison dernière. Il faut donner raison à tous ces gens. Cet enthousiasme, l'équipe doit leur rendre sur le terrain.
Si la saison dernière supporte la théorie de l'accident, la reproduction d'un tel scénario ne ferait-elle pas augmenter la pression ?
E.D.C. : Il n'y a aucune pression sur le staff, je coupe tout de suite. Ils savent ce que j'attends d'eux, ce que le club attend d'eux et ce dont il a besoin. Ce ne sont pas que des résultats. C'est aussi leur investissement dans la vie autour des matchs, celle du club dans son ensemble. D'aller à la rencontre des gens, des partenaires et des supporters pour discuter, échanger avec eux et partager ces plaisirs du rugby.
Cela manquait-il, jusqu'ici ?
E.D.C. : Je ne sais pas s'il y avait un manque mais je sais que ce sera particulièrement important cette année. Nous venons de connaître un trou d'air, tout le monde en a conscience. Le rugby est une chance et un joli moment. Il faut qu'ils amènent ce partage.
Clermont s'est montré plutôt discret sur le marché des transferts. Un souhait ou une contrainte ?
E.D.C. : Nous avons jugé qu'en remettant sur pied notre effectif, il était conséquent et suffisant. Il y a ce qu'il faut pour être performant, sans avoir à le modifier en profondeur. L'effort a principalement été porté sur les lignes arrières, pour anticiper les périodes internationales : Grosso, Lamerat, Fofana, Penaud, Parra, Lopez sont tous des joueurs réguliers de l'équipe de France. Auxquels il faut ajouter Raka, peut-être, demain. Aucun autre club n'est impacté de la sorte. Ces absences peuvent nous mettre en difficulté. Il fallait nous consolider dans ce secteur. Devant, nous avons jugé qu'avec l'apport des jeunes, nous avions déjà ce qu'il faut à la maison.
Vous évoquez souvent le fait que Clermont, avec tous ses internationaux, joue trois championnats...
E.D.C. : Je le confirme et nous l'avons payé cher, l'an dernier. Chez mes collègues présidents, certains réfléchissent de la manière suivante : "comment avoir le moins d'internationaux possible, pour protéger mon club ?". Je comprends ce positionnement et, d'ailleurs, je le respecte. Il a ses vertus pour un club. Ce n'est pas le choix que nous faisons aujourd'hui. Même si cela nous place dans une situation parfois inéquitable, c'est une fierté et une belle exposition de voir autant de Clermontois sous le maillot du XV de France. C'est notre approche du moment. Demain ? On verra.
Le troisième ligne écossais John Hardie est actuellement dans vos murs. Pour une signature imminente ?
E.D.C. : L’Écossais-Kiwi John Hardie est effectivement chez nous, en ce moment. C'est un joueur avec lequel nous sommes en contact depuis le mois d'avril. Ensuite, il avait dû se faire opérer du dos, ce qui nous a un peu refroidis. Mais nous avons continué de suivre sa piste. Son profil nous intéressait, celui d'un plaqueur-gratteur que nous n'avons jamais caché rechercher. Cela doit nous ouvrir de nouvelles perspectives, dans le secteur des rucks. John est donc avec nous et il travaille actuellement en réhabilitation avec notre service médicale. Notre relation est claire : s'il est apte, il signera. La décision sera prise d'ici deux à trois semaines.
Cette année, le club retrouve le Challenge Cup, nettement moins excitant que la Champions Cup. Avez-vous passé une consigne sur les ambitions dans cette compétition ?
E.D.C. : Déjà, on joue une compétition pour la gagner. Ensuite, à ce stade, je suis surtout content d'être dans une poule sans autre club français, qui nous permettra de nous confronter avec des Gallois, Anglais et Roumain. Sur le papier, cela peut paraître disparate ? Peut-être. Encore que, je vous rappelle que Northampton nous a battus l'an dernier. Pour finir, les objectifs que j'ai transmis sont clairs : jouer un quart de finale, si possible à la maison. Se qualifier et espérer une demi-finale également à la maison. Et, si tout va bien, lâcher les chevaux sur la finale. Comme vous le voyez, il y a donc de l'ambition sur cette compétition aussi. Mais je ne m'avance pas gagnant. Le Challenge n'est certes pas la grande coupe, ce n'est pas non plus une sous-coupe. Rien que chez les Français, il y aura Pau, La Rochelle ou ce Stade français nouvelle formule qui ne sont pas pour faire rire. Gagner le Challenge Cup sera tout sauf aisé.
Posted 10 August 2018 - 20:49 PM
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